« Pour moi, ‘Listen to yourself’ c’est être à l’écoute de soi et de ses rêves, se permettre de rêver et s’exprimer à travers la musique que l’on aime et écoute au quotidien », explique Yazbukey. « C’est aussi une manière d’atteindre et toucher les autres à travers mon art, ma vision du monde et les laisser prendre part à mon histoire », ajoute-t-elle.
« Je regarde beaucoup d’anciens films et collecte beaucoup d’images d’inspirations, j’aime revoir les images ou les films car on y découvre toujours quelque chose de nouveau, notre humeur attire toujours notre regard sur un autre point », raconte Yazbukey. « Tout peut devenir une source d’inspiration. J’adore me plonger dans des photos vintage, regarder des films ou tout simplement les gens dans la rue », poursuit Yazbukey.
Ainsi, pour sa collaboration avec Urbanears, Yazbukey a retravaillé sa fameuse bouche en plexiglass pour l’appliquer à la fois sur les enceintes et le casque Plattan 2 Bluetooth, dans une version rose et une version rouge.
En découvrir plus: https://www.urbanears.com/ue_fr_fr
… Ou encore acheminons-nous dans le vaste domaine de la pensée et de l’action.
Maudire les marasmes du macrocosme et ne pas envisager de penser et d’agir au sein de son microcosme autrement que pour satisfaire son ego… voilà en substance le drame de l’humain du XXième siècle, « accompagné » dans cette folie, par la cynique bienveillance d’une société globalisée repliée sur elle même, fanatique, ignorante et dont l’ambition déréglée transforme la matière première humaine en machine exécutante, décérébrée et résignée. Les leçons du passé ne servent malheureusement que de supports pour des superproductions cinématographiques ou télévisées, standardisées qui ne provoquent qu’un émoi de circonstance chez ces êtres qui ne savent ni ressentir, ni aimer au sens le plus authentique du terme. Forts de cet impitoyable constat, que pouvons-nous espérer ? À observer les individus, rien ne semble pouvoir les extraire de la caverne platonicienne dans laquelle ils se sont confortablement installés… pourtant l’espoir est toujours de mise, notre histoire commune est celle de quelqu’un de trop fort pour être battu, pliant comme le disait Pascal, mais ne rompant pas, malgré toutes les vicissitudes.
Le 16 octobre 2018, FENDI s’est emparé de neuf villes du monde pour des événements de lancement de la collection capsule FENDI MANIA en simultanés, dont Paris Saint Honoré. La Collection sera disponible dans les boutiques FENDI jusqu’à la fin de l’année et sur fendi.com
Le cocktail de la boutique Saint Honoré incluait des animations spéciales et une configuration avec les couleurs emblématiques de FENDI MANIA, bleu et rouge, jaune et noir. Un set de DJ spécial, Pedro Winter & Piu Piu, a fait danser les invités durant l’événement de Paris Saint Honoré.
