Ma vie sur la route, les mémoires de Gloria Steinem enfin traduites en français. Préface de Christiane Taubira.
Gloria Steinem, aujourd’hui âgée de 83 ans, est une icône féministe américaine, inscrite au Women’s National Hall of Fame. Journaliste, écrivain, elle a fondé le magazine féministe Ms. et, avec Jane Fonda et Robin Morgan, le Women’s Media Center, une organisation qui se bat pour rendre les femmes plus présentes et plus visibles dans les médias. Elle a également participé aux campagnes présidentielles de Hillary Clinton et de Barack Obama.
Ma vie sur la route est le récit extraordinaire, profondément humaniste, d’une femme qui a passé sa vie à sillonner les États-Unis et à militer. Cette autobiographie en forme de road trip se lit comme la passionnante chronique de cinq décennies d’histoire américaine, depuis le discours de Martin Luther King jusqu’à l’évolution des droits de la communauté gay en passant par l’avortement ou la cause amérindienne. Une ode au nomadisme, à l’intranquillité qui nous pousse à partir à l’aventure et, avant tout, à la rencontre des autres.
Gloria Steinem, Ma vie sur la route, Édition Harper Collins
352 pages, 19€, en librairie depuis le 13 mars 2019
Lancé en pleine Fashion Week, le coffret exclusif « Eternal Youth » de Caviar Kaspia x Augustinus Bader est le nouveau must-have du tout Paris : le comble du raffinement qui combine délices et bienfaits du caviar avec la désormais indispensable crème révolutionnaire. On s’offre – ou l’on offre – l’élégant coffret Caviar Kaspia x Augustinus Bader avec la garantie d’un double plaisir à la clé : apprécier les saveurs délicates d’un caviar de qualité tout en offrant à sa peau une formule efficace avec The Rich Cream, déjà validée par les peaux les plus exigeant
Coffret « Eternal Youth » de Caviar Kaspia et Augustinus Bader
Comprenant 30g de Caviar Impérial Baeri et le nouveau flacon 30ml de The Rich Cream
Disponible en exclusivité chez Caviar Kaspia et Kaspia Le Bar aux Galeries Lafayette ainsi qu’à la boutique Augustinus Bader à Paris Palais Royal au prix de 160 euros.
Caviar Kaspia
17, Place de la Madeleine – 75008 Paris
Téléphone : 01 42 65 66 21
Ouvert du lundi au samedi de 10h à minuit
Kaspia Le Bar aux Galeries Lafayette
40, Boulevard Haussmann – 75009 Paris
Téléphone : 01 40 38 01 29
Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 20h30 et le dimanche de 11h à 20h
Augustinus Bader
84-85 Galerie de Beaujolais – 75001, Paris
Téléphone : 01 40 26 21 77
Ouvert du mardi au samedi de 12h30 à 19h00
LA MAISON RUINART DÉVOILE L’EXPOSITION SHARED ROOTS SUITE À LA RÉSIDENCE ARTISTIQUE DE VIK MUNIZ (Depuis 15 mars 2019 au Palais Brongniart).
Chaque année, la Maison Ruinart donne carte blanche à un artiste de renom. Une manière de partager son patrimoine, son histoire et son savoir-faire à travers la vision d’artistes qui l’expriment d’une manière créative avec leur medium.
En 2019, la Maison Ruinart a choisi de collaborer avec Vik Muniz, un artiste dont les œuvres interrogent en continu notre rapport à la réalité et à notre champ mémoriel. Vik Muniz a longuement observé et pensé avant d’emprunter le chemin de la création lors de sa résidence artistique à Reims. À travers ses œuvres, il cherche à exprimer ce qui lui semble indicible par le langage. Pour lui, l’exceptionnel naît au cœur de la complexité et le flux créatif en est la meilleure représentation.
Le 15 mars 2019, l’exposition Shared Roots a été dévoilée en avant-première au grand public dans l’enceinte du Palais Brongniart. Les œuvres sont depuis exposées sur les grilles de la Bourse, jusqu’au 16 Avril 2019.
Palais Brongniart
16 place de la Bourse 75002 Paris
Métro Bourse
La bande-annonce dévoile quelques-unes des nouveautés de gameplay de Windjammers 2, qui ajoutent encore plus de profondeur au système de jeu déjà affûté de la simulation de jeté de disque plastique la plus cool de l’histoire. Les sauts, smashs et tirs frappés (slapshot) font désormais partie de l’arsenal des sportifs en combinaisons fluo.
