Septembre est là, et avec lui l’anniversaire de Use Your Illusion. On se rappelle que 1991 n’était pas une année : c’était un volume. Les clips de Guns N’ Roses passaient en boucle, les ballades imparables prenaient toute la pièce, et on écrivait au bic des bribes de phrases qu’on se promettait de comprendre plus tard. Cette capsule n’est pas une simple discographie : c’est le trajet émotionnel qui va de “Don’t Cry” à la pluie d’“November Rain”, en passant par les routes d’“Estranged” et le regard de “Yesterdays”.
Sur la photo et chez Vintage XX, la mémoire est rangée par désordre :
CD albums : Appetite for Destruction ; GN’R Lies ; Use Your Illusion I & II ; The Spaghetti Incident? ; Live Era ’87–’93 ; éditions spéciales/Maxi (cf. photo).
Livres : Duff McKagan – It’s So Easy (et autres mensonges) ; Steven Adler & Lawrence Spagnola – My Appetite for Destruction.
Partitions : Songbook Use Your Illusion I (grand format, full color folio).
Chaque boîtier claque comme une porte d’ascenseur, chaque livret garde l’encre d’une époque où on lisait les crédits comme des cartes au trésor.
Ce que racontent les chansons (et pourquoi ça mord encore)
“November Rain” : une cathédrale de guitare, la certitude que la démesure peut être sincère.
“Yesterdays” : une marche vers l’avant, tête haute.
“So Fine” (chantée par Duff) : le moment où le groupe prend un visage d’ami — « Si tu as besoin d’une épaule… » (et tout est dit).
“Civil War”, “Don’t Cry”, “Knockin’ on Heaven’s Door” : trois façons d’apprendre qu’un tube peut aussi être un avis.
On a vieilli, certes, mais les morceaux tiennent parce qu’ils parlent d’endurance, pas d’innocence.
Lieux, gestes, looks — mémoire incarnée
La fin de journée colle encore à la peau. La télé cathodique bourdonne, MTV promet que le clip durera autant que le film.
On serre un bandana sur des cheveux trop longs, on enfile un perfecto qui pèse vraiment, on noue une chemise à carreaux à la taille par réflexe. Les Aviator rayées racontent la veille.
Le monde sent le vinyle neuf, le cuir et le marqueur noir qu’on utilise pour écrire G N’ R sur le bord d’un cahier.
Pourquoi une Capsule Illusion (et pas “juste une Guns collection”)
Parce que rassembler disques + livres + partitions met la musique entre les mains. On lit Duff, on écoute Axl, on travaille le solo de “Don’t Cry” sur le songbook : la mémoire devient pratique.
La Capsule ne promet pas la jeunesse ; elle promet l’usage : rallumer, rejouer, relire.
Contenu & état (transparence)
CD : série complète visible sur la photo (Appetite, Lies, Use Your Illusion I&II, Live Era, Spaghetti, etc. + éditions liées).
Livres : Duff (édition FR), Adler (EN).
Songbook guitare : Use Your Illusion I (grand format).
État : bon ensemble d’occasion (boîtiers patinés, livrets propres ; songbook feuilleté).
Envoi : carton renforcé + calage, expédition suivie 24–48 h.
Capsule Mémoire — 1991 → 1992
1991 — Use Your Illusion I & II sortent en septembre. Le monde vit à la vitesse des jewel cases. Les posters se déchirent aux punaises. 1992 — Les clips géants tournent, la pluie tombe en plein jour. Les guitares se portent longues, les bandanas aussi. Objets : Discman anti-choc, Walkman abandonné, piles de boîtiers empilés. Style : bandana + perfecto + jeans déchirés + boots/baskets blanches. Vintage XX — Marchand de souvenirs : on ne liquide pas, on réveille.
Les Guns N’ Roses ne font vraiment rien comme les autres et c’est très bien ainsi ! Il aura fallut attendre l’année 2018 et la sortie du coffret Appetite For Destruction : Locked N’ Loaded Edition pour (re)découvrir ce titre de 1986, jamais sorti officiellement mais que l’on trouvait sur les bootlegs avec un son bien dégueu à l’époque. Shadow Of Your Love enfin dépoussiéré est désormais doté d’un nouveau mixage et est régulièrement interprété sur scène pour notre plus grand plaisir. A titre perso, j’aimais bien » Just Another Sunday » (only the fans know).
Pour rappel, Le coffret « premium » comprend l’édition Super Deluxe 4CD + Blu-Ray audio, 7 maxi single, 7 45 tours en vinyle jaune, 12 lithographie illustrant chaque chanson de l album, 5 bagues des crânes des membres du groupe en métal faite à la main, 5 pin’s des crânes des membres du groupe, 5 médiators, une feutrine pour platine vinyle, des posters…
Guns N’ Roses – “Shadow Of Your Love” – The unreleased 1986 studio recording from Appetite For Destruction: Locked N’ Loaded. http://gunsnroses.com
Considérant que nous sommes en quelque sorte coincés dans une bulle temporelle si je me réfère à la mode, la musique, les jeux vidéos, le cinéma etc. et compte tenu du succès des Guns en 2018 (ils ont généré des tonnes de cash avec leur tournée planétaire, un fait qui en général parle à nos contemporains), il ne me semble pas complètement absurde de revenir sur les accointances du groupe avec l’art. Tout d’abord en 1987, avec la pochette originale d’Appetite for Destruction qui est une œuvre de Robert Williams peinte en 1977, tellement controversée qu’elle fut cachée dans le booklet de l’album.
En 1988, la pochette de Lies s’avère être un hommage à l’album Some Time in New York City de John Lennon
1991, c’est Mark Kostabi qui est chargé des pochettes du double album Use Your Illusion
1993, The Spaghetti Incident? la magnifique photo des pates est l’oeuvre de Dennis Keeley, à noter au bas de la pochette, un code écrit à la manière du tueur du Zodiac et qui signifie fuck’em all
Dernier album en date estampillé GNR, Chinese Democracy (2008), la photo figurant sur la pochette officielle a été shootée par Terry Hardin dans la Citadelle de Kowloon tandis que la couverture alternative est à mettre au crédit de Shi Lifeng – Controlling No. 3
Au delà des pochettes d’album qui démontrent donc une certaine appétence pour l’art contemporain, les Guns sont au coeur d’une trilogie clipesque réalisée par Andy Morahan, débutée en 1991 Don’t Cry, poursuivit 1992 November Rain, achevée en 1993 Estranged. Et qui reste à ce jour une énigme pour un certain nombre de fans (Il était question initialement d’interconnexions entre les différentes vidéos mais les querelles au sein du groupe et du couple mythique formé par Axl et Stéphanie ont changé la donne). En tout état de cause ces clips conservent encore aujourd’hui une aura mystique, onirique, surréaliste. Comme le dit Man Ray et qui pourrait s’appliquer à chacune de ces vidéos : Pour moi, il n’y a pas de différence entre le rêve et la réalité. Je ne sais jamais si ce que je fais est le produit du rêve ou de l’éveil ..