Parmi les invités: Thylane Blondeau, Tina Kunakey, Marie Ange Casta, Camelia Jordana, Mathilde Warnier, Gucci Gang, Germain Louvet, Oulaya Amamra, Lucie Boujenah, Nolan Funk, Willy Cartier…
L’eudémonisme (du grec : εὐδαιμονία / eudaimonía, « béatitude ») est une doctrine philosophique qui pose comme principe que le bonheur est le but de la vie humaine, il n’est pas perçu comme opposé à la raison, il en est la finalité naturelle. On peut rattacher à l’eudémonisme, la recherche de la félicité chez Spinoza ainsi que l’idéal du bonheur ou bien commun, cher aux lumières du XVIII ème Siècle. La doctrine se fonde sur une confiance générale en l’homme qui reste la clé irremplaçable de l’humanisme. La doctrine se concentre sur cette seule chance d’épanouissement que constitue la vie terrestre et c’est par conséquent à la réussite de cette vie, au bonheur immédiat ou rationalisé sur un temps long, tant au sien qu’à celui d’autrui, qu’elle consacre logiquement l’essentiel de son effort. L’eudémonisme est parfois confondue avec l’hédonisme qui fixe pour sa part, le plaisir et non le bonheur comme but de la vie humaine. En définitive, l(Wikipédia)
Orelsan dirait simple, basique et tellement évident… Pensons-nous à tort que notre modèle de société nous éloigne le plus souvent de ce but en soi, glorifiant la réussite égoïste et l’accumulation de biens matériels comme preuve de réussite ? Sommes-nous déterminés à croire que le conflit est une règle naturelle à laquelle nous ne pouvons échapper ? L’histoire nous démontre à contrario que c’est bien la co-construction et le partage qui ont permis à l’homme d’évoluer et de s’émanciper. Alors, loin des chimères new age et des frustrations consuméristes de l’époque, faisons de l’eudémonisme la pierre angulaire de notre existenc
ASOS lance aujourd’hui sa toute première collection ASOS White Homme, 5 ans après le lancement d’ASOS White Femme.
Imaginée dans une palette de tons neutres avec une esthétique minimaliste, la collection s’étend des costumes aux mailles et du denim au jersey. En parallèle des vêtements, la collection propose aussi une gamme d’accessoires et de chaussures, des sacs, des lunettes et des baskets.
Créées en interne par l’équipe créative d’ASOS Design Homme, les coupes larges et masculines ont toutes été développées dans l’atelier d’ASOS à Londres. Ayant pour mission de faire d’ASOS un retailer inclusif, l’équipe créative a établi une sélection de produits ASOS WHITE proposés en tailles Plus et Tall.
La collection est lancée ce lundi 15 octobre, avec des nouveautés tout au long de la saison, jusqu’au mois de février.
Pour en découvrir plus sur la collection ASOS White Homme : www.asos.fr/homme
Naître et mourir sont des expériences extraordinaires. Vivre est un plaisir fugitif.
En 1996, des milliers d’histoires sont parvenues jusqu’au papier imprimé, histoires aujourd’hui oubliées et demain encore plus. Nombre de ceux qui sont nés ou étaient vivants cette année-là sont encore parmi nous. Mais de la grande majorité de ceux dont le cœur a cessé de battre, il ne reste plus rien ou presque : un nom dans un cimetière ou dans un vieux journal au fond d’une cave. Les joies du présent, lorsqu’elles sont intenses, nous permettent d’oublier cette immense vacuité. Les extases, qu’elles soient constructives ou destructives, en sont des antidotes. L’amour, la guerre, l’art, le sport, la danse nous semblent des justifications à notre bref passage sur terre. Et parmi ces distractions, l’une d’entre elles m’a toujours rendu particulièrement heureux : la danse. Alors, quitte à faire un film, Il m’a semblé excitant d’en faire un sur ce fait divers et avec des danseurs dont les talents m’hypnotisent. Avec ce projet j’ai pu représenter une nouvelle fois sur un écran une partie de mes joies et de mes peurs.
1996, c’était hier soir. Il n’y avait juste ni portable ni internet. Mais le meilleur de la musique de ce matin était déjà là. En France, Daft Punk éditait son premier vinyle, LA HAINE venait de sortir au cinéma et le journal Hara-Kiri ne parvenait définitivement plus à ressusciter. Le massacre des adeptes du Temple solaire était étouffé par les forces occultes de l’Etat. Et certains rêvaient de construire une Europe puissante et pacifique alors qu’une guerre barbare l’infectait encore de l’intérieur. Les guerres créent des mouvements, les populations changent, les modes de vie et les croyances aussi. Mais ce qu’on appelle Dieu sera toujours du côté du canon le plus puissant. Ce qui fut, cela sera. La virgule aura beau se déplacer, l’essence de la phrase restera toujours la même.