Windjammers 2 s’inscrit dans la droite lignée de la série, qui est parvenue à s’imposer dans la communauté esport au milieu des jeux de combat, et entend suivre le même chemin avec son système de jeu facile à prendre en mains et difficile à maîtriser.
Les Enfants Du Marché, H A ï K U et le Badaboum s’associent pour ouvrir un restaurant… Reconnu pour sa programmation musicale club et concert, le Badaboum se lance aussi le défi d’exceller dans sa programmation culinaire en ouvrant, in situ, – restaurant, et devenir ainsi un lieu de vie unique, hybride et pointu.
Les Enfants du Marché prennent les commandes de ce tout nouvel écrin avec Michael Grossman en salle et son Chef Masahide Ikuta qui signe une carte proche du produit, en confiance avec les artisans. Désireux de faire de la gastronomie décomplexée, Masa sélectionne des produits habitués des grandes tables qu’il sublime dans des assiettes à se partager en grandes tablées d’amis, en tête à tête ou accoudé au comptoir.
À l’image de la carte et de l’authenticité des produits, l’agence H A ï K U a épuré et habillé l’espace jusqu’à obtenir l’essentiel pour concentrer l’attention sur l’assiette. Brut mais convivial, les jardins suspendus et le vert anglais contrastent avec les murs en briques blanches, les matériaux industriels et le bar en céramique blanche, humble hommage à l’artiste Jean Pierre Raynaud.
2 Rue des Taillandiers, 75011 Paris
Déjeuner Mardi au Vendredi 12h00 – 15h00
Diner Mardi au Samedi 19h00 – 23h00
Réservation obligatoire à partir de 6 personnes au 01 85 09 75 46
restaurant@badaboum.paris
Le trio de Leeds, Drahla annonce enfin son 1er album, l’attendu ‘Useless Coordinates’, qui sortira le 3 Mai sur Captured Tracks. Le groupe partage un clip pour le saisissant « Stimulus for Living », que The Fader décrit comme « un morceau au rythme effréné et dense remplie d’idées et d’angoisse ».
DRAHLA – Premier album ‘Useless Coordinates’
(Captured Tracks / Differ-Ant)
Sortie le 3 Mai
1er clip « Stimulus for Living »
Tracklist:
1. Gilded Cloud
2. Serenity
3. Pyramid Estate
4. Stimulus for Living
5. React / Revolt
6. Primitive Rhythm
7. Serotonin Level
8. Twelve Divisions of the Day
9. Unwound
10. Invisible Sex
Tommy Jacob est un artiste français résidant au Mans. Après des années dans la production et dans la musique électronique, avec notamment un passage dans le label Roche Musique, il décide désormais de poser sa voix et ses textes sur ses morceaux. Un R&B moderne qu’il compte bien inscrire dans le paysage pop français.
« J’ai commencé par des études de mode, le milieu créatif m’a toujours inspiré. Ce qui m’a ensuite amené à la musique, c’est sa simplicité et liberté de diffusion.
Seul et sans contrainte, avec un ordinateur il est possible de créer et diffuser à moindre coût son art.
Je n’ai pas quitté la mode pour la musique, les deux milieux sont similaires.
Je retrouve dans la composition de ma musique tous les aspects créatifs qui me plaisaient dans l’élaboration d’un vêtement.
J’ai eu la chance de pouvoir composer pour des créateurs tel que Valentino et là c’était une fusion, le vêtement m’inspirait à créer la musique.
Les deux milieux sont complémentaires.
Je ne suis pas chanteur, je le sais, mais j’aime cette imperfection. C’est ce qui rend la chose unique.
Il est impossible de créer aujourd’hui, tout n’est que réinterprètation, que ce soit dans la mode ou la musique, seul les erreurs peuvent désormais rendre originale et personnelle une œuvre.
Je fais du r&b, clairement, et c’est assumé.
Parler d’amour et être « Fragile » n’est plus mal vu aujourd’hui, les mœurs ont changées et l’image cheesy qu’a pu avoir le r&b s’est dissipée.
On affirme désormais ce qu’on ressent sans honte ni timidité. »
Strasbourg raconte une véritable histoire d’amour entre une fille de Paris rejoignant son homme à Strasbourg. Par cette histoire, ils déclarent leur amour à leur ville, mais aussi à l’équipe de foot dont la devise est « Un seul amour, et pour toujours ! »
Ce livre offre un panorama sur la musique électronique à travers l’exploration de son histoire, de son imaginaire, de ses innovations et de ses correspondances avec les autres arts. Il s’agit du tout premier ouvrage consacré aux codes et cultures de l’électro, par des observateurs passionnés et des artistes engagés dans ce mouvement.