Don’t Cry
If we could see tomorrow, what of your plans? No one can live in sorrow, ask all your friends Times that you took in stride, they’re back in demand I was the one who was washing blood off your hands Don’t you cry tonight I still love you, baby Don’t you cry tonight Don’t you cry tonight There’s a heaven above you baby And don’t you cry tonight I know the things you wanted, they’re not what you have With all the people talking, it’s driving you mad If I was standing by you, how would you feel Knowing your love’s decided, and all love is real? Don’t you cry tonight I still love you, baby Don’t you cry tonight Don’t you cry tonight There’s a heaven above you baby And don’t you cry tonight I thought I could live in your world As years all went by, with all the voices I’ve heard Something has died And when you’re in need of someone, my heart won’t deny you So many seem so lonely with no one left to cry to, baby Don’t you cry tonight I still love you, baby Don’t you cry tonight Don’t you cry tonight There’s a heaven above you baby And don’t you cry tonight Don’t you cry tonight I still love you, baby Don’t you cry tonight Don’t you cry tonight There’s a heaven above you baby And don’t you cry tonight
When I look into your eyes I can see a love restrained But darlin’ when I hold you Don’t you know I feel the same Nothin’ lasts forever And we both know hearts can change And it’s hard to hold a candle In the cold November rain We’ve been through this such a long long time Just tryin’ to kill the pain, oo yeah But love is always coming and love is always going And no one’s really sure who’s lettin’ go today Walking away If we could take the time To lay it on the line I could rest my head Just knowin’ that you were mine All mine So if you want to love me Then darlin’ don’t refrain Or I’ll just end up walkin’ In the cold November rain Do you need some time on your own Do you need some time all alone Everybody needs some time On their own Don’t you know you need some time all alone I know it’s hard to keep an open heart When even friends seem out to harm you But if you could heal a broken heart Wouldn’t time be out to charm you Sometimes I need some time on my Own Sometimes I need some time all alone Everybody needs some time On their own Don’t you know you need some time all alone And when your fears subside And shadows still remain, oh yeah I know that you can love me When there’s no one left to blame So never mind the darkness We still can find a way ‘Cause nothin’ lasts forever Even cold November rain Don’t ya think that you need somebody Don’t ya think that you need someone Everybody needs somebody You’re not the only one You’re not the only one Don’t ya think that you need somebody Don’t ya think that you need someone Everybody needs somebody You’re not the only one You’re not the only one Don’t ya think that you need somebody Don’t ya think that you need someone Everybody needs somebody You’re not the only one You’re not the only one Don’t ya think that you need somebody Don’t ya think that you need someone Everybody needs somebody
Estranged
When you’re talkin’ to yourself And nobody’s home You can fool yourself You came in this world alone (Alone) So nobody ever told you baby How it was gonna be So what’ll happen to you baby Guess we’ll have to wait and see One, two Old at heart but I’m only twenty eight And I’m much too young To let love break my heart Young at heart but it’s getting much too late To find ourselves so far apart I don’t know how you’re s’posed to find me lately An what more could you ask from me How could you say that I never needed you When you took everything Said you took everything from me Young at heart an it gets so hard to wait When no one I know can seem to help me now Old at heart but I musn’t hesitate If I’m to find my own way out Still talkin’ to myself And nobody’s home (Alone) So nobody ever told us baby How it was gonna be So what’ll happen to us baby Guess we’ll have to wait and see When I find out all the reasons Maybe I’ll find another way Find another day With all the changing seasons of my life Maybe I’ll get it right next time An now that you’ve been broken down Got your head out of the clouds You’re back down on the ground And you don’t talk so loud An you don’t walk so proud Any more, and what for Well I jumped into the river Too many times to make it home I’m out here on my own, an drifting all alone If it doesn’t show give it time To read between the lines ‘Cause I see the storm getting closer And the waves they get so high Seems everything we’ve ever known’s here Why must it drift away and die I’ll never find anyone to replace you Guess I’ll have to make it through, this time – oh this time Without you I knew the storm was getting closer And all my friends said I was high But everything we’ve ever known’s here I never wanted it to die
Music video by Guns N’ Roses (C) Guns N’ Roses under exclusive license to Geffen Record
Tu connais le célèbre adage de Tom Jones ? Au début de ta carrière les fans déchainées jettent leurs petites culottes ou leurs strings sur scène, à la fin, les mêmes t’envoient leurs gaines … Depuis 2016 et l’annonce de la « re formation » du groupe, les Guns font le plein de culottes XXL. Déjà 230 millions de dollars engrangés par Axl et sa moitié de gang originel (Duff et Slash) et des dates sold out aux quatre coins du monde. En Juillet 2017 ils seront au Stade de France. Nous aussi.
Les Guns ? C’est grosso modo l’histoire d’un groupe de cowboys white trash, étiquetés dans un genre, dans une époque : Le « hard rock », qui incarnent à la perfection le fantasme des chroniqueurs et autres journalistes musicaux. A la réputation parfois prétendument sulfureuse, parfois vraiment hardcore. Au succès façonné par MTV. Punks par intermittence, qui reprennent – sans faux col – Mc Cartney, Dylan, les Who ou encore les Misfits, vouent un culte à Johnny Thunders, pompent allègrement depuis le début de leur carrière, les usages des Toxic Twins D’Aerosmith.
Un combo électrique nerveux et gras en formation à cinq, genre, vrais voyous, fils de fer prêt à tataner à la santiag le mec qui s’endort au premier rang, capables du twist ultime, à savoir se compromettre à peine dix ans plus tard dans un barnum façon cirque Gruss ; Choristes habillées en filles de mauvais genre, claviers, section de cuivres, dans des stades surbondés, chanteur en cycliste et bandana sur la tête. Gratteux en chef doté d’un pantalon en cuir moule teub et chapeau haut de forme, qui égrène invariablement les notes à la verticale, homme- sandwich pour Marshall et Gibson, tandis que le bassiste dissimulait avec peine sous ses cheveux dégueu et peroxydés une peau digne de figurer sur doctissimo dans la rubrique furoncles cradingues. C.f Vincennes 92. Ajoutez à cela des changements de Line up dignes de mercato footballistiques et vous comprendrez aisément pourquoi les « pistolets et les roses » ont explosés à la fin des 90’s … comme le genre musical d’ailleurs.
Tout aurait pu vraiment s’arrêter à ce moment là. C’était sans compter sur le chanteur, sournois et malin comme un chacal qui fort des mots de Winston Churchill « Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement. » s’est octroyé sans vergogne le nom du groupe, laissant en carafe les musiciens qui devaient quand même un peu flipper à l’idée de finir en Paul Personne de Michael Jackson ou pire à faire des concerts au Plan à Ris Orangis en deuxième partie de soirée.
