Comme je ne voulais pas acheter « Un roman français » en me disant « c’est toujours la même chose », du coup j’ai involontairement acquis un deuxième exemplaire de « l’égoïste romantique ». Il m’a fallut atteindre la moitié du journal pour me rendre compte que je l’avais déjà lu… Sans vouloir offenser l’auteur c’est le syndrome « écris comme je le pense sur l’instant ». Pensée éphémère, lecture délébile. J’attaque « Imperial Bedrooms » de Bret easton Ellis sur Ipad, c’est volontaire parce qu’il y a le dictionnaire intégré, ainsi la plupart du temps lorsque je lis un livre en anglais j’en capte l’émotion ou du moins le crois-je, alors qu’avec cet outil je vais savoir plus précisément ce qu’à voulu dire l’auteur. L’avantage d’une bibliothèque informatisée c’est quelle repère les doublons… Espérons qu’elle ne fasse cependant pas d’occurrence, auquel cas certains auteurs seraient fusionnés… Des noms et puis quoi encore, moi aussi je fais dans la critique sans calorie ni saveur… trop peur de ce monde broyeur de paroles.