(Catalogue de l’exposition) Hahaha. L’humour de l’art – ING Art Center (Bruxelles)

(Catalogue de l’exposition) Hahaha. L’humour de l’art – ING Art Center (Bruxelles)

Venant accompagner l’exposition Hahaha. L’Humour de l’Art (15 septembre 2021 – 16 janvier 2022) une collaboration entre Kanal-Centre Pompidou, le Centre Pompidou et ING Belgique, ce catalogue met en lumière la place centrale de l’humour dans l’art moderne et contemporain qui, depuis le célèbre urinoir Fontaine (1917) de Marcel Duchamp, a révolutionné notre regard sur l’art.

Caricatures, jeux de mots, œuvres-jouets, canulars, parodies, dérision, artistes-bouffons, cet ouvrage reprend et approfondit les différents thèmes développés par l’exposition et en explore les origines et prolongements : depuis les caricatures d’Honoré Daumier aux ready-mades de Duchamp, depuis les jeux de mots Dada aux publicités de Jeff Koons.

Édition bilingue français-flamand avec un cahier de textes en anglais – couverture brochée 23 x 31 cm – 208 pages – 150 illustrations – ISBN 978-2-37074-151-6 – 39 €

Retrouver le sens de l'humour !

Les français ont perdu ces dernières années bien plus que leur confiance en eux, leur courage, leur honneur et leurs valeurs, ils ont surtout perdu leur légendaire sens de l’humour. Je dis ils, mais je fais évidemment partie du lot. Quelques comiques professionnels, artistes snipers dérident nos visages graves aux mâchoires serrées. La vie est ainsi faite qu’elle est irrémédiablement merdique, les grecs l’avaient très bien compris et c’est pourquoi le rire avait tant d’importance dans leur civilisation. Donc rions ensemble, rions de nous, allégeons le poids de ce qui est et vivons le cœur et l’âme légère. Dont acte

CULTE – Poelvoorde, Les Inconnus, Pamela Rose, Astérix (DVD) – Bundle Vintage XX

CULTE – Poelvoorde, Les Inconnus, Pamela Rose, Astérix (DVD) – Bundle Vintage XX

Rire culte du soir, Canal crypté : ouvrir la Capsule Comédie FR (1995–2003)

Fin d’après-midi, la lumière devient jaune, on sent l’heure où l’on rit plus fort. Télé cathodique, chaînes qui grésillent, magnétoscope prêt au cas où. Ce soir, on rouvre la décennie où les répliques passaient plus vite que l’ADSL : Poelvoorde – Mr Manatane, Les Inconnus – Le bôcoup meilleur, Mais qui a tué Pamela Rose ?, Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre.
Cette capsule n’est pas un “best of” : c’est le kit d’oxygène des soirées à rallonge.

Capsule culte sur la table (preuves matérielles)

— Benoît Poelvoorde – Mr Manatane (coffret 3 DVD) : sketches en rupture de pente, élégance absurde et cravate trop courte.
— Les Inconnus – Le bôcoup meilleur (coffret 3 DVD) : les parodies qui ont éduqué l’oreille (chant, pubs, séries).
— Mais qui a tué Pamela Rose ? (DVD) : le buddy-movie qui fait rimer F.B.I. avec vanne sèche.
— Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre (DVD) : timing au millimètre, répliques devenues unités de mesure.
Les boîtiers brillent un peu ; c’est le vernis des années où l’on prêtait ses DVD sans contrat écrit.

D’où vient ce rire (et pourquoi il tient)

Ces comédies jouent la même musique : rythme + précision + incongruité.

Manatane : la phrase décalée qui atterrit exactement là où personne ne l’attend.

Les Inconnus : tacles tendres, imitation comme science appliquée.

Pamela Rose ? : sérieux apparent, catastrophe calculée.

Mission Cléopâtre : le ballet parfait entre absurdité et élégance.