(…)
En un temps record, nous avons trouvé une école désaffectée à Vitry, nous avons pu négocier les droits de certaines musiques dont je rêvais. A deux jours du tournage, nous avons rencontré Souheila Yacoub, acrobate et comédienne, et obtenu le visa pour que l’étonnant contorsionniste Strauss Serpent puisse venir nous rejoindre depuis le Cameroun. Nourri de nos expériences multiples de dérapages incontrôlés, le tournage s’est déroulé dans la plus grande joie et les improvisations des danseurs sur le tapis ou lors de leurs dialogues improvisés nous ont tous éblouis.
Deux mois plus tard, nous sommes heureux de vous présenter cette modeste reproduction de la joyeuse et triste réalité. Tous mes remerciements à ceux qui nous ont faits et qui ne sont plus… Et que la fête commence !
GASPAR NOE
De Gaspar Noé Avec Sofia Boutella, Romain Guillermic, Souheila Yacoub…
Les futurs historiens spécialisés dans l’étude de la fin du XXEME Siècle, début du XXIEME consacreront des thèses voire des volumes entiers, à l’ère des réseaux sociaux et à ses phénoménales conséquences sur le monde occidental globalisé… Tweeterisation de la pensée, facebookisation des groupes humains, Tinderisme des rapports amoureux, Instagramisation de l’égo… L’altérité induite par le prisme de l’écran nomade sera disséquée, analysée et fera, n’en doutons point, l’objet de controverses passionnées…
Pourtant, à la question de l’origine du commencement de la genèse, de pourquoi et comment ce marasme s’est propagé comme une gangrène dans la jambe de bois d’un pirate, les caciques du turfu seront probablement bien en peine d’apporter une réponse satisfaisante à cette vibrante question, mais comme d’ici là le mot vérité n’aura certainement plus aucune valeur… à quoi bon s’en faire ? C’est donc au présent et en qualité de pré geek de la génération X que nous allons exegetiser les origines de ce gigantesque bordel 2.0
Dans les années 80-90, globalement un ordinateur, c’était une machine « dévolue » au jeu (Amiga, Atari, Amstrad…), ou à la bureautique (IBM, Apple, Bull) pour celles et ceux qui auraient du mal à déceler l’ironique nostalgie du propos, nous vous laissons le soin de redécouvrir les magazines Tilt et Génération PC afin de bien comprendre le sens du propos. Pour faire simple, l’ordinateur était basiquement un « truc » professionnel, d’ingénieurs ou de traders, Un objet imposant aux usages limités et au langage complexe. La majorité de la population considérait que c’était de la connerie, un épiphénomène sans véritable valeur ajoutée, car à cette époque on passait la carte bleue au sabot, en France on faisait ses recherches de transports ferroviaires sur minitel et c’était bien ainsi.
Puis, vint l’heure de la démocratisation digitale, avec la promesse de la multiplication des fonctionnalités, l’amélioration de l’ergonomie, la miniaturisation etc. des grappes de nouveaux utilisateurs furent séduits par l’interface windows ou mac, par la possibilité de graver des disques lasers, par l’internet naissant. Néanmoins la majorité de ces convertis à la technologie ayant appris à courir avant de marcher, ne se sont jamais familiarisés avec les règles implicites de l’informatique inhérentes au numérique. Encore aujourd’hui rares sont ceux qui acceptent que « ça ne marche pas », rares sont ceux qui considèrent qu’au delà de l’affichage il y a des lignes de codes, une hiérarchie, des infrastructures, des règles… C’est ainsi que forts de leur ignorance crasse et de la suffisance caractéristique à l’espèce humaine, ils se sont emparés des réseaux et des machines. De fait, mal éduqués et inconsciemment fiers de pouvoir saccager de nouveaux territoires, ils galvaudèrent les usages, nivelèrent par le bas les immenses possibilités offertes par ces outils, transformèrent peu à peu l’internet en un ersatz de télévision à la publicité despotique et féroce, expurgèrent les échanges et les conversations de leur dimension humaine, s’arrogèrent le droit de faire tout et n’importe quoi… Voilà comment aujourd’hui certains pensent comme ils tweetent, voilà pourquoi l’homme souffre aussi dans le monde virtuel… Mais, ne soyons pas pessimistes, il y a toujours de l’espoir…
Highsnobiety et Diadora annoncent le lancement de leur seconde collaboration dans le cadre des 70 ans de l’équipementier italien.