Axl Rose c’est toujours mieux que William Bailley son vrai nom, preuve vivante que le blaze c’est 50% de la carrière, a voulu poursuivre en solo, recrutant deci delà la fine fleur des shredders et des mercenaires de studios. Résultat après la plus longue attente pour un album, et s’être taillé une jolie réputation dans le métier, il a sorti, l’air de rien un L.P avec entre autres remplaçants musiciens, un mec qui porte une boîte en carton KFC sur la tête et un masque genre halloween… Pour la petite histoire on se doute bien de la destination des wings, vu que le beau gosse roukmoute Axl est passé de la taille XS au triple XL façon Carlos époque papayou. En aparté, je trouve que Chinese Democracy est un bon album, comme le reste d’ailleurs. Ne m’en voulez pas, le propre d’un fan c’est d’être en tout point partial et jamais objectif. Le rock est une affaire de sentiments. Peu importe les coups de pute, on marche ou crève avec le groupe. Alors, oui, il a fallu supporter les humeurs, les atermoiements, la traversée du désert, les side projects comme ce Velvet Revolver monté par les révoltés du Bounty : Slash, Duff, Matt, un peu Izzy et Gilby, avec pour lead singer le regretté Scott Weiland, camé notoire tandis que les autres avaient tous décroché. Des paradoxes temporels et des embrouilles de télé-réalité. La réconciliation réchauffée façon Page – Plant ou Jagger – Richards pour cette tournée.
Des bios à n’en plus finir nous expliquent leurs vérités. Au fond, on s’en fout, il suffit de prendre Appetite for Destruction, de le fourrer à sa place, c’est à dire dans une platine laser, vinyle, cassette, mp3 et de pousser le potard jusqu’à 11. Se délecter de chaque note, de chaque octave, se complaire dans la nostalgie la plus crasse et oublier leur âge, leur apparence ou leur ego tant qu’ils jouent. La mémoire d’un fan de rock est sélective, noyée dans la bière chaude et la transpi du perfecto. Toujours en quête d’une vibration, d’un riff ou d’un pogo. Le rock n’ roll is dead disait l’autre ? Fais gaffe, tu vas prendre un coup de Weston, foi de bobo défroqué !
A l’attention de : Rock And Roll Hall of Fame, les fans de Guns N’ Roses et toute personne que cela pourrait concerner.
Quand les nominations pour le Rock And Roll Hall of Fame ont été annoncées pour la première fois, j’avais des sentiments mitigés, mais, dans un effort d’être positif, désirant en tirer le meilleur pour les fans et avec leur enthousiasme, j’étais honoré, excité et j’espérais que ce serait une bonne chose. Bien sûr, je comprenais bien que toutes choses égales par ailleurs, si Guns N’ Roses devait être intronisé, cela aurait été une situation un peu compliquée ou du moins un peu bizarre.
Depuis lors, nous avons écouté nos fans, parlé aux membres du directoire du Hall of Fame, communiqué avec et lu différents commentaires dans la presse ou des attaques d’anciens membres de Guns N’ Roses, avons discuté avec le président du Hall of Fame, lu différents articles (certains légitimes, d’autres artificiels) et lu des commentaires provenant d’autres artistes voulant peser sur les Guns et le Hall avec leurs pensées.
Etant données les circonstances, il me semble que nous avons été polis, courtois, et ouvert à une solution à l’amiable avec nos efforts pour trouver un arrangement. En prenant en compte l’histoire de Guns N’ Roses, ceux qui prévoient d’y assister mais également ceux que le Hall a choisi de leur propre chef d’inclure dans « notre » intronisation (à noter que ce sont des décisions avec lesquelles je suis en désaccord, ne soutient pas ni ai l’impression que le Hall a le droit de prendre), et la façon par laquelle (même si ce n’est pas facile) ceux impliqués dans le Hall ont géré les choses… sans vouloir blesser personne, la Cérémonie d’Intronisation du Hall of Fame me paraît être un endroit où je ne suis ni désiré ni respecté.
A noter que je ne retirerai à quiconque dans Guns leur travail our la reconnaissance qui leur est dûe. Moi-même ni personne de mon entourage n’a fait aucune demande ou requête au Hall of Fame. C’est leur spectacle, pas le mien.
Cela étant dit, je ne serai pas présent à la Cérémonie d’Intronisationdu Rock And Roll Hall of Fame 2012 et je décline respectueusement mon intronisation en tant que membre de Guns N’ Roses au Rock And Roll Hall of Fame.
Je demande fermement à ne pas être intronisé en mon absence, et veuillez savoir que personne n’est autorisé ou ne pourra être autorisé à accepter aucune intronisation de ma part ou à parler à ma place. Aucun ancien membre du groupe, représentant de label ni le Rock And Roll Hall of Fame ne devront sous-entendre de façon directe, indirecte ou par omission que je suis inclus dans l’intronisation de « Guns N’ Roses. »
Cette décision est personnelle. Cette lettre est destinée à aider à clarifier les choses de ma perspective et de celle de mon entourage. Elle n’est pas faite pour offenser, attaquer ou condamner qui que ce soit. Même si malheureusement, je suis sûr que certains la prendront mal (Dieu seul sait combien de temps je vais avoir à en gérer les retombées), je ne veux en aucun cas décevoir quiconque, surtout les fans, avec cette décision. Depuis l’annonce de la nomination, nous avons activement recherché une solution à ce qui, toutes choses considérées, apparait comme une impasse, du moins pour moi : un scénario du genre « blâmé si je le fais, blâmé si je ne le fais pas ». En ce qui concerne une quelconque reformation des line-ups d’Appetite ou des Illusions, j’ai dit publiquement et très clairement ce que j’en pensais. Rien n’a changé.
La seule raison à l’heure actuelle, étant données les circonstances, et à mon avis sous le prétexte du « pour les fans » ou autre justification du moment, pour que quiconque continue à demander ou suggérer une reformation ne sont que des tentatives mal pensées afin de détourner les gens de nos efforts avec notre line-up actuel comprenant moi-même, Dizzy Reed, Tommy Stinson, Frank Ferrer, Richard Fortus, Chris Pitman, Ron « Bumblefoot » Thal et DJ Ashba.
Izzy est venue jouer avec nous quelques fois en 2006 et je l’ai invité à nous rejoindre lors de notre concert au L.A Forum l’année dernière. Steven était présent à notre concert au Hard Rock, puis plus tard en 2006 à Las Vegas, lorsque je l’ai invité à notre after-party et j’ai été récompensé par des interviews qui ont suivi, remplies de mensonges concernant une reformation. J’ai appris la leçon. Duff nous a rejoint en 2010 puis en 2011 avec son groupe, Loaded, pour faire notre première partie à Seattle et Vancouver. Selon moi, à l’exception d’Izzy ou Duff qui pourraient nous rejoindre sur scène, s’ils en ont envie bien sûr, pour jouer une chanson ou deux, ça se résume à cela.
