Situé dans une sorte de dystopie temporelle, Black Future ’88 catapulte les joueurs dans un tourbillon d’action infinie. Vous êtes l’un des derniers survivants d’un cataclysme nucléaire, et le moment est venu de grimper un à un les étages d’une tour intelligente et particulièrement violente générée de manière procédurale et de survivre au tonnerre de feu, de lasers et d’acier qui se dresse sur votre route.
Il sera possible de se lancer dans cette aventure seul, à deux en coopération locale, mais également de participer à des défis quotidiens. Les joueurs PC pourront également rejoindre leurs amis en ligne sans avoir de copie du jeu, puisque Black Future ’88 sera compatible au lancement avec la fonctionnalité de Steam Remote Play Together.
Le label Fat Possum rend hommage à Mose Allison, légende du jazz, pianiste, chanteur et occasionnellement trompettiste, via un tribute qui compte les exceptionnelles présences de : Taj Mahal, Robbie Fulks, Jackson Browne, The Tippo Allstars feat. Fiona Apple, Ben Harper and Charlie Musselwhite, Chrissie Hynde, Iggy Pop, Bonnie Raitt, Loudon Wainwright III, Richard Thompson, Peter Case, Dave Alvin and Phil Alvin, Anything Mose!, Frank Black, Amy Allison with Elvis Costello.
TRACKLISTING
1. Taj Mahal – Your Mind Is On Vacation
2. Robbie Fulks – My Brain
3. Jackson Browne – If You Live
4. The Tippo Allstars featuring Fiona Apple – Your Molecular Structure
5. Ben Harper and Charlie Musselwhite – Nightclub
6. Chrissie Hynde – Stop This World
7. Iggy Pop – If You’re Going to the City
8. Bonnie Raitt – Everybody’s Crying Mercy
9. Loudon Wainwright III – Ever Since the World Ended
10. Richard Thompson – Parchman Farm
11. Peter Case – I Don’t Worry About A Thing
12. Dave Alvin and Phil Alvin – Wild Man On the Loose
13. Anything Mose! – The Way of the World
14. Frank Black – Numbers On Paper
15. Amy Allison with Elvis Costello – Monsters of the Id
Les clips de Fils Cara sont comme des tableaux animés spécialement prévus pour le téléphone. Des expériences visuelles et sonores avant-gardistes et originales, à ne pas manquer.
Contre-Jour est inspiré d’une ancienne croyance égyptienne sur le rôle du passeur, dans laquelle il s’agit de franchir un cours d’eau pour arriver dans un lieu paradisiaque. Ici Fils Cara est maître d’une cérémonie antique où il ramène à la vie un être cher dans un univers plus doux pour pouvoir lui dire tout ce qu’il n’a pas eu le temps d’exprimer…. À apprendre par coeur pour la Boule Noire le 14 novembre.
Paroles
On a des nuits pour fuir les choses
Des vies à contre-jour
Si y’a des conséquences aux causes
J’évite de montrer tout
J’veux rentrer tôt avec des fleurs à déposer
Dans l’amphore
Je ferai l’effort devant ton corps à décorer
Comme si j’avais talent dans la hotte
J’mets coup d’talon dans la porte
Du Motel
T’as l’étoffe du modèle
Je veux qu’on sombre
Vas-y lance-toi !
Et c’est toujours pareil.
Y’a les visions puis y’a c’qu’on se dit sans s’voir
Y’a la mission mais y’a pas de vie sans toi
À la maison j’ai brûlé des millions d’pages
Et ma raison
Y’a pas de doute dans les yeux
Forme est dans fond
Y’a que les gouttes dans les cieux
Qui se confondent
On fait d’la route on est vieux
Puis les temps changent
Et puis les temps changent…
Brouillard au-dessus des pontons
J’ai pris des Colson pour attacher ton cou
J’ai vidé mon compte et dit des mensonges
Très peu d’avance mais j’gagnerai la course
Y’avait le temps pour dire les choses
Aujourd’hui c’est fini
Tire à coup d’Uzi dans les roses
Allume pas de bougies
J’suis rentré tard et j’ai trop fumé dans l’allée
Dans le noir
Ai-je eu tort quand j’ai voulu m’en aller ?