Lieux & gestes (mémoire incarnée)

Le salon : télé 4/3, table basse pleine de mugs, pizzas qui refroidissent sur le carton.
On met pause pour rire encore ; on rembobine juste pour entendre “la phrase”, chacun la dit avant l’acteur — pas par spoil, par rituel. Tenue recommandée : survêt’ zippé, tee blanc, baskets trop propres ; option chemise hawaïenne si l’on passe par Cléopâtre.

Pourquoi une capsule (et pas une playlist YouTube)

Parce que le rire tient mieux quand il a du poids. Le plastique, le livret, la jaquette : ce sont des ancrages. On rit pareil, mais on rit en présence. Et on a toujours un DVD à offrir à l’ami qui dit “je n’ai jamais vu…”

Capsule mémoire — 1995 → 2003

Sur la bande FM : génériques Canal+, BO groovy, tubes qui dansent. Objets : télé 36 cm, magnétoscope, télécommande avec touches gomme. Rituels : pause/retour arrière, “tu vas voir, c’est ce passage”, rire en chœur. Style : tee blanc + survêt’/jean droit + baskets ; option chemise flashy. Vintage XX — Marchand de souvenirs : on ne liquide pas, on réveille.

Shop the story

Rires du soir : Capsule Comédie FR (1995–2003) — Poelvoorde, Inconnus, Pamela Rose, Cléopâtre
Le kit d’oxygène Canal+ : Mr Manatane, Les Inconnus, Pamela Rose?, Mission Cléopâtre. Bon état, envoi 24–48 h.
capsule-comedie-fr-1995-2003
comédie française, canal+, poelvoorde, les inconnus, pamela rose, mission cleopatre, 90s, 2000s, vintage xx

Capsule 1994 → 2007 — Tarantinoverse (Shop @ Vintage XX)

Capsule 1994 → 2007 — Tarantinoverse (Shop @ Vintage XX)

Une valise de vidéoclub retrouvée dans le coffre d’une vieille Chevy déclenche une nuit en triple programme où quatre inconnus vont se croiser entre un bar, un motel et un salon rempli de DVD. À la fin, il ne reste que la musique… et la Capsule Tarantinoverse de chez Vintage XX à ouvrir.

PERSONNAGES

Jackie – hôtesse de l’air qui connaît toutes les sorties d’urgence, y compris celles des histoires.

Vince – bavard charmant, collectionneur de DVD, allergique aux fins sages.

Duff – bassiste rangé (en théorie), cœur sur la manche, bandana en poche.

Lulu – réceptionniste de motel, lunettes Aviator, fan de doubles programmes.

CHAPITRES (8 BEATS)

CHAPITRE 1 – TRUNK SHOT

Intérieur nuit. Couvercle de coffre. On lève : une valise rouge qui contient pile ce qu’il faut pour une nuit de cinéma. Dessus : Pulp Fiction, Jackie Brown, Grindhouse, Hostel I & II, Natural Born Killers, le roman Il était une fois à Hollywood, un CD Fun Lovin’ Criminals et une compile Spirit of Funk.

Vince : “Ce n’est pas une valise. C’est un projecteur qui marche à souvenirs.”

CHAPITRE 2 – LE BAR QUI PASSE DES FILMS

Un bar sans horloge. Le jukebox envoie un riff funky (Fun Lovin’ Criminals). Jackie explique qu’elle collectionne les “malentendus utiles”. Duff répond qu’il sait accorder une Strat plus vite que ses idées.

Jackie : “Tu sais ce qu’on fait d’un mauvais souvenir ? On lui met des sous-titres.”

CHAPITRE 3 – FAUX FLASHBACK

Même bar, autre angle. Sur la TV du fond : Pulp Fiction. Personne ne regarde mais tout le monde parle plus vite. Vince raconte la théorie du burger parfait, Lulu répond avec une dissertation sur les bandanas au cinéma.

Lulu : “Le bandana n’est pas un accessoire, c’est un panneau de signalisation.”

