« Désorganisée » à l’image de l’EP Tachycardie dont il est le premier titre à paraître, fait écho au corps, aux ressentis et aux bouleversements, dans une suave atmosphère « sweet 70’s »
Quel meilleur réceptacle avons nous que notre corps qui résonne au fil de nos émotions. Du cœur qui s’emballe au ventre qui se noue, de la tension dans les membres aux regards qui s’humidifient. « Désorganisée » conte ce qu’il y a de plus primitif en nous et ce depuis que le monde est monde. Un corps qui se renouvelle à chaque nouveau cycle, des sensations exacerbées, un rappel mensuel à son soi animal…
Le titre de l’exposition, choisi par Johanna Odersky, fait directement référence à son contexte particulier. » Voyeuse » ne peut être vue que depuis la route, à toute heure du jour et de la nuit. Elle s’expose au regard de spectateurs qui ne l’ont pas forcément sollicité, à la manière d’un voyeur qui épie des moments intimes qui ne lui sont pas forcément offerts. La sphère domestique, qu’Odersky associe à celle de la vitrine, est traditionnellement considérée comme le lieu privilégié de ces moments d’intimité. Elle se caractérise par son ambiguïté, à la fois lieu d’oppression et de contrainte, mais aussi d’émancipation pour les « voyeusEs ». Sans titre (2016)
Galerie 1900-2000
8 rue Bonaparte, 75006 Paris (front window)
Open 24/7
Les jeunes prodiges australiens de la chillwave dévoilent un premier single : « Why Won’t You Wait » qui parle de la peur d’être oublié dans une relation à distance. Alors que Jo Loewenthal hypnotise avec sa voix, des notes vaporeuses emplissent l’arrangement ; la guitare, les synthétiseurs et les percussions ajoutent de la définition et du tranchant au morceau…
Le clip, riche en images, a été tournée dans les forêts frontalières de France et de Belgique en septembre 2020. Réalisée par Bob Sizoo, elle met en scène le mannequin néerlandais Gigi Ringel et les membres du groupe dans une installation artistique conceptualisée par Rein Kooyman.
A Force Majeure – Sept 3, 2021
NINETY DAYS RECORDS
CONJURING: SOUS L’EMPRISE DU DIABLE retrace une affaire terrifiante de meurtre et de présence maléfique mystérieuse qui a même ébranlé les enquêteurs paranormaux Ed et Lorraine Warren, pourtant très aguerris. Dans cette affaire issue de leurs dossiers secrets – l’une des plus spectaculaires, Ed et Lorrain commencent par se battre pour protéger l’âme d’un petit garçon, puis basculent dans un monde radicalement inconnu. Ce sera la première fois dans l’histoire des États-Unis qu’un homme soupçonné de meurtre plaide la possession démoniaque comme ligne de défense.
Vera Farmiga et Patrick Wilson incarnent de nouveau Ed et Lorraine Warren sous la direction de Michael Chaves (LA MALEDICTION DE LA LLORONA). Le film réunit également Ruairi O’Connor (LA PRINCESSE ESPAGNOLE pour Starz), Sarah Catherine Hook (MONSTERLAND pour Hulu ) et Julian Hilliard (la série PENNY DREADFUL : LA CITÉ DES ANGES et LA MAISON HANTÉE DE LA COLLINE).
L’UNESCO a créé la Journée internationale du jazz pour partager les valeurs d’un genre musical profondément significatif », a expliqué Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO : « Aujourd’hui, nous avons plus que jamais besoin du jazz. Nous avons besoin de ses valeurs, fondées sur la dignité humaine et la lutte contre le racisme et toutes les formes d’oppression. C’est bien plus que de la musique : le jazz est une sorte de bâtisseur de ponts dont nous avons besoin dans le monde actuel. »
« Notre communauté de la Journée internationale du jazz a fait preuve d’une résilience, d’une créativité, d’une ingéniosité et d’une compassion incroyables tout au long des immenses défis de l’année écoulée », a déclaré Herbie Hancock, Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO. « Alors que la pandémie continue de rendre la vie difficile à tant de personnes dans le monde, l’exemple des organisateurs, du Népal au Mexique en passant par le Cameroun, nous inspire pour saluer cette étape historique du dixième anniversaire avec joie, courage et espoir pour l’avenir du jazz. »