Il y a d’une manière générale beaucoup de révisionisme et de fantasmes qui servent des personnes pour leur propre promotion et des opportunités de contrats, qui cachent les réalités. Tant que toutes les personnes qui sont originaires des précédents line-ups n’auront pas été dévoilées au grand jour, il n’y aura aucune conversation et encore moins de reformation.
Peut-être que si c’était vous, vous feriez différemment. Vous le feriez peut-être, pour telle ou telle raison. Peace, comme vous voulez. J’adore notre groupe actuel. On est tous là pour se soutenir quand il le faut. Nous adorons nos fans et nous travaillons pour leur donner toute notre énergie et notre coeur.
Donc ne réveillons pas le chat qui dort, ou ne laissons pas le chat endormi se réveiller de son mensonge (NDT : traduction difficile d’une expression anglaise jouant sur les mots avec « lie » qui peut vouloir dire « s’allonger », « dormir », mais aussi « mentir »). Il est temps d’aller de l’avant. Les gens divorcent parfois. La vie ne vous doit pas votre petit happy ending surtout quand c’est aux dépens de quelqu’un d’autre, ou dans ce cas de quelques autres.
Mais bon, si vous devez le faire, alors passons tout de suite aux : « oh il s’est pas pointé, il se la pète, c’est juste un coup de pub, il est vraiment irrespectueux, il s’en fout des fans », et passons à autre chose. Personne n’en sort gagnant. N’inversez pas les rôles. Pendant plus d’une décennie et demie, nous avons dû endurer les deux poids, deux mesures, l’avidité de cette industrie et l’éternelle cargaison de parvenus et de personnes des médias sans scrupule et irresponsables. Je ne veux pas sous entendre quoi que ce soit en l’occurrence, mais de mon point de vue en ce qui concerne à la fois le Hall et une reformation, la balle n’a jamais été dans notre camp.
En conclusion, en dépit de cette décision et même si cela peut sembler dur à croire ou ironique, j’aimerais sincèrement remercier le directoire pour leur nomination et pour leur votes concernant l’intronisation des Guns. Et de façon encore plus importante, j’aimerais remercier les fans pour être là au fil des années, rendant possible tous nos succès et merci aussi pour apprécier et soutenir la musique de Guns N’ Roses.
Je souhaite au Hall un super show, bravo à tous les autres artistes qui sont intronisés et à nos fans, nous sommes impatients de vous voir sur la tournée !!
Cordialement,
Axl Rose
P.S. : R.I.P Armand, et vive le ABC III
Remember : Looking for a way to celebrate the twentieth anniversary of Guns N’ Roses classic Appetite for Destruction? So are the rest of the current lineup and an assortment of former members. Onetime Gun Steven Adler plus former L.A. Gun Tracii Guns will play a show on July 28 at Hollywood’s Key Club with their own bands, Adler’s Appetite and L.A. Guns, to “pay tribute” to the 1987 release. The “new” GN’R will be performing on the actual date of Appetite’s release, July 21, in Osaka, Japan. And of course you could start lining up two weeks early for Velvet Revolver’s August 6 tour date at Verona, New York’s Turning Stone Resort Casino. And if you want to know what Gilby Clarke, Josh Freese, Paul Tobias or Buckethead are doing to commemorate this special anniversary, you’re on your own. www.rollingstone.com
Début du show 22h45 Fin 1h15. Supérieur d’après les fans à Bercy 1993… 01. Intro 02. Welcome To The Jungle 03. It’s So Easy 04. Mr. Brownstone 05. Live And Let Die 06. Robin Finck Solo 07. Sweet Child O’Mine 08. Madagascar 09. You Could Be Mine 10. Knockin’ On Heavens Door 11. Jam / Dizzy Solo (Ziggy Stardust) 12. The Blues 13. Band Introduction 14. Richard And Robin Solo (Beautiful) 15. Out Ta Get Me 16. Ron Solo (Don’t Cry) 17. Better 18. November Rain 19. IRS 20. My Michelle 21. Used To Love Her (with Izzy Stradlin) 22. Patience 23. Patience (with Izzy Stradlin) 24. Nightrain (with Izzy Stradlin) 25. Chinese Democracy 26. Robin Finck Solo 27. Paradise City.
Guns N’ Roses promet de commencer à travailler sur un nouvel album, et de ne pas y passer 15 ans comme pour ‘Chinese Democracy’. Le groupe est en phase d’écriture, et avoue avoir de nombreuses idées. « Nous avons pas mal de bonnes choses, » confie le guitariste « ça ne prendra pas autant de temps que ‘Chinese Democracy’, promis. » « Je suis vraiment enthousiaste, Axl a beaucoup d’idées en réserve. » http://zegut.blogspot.com/2010/11/guns-n-roses-nouvel-album.html
Pour les fans de GN’R qui vont au concert de Lille : rendez-vous dès 17h au bar le Black Night, puis après le show au bar La Chimère Comme vous le savez peut-être, le concert de Guns N’ Roses à Lille est complet. GN’R France organise un rassemblement de fans avant et après le concert. Venez boire un verre ! Le rassemblement avant le concert aura lieu au Black Night, 29 rue de Roubaix (centre ville de Lille), à partir de 17h : Rassemblement de fans de Guns N’ Roses à Lille : Un after show organisé par le staff du site aura également lieu à Lille, mais au bar La Chimère cette fois ! Venez nombreux, le staff de GN’R France sera présent. gnrfrance.net
13/09/2010 à 20h00 PALAIS OMNISPORTS DE PARIS BERCY 8 BD DE BERCY PARIS 12
02/10/2010 à 20h00 ZENITH ARENA 1 BLD DES CITÉS UNIES LILLE
10/09/2010 à 20h00 GALAXIE PARC DE COULANGES AMNEVILLE
En septembre, l’air devient plus dense et la radio plus honnête. Ce n’est pas une loi, c’est une sensation : les guitares tiennent mieux. On ressort une pile de disques de Pearl Jam et on laisse la pièce prendre la taille d’une salle de concert. Cette capsule n’est pas un best-of : c’est le fil nerveux qui traverse trois décennies.
1) Le tas sur la table (preuve matérielle)
On étale les pochettes comme un jeu de cartes où toutes les mains gagnent : Ten (le bras levé, promesse tenue), Vitalogy (livre-objet usé qui parle de survie), Yield (le panneau triangulaire face à la route), Binaural (bleus électriques), Riot Act, Backspacer, l’Avocado (2006), Dissident, DVD live (Touring Band / PJ20 selon l’édition), d’autres presses qui complètent le puzzle. Chaque disque a une odeur : carton, vernis, encre ; chaque livret a un bruit : un frottement, un craquement léger. Ça compte. C’est ça, ouvrir la mémoire avec les mains.
2) Le son qui fait tenir debout
Pearl Jam, c’est d’abord un timbre. Une voix qui s’agrippe au micro comme on s’agrippe à une rambarde en plein virage.