CHAPITRE 4 – LE MOTEL AUX RIDEAUX TROP ROUGES

Néon clignotant, bruit de clim’ fatiguée. Hostel passe en DVD dans la chambre 12. On ne voit rien de gore : on voit les regards qu’on jette avant d’ouvrir une porte.

Duff (à Jackie) : “Si t’as besoin d’une épaule…”
Jackie : “…je prends aussi la manche. On ne sait jamais.”

CHAPITRE 5 – DOUBLE PROGRAMME

Grindhouse en split-screen sur deux télés : à gauche une route poussiéreuse, à droite un bar de nuit. La valise est ouverte, les boîtiers circulent, la musique tient les coutures.

Vince : “Le cinéma, c’est des objets qui se répondent.”

CHAPITRE 6 – LECTURE ACCÉLÉRÉE

Lulu lit à haute voix des passages d’Il était une fois à Hollywood comme si c’était un manuel d’évacuation : “si l’intrigue perd de la pression, tirez sur la poignée humour”. Les autres approuvent comme si c’était sérieux.

CHAPITRE 7 – YESTERDAYS

On met Jackie Brown. Across 110th Street démarre, la caméra glisse sur des chemises à carreaux, un perfecto posé sur un dossier de chaise, une paire d’Aviator rayées. On danse sans lever les pieds.

Jackie : “Hier, c’est bien quand ça marche aujourd’hui.”

CHAPITRE 8 – FIN OU DÉBUT

Retour au coffre. La valise est plus légère : les souvenirs ont changé de place. Jackie la referme.

Jackie : “On garde quoi ?”
Vince : “Les preuves.”
Fondu sur un lien : Ouvrir la Capsule Tarantino

DIALOGUES PRÊTS À POSER 

“Un mauvais souvenir ? Je lui mets des sous-titres.”

“La valise rouge, c’est un projecteur qui marche à souvenirs.”

“Le bandana n’est pas un accessoire, c’est un panneau de signalisation.”

“Hier, c’est bien quand ça marche aujourd’hui.”

Version alternative : : https://elite-culture.fr/capsule-tarantino-vintage-xx-marchand-de-souvenirs/

Irvine Welsh : de Trainspotting à Porno, la box culte Vintage XX

Irvine Welsh : de Trainspotting à Porno, la box culte Vintage XX

Redécouvrez l’électricité d’Irvine Welsh : Trainspotting, Porno, Glu… Une box Vintage XX chinée et coordonnée pour les amoureux de la pop culture 90s/2000s. Langue acérée, humour noir, sueur des clubs et tendresse pour les paumés : la littérature d’Irvine Welsh sent la rave, le pub et le petit matin. Avec Vintage XX, on a rassemblé en une box l’essentiel de cet univers—pour replonger dans la fièvre Trainspotting sans chercher partout les bons volumes.

Pourquoi Irvine Welsh maintenant ?

Parce que son mélange de pulsations techno, de tragédie sociale et d’argot poisseux parle encore d’aujourd’hui : amitiés cabossées, addictions, désillusions… Et parce que la vague de réévaluations 90s (ciné UK, Britpop, culture club) remet ses livres au centre du jeu.

Contenu de la box (sélection Vintage XX)

Éditions et jaquettes susceptibles de varier selon l’état/les tirages ; voir la fiche produit pour le détail du lot.

L’Intégrale Trainspotting (cycle Skagboys / Trainspotting / Porno)
Picture the scene. The other fuckin’ week there… doin’ the fuckin’ Volley with Tommy playing pool. I’m playin’ like Paul-fuckin’-Newman by the way… givin’ the boy here the tannin’ of a lifetime. So it comes to the last shot, the deciding ball of the whole tournament. I’m in the black, and he’s sittin’ in the corner looking all fucking biscuit-arsed. When this hard cunt comes in. Obviously fucking fancied himself like. Starts staring at me. Looking at me, right fucking at me, as if to say, « Come ahead, square go. » You know me. I’m not the type of cunt that goes looking for fucking bother… but at the end of the day, I’m the cunt with the pool cue… and he can get the fat end in his puss any time he fucking wanted, like. So I squares up, casual like. What does the hard cunt do? Or the so-called hard cunt? Shites it. Puts down his drink, turns and gets the fuck out of there. And after that, well, the game was mine.