J’fais des chansons parce que rien à dire en face
Je suis conscient jamais vu la vie sans vagues
Tu fais confiance à qui dans la vie en vrai ?
À part pierre ponce et quelques amis du bac ?
Je passerais Seychelles au tamis pour te ramener l’or
J’ai pas pied ces chiennes ont mis tapis sur des galeries d’art
À la maison j’ai brûlé des millions d’pages
Et ma raison
Y’a pas de doute dans les yeux
Forme est dans fond
Y’a que les gouttes dans les cieux
Qui se confondent
On fait d’la route on est vieux
Puis les temps changent
Et puis les temps changent…
Brouillard au-dessus des pontons
J’ai pris des Colson pour attacher ton cou
J’ai vidé mon compte et dit des mensonges
Très peu d’avance mais j’gagnerai la course
Blood Orange dévoile le clip de « Dark & Handsome » qu’il a lui-même réalisé. En featuring sur le titre, Toro Y Moi figure également dans la vidéo.
Angel’s Pulse est disponible en physique. Le package deluxe LP comprend un vinyle rose et un tee shirt Angel’s Pulse, une exclusivité Domino Mart. La mixtape est également disponible en digital, CD, cassette et vinyle en édition standard, picture disc et édition deluxe, vinyle couleur blanc, à retrouver chez les disquaires indépendants.
LEAGUE OF WONDERLAND réunit des héros tirés de contes de fée et autres créatures mythologiques célèbres dans des combats haletants hautement stratégiques. Les decks composés de huit cartes s’opposent avec leurs forces et leurs faiblesses pour tenter de renverser les tours de l’adversaire en moins de 2 minutes. Attaquer, défendre ou sacrifier son unité : il faut réfléchir vite et bien pour espérer faire la différence dans ce court laps de temps…
Plus besoin de choisir entre intensité et tactique. Les règles sont simples : le premier joueur à détruire deux des trois tours de l’adversaire l’emporte ! Des laquais corvéables à merci, des tours spéciales, des spécificités de carte et une grande diversité d’éléments originaux offrent une nouvelle dynamique au jeu de stratégie en temps réel. Utilisez le mode Spectateur pour admirer les performances des autres joueurs en temps réel ! Pariez sur le gagnant pour obtenir des récompenses in-game ! Les « Draw Shots » sont des compétences que l’on active en dessinant sur l’écran. Les effets varient entre attaques de zone et pénétrantes ou encore buffs et debuffs. Quand et où les utiliser ? C’est à vous de décider ! Les joueurs peuvent contrer le « Draw Shot » ennemi en lançant leur coup dessiné en premier… LEAGUE OF WONDERLAND est disponible sur iOS et Android maintenant.
Après avoir récemment sorti son nouvel EP « Some Place Else« , la suite de « Heaven’s Only Wishful« , le chanteur, producteur et multi-instrumentiste de Toronto, MorMor nous offre un nouveau single « Won’t Let You » accompagné d’un superbe clip animé par Molly Valdez et dessiné par Gustavo Eandi.
En Concert à la Maroquinerie le mercredi 6 novembre 2019, Paris.
Internet ressemble de plus en plus à une vaste benne où l’on dépose nos espoirs déçus. Pourtant, ces mêmes technologies continuent à passer pour nécessaires et inévitables, habillées en fictions dont on connaît trop bien le refrain : Progrès, Innovation, Croissance.