Sur Ten, les titres montent comme des marches d’incendie ; Vitalogy serre la gorge ; Yield ouvre les fenêtres ; Binaural creuse dans l’ombre bleue ; Riot Act et Backspacer refusent de devenir nostalgie. On comprend qu’un groupe peut vieillir en avançant.
3) Lieux et gestes (mémoire incarnée)
C’est l’heure où l’on traverse la ville en bus avec un casque trop grand.
Dans la chambre : poster scotché de travers, lecteur CD prêt à sauter sur les dos de guitare, chemise à carreaux ouverte sur un tee uni, jean qui a déjà connu la pluie. On note les paroles au bic sur la marge d’un cahier qui devait servir à autre chose.
Le soir, on comprend ce que veut dire “chanter avec” — pas “à la place”.
4) Pourquoi une capsule et pas juste une liste
Parce qu’on ne collectionne pas, on réactive. Assembler Ten, Vitalogy, Yield, Binaural, Riot Act, Backspacer + vidéo live, c’est permettre au corps de repasser par les mêmes intensités. Les disques ne gardent pas le temps : ils le relancent.
5) Contenu & état
Albums Pearl Jam : sélection visible sur la photo (Ten, Vitalogy, Yield, Binaural, Riot Act, Backspacer, Avocado, single Dissident, etc.).
Vidéo : DVD live (cf. photo).
État : (boîtiers patinés, lecture OK, livrets complets).
6) Capsule Mémoire — années repères
1991 — Ten. MTV, radios qui osent les guitares, flanelles rouges, baskets usées. 1994 — Vitalogy. Livret médical, chambres petites, posters trop grands. 1998 — Yield. Autoroutes, ciels ouverts, culte du concert. 2000 — Binaural. Nuit bleue, casques fermés. 2002–2009 — Riot Act, Backspacer & co. Tenir bon sans poser les amplis. Style : chemise à carreaux + tee blanc/charcoal + jeans droits + Converse/Docs. Vintage XX — Marchand de souvenirs : on ne liquide pas, on réveille.
Vintage XX — Marchand de souvenirs. On ne vend pas “des CD d’occasion”. On offre une manière de relancer l’automne.
Automne électrique — ouvrir la Capsule Pearl Jam (Vintage XX) Ten, Vitalogy, Yield, Binaural… Une capsule de mémoire pour guitares droites, à écouter fort pendant que les jours raccourcissent.
pearl jam, grunge, ten, vitalogy, yield, 90s, 2000s, nostalgie, vintage xx
Après avoir assuré de nombreuses premières parties pour Guns n’ Roses en 2021, Mammoth Wolfgang Van Halen (fils de, du même nom) sera en concert, en France, les 25 & 26 Juin prochains, à l’Elysée Montmartre puis au Hellfest, pour défendre son premier album, Mammoth WVH, sorti en juin 2021. Réservations : https://www.gdp.fr/
En écrivant toutes les chansons et en interprétant tous les instruments et les voix de son premier album, Wolfgang Van Halen a cherché à établir sa propre identité musicale. Du riff de guitare rock de la première chanson de l’album « Mr. Ed » à la basse et à la batterie de la dernière chanson de l’album « Stone », Mammoth WVH met en évidence les diverses influences musicales qui ont inspiré Wolfgang. Des chansons comme « Resolve », « The Big Picture » et « Think It Over » sont toutes différentes les unes des autres sur le plan sonore, mais elles sont uniques à Mammoth WVH.
TRACK-LISTING
01. Mr. Ed
02. Horribly Right
03. Epiphany
04. Don’t Back Down
05. Resolve
06. You’ll Be The One
07. Mammoth
08. Circles
09. The Big Picture
10. Think It Over
11. You’re To Blame
12. Feel
13. Stone
14. Distance (Bonus Track)
La marque met à disposition gratuitement quelques uns de ses films emblématiques de surf, ski, snowboard & skateboard avec Jérémy Florès, Travis Rice, Sammy Carlson, Bryan Fox mais aussi Candide Thovex, Tony Hawk, Kelly Slater…
Pour divertir les fans de glisse à la maison, Quiksilver sort, à partir d’aujourd’hui sur Instagram IGTV et Youtube, quelques uns des plus mythiques films de surf, snowboard, ski et skateboard. Des compétitions de surf aux incroyables sessions en montagne, ces courts et longs métrages sont l’occasion de voir ou revoir certaines des productions les plus emblématiques de la marque, avec quelques uns des meilleurs riders du monde.
Côté surf, on retrouvera notamment Mad Wax, la série Young Guns et Moments ; les fans de ski & de snow pourront se replonger dans les légendaires films de Candide Thovex, les films des athlètes Travis Rice, Sammy Carlson, Austen Sweetin et ou encore le récent “Life in General” de Bryan Fox. Ces films seront diffuses tous les deux jours sur Instagram/Quiksilver & Youtube/Quiksilver pendant la période de confinement.
Au programme:
La montagne…
YOUNG GUNS SKI 2020 || CHAMONIX, FRANCE
AUSTEN SWEETIN || ROOSTER TAIL
BRYAN FOX || LIFE IN GENERAL
SAMMY CARLSON || OVER TIME
YOUNG GUNS SKI 2019 || REVELSTOKE, CANADA
YOUNG GUNS SNOW 2019 || REVELSTOKE, CANADA
QUIKSILVER SNOW TEAM 2019 || WEEK OF PRIVILEGE
TRAVIS RICE || TRUFFLE PIGS, AN ALASKAN ODYSSEY
SAMMY CARLSON || REJOICE
AUSTEN SWEETIN || HIGH OCTANE
BRYAN FOX || YESTERDAY
YOUNG GUNS SKI 2018 || WHISTLER, CANADA
YOUNG GUNS SNOW 2018 || WHISTLER, CANADA
TAKE IT EASY || A FULL LENGTH SNOWBOARD MOVIE
THOMAS KRIEF || FURY PARK
CANDIDE KAMERA || EPISODE 2
CANDIDE THOVEX || FEW WORDS
CANDIDE THOVEX || ONE OF THOSE DAYS
CANDIDE THOVEX || THE INVITATIONAL STORY
La vague…
JEREMY FLORES || WINTER SESSIONS
YOUNG GUNS SURF 2020 || ERICEIRA, PORTUGAL
JESSE MENDES || INTRA MENTIS
CHEMTRAILS || 2018 FRANCE SESSIONS
WACO WAVE POOL || BOOSTIN’
YOUNG GUNS SURF 2018 || KELLY SLATER SURF RANCH
1 MINUTE OF SURFING || ANDY NIEBLAS
GENERATIONS || THE MOVIE
GONE TOMORROW || HAWAII
LEONARDO FIORAVANTI || HOMELAND
GONE TOMORROW || AUSTRALIA
LEO FIORAVANTI & ARITZ ARANBURU || IRELAND STRIKE MISSION
YOUNG GUNS WEBISODE #4 || CABO PARTY CRASHERS
CYPHER VISION || A SHORT FILM
CLAY MARZO MOMENTS || 2011
KELLY SLATER 2010 || EVOLUTION OF A 10 TIME CHAMPION
YOUNG GUNS WEBISODE #5 || MINI GUNS ON THE GOLD COAST
KELLY SLATER || URBAN JUNGLE