La dance music électronique, dont les genres fondateurs sont la house et la techno, est née il y a plus de trente ans à Chicago et Détroit grâce au talent de musiciens et DJ noirs américains. Accompagnant la révolution numérique et détrônant la culture du rock, cette musique a conquis l’Europe par le phénomène clandestin des rave parties. Au-delà de la musique, la scène électro possède une dimension politique et contre-culturelle : militantisme queer, esprit do it yourself, nomadisme festif, initiatives éphémères et communautaires… Ses utopies et son énergie prennent le pouls et donnent le tempo de notre époque.
Accompagnés de témoignages d’acteurs de la scène électro, des portfolios de photographes documentent les codes et les tribus des danseurs, clubbeurs et raveurs, depuis le disco new-yorkais des seventies jusqu’au Berlin d’aujourd’hui, en passant par l’âge d’or des rave parties britanniques de la fin des années 1980, à travers plus de 200 images.
Exposition Electro. De Kraftwerk à Daft Punk à la Philharmonie de Paris du 9 avril au 11 août 2019.
Electro, de Kraftwerk à Daft Punk, sous la direction de Jean-Yves Leloup, éditions Textuel
Warparty s’inspire des grands classiques du STR mais secoue la formule avec de gigantesques batailles de dinosaures et autres créatures mythiques à la recherche d’un peu de discipline militaire. Les trois factions disponibles – Wildlanders, Necromas et Vithara – disposent chacune de leurs unités, bâtiments, styles de jeu et talents uniques pour faire régner leur loi sur le champ de bataille. Les modes de jeu Survie, Escarmouche IA et Custom Online Multiplayer ajoutent un brin de paléo-fun multijoueur jusqu’à 6 participants.
De son côté, la toute nouvelle campagne scénarisée se dévorera seul, lors de son arrivée le 28 mars. Toutes les informations sur Warparty sont disponibles sur http://www.warpartygame.com
Du 22 mars au 9 septembre 2019, le Musée Guggenheim de Bilbao présente avec Jenny Holzer : L’indescriptible la plus exhaustive sélection d’œuvres encore jamais réunie à ce jour sur le travail de cette artiste nord-américaine de premier plan, née en 1950.
Depuis plus de quarante ans, Jenny Holzer exprime avec force ses idées et ses prises de positions aussi bien dans des espaces publics (Times Square, New York) qu’au sein d’institutions internationales (Biennale de Venise, Musée Guggenheim de New York, Whitney Museum of American Art, Louvre Abu Dhabi).
La matière première de son travail est le texte, qu’il soit apposé sur des t-shirts, des plaques ou des panneaux électroniques. Elle y aborde des sujets et des thèmes dénonçant l’ignorance et la violence, souvent avec humour, compassion et courage.
La carrière de Jenny Holzer débute dans les années 70 avec une série d’affiches placardées dans les rues de New York. Ses plus récentes productions comprennent des projections lumineuses sur des paysages et des architectures.
Pensée en collaboration avec l’artiste, l’exposition réunit des installations spécialement conçues pour interagir avec l’architecture de Frank Gehry ; ses fameuses séries Truismes (Truisms) ou Essais incendiaires (Inflammatory Essays), présentées en cinq langues ; des plaques en bronze coulé ; des panneaux en métal émaillé ; des bancs et des sarcophages en pierre recouverts d’inscriptions ; des peintures à l’huile et des aquarelles sur documents officiels en relation avec les événements du 11 septembre 2001 à New York. De même, de nouveaux dispositifs robotisés spécialement conçus pour l’exposition, animent les panneaux électroniques de l’artiste dont les textes en défilement continu viennent parfois éclairer des ossements humains. Des dessins, des objets et des souvenirs provenant des archives de l’artiste viennent compléter cette présentation et l’exposition comprend également une collection d’œuvres sur papier et de sculptures réalisées par des artistes qui ont influencé le travail d’Holzer : Rosa Bonheur, Paul Klee, Louise Bourgeois, Paul Thek, Charles Burchfield, Kiki Smith, Lee Lozano et Nancy Spero, entre autres.
JENNY HOLZER – L’INDESCRIPTIBLE
MUSÉE GUGGENHEIM BILBAO (22 MARS – 9 SEPTEMBRE 2019)
Commissaire d’exposition : Petra Joos en collaboration avec l’artiste
Humoriste, chroniqueur, acteur, lecteur devenu liseur, Vincent Dedienne sera sur la scène de L’Escale du Livre de Bordeaux le 7 avril à 18 heures, salle Vitez au TNBA à Bordeaux pour lire Fou de Vincent de Hervé Guibert. Vincent Dedienne a fait un spectacle-lecture du texte de l’auteur décédé prématurément du sida à 36 ans.