Dessinée par Highsnobiety et le designer de sneaker Hikmet Sugoer, la seconde partie de cette collaboration s’inspire de la deuxième maison d’Highsnobiety, New York. La collection va au-delà des paysages urbains de la ville et rend hommage à l’emblème de l’état de New York : le Merlebleu de l’Est, dans une palette de bleus et d’imprimés Merlebleu.
« Cette collaboration avec Diadora est un hommage aux racines berlinoises et new-yorkaises et à notre ADN » dit David Fischer, Fondateur et CEO de Highsnobiety. « Nous sommes excités de travailler avec un partenaire iconique comme Diadora et de donner vie à cette collection pour fêter leurs 70 ans. »
« Diadora est enthousiaste de s’associer à Highsnobiety, l’une des sources inspirations mode et lifestyle les plus foisonnantes » dit Diadora. « La marque a choisi Highsnobiety pour rendre hommage aux 70 ans à cause ses capacités à inspirer et engager les jeunes lecteurs qui souhaitent découvrir des produits de premières qualités ».
La campagne est inspirée et portée par les membres du « The Feminist Bird Club NYC Chapter », un club inclusif d’observation des oiseaux qui se consacre à offrir des opportunités dans un environnement sécurisé pour connecter avec la nature dans un milieu urbain.
Pour info, Le 23 octobre, un événement exclusif sera tenu à New York chez ALIFE pour célébrer le lancement. www.highsnobiety.com – www.diadora.com
L’approche du label Baume repose sur son design moderne, ses matériaux recyclés et son engagement à créer des modèles toujours plus uniques. Visant à délivrer des montres personnelles et intemporelles, les créations Baume sont élaborées dans une liberté extrême et dotées de boîtiers de 35 ou de 41 mm, affichant des mouvements aux motifs singuliers.
Découvert lors du dernier salon Vivatech, Baume casse les codes de l’horlogerie classique en s’appuyant sur le savoir-faire du groupe Richemont et conçoit dans le plus grand secret, des collections s’adressant aux amateurs d’innovations. Habituellement vendues en ligne, les montres Baume investissent pour la première fois le concept store « nous » en exclusivité le 12 octobre 2018 avec l’édition limitée « Skate », mixant haute horlogerie et street culture, accompagnée de plusieurs modèles issus de la nouvelle collection.
Baume Watches disponible en édition limitée
chez « nous » dès le 12 octobre
baumewatches.com
Ils viennent d’ici, autant qu’ils viennent de loin. Ils en sont comme ils en viennent, et ils n’oublient rien. Des quartiers populaires, de leurs origines, de leur passion pour le hip-hop, Hamé et Ekoué ont tracé leur propre chemin, transformant la boue en or. À travers eux, La Rumeur vibre depuis vingt ans. Elle a son public. Elle a ses ennemis. Avec des albums devenus mythiques, L’Ombre sur la mesure, Du coeur à l’outrage, et un film salué par la critique, Les Derniers Parisiens, La Rumeur n’est pas seulement musicale. Elle est un monde. Leur ambiance est poétique, leur langage cinématographique, leur regard politique. La Rumeur ne se cherche pas, elle agit et se raconte, sans se cacher, sans circonvolutions. Toujours du côté des damnés de la terre, elle règle ses comptes avec les restes du colonialisme, avec cette Françafrique aux relents toxiques.
la rumeur il y a toujours un lendemain
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Hamé et Ekoué tiennent leur ligne, coûte que coûte. Ils durent, sans rien céder ni de leurs convictions ni de leur intégrité. L’argent ? Un moyen incontournable. Le succès ? Un public fidèle. La drogue ? Une hécatombe autour d’eux. Ce livre dresse le portrait d’une passion artistique forgée dans le feu du peuple et le grouillement créatif des premières heures du hip-hop en France. Aujourd’hui, La Rumeur rappe. La Rumeur filme. La Rumeur n’en a pas fini.