MOMENTS 2 || 2012 QUIKSILVER SURF TEAM
MOMENTS || 2011 QUIKSILVER SURF TEAM
QUIKSILVER PRO FRANCE 2012 || THE STORY
RADICAL TIMES || REUNION ISLAND w/ JEREMY FLORES
MOMENTS 2011 || CRAIG ANDERSON
MOMENTS 2011 || DANE REYNOLDS
KELLY SLATER || MIND BODY SURF: MIND
DANE REYNOLDS & CRAIG ANDERSON || DINNER FOR DEUX
RADICAL TIMES || GOLD COAST
QUIKSILVER PRO GOLDCOAST 2013 || HIGHLIGHTS: SEMIS & FINALS
MOMENTS 2012 || CRAIG ANDERSON
MOMENTS 2012 || KELLY SLATER
LEO FIORAVANTI || THE ARRIVAL
Mais aussi…
RADICAL TIMES || SPAIN
RADICAL TIMES || SOUTHERN CALIFORNIA
RADICAL TIMES || FRANCE
AUSTYN GILLETTE || QUIK
RILEY HAWK || BIRDHOUSE/QUIKSILVER
TONY HAWK & FRIENDS || EURO TOUR 2010 : BARCELONA
HOLY BOWLY TRIPPIN’ || DOWN UNDER 2019
OUR WORLD ANIMATED || THE MOUNTAIN AND THE WAVE
TONY HAWK SHOW || HOSSEGOR FRANCE 2008
ALL 80s ALL DAY 2011 || VERT CHALLENGE
QUIKSILVER ORIGINALS || MIKI KIM
QUIKSILVER ORIGINALS || BITCH DIESEL
La légende du Metal fait (enfin) son grand retour après 10 ans d’absence avec un supergroupe composé de Andrew Watt à la guitare (Post Malone) et à la production, Duff McKagan des Guns n’ Roses, Velvet Revolver à la basse, Chad Smith des Red Hot Chili Peppers à la batterie.
Pour rappel, Ozzy Osbourne a récemment collaboré avec Post Malone et Travis Scott sur le titre Take What You Want…
Dans ce « reboot » des Looney Tunes, le gang fait équipe pour empêcher un astéroïde de détruire la Terre… Mais, le véritable évènement, c’est cette nouvelle chanson de Axl Rose des Guns N’ Roses (et un peu d’ACDC) sobrement intitulée Rock the Rock, sa première en plus de 10 ans ! Stay Tuned pour plus d’infos !
A Perfect Circle porte toujours aussi bien son nom depuis sa création en 2000, chacun des membres (provisoire ou permanent) est peu ou prou lié à la grande histoire du rock moderne, formant ainsi un cercle parfait. Maynard James Keenan au chant, toujours aussi habité et inspiré depuis Tool, conduit ses musiciens au delà des frontières arbitraires qui assignent malheureusement un groupe à un genre musical. Eat The Elephant est un très grand album, loin de révéler tous ses secrets lors de la première écoute. Au centre du cercle, nul ne peut s’égarer…
De Billy Howerdel, guitar tech émérite pour Nine Inch Nails, The Smashing Pumpkins, Guns N’Roses (également présent sur le titre There was a time, de Chinese Democracy) ou encore Tool. Dave Sardy qui de la lettre a pour Atari Teenage Riot jusqu’à z ZZ Top est producteur, auteur, compositeur ou ingénieur du son passant allègrement du rock, punk, alternative à l’électronique et l’indus hardcore.
Matt McJunkins qui officie sur le side project de Maynard James Keenan, Puscifer. Isaac Carpenter batteur entre autre pour Tyga, Loaded (le super combo de Duff Mc Kagan) ou encore Awolnation. Jeff Friedl passé chez Filter, Matt Chamberlain, Pearl Jam, James Iha des néo reformés Smashing Pumpkins… Tous contribuent à la grande vibration cosmique que provoque la musique avec un grand M.
Les anciens se rappelleront tout de même avec beaucoup d’émotions de Judith dont la vidéo de 2000, que nous avons le plaisir d’associer à ce billet, reste encore à ce jour un modèle, fut réalisé par David Ficher :
Tracklist
1. Eat The Elephant
2. Disillusioned
3. The Contrarian
4. The Doomed
5. So Long, And Thanks For All The Fish
6. TalkTalk
7. By And Down The River
8. Delicious
9. DLB
10. Hourglass
11. Feathers
12. Get The Lead Out
‘Cause yesterday’s got nothin’ for me
Old pictures that I’ll always see
Some things could be better
If we’d all just let them be … Guns n’ Roses
Un pedigree de Patrick Modiano est sorti en 2005, un sacré bon livre d’après la critique de l’époque. Édouard Baer l’a adapté au théâtre, j’en suis ravi parce que j’adore Édouard Baer. En ce qui concerne Modiano c’est différent. Il a eu le prix Nobel de littérature, une incontestable preuve de qualité pour ceux qui considèrent que la récompense fait l’oeuvre, mais pour ma part c’est juste le mec qui, en se cherchant, a trouvé mon grand-père, Henri Lagroua. Une identité jetée dans ces quelques lignes et désormais figée dans une histoire que je ne peux ni confirmer, ni démentir : (..) Mon père utilise une carte d’identité au nom de son ami Henri Lagroua. Dans mon enfance, à la porte vitrée du concierge, le nom «Henri Lagroua» était resté depuis l’Occupation sur la liste des locataires du 15 quai de Conti, en face de «quatrième étage». J’avais demandé au concierge qui était cet «Henri Lagroua». Il m’avait répondu: ton père. Cette double identité m’avait frappé. (…) Bien plus tard j’ai su qu’il avait utilisé pendant cette période d’autres noms qui évoquaient son visage dans le souvenir de certaines personnes quelque temps encore après la guerre. Mais les noms finissent par se détacher des pauvres mortels qui les portaient et ils scintillent dans notre imagination comme des étoiles lointaines. (..).
Malheureusement mon grand-père est parti trop tôt, emportant avec lui ses souvenirs et sa vérité. Aujourd’hui quand je tape son nom sur internet, en quête d’éventuelles nouvelles informations à son sujet, c’est la seule occurence que je trouve. Il n’y a même pas de liens avec sa cousine Marie Andrée Lagroua Weill Hallé, fondatrice du Mouvement français pour le planning familial, ou avec son père, Henri Lagroua, Gouverneurs des Etablissements de l’Inde en 1926, sa belle soeur Bella Darvi, actrice ou Denise Wegier qui fut sa femme et ma grand-mère. Il n’est que le prête nom de Modiano. Vous me direz dans ce monde qui considère l’anonymat comme un échec fondamental, c’est déjà quelque chose. Alors que faire ? Forger une nouvelle histoire ? Rebattre les cartes du temps ? lui donner le premier rôle ? Ecrire ce livre dont il sera le héros ?