Glu
La vie sexuelle des sœurs siamoises
DMT
Crime

Le Coup du siècle
Deux ouragans menacent Édimbourg, mais si l’un est bien un phénomène climatique, l’autre est Terry « Juice » Lawson, un arnaqueur érotomane sans vergogne déjà rencontré, si on suit la chronologie d’abord dans Trainspotting 2 (Porno) puis dans L’Artiste au couteau. Embarquant au passage trois autres compères plus chaotiques les uns que les autres, il va déraper jusqu’à découvrir le secret de ses origines… et les joies insoupçonnées du golf.

L’Artiste au couteau
Le terrible Begbie, l’un des quatre antihéros de Trainspotting, mène enfin une vie tranquille sous le nom de Jim Francis. Peintre et sculpteur à succès, il vit confortablement avec sa femme et leurs deux filles dans une station balnéaire prospère de Californie. Pour certains il est un escroc, pour d’autres un visionnaire. Lorsqu’après le meurtre de son fils qu’il connaissait à peine, il regagne Édimbourg et retrouve ses amis, ils attendent de lui une sanglante vengeance. Pendant ce temps, de l’autre côté de l’Atlantique, sa femme et ses filles découvrent un passé sordide qui ne semble pas qu’un lointain souvenir.

Porno (éditions variables si non inclus dans l’intégrale)
DVD Trainspotting d’époque

Micro-lectures (pour vous mettre dans l’ambiance)

Trainspotting — Le roman qui a mis l’Écosse sous stroboscope : polyphonie, humour au scalpel, empathie pour les perdants magnifiques.
Porno — Dix ans après : cynisme de l’industrie X, même bande, nouvelles cicatrices.
Glu — Quatre ados, une amitié cimentée par la musique ; quand le temps fissure tout.
La vie sexuelle des sœurs siamoises — Miami hystérique : sexe, performances et société spectacle.
DMT — Toxicités contemporaines, visions et vertiges.
L’Artiste au couteau — Réinventions et fantômes du passé, hyper contemporain.

Pour qui ?

Les fans de ciné UK 90s (Danny Boyle, The Prodigy en BO mentale).
Les lecteurs qui aiment la langue qui claque et les personnages imparfaits.
Les collectionneurs qui veulent un pack cohérent à exposer / (re)lire / offrir.

Pourquoi une box Vintage XX ?
Parce qu’on curate des ensembles qui font sens (pas un tas de titres isolés) et qu’on soigne l’expérience : état contrôlé, visuels fidèles, et vidéo unboxing “gants noirs” pour chaque pack.

👉 Voir la box Irvine Welsh dans la boutique : https://rsuqe9-d3.myshopify.com/products/box-irvine-welsh-trainspotting-co-10-livres-1-dvd

Pour aller plus loin

Teen Slashers 90s — nos Mystery Horror Box à prix unique.
Fincher Vibes — Se7en, The Game, Fight Club : trio culte.
Littérature transgressive — Beigbeder, Bret Easton Ellis, Palahniuk…

Madame Sarfati réinvente le comedy club avec style et collaborations exclusives

Madame Sarfati réinvente le comedy club avec style et collaborations exclusives

Bien plus qu’un simple comedy club, Madame Sarfati est un véritable lieu de vie et de créativité, où chaque détail de l’espace, pensé par Fary et JR, cache une œuvre d’art. En ce début d’année 2025, ce temple de l’humour parisien s’associe à deux marques iconiques, Chevignon et Champion, pour donner naissance à des collaborations uniques et stylées. Entre inspirations multiculturelles et un hommage aux rêves de “team spirit” à l’américaine, Madame Sarfati fait un pas audacieux dans le monde de la mode.