Animé par l’acteur Michael Douglas, le concert mondial All-Star de 2021 sera diffusé en direct depuis l’UNESCO à Paris et les Nations unies à New York, À partir de 21h00 temps universel, débutera le concert mondial All-Star, moment fort de la Journée internationale du jazz de cette année, avec depuis New York, les chorus de Melissa Aldana (Chili), Massimo Biolcati (Italie), A Bu (Chine), Cyrus Chestnut (États-Unis), Amina Figarova (Azerbaïdjan), Roberta Gambarini (Italie), Kenny Garrett (États-Unis), James Genus (États-Unis), Stefon Harris (États-Unis), Ingrid Jensen (Canada), Joe Lovano (États-Unis), Rudresh Mahanthappa (États-Unis), Antonio Sánchez (Mexique) et Veronica Swift (États-Unis). Depuis Los Angeles, Herbie Hancock donnera le la avec Alex Acuña (Pérou), Justo Almario (Colombie), Dee Dee Bridgewater (États-Unis), Jonathan Butler (Afrique du Sud), Mahmoud Chouki (Maroc), Gerald Clayton (États-Unis), Andra Day (États-Unis), Romero Lubambo (Brésil), Marcus Miller (États-Unis), Dianne Reeves (États-Unis), Ben Williams (États-Unis), Francisco Torres (Mexique) et Justin Tyson (États-Unis). D’autres musiciens joueront depuis leur pays. Ce sera le cas d’Igor Butman en Russie ( depuis Moscou), Ivan Lins au Brésil (Rio De Janeiro), John McLaughlin à Monaco, James Morrison en Australie (Mount Gambier), Junko Onishi au Japon (Tokyo), ou encore Jacob Collier depuis le Royaume Uni (Londres). Programme complet : https://jazzday.com/events
Jaymie Silk, le producteur et DJ au carrefour des modernités et des esthétiques, présente son nouvel album « Young, Broke & Fabulous » . Un disque, aussi détonnant qu’engagé, qui réussit à piocher dans la multitude d’inspirations du franco-africano-italo-canadien. C’est au Canada en 2016, que Jaymie Silk passe du hip hop à la musique électronique. C’est ce changement de frontière permanent entre la musique pop et la recherche de nouvelles sonorités qui lui a valu de se faire remarquer entre autres très rapidement, par Salva, le pionnier de la trap électronique ayant collaboré avec Rihanna, Shakira ou encore le français Brodinski.
« Q partage son nouveau single ‘If You Care’. S’ouvrant sur des hi-hats croustillants rejoints par une basse grondante, c’est la voix de Q, sans effort et toujours aussi douce, chargée de falsetto, qui brille le plus ici. La voix envoûtante, semblable à un mantra, sur une instrumentation balayée, crée une expérience véritablement immersive et mélancolique. » Colors Show
« Ce morceau on l’a voulu comme une fête, la plus belle et la plus dingue, celle où on réunit tous ceux qu’on aime, famille, potos, amants, tous ceux qu’on n’a plus le temps de voir, à qui on n’a pas pu tout dire et tous ceux qui nous mettent en joie. La plus belle donc, parce qu’on sait que ce sera la dernière. Parce qu’une maladie s’est déclarée, qui nous ramène à la base, à l’essentiel. Alors ce soir on va tous se retrouver et on va exister vraiment très fort, fort comme l’alcool qui circule et qu’on se passe autour de la table, fort comme le son qui fait danser nos corps gracieux ou maladroits. Fort comme l’amour qu’on s’avoue et qu’on va faire en plein air. Nique ta mort ! Ça fait du bien de chasser les nuages sans être dupe du temps pourri qu’il fera demain peut-être. D’en profiter parce que vivre, « y a rien de criminel à trouver ça mortel ». Et merci pour l’amour hein »
Le rappeur légendaire et producteur, fondateur des Ultramagnetic MC’s, dévoile Extravagance, deuxième extrait de Keith’s Salon. Ce nouvel album est un projet issu d’une collaboration avec le duo de producteurs américain de l’avant-techno Triple Parked.
Écrit avec l’urgence libidinale qui caractérise le légendaire lyrisme de Kool Keith (Dr Octagon), « Keith’s Salon » (04.06.21 Logistic Records) explore nos obsessions actuelles pour le luxe, la beauté et la notoriété. Mais plutôt que de fétichiser les belles idiotes qui défilent sur les tapis rouges dans des robes noires Prada, le dernier album studio de Kool Keith déplace notre attention sur le travail et les travailleurs qui sous-tendent nos fantasmes d’excès et de bonne vie américaine. En tant que tel, l’album est aussi une méditation opportune, pendant la quarantaine, sur la précarité économique dans laquelle beaucoup d’entre nous se trouvent maintenant. Grâce à la collaboration de Triple Parked, l’équipe de production de Bruno Pronsato et Benjamin Jay, le « Keith’s Salon » oscille entre sonorités halcyoniques et dystopie atonale de chef de guerre, tout en gardant des rythmes minimaux pour que Kool Keith puisse étaler plus de ketchup sur son hamburger. Un album à la fois actuel et futuriste, luxuriant et bizarre, « Keith’s Salon » traite de l’art de rendre les gens beaux. C’est l’heure de travailler !