Tout pourrait commencer à Pondichéry en Inde Française, à l’époque où son père était gouverneur et lui un jeune enfant. A cette époque, Henri ne rêve pas. Il vit dans un rêve. Le noir et blanc que l’on associe au début du XX° siècle devient couleurs brulantes, couleurs de pierres précieuses, parfums d’épices et faste d’autrefois. Henri pose solennellement pour une photo qu’il gardera toujours dans son portefeuille, devant la Rolls-Royce qui l’emmène de réceptions en ambassades, lorsque le protocole exige sa présence. Le reste du temps, du haut de ses 8 ans, le teint halé par le soleil, habillé d’un pantalon en lin blanc, le plus souvent torse nu, il arpente les jardins, couloirs, cuisines et autres pièces mystérieuses du palais, en quête d’aventures…
Si par le plus grand de hasard, que nous offre en l’occurrence l’art de la production littéraire, nous étions amenés à présenter d’un mot notre nouveau Président de la République à quelqu’un qui serait à peine sorti du coma et qui s’interrogerait sur les choses du monde, il est probable qu’à 99% et à l’instar de l’ensemble de la caste médiatique nous utiliserions le mot « jeune ».
Emmanuel Macron a presque 40 ans. Il est paradoxalement président d’un pays qui prône la valeur au nombre des années et au parcours « universitaire ». De ce côté là pas de soucis, l’homme est bien issu du sérail. En est-il de même pour son âge, quoi qu’en atteste des artères ?
Si l’homme est bien né le 21 décembre 1977, tandis que pou ma part je suis né le 26 Janvier 1976, alors, je m’interroge : A-t-il fait ses premières armes sur la NES, sur la Sega Master System, vidéopac, vectrex, super nes, megadrive ? Etait-il plutôt Pearl Jam, Nirvana, Guns, Metallica, Noir Désir, Joy Division, Cure, Beastie Boys, NTM ? A-t-il déjà planqué un Lui dans un journal l’équipe ? Etait-il devant son écran de télévision, le jour de la projection de la créature du lac noir en 3d dans la dernière séance ? Vécu la naissance et la mort de la 5 ? Lu Mad Movies, Strange, Spidey ? Suivi le top 50 ? Eu un yoyo ? Joué au Simon et au docteur Maboul ? Lu la bibliothèque rose et verte ? A-t-il fait un caprice pour avoir un Optimus Prime, un Dark Vador de chez Hasbro ? Est-ce qu’il connait par coeur, encore aujourd’hui le générique d’Ulysse 31 ou de de l’inspecteur gadget ? Porté fièrement des t-shirts Waikiki et un K-Way, si vraiment on a le même âge, alors on devrait nécessairement avoir des points communs ? Pif Gadget, les crados, Intervilles, Coluche, Les nuls, les inconnus, la bruelmania, 4 garçons plein d’avenir, la haine ? Est-ce qu’il associe Jump de Van Halen ou Go West des Petits Shop Boys à deux clubs de foot antagonistes ? Flipper, arcade, Jordan, Pump, Chevaliers du Zodiaque, Samantha Fox, crados, chevignon, act up, fusée challenger, Rambo, T2, Public Enemy, Stephen King, ça lui dit quelque chose ? Sommes nous vraiment issus de la même culture ? Je ne me reconnais que très partiellement dans les références Macronienne, mais il m’est plus aisé de m’approprier ses références que lui les miennes, surtout en vieillissant. Sub culture, pop culture, underground, il avait des copains punks ou gothiques ? Faisait-il des soufflettes et des aquariums dans des 205 GTI ? Considère-t-il Trainspotting ou Fight Club comme des chefs d’oeuvre ? On pourrait dérouler la pelote pendant des heures … Tout ça pour contrebalancer les fameuses et sempiternelles conneries de nos médias. Jeune dans le corps évidemment mais à quelle génération appartient-il, s’il n’a jamais été présent dans l’époque, si ses références, ses codes, ses appétences, viennent du passé ? Sommes-nous vraiment du même temps ? Manu, tu me prête ta Game Boy ?
Tout homme n’aperçoit qu’une parcelle infime de la Vérité, et bien souvent, sinon perpétuellement, il se leurre à dessein sur la nature de ce précieux fragment qu’il détient. Une part de lui-même se retourne contre lui et agit comme un autre sujet. Ainsi l’homme se défait-il de l’intérieur. Un homme à l’intérieur d’un homme, ce qui ne fait point d’homme.
Jerry Fabin est drogué, il croit que son corps est recouvert de parasites. Il imagine qu’il vit en enfer. Jim Barris, petit génie de la chimie, est capable de produire un gramme de cocaïne pour moins d’un dollar. Fred travaille pour la brigade des stups, le corps dissimulé sous un « complet brouillé » jusqu’au jour où il comprend qu’il est son propre suspect. Ces trois-là et bien d’autres freaks vivent dans un monde où règne la Substance Mort, une drogue qui détruit l’identité…
Oeuvre majeure de Philip K. Dick, à l’instar d’Ubik, Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? ou le Maitre du Haut Château, Substance mort est accessoirement le roman préféré d’Axl Rose, ce qui tend à prouver que le leader des Guns n’ Roses est un homme de goût ! A lire et à voir mais surtout à comprendre, à méditer, à (re)découvrir sans hésiter.
Si par le plus grand de hasard, que nous offre en l’occurrence l’art de la production littéraire, nous étions amenés à présenter d’un mot notre nouveau Président de la République à quelqu’un qui serait à peine sorti du coma et qui s’interrogerait sur les choses du monde, il est probable qu’à 99% et à l’instar de l’ensemble de la caste médiatique nous utiliserions le mot « jeune ».
Emmanuel Macron a presque 40 ans. Il est paradoxalement président d’un pays qui prône la valeur au nombre des années et au parcours « universitaire ». De ce côté là pas de soucis, l’homme est bien issu du sérail. En est-il de même pour son âge, quoi qu’en atteste des artères ?