Ce livre propose de se défaire des discours convenus et aborde les techniques comme un vivier de technologies de pouvoir qui, sous couvert d’un discours d’émancipation, ont une visée très précise : gouverner efficacement les hommes dans des sociétés qui placent les libertés et droits individuels au-dessus de tout. Pour consolider un pouvoir qu’ils ne veulent pas lâcher, les classes qui occupent les lieux de pouvoirs n’hésitent pas à passer une alliance singulière qui fait du technopouvoir non seulement une arme de contrôle mais d’un façonnement de notre monde. Un façonnement délétère, autoritaire et invisible qui n’a d’autre but que d’annihiler toute possibilité de critique et de contestations…
Diana Filippova est chef d’entreprise, auteure et activiste. Cofondatrice du mouvement politique Place publique, et membre fondatrice du collectif Ouishare, Diana est engagée dans le débat public sur les questions d’éthique des technologies. Contributrice régulière dans Le Monde, les Echos, Alternatives Economiques, ainsi qu’à France Culture, elle est l’auteure de Société Collaborative, la fin des hiérarchies aux éditions Rue de l’Echiquier.
Technopouvoir – Dépolitiser pour mieux régner Editions Les Liens qui Libèrent
http://www.editionslesliensquiliberent.fr
En librairie le 13 novembre 2019
A l’annonce d’Horizon, le futur réseau social en réalité virtuelle de Facebook, je me suis dit qu’il était enfin temps de franchir le cap de la VR, ressentant la nostalgique excitation de Home le prétendu monde virtuel sur PlayStation ou encore de Second Life, deux expériences pour le moins décevantes j’en conviens, mais qui eurent au moins le mérite d’exister. Avant d’attaquer le test de l’Occulus Quest, je vous recommande de regarder ci-après, cette vidéo de lancement, on se croirait dans Ready Player One ou dans un épisode de Black Mirror ! Observez les comportements des acteurs, ces mises en scènes prémonitoires qui augurent de drames à venir, les asociaux qui s’enfermeront nuit et jour dans cet ersatz de réalité, les parents indignes qui délaisseront leurs gosses tandis qu’ils flirteront avec leurs amants aussi virtuels que réels, peut-être même plus que sur le Facebook classique, l’apparition de nouveaux prédateurs, des vols de données et de ressources, des crimes, des nouvelles stars, des gourous, des révolutions, le chaos ultime, pire des mondes possibles ? Ou pas mais, les orfraies nous gratifieront de leurs piaillements habituels, bien aidés par les médias vautours en quête de sensationnalisme .
En attendant ces inéluctables réjouissances, il fallait bien commencer par s’équiper, Royole Moon ou HTC trop cher … Rift et GO compliqués lorsqu’on on a pas de pc… bref, l’Occulus Quest apparaissait comme un bon compromis.
La seule vraie inconnue était : Allais-je supporter la réalité virtuelle… Je ne suis pas sujet au mal des transports, mais pas non plus un adepte des manèges à sensations trop fortes. L’unboxing s’avéra plutôt agréable, le matériel est de bonne qualité, confortable malgré un poids assez important sur le crâne, les manettes sont faciles d’utilisation et rapidement utilisables. Une fois plongé dans la VR, s’ouvre alors un formidable champs des possibles, malgré une gène initiale en terme de vision et une perte des repères. A ce titre il n’est pas toujours aisé de délimiter une zone de 2×2 mètres pour profiter pleinement des différents jeux et applications développés pour ce device. Après avoir testé Vader Immortal, Space Pirate (démo), Creed (Démo), Wander, Sport Scramble (Démo), Epic Roller Coasters (Démo), Mission ISS, Netflix, Youtube VR et d’autres app en version démo ou Beta, je dois avouer que même si ce n’est pas toujours parfait ou encore hyper fluide, le potentiel est là. L’Occulus Quest, ou plutôt le casque dans sa globalité n’est pas une finalité, mais une étape, comme les premiers téléphones portables en leur temps.