Jusqu’au 9 mai 2021, la Galerie GADCOLLECTION présente à travers une sélection de 19 photographies, « Solo Show », une évasion au sein du monde de la mode des années 70 et 80. Avec son esthétique bien particulière, couleurs franches, ses ciels bleus, Jean-Daniel LORIEUX a su imposer sa marque de fabrique dans la photographie de mode. Pendant plus de deux décennies, il travaille pour les plus grands magazines de mode : Vogue, Harper’s Bazaar, L’Officiel… Christian Dior, Céline, Lanvin, Pierre Cardin, Paco Rabanne lui confient la réalisation de leurs campagnes publicitaires. Dépassant la photographie de mode ‘classique’ de nombreuses personnalités font appel à lui pour des portraits. Salvador Dali, Nelson Mandela, Serge Gainsbourg, Salma Hayek, Johnny Halliday ou encore Jacques Chirac. Mondialement connues, les photographies de Jean-Daniel LORIEUX sont montrées et exposées, pour la première fois à la Galerie GADCOLLECTION.
4 Rue du Pont Louis Philippe
75 004 PARIS
+33 (0) 1 43 70 72 59
info@gadcollection.com
www.gadcollection.com
Heures d’ouverture
Mardi au vendredi, de 14h à 19h
Samedi et dimanche de 14h30 à 19h
#dearfuture2121
2121 Future Photography Project est une invitation au partage de photos mémorables, d’un message qui pourra résonner encore au siècle prochain…
L’inspiration pour ces clichés peut provenir de tous les aspects de la vie : les proches, un espace privé, l’environnement naturel… C’est un appel à capturer des souvenirs mémorables, et espérer un avenir meilleur. Les images et les messages seront postés sur Instagram, avec les hashtags #dearfuture2121 et #shotonOPPO.
Pour encourager les participants, OPPO a créé un ensemble de récompenses qui comprend la possibilité de gagner pas moins de 80 voyages et ce, grâce à des prix individuels de 400 dollars. De plus, les 200 participants dont les photos auront été sélectionnées pour figurer sur le site officiel et le compte Instagram d’OPPO gagneront un an de cours exclusifs sur Masterclass, où ils auront accès aux conseils les plus précieux des meilleurs professionnels. Enfin, 50 gagnants sélectionnés par une équipe de photographes professionnels recevront une visibilité exclusive, le temps d’une exposition sur le site officiel et les réseaux sociaux d’OPPO à la fin de la campagne.
La nouvelle SeaQ en version bicolore fait revivre l’esprit de la première montre de plongée de Glashütte Original, la Spezimatic type RP TS 200 de 1969. La montre de sport déclinée en acier et or jaune reprend avec quelques adaptations le look original. Une longue tradition de qualité d’excellence et un design moderne affirmé lui confèrent un attrait particulier. Elle sera disponible dans le monde entier à partir de la fin avril 2021.
L’homme idéal, de Bertrand Burgalat. Un texte de Laurent Chalumeau, une chanson d’été qui n’oublie pas les grandes questions du moment. Deux versions sur toutes les plateformes, celle de l’album et le “Radio Edit” de Yuksek.
“C’est le genre de chanson qu’on écoute au volant, destination l’absolu”.
Le nouvel album de Bertrand Burgalat, RÊVE CAPITAL, paraîtra vendredi 11 juin 2021.
Formats : Double vinyle + téléchargement, CD, numérique.
Wayne Snow revient avec un nouveau single annonciateur d’un album entièrement produit par Crayon.
Seventy est une chanson qui mêle habilement soultronica, néo-soul et pop alternative dans un slow chaleureux et sensuel. Les visuels ont été réalisés par une équipe créative très soudée, qui a déjà travaillé avec des artistes comme The Roots, Flying Lotus, Erykah Badu, Mumford & Sons, Burna Boy et Petite Noir.
The Buttshakers nous délivrent une soul chaude et crue qui lorgne sur le blues et les rythmes addictifs qu’ils affectionnent tant. Un rythm n’blues avec une touche de garage, et une forte dose de sex-appeal font de leurs chansons des hits puissants, transformant leurs shows en furieux dancefloors.
« Back In America » est une introspection sur le fait de grandir dans un pays où on te dit toujours que nous sommes les meilleurs, que la vie est parfaite ici, qu’on a tout compris mieux que les autres. De découvrir plus tard, après avoir voyagé et découvert le reste du monde que c’est une illusion et qu’il y a encore beaucoup de sujets sur lesquels ce pays est loin d’être le meilleur. La société américaine est pleine d’incohérence entre puritanisme, corruption, violence, pauvreté… C’est aussi se sentir étrangère de son propre pays, de sa propre culture. « Back in America » est une longue marche qui examine les failles et les non-dits qui démangent la société occidentale de manière général : le racisme, la pauvreté, la religion et la violence fait au nom du capitalisme et de dieu. »
The Buttshakers
Back In America
Disponible en digital chez Underdog Records