Un comedy club pensé comme une œuvre d’art
Depuis son ouverture en 2019, Madame Sarfati s’impose comme un lieu incontournable à Paris. Avec une programmation unique et une scénographie signée JR, le lieu accueille chaque année :
• 80 000 spectateurs,
• 728 sessions,
• 75 artistes,
avec jusqu’à 15 sessions par semaine rassemblant les meilleurs talents de l’humour français.

“Nous voulions faire partie d’une équipe, être ce quarterback charismatique ou cette pompom girl fascinante. Avec Madame Sarfati, nous avons créé un espace où chacun peut ressentir ce sentiment d’appartenance et de soutien.” – Fary.

IMG 2980 scaled

Des collaborations mode inédites pour 2025
Pour débuter l’année avec audace, Madame Sarfati dévoile deux collections exclusives en partenariat avec :
• Chevignon : Avec le Teddy Sarfati x Chevignon, disponible chez Madame Sarfati et sur le site chevignon.com.
• Champion : Une collection unique, exclusivement vendue chez Madame Sarfati, qui incarne le style rétro et le team spirit américain.

Ces collaborations traduisent l’ADN de Madame Sarfati : une énergie collective, un mélange de cultures, et un style qui rassemble.

Un lieu, un état d’esprit
Installé au 49 rue Berger, Paris 1er, Madame Sarfati est un espace hybride où humour, art, et mode se rencontrent. Avec ces collaborations, le comedy club transcende les frontières de la scène pour offrir une vision unique de ce que peut être un lieu culturel.

Informations pratiques :
• Adresse : 49, rue Berger, 75001 Paris.
• Horaires : Du mercredi au dimanche, de 18h00 à minuit.

Retrouvez toutes les informations et réservez vos places directement sur place ou via leurs réseaux sociaux.

Chérie Chéri, le vrai sens de la Rencontre

Chérie Chéri, le vrai sens de la Rencontre

Thierry Le Luron humoriste du siècle dernier, a immortalisé l’actrice Alice Sapritch à travers un gimmick passé désormais à postérité : « Chéri, Chéri ». Outre l’humour, ces icônes des 80’s partageaient un amour inconditionnel pour les hauts lieux de la fête et de la nuit « à la parisienne ». Chérie Chéri conserve de cette période le meilleur, à savoir le sens aiguisé de la fête et la volonté d’apporter à une communauté triée sur le volet, l’envie de se rencontrer, de se découvrir, d’échanger… mais comme le dit justement Marie Garreau, fondatrice de la plateforme : « Ça ne se raconte pas, ça se vit ! ».

WILL9222

Chérie Chéri se positionne donc comme le parfait contre-pied des applications de rencontres virtuelles. L’ADN de Chérie Chéri ? Mettre tout en œuvre pour faciliter les rencontres et garantir à chacun de trouver l’amitié si ce n’est l’Amour et / ou agrandir son réseau professionnel… Un pari ambitieux qui s’articule autour de valeurs, comme l’écologie et de coachs : Psychothérapie, Tarologie, vie amoureuse. Difficile de faire plus complet ! A noter que l’on glisse harmonieusement de l’application vers une soirée organisée dans un lieu « coup de coeur » toujours magique. Lutetia à Paris, Gina à Bordeaux ou encore le Murano au Bouscat (prochaine soirée à ne pas manquer le 15 Décembre 2022) et bientôt des conférences consacrées au bien-être, à l’amour, aux relations sous toutes leurs formes…

Pour ma part, je suis tombé sous le charme de Chérie Chéri, on ressent instantanément la bienveillance, la compétence, l’envie de partager des moments de convivialités riches de rencontres fructueuses qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Chérie Chéri est une expérience à Vivre, à ressentir, à chérir, qui permet de sortir de l’anonymat des sites de rencontres classiques, qui rappelle l’ambiance des clubs privés comme le Racing, Polo, Chez Castel, mais avec l’ouverture et l’esprit d’aujourd’hui.