Ékoué Labitey, diplômé de Sciences Po et docteur en droit public, et Mohamed Bourokba dit « Hamé », ancien élève de New York University, ont signé des albums devenus mythiques dans la culture « hip-hop », L’Ombre sur la mesure (2002), Du coeur à l’ outrage (2007) et un film salué par la critique, Les Derniers Parisiens.
Entre les Mères et Pères La Morale des temps présents, et les ravages causés au moral et à la morale par les actes des uns et la bêtise des autres, il devient héroïque de maintenir sa foi en l’humanité et dans l’espérance d’un progrès profitable au plus grand nombre… Même lorsqu’on dépasse la caricature des commentaires et des prises de position exacerbées dans l’Agora virtuelle du XXIeme siècle, il ne nous est pas permis d’échapper, dans la France d’aujourd’hui, au drame du 1er degré, au clonage des désirs, à la limitation des passions, à une certaine forme de réinterprétation de l’Histoire (tout était mieux avant ? allez dire ça, entre autres exemples saillants, aux victimes de l’apartheid, déportés, soldats enrôlés de force, sorcières brûlées au bûcher de l’intolérance et du dogme), à l’exacerbation de l’orgueil, de l’entre soi, de la facilité, de l’absence d’aspérités, de l’Argent roi et de la culture uniformisée et accessible, américaine d’abord.
Le schisme quelque peu orchestré par les médias entre néos intellos (qui ont des sous ou des crédits, voyagent, font du sport et font des photos classes pas des selfies ou un peu mais chouettes) pas trop fumeurs sauf clope de soiree vegan of course clament à l’envie l’absence de téléviseurs dans leurs foyers mais tapent autant dans les alter écrans que dans de la cc bio ou de la weed éthique, améliorent sans cesse leur condition physique pour mieux faire la queue devant les concept stores lors du prochain Black Friday avant de célébrer Halloween, et populos (qui ont des sous ou des crédits, voyagent, font du sport et des photos marrantes et des selfies sexy) mi vegan mi viandards, encore un peu fumeurs ou vapoteurs au quotidien, à l’ego toujours plus gonflé grâce à l’immense succès de Johnny, des Kardashian, des ordinaires sur exposés et des joutes verbales de personnalités politiques, qui cherchent leur adhésion mais ne passerait pas 1/4 d’heure en leur triviale compagnie, améliorent sans cesse leur condition physique pour mieux soulever les grilles des discounters lors du prochain Black Friday avant de célébrer Halloween, s’avère être en réalité un syncrétisme, pour l’uniformisation dans la médiocrité, le nivellement des degrés de compréhension, le sacrifice du bon vivant, la réduction des intentions à de simples opérations promotionnelles…
Mais dans quelques années on dira c’était le bon temps…
Je ne voudrais pas m’instituer Néo-Robespierrien ou Dantonien (je ne sais plus qui est le « sympa » entre ces deux personnalités révolutionnaires), mais j’avoue que la dernière petite phrase de Benjamin Griveaux, porte parole du gouvernement, m’a quelque peu heurté, pour ne pas dire plus… Selon cet éminent politicien, Wauquiez est « le candidat des gars qui fument des clopes et qui roulent au diesel« . C’est qui lui ? le candidat des parvenus qui mangent Bio et qui roulent en Tesla ? A trop jouer la carte de la stigmatisation, du populo-snobisme, du mépris, on parvient malheureusement à faire céder les plus modérés, prêts à rejoindre la gronde antigouvernementale. La sémantique est importante, « gars », terme familier qui renvoie aux beaufs pas très futés, des « clopes » mot chargé d’argotisme pour ce Mossieur de la haute société, cela dit au prix du paquet on est pas loin, à la semaine, d’un dej à la maison du caviar. Wauquiez