Fou de Vincent d’Hervé Guibert a été publié en 1989 aux Éditions de Minuit. « J’avais connu Vincent en 1982, alors qu’il était un enfant. Il l’était resté dans mes rêveries, je devais me résoudre à ce qu’il soit devenu un homme, je continuais à l’aimer pour ce qu’il n’était plus. Depuis six ans il envahissait mon journal… Qu’est-ce que c’était ? Une passion ? Un amour ? Une obsession érotique ? Ou une de mes inventions ? » Parmi les textes d’Hervé Guibert, Fou de Vincent est celui où se mêlent le plus étroitement l’érotisme et la tendresse.
Fou de Vincent « c’est l’histoire d’un amour qui n’est pas toujours réciproque. C’est un texte cru qui requiert une certaine crédibilité, suffisamment d’insolence et de romantisme pour pouvoir dire certains des passages. Ce n’est pas que du cul, de la provocation, c’est aussi un texte gonflé d’amour ».
La parution du clip « Pacifique » est une étape charnière pour Météo Mirage, puisqu’elle est le point de départ d’une série de quatre clips qui seront diffusés progressivement et qui visent embarquer le spectateur dans une histoire aussi universelle qu’inspirée. Avant la sortie de l’EP, un deuxième clip verra le jour, prolongeant l’histoire du « Pacifique ».
Sortie du 1er EP « Pacifique » le 07.03.19 ~ https://bit.ly/2tpHE0y
Le visage à moitié brûlé et une petite fille de deux ans. C’est tout ce qu’il reste de la relation de Jade à son ex, qui l’a défigurée à l’acide. À la violence de cette histoire, succède désormais celle du regard des autres. Pour ne pas couler, Jade n’a d’autre choix que de s’accepter, réapprendre à sourire et à aimer.
Dirty God parle de cicatrices, du regard des autres, de la difficulté de s’accepter lorsqu’on est jugé comme « différent ». Autant de sujet que la jeune Vicky Knight porte elle-même dans sa propre vie. Victime d’un incendie lorsqu’elle avait 8 ans, 33% de la moitié supérieure de son corps ont été marqués à vie. Elle a passé des années à lutter pour comprendre ce qui lui était arrivé, à se heurter à des barrières qui lui ont parfois semblé infranchissables.
L’équipe de Dirty God l’a repéré sur Youtube, dans une vidéo où elle raconte son histoire pour la diffuser auprès d’un public jeune et leur apprendre la tolérance. Elle travaille actuellement comme assistante médicale dans l’hôpital où elle a reçu le traitement qui lui a sauvé la vie.
« Il est entré.
Je matais la télé.
Puis j’ai senti un truc sur la figure.
Ça brûlait.
Je me suis mise à hurler.
C’était ma peau…
Elle pendait.
Emel raconte : « Footsteps » a été écrit dans le nord de l’État de New York au mois de novembre 2018. Les feuilles avaient encore les derniers éclats de leurs couleurs, de multiples nuances d’or et de cuivre évoquant une certaine mélancolie. Cela a été intensifié par la découverte d’une maison abandonnée, autrefois magnifique, où, à côté d’une partie effondrée du toit, l’intérieur était resté presque intact. J’y ai trouvé une multitude d’objets personnels tels que des chaussures, des meubles et des tableaux. Cela a créé un sentiment de chaos morose de voir comment l’histoire d’un passé heureux se mêlait à un présent effondré. Je me demandais ce qui avait pu arriver aux gens qui vivaient ici. Qu’est-ce qui les a fait oublier toute leur histoire ? « Footsteps » est une chanson hantée par ce passé mystérieux, peut-être heureux, que quelqu’un a laissé derrière lui, agonisant sur un sol dépéri.
EN CONCERT LE 17 MARS AU MUSÉE DU QUAI BRANLY A PARIS
17h00 – Théâtre Claude Lévi-Strauss
ET EN TOURNÉE EN FRANCE
13/03/2019 – NANCY (79) – L’Autre Canal
14/03/2019 – SARAN (45) – La Tête Noire
16/03/2019 – VILLIERS LE BEL (95) – Espace Marcel Pagnol
17/03/2019 – PARIS (75) – Musée du Quai Branly
20/03/2019 – TOULOUSE (31) – Salle Nougaro
23/03/2019 – STRASBOURG (67) – La Laiterie
29/03/2019 – AMIENS (80) – Le Safran