Pour vous faire une idée, le mieux est de vous rendre sur Facebook (https://www.facebook.com/cheriecheri.corp), Chérie Chéri à Bordeaux https://www.facebook.com/groups/438172860103913, sur Instagram https://www.instagram.com/cheriecheri.corp/ le site https://www.cheriecheri.com et de télécharger l’app sur les stores.

Band of Horses – In Need of Repair (Extrait de l’album Things are great)

Band of Horses – In Need of Repair (Extrait de l’album Things are great)

Nouvel extrait de leur 6ème album à paraître en mars 2022, In Need Of Repair s’habille d’un clip teinté d’humour noir. Une vidéo signée Easy Pete’s, agence créative derrière la campagne de cet album.

Initialement prévu pour janvier 2022, Things are great sortira finalement le 4 mars 2022 chez BMG, l’un des albums le plus autobiographique pour le leader Ben Bridwell, un album dans lequel il nous décrit ses frustrations, ses désillusions sur ses relations qui changent mais aussi ses certitudes pour s’améliorer.

Bertrand Burgalat – L’homme idéal

Bertrand Burgalat – L’homme idéal

Reprenant la forme des « 73 Questions With a Star » de Vogue, le clip s’invite dans la maison de verre de Bertrand Burgalat : elle est parfaite, à l’image de son propriétaire. Mais le chanteur se confie : sa beauté est telle qu’il peine à trouver une moitié à sa hauteur. Seul son propre reflet semble incarner la perfection qu’il mérite… Le clip propose de mener jusqu’au bout le diktat de l’homme idéal. L’impératif de perfection le rendant si inaccessible que son âme soeur ne peut être que lui-même. Le clip rejoue ainsi le mythe de Narcisse dans un environnement contemporain : une villa aux milles reflets, une piscine brillant au soleil. Le ton de la mise en scène permet de déjouer avec humour la mélancolie du personnage et les impératifs sociaux du masculin. La fin du clip s’autorise néanmoins une émotion sincère : celle d’un amour impossible rendu possible dans l’eau sombre d’un bain de minuit. Un baiser déconcertant d’un homme avec lui-même. Un Narcisse exaucé, sauvé, comblé. Car Narcisse est un homme comme les autres : étrange, fou, obstiné et touchant.

Clip réalisé par Célestin Spriet
« L’homme idéal »
Paroles Laurent Chalumeau
Musique Bertrand Burgalat
Éditions Tricatel

Moose Knuckles AW21 feat Emily Ratajkowski, Pete Davidson et Adwoa Aboah

Moose Knuckles AW21 feat Emily Ratajkowski, Pete Davidson et Adwoa Aboah

Dirigée par David LaChapelle et la styliste Kyle Luu, la campagne Moose Knuckles FW21 transporte Emily Ratajkowski, Pete Davidson et Adwoa Aboah dans un paysage urbain gelé, fusionnant l’humour canadien caractéristique de la marque et une bonne dose de surréalisme.

« L’utilité a une définition différente chez Moose Knuckles. Nous connaissons notre public et nous savons comment créer des vêtements d’extérieur incomparables, adaptés à leurs besoins. Ils aiment s’amuser, prendre du bon temps, créer. Nous voulions créer des images qui résonnent avec leur sensibilité. L’univers de David nous convenait parfaitement. » – Brody Baker, directeur de la création.

Irvine Welsh – Le coup du siècle avec Terry « Juice » Lawson

Irvine Welsh – Le coup du siècle avec Terry « Juice » Lawson

Deux ouragans menacent Édimbourg, mais si l’un est bien un phénomène climatique, l’autre est Terry « Juice » Lawson, un arnaqueur érotomane sans vergogne déjà rencontré, si on suit la chronologie d’abord dans Trainspotting 2 (Porno) puis dans L’Artiste au couteau. Embarquant au passage trois autres compères plus chaotiques les uns que les autres, il va déraper jusqu’à découvrir le secret de ses origines… et les joies insoupçonnées du golf.