ça veut dire que le beauf tellement con qu’il fume dispendieusement est en plus alcoolique, raciste, antisémite et bien entendu climato sceptique, vu que cette tanche de français bas de plafond et bas de gamme, qui fête ses anniversaires chez Flunch et pète à table roule en diesel. Ahahah, il devait bien se marrer Griveaux en sortant sa petite phrase, en insistant bien sur le clivage, chiffres à l’appuie pour bien montrer que c’est pas la France qu’il veut pour l’avenir. OK, mais moi je ne suis pas sûr d’avoir envie de lui pour l’avenir. Pour ma part, je me méfie autant des apôtres autoproclamés de la bonne conscience que des fachos aboyeurs. Tout ça m’inspire une grande fatigue et une sourde colère, mais avec modération, ne risquons pas d’être accusé de sédition…
Chris Cornell de Soundgarden et Chester Bennington de Linkin Park ont rejoint la longue et tragique liste des disparus volontaires ou involontaires qui ont marqué et continuent de marquer l’histoire de la musique. Entre disserter pendant quelques longues et pesantes phrases sur le grunge et le nu métal ou écouter de la bonne musique pour leur rendre hommage ont va privilégier la deuxième option et simplement souhaiter un great gig in the sky pour celles et ceux qui peuplent les cieux.
Depuis des décennies, FILA est un incontournable du monde du tennis : de grands champions comme Björn Borg, John McEnroe, Boris Becker et Monica Seles portaient tous des FILA lorsqu’ils ont fêté leurs premiers exploits. La marque est également très présente dans le basket-ball, le ski, le golf et l’alpinisme. Le célèbre logo F-box (un F arrondi dans un carré) et la griffe au profil aérodynamique de FILA (« le drapeau ») illustrent la riche histoire de la marque.
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Après les succès inoubliables obtenus dans les années 80 et 90, FILA fait aujourd’hui son come-back en lançant des collections de chaussures et de vêtements qui renouent avec son passé illustre.
Elle allie savoir-faire et design hyper moderne pour créer un style dynamique et décontracté. Sa riche histoire sportive constitue la toile de fond d’une collection originale de baskets à la fois modernes et vintage.
Ce nouveau brûlot vidéoludique explore la production, la récolte et la vente de cannabis en toute légalité aux États-Unis.
Afin de ne pas voir son petit empire partir en fumée, les gentils entrepreneurs de la défonce devront prioriser les ressources avec soin pour assurer une production et une distribution solides et constantes de ces douceurs subtilement épicées. Cultiver les meilleures plantes, réaliser des hybridations ingénieuses pour créer de nouvelles variétés, recruter et gérer un personnel grandissant, faire face à la concurrence : comme dans la vraie vie, le business du hachisch représente un immense défi autant qu’une formidable opportunité. Entre capitalisme rampant et mœurs étriquées, la police et la sphère politique auront chacun leur mot à dire à mesure que votre empire du splif grandira, donc prenez garde ; l’herbe ne doit surtout pas être plus verte ailleurs.
Présenté de manière perspicace et détaillé, ce sujet brûlant trouve un écho original dans Weedcraft Inc. À mesure que son empire grandit, le passionné de lampes à sodium devra travailler avec (ou contre) différents personnages au caractère unique, qu’il choisisse de frayer avec les gros poissons du monde politique, de soudoyer les forces de l’ordre ou de lutter pour le droit au cannabis thérapeutique, voire même de tenter de faire évoluer les lois. Rien n’est impossible au nom de la botanique, et surtout des incommensurables profits qui s’annoncent !