Si l’homme est bien né le 21 décembre 1977, tandis que pou ma part je suis né le 26 Janvier 1976, alors, je m’interroge : A-t-il fait ses premières armes sur la NES, sur la Sega Master System, vidéopac, vectrex, super nes, megadrive ? Etait-il plutôt Pearl Jam, Nirvana, Guns, Metallica, Noir Désir, Joy Division, Cure, Beastie Boys, NTM ? A-t-il déjà planqué un Lui dans un journal l’équipe ? Etait-il devant son écran de télévision, le jour de la projection de la créature du lac noir en 3d dans la dernière séance ? Vécu la naissance et la mort de la 5 ? Lu Mad Movies, Strange, Spidey ? Suivi le top 50 ? Eu un yoyo ? Joué au Simon et au docteur Maboul ? Lu la bibliothèque rose et verte ? A-t-il fait un caprice pour avoir un Optimus Prime, un Dark Vador de chez Hasbro ? Est-ce qu’il connait par coeur, encore aujourd’hui le générique d’Ulysse 31 ou de de l’inspecteur gadget ? Porté fièrement des t-shirts Waikiki et un K-Way, si vraiment on a le même âge, alors on devrait nécessairement avoir des points communs ? Pif Gadget, les crados, Intervilles, Coluche, Les nuls, les inconnus, la bruelmania, 4 garçons plein d’avenir, la haine ? Est-ce qu’il associe Jump de Van Halen ou Go West des Petits Shop Boys à deux clubs de foot antagonistes ? Flipper, arcade, Jordan, Pump, Chevaliers du Zodiaque, Samantha Fox, crados, chevignon, act up, fusée challenger, Rambo, T2, Public Enemy, Stephen King, ça lui dit quelque chose ? Sommes nous vraiment issus de la même culture ? Je ne me reconnais que très partiellement dans les références Macronienne, mais il m’est plus aisé de m’approprier ses références que lui les miennes, surtout en vieillissant. Sub culture, pop culture, underground, il avait des copains punks ou gothiques ? Faisait-il des soufflettes et des aquariums dans des 205 GTI ? Considère-t-il Trainspotting ou Fight Club comme des chefs d’oeuvre ? On pourrait dérouler la pelote pendant des heures … Tout ça pour contrebalancer les fameuses et sempiternelles conneries de nos médias. Jeune dans le corps évidemment mais à quelle génération appartient-il, s’il n’a jamais été présent dans l’époque, si ses références, ses codes, ses appétences, viennent du passé ? Sommes-nous vraiment du même temps ? Manu, tu me prête ta Game Boy ?
10 titres incontournables à écouter au volant. Même si en ce moment c’est la folie des moyens de locomotion écologiques type vélo – velib’, piedlib’ et que le métro et le bus ont toujours la faveur des parisiens, le tram celle des provinciaux et le taxi celle des VIP, la voiture demeure néanmoins indispensable dans certaines circonstances. Dès lors, que faut il écouter fenêtres ouvertes ou cheveux au vent pour être au top en caisse ? 1 AC/DC – You shook me all night long / Van Halen – Jump : Au démarrage, parce que ça met dans l’ambiance. 2 Yelle – Je veux te voir : Mais si vous êtes jeune… la preuve ! 3 Metallica – Fuel : Pas de panne d’essence et un vrombissement idéal pour passer du feu rouge au feu vert. 4 NTM – Police : Juste après la prune en représailles. 5 Ideal J – Hardcore : Pour calmer les ardeurs de la voiture d’à côté. 6 Marvin Gaye – Sexual Healing : Pour encourager les F.A.V (Fellations au volant) 7 Dimitri from Paris – Wonderful Person: Pour flatter son égo et garder la banane même dans les bouchons… 8 Velvet Revolver – Fall To Pieces / Guns N’ Roses – Don’t Cry : Toujours plus classe qu’une ballade made in Nostalgie, non ? 9 The Sounds – Don’t Want To Hurt You : Ca à l’air mainstream mais ça ne l’est pas, de quoi intriguer les biatchs enSmartées. 10 Chopin – Polonaise Op. 26.1 in C sharp minor. Port de tête haut et petit doigt en l’air, 7 minutes de snobisme à vivre, même en Logan. Bonus Track : Watermelon Man – Herbie Hancock : Un peu d’esprit FIP ou Nova sans les pubs… What else ?
Tandis que Fred Beigbeder se fait mousser grâce à ses 100 livres favoris, (« Premier bilan après l’apocalypse »), JetSociety va beaucoup moins loin et s’arrête sur ce chef d’oeuvre de Futilité Publique. Glamorama.
Pour les exilés de la planète terre (le livre fut publié pour la première fois en 1998) il s’agit d’une fiction littéraire dans laquelle s’illustre Victor Ward (personnage croisé dans les Lois de l’attraction du même auteur) qui promène son cynisme mondain à travers une vie réelle et fantasmée, mannequin improbable ou redoutable terroriste…Une œuvre gorgée de foutre et de sang qui suce le cerveau dès la première ligne pour l’éructer sur le sol à la dernière, mettant K.O les représentants de la X & Y Génération (euh… nous en fait !) qui constatent à rebours qu’il y avait comme dans toute bon bouquin les prémices de l’époque à venir.
Il apparait aujourd’hui que cette fresque au vitriol des 90’s, pendant direct du terriblement délicieux American Psycho des 80’s, va être adaptée au cinéma (une véritable Arlésienne façon Chinese Democracy de Guns n’ Roses finalement sorti il faut le rappeler), en tout cas c’est ce qui se murmure dans les milieux autorisés (twitter). Bien sûr le livre se suffit à lui même et il me semble difficile de transposer certaines scènes à l’écran sans interdiction au moins de 21 ans. Néanmoins Bret Easton Ellis semble satisfait du scénar’. Si le maitre aime alors les disciples vont adorer… « Tout l’intérêt de Super Mario Bros, c’est que c’est un miroir de la vie, tuer ou être tué, et au bout du compte, baby, tu… es… tout seul.«
Bref vous le lisez, vous aimez et après on en reparle.
L’idéale Lisa s’interroge sur le site The Dude Project sur ce que les Dudes (mecs plutôt cool) écoutent lorsqu’ils décident enfin de passer à l’acte et de s’adonner aux joies de la course à pied. Pour ma part je préconise une playlist hétéroclite composée de Add Suv de Uffie et Pharrell, Lapdance des nerds, American Boy de Kaye West, Don’t damn me des guns n’ roses, start me up des rolling stones, Klling in the name des rage against the machine, Steve Aoki et les Bloody Beetroots, Seek and Destroy de Metallica… Par exemple, si vous aussi messieurs vous souhaitez partager vos playlists favorites, rdv sur The Dude Project
La Peach Song, autrement nommée en français, la « chanson pêche », est une chanson qui par essence, est capable de booster le neurasthénique, euphoriser la bonne âme, conforter le bienheureux dans son état d’intense plénitude. Inutile de préciser que chaque Peach Song est totalement personnelle, liée notamment au genre et à la sensibilité, à la culture musicale et au background de chacun. Voici ma Top Playlist perso actualisée au 01.08. Number 5 : Salt N’ Pepa – Let’s Talk about Sex. Number 4 : Steak (B.O) – Skatesteak. Number 3 : ACDC – Money Talks. Number 2: The MisShapes – Bitch. Number 1 : Guns N’ Roses – Paradise City. PS : Merci aux 900 000 visiteurs qui sont passés sur JetSociety le Blog magazine, il y a de quoi avoir la pêche ! N’hésitez pas à y revenir, le blog est actualisé tous les jours. Pour toutes propositions : Page Contact. ‘Be there or be Square !’