Suis-je conscient de mon inconscience, de mon incapacité à prendre véritablement conscience, des voiles et rideaux opaques qui obscurcissent mes pensées, qui noient et abîment ma volonté ? Dédales véritables et méandres artificiels générés par le mastermind, maître du Je et des énigmes de la vie, aussi retord que pervers dans son art de la manipulation, dans son immuable propension à m’éloigner de l’unité.
J’imagine, j’extrapole, j’envisage et je reviens inévitablement à ce que je perçois comme étant les premières lueurs du Moi, ivre de mon ego triomphant, victoire autoproclamée dont je pourrais me satisfaire, addict cependant à ces soliloques intérieurs, sans fondements, sans fondations, sans finalités, éjaculations mentales anorgasmiques et frustrantes.
Heureux le simple en Esprit qui ne cherche pas mais trouve la paix, à en croire les sacro-saintes paroles de ceux qui s’expriment au nom des sages, le tout et le rien viennent naturellement à lui, c’est ainsi, mektoub. Le cherchant pour sa part, creuse, ronge, cherche, soupese, analyse, décortique, s’emploie de mille façons différentes sans jamais parvenir à ce résultat, et pourtant, comme après un effort physique, comme après une chasse, comme après tout « pourquoi pas », il ambitionne de prendre enfin conscience, comme une suprême récompense, le pic de son existence.
Que dire des semblables, humains faits de chair et de sang, d’os et d’eau pour qui la vie n’est rien d’autre qu’une succession d’actes plus ou moins intéressants, plus ou moins complexes, confondent passions et complaisante exécution de tâches, d’actes, travaux de copistes plus ou moins bien réalisés, mécanique rodée, automatique.
J’aime voyager, dit l’un… D’accord ! et tu es allé où ? demande l’autre. Là où il faut aller ! C’est à dire ? J’ai « fait » tous les endroits recommandés, les points d’interêt. Et à quel moment t’es tu perdu ? Jamais ! j’avais un guide, le gps et le chemin était parfaitement balisé, propre, aseptisé …
Alors, s’agit-il d’un voyage au sens propre du terme, ou d’un trajet aux panoramas figés, qui resteront pour quelques temps ou pour l’éternité dans la mémoire morte d’un téléphone portable, d’un cloud, d’un disque dur, d’une clé usb.
S’échapper, hors des sentiers battus, des conventions, s’affranchir des règles du Maître du Je qui fige nos certitudes, clôture nos rêves et musèle nos ambitions. Ne pas craindre de s’être égaré mais apprendre, tomber, se relever, la tête dans les nuages, les pieds encrés dans le sol, accepter, revendiquer l’erreur et en faire une force créatrice, ainsi il y aura toujours du sens pour celui qui s’émerveille, qui échappe au piège qu’il s’est lui-même rendu, de n’être là que pour subir. Une prise de conscience salutaire, un Escape Mind nécessaire…
Le coq sportif s’associe aux artistes Bigflo & Oli par le biais de leur marque, Visionnaire. Les deux rappeurs ont toujours eu le souhait, et d’autant plus depuis la création de leur marque Visionnaire, de concevoir une paire de basket avec une marque française qui corresponde totalement à leur esprit. Cette collaboration mixte est disponible en exclusivité dans l’ensemble des magasins Courir depuis le 30 octobre 2019.
Selena Gomez vient de dévoiler la vidéo de son titre : « Look at her now ». L’artiste toujours à la avant-gardiste, a choisi un top spécial en paillettes argentées de la collection Capsule FENDI Prints On, créée en collaboration avec Nicki Minaj.
Sur « S3NS », son 11e album studio qui comme à l’accoutumé s’affranchit des frontières musicales, Ibrahim Maalouf s’entoure d’invités de grand talent, notamment trois pianistes virtuoses de la nouvelle génération cubaine : Harold Lopez Nussa, Alfredo Rodriguez et Roberto Fonseca, mais aussi le saxophoniste Irving Acao et la violoniste et chanteuse Ylilian Canizares. Du plaisir, de la vie, de l’amour, de la couleur et une happy face pour l’auditeur en quête de vraie et bonne musique !