Humour noir et rédemption : une comédie sauvage où le champion du roman social dézingue joyeusement les derniers tabous de l’Angleterre.

Classement par séries :

Skagboys
Trainspotting
Porno (Trainspotting 2)
L’Artiste au couteau, Spin-off de Trainspotting centré sur Francis « Franco » Begbie
DMT (Trainspotting 3)

Une ordure
Crime (Suite de Une ordure)

Glu
Le Coup du siècle, Spin-off de Glu centré sur Terry Lawson

Recettes intimes de grands chefs

La Vie sexuelle des sœurs siamoises

Pop-up store entremains

Pop-up store entremains

Après Citadium, les Galeries Lafayette et plus récemment Merci, entremains revient en physique avec un pop-up en propre spécialement pour l’été. Aménagé de mobilier seconde main chiné par Le vide grenier d’une parisienne, fleuri par Pistil fleurs et végétalisé de Succulents Cactus, entremains dévoile une curation exclusive de pièces estivales jusqu’au 28 juin.

Fondé par Sophie & Camille, la marque se donne pour mission de faire de la seconde main ton premier choix. Elles proposent ainsi une curation de pièces de seconde main disponibles en ligne via leur site et hors ligne avec des pop-ups tous les mois imaginés de toute pièce, habillés de mobilier, d’une playlist aiguisée et d’autres festivités. Développant un univers mêlant humour et désirabilité, entremains habille son pop-up de visuels emblématiques car oui disons le  » c’était vieux avant »

20 rue du Pont-aux-Choux, 75003 Paris tous les jours
11h-19h30

Scène Symphonique à l’Appart Renoma

Scène Symphonique à l’Appart Renoma

Maurice Renoma invite William Bakaimo et Famakan Magassa pour une exposition inédite intitulée  » Scène Symphonique  » à l’Appart Renoma, du mercredi 19 mai au mercredi 30 juin 2021. Entre fantasme et réalité, humour et fatalisme, Maurice Renoma, William Bakaimo et Famakan Magassa mettent en scène l’Homme face à ses limites et ses démons, sa nature destructrice et l’impact d’une société contemporaine intrinsèquement pervertie.

Des œuvres fusion, mêlant photographies de Maurice Renoma et intervention peinture de Bakaimo et Magassa, ont été créées spécialement pour cet événement.

L’APPART RENOMA
129bis rue de la Pompe
75016 Paris

Du mardi au samedi de 10h30 à 18h30 sur rendez-vous

Carrément Craignos de Jean-Pascal Zadi, carrément très drôle même si c’est sur France.tv

Carrément Craignos de Jean-Pascal Zadi, carrément très drôle même si c’est sur France.tv

Avant de rentrer dans le vif du sujet, j’aimerai quand même comprendre pourquoi la plateforme france.tv brille par son absence sur les box et autres consoles (playstation, xbox), hormis apple tv ? C’est d’autant plus frustrant que, pour ma part, j’ai rencontré de nombreux bugs, sur ordinateur ou téléphone (problème de son, latence) et ce malgré la fibre. Au delà ces petites contrariétés techniques, la série est tellement drôle et fraiche qu’on passe largement outre. Quitte à revendiquer, autant aller au bout et j’ajouterai innocemment que c’est grâce au compte insta de Jean-Pascal Zadi (@jipac_shakur) que j’ai découvert Carrément Craignos… on pourrait pas piquer un peu de budget promo à Capitaine Marleau ou Plus belle la vie ? Même 100 000 euros ? Je suis sûr que Ernesto et sa bande sauraient quoi en faire… ou pas !

Craignos : 6 épisodes de 5 x 13 min + 1 x 21 min, narre l’histoire d’un mec, Ernesto (Jean-Pascal Zadi), jeune chômeur, qui vit avec sa copine Rose (Rime Nahmani) dans une petite ville bien tranquille de région parisienne, lorsque Joe (Moussa Mansaly), un ami d’enfance, lui confie un sac contenant 100