Happy Face est un festival de sourires, de visages inconnus et de visages qui vous seront familiers, tous se succèdent dans une chorégraphie mêlant à la fois danse et animations. Le tout, monté sur un pêle-mêle de couleurs rythmées sur une musique métissée de cuivres et de fanfares.
Ibrahim Maalouf a invité les personnes qui le suivent à s’impliquer de loin ou de près dans son aventure : il a souhaité laisser libre cours à leur imagination en leur proposant de lui envoyer une vidéo de leur portrait ou de venir participer au tournage en studio en mai 2019. Sa seule demande : les voir sourire et heureux.
Artiste Ruinart de l’année, le travail de Vik Muniz s’exprime sur un coffret d’exception proposé en édition limitée de 30 exemplaires dissimulant un jéroboam de Blanc de Blancs, l’emblème du goût Ruinart. Sur ce coffret, on reconnait une image conçue dans le cadre de sa réinterprétation artistique de la Maison Ruinart pour laquelle il a reproduit des ceps de vignes à partir de bouts de bois noircis et de fusains. Cette figure prend forme sur les quatre faces de cet imposant coffret en bois. Vik Muniz a voulu donner à cet objet singulier une seconde vie, en lui permettant de devenir un élément de mobilier artistique et décoratif unique, tel un guéridon contemporain.
Edition Limitée Vik Muniz disponible à la Maison Ruinart, 4, rue des Crayères, 51100 Reims ou par téléphone au +33 3 26 77 51 16, au prix de 5 000 euros.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
Préparez-vous, jusqu’au 18 Décembre ces 2:28 de Bande Annonce, vont être disséquées, analysées, passées au crible des professionnels de la critique, tellement exigeants d’ailleurs qu’on ne sait plus ce qui pourrait les satisfaire. Sans oublier cette baseline sans équivoque : La saga prend fin, leur histoire vivra pour toujours. Comme une promesse qui ne sera pas tenue diront-ils… Bref, pour les autres, ceux qui veulent juste en prendre plein la tronche, assister à une épopée galactique à nul autre pareil, tragique, vibrer, s’amuser, écraser une larme ou plusieurs, on pressent à travers ces enchainements de plans intenses et chargés, que la fin va être aussi explosive que douce amère, avec en prime le retour du méchant des méchants et probablement de nombreuses surprises savamment camouflées jusqu’au jour J. Dans tous les cas, on a hâte de voir Star Wars : L’Ascension de Skywalker, alors ne boudons pas notre plaisir et satisfaisons nous pour l’instant de cette Bande Annonce poignante, rythmée par cette musique si familière, qui anime nos visages d’adultes blasés pour y dessiner un sourire commun empreint de nostalgie, d’amour, de rêve, d’innocence, de magie.
Proposées en 5 couleurs magnétiques, elles s’intègreront avec élégance à chaque intérieur grâce à leur taille idéale et de nombreuses options de connectivité. LSX est un système audio musical compact et sans fil composé de deux enceintes sans fil, offrant tout le confort et la connectivité associés à l’émotion et à la précision de la stéréo haute résolution authentique. S’inscrivant dans la lignée des prestigieuses collaborations entre KEF et des designers de renommée internationale, la conception de LSX a été encadrée par Michael Young pour devenir un chef-d’œuvre d’élégance et de sobriété.
LSX intègre Spotify et Tidal, ainsi que Airplay 2 depuis juin 2019. Les enceintes bénéficient ainsi de fonctionnalités audios permettant aux utilisateurs de profiter de leur musique dans n’importe quelle pièce, déplaçant le son d’une pièce à l’autre, à l’aide d’Apple Music. Compact, facile à utiliser et avec des options de connectivité adaptées à la musique en streaming ou pour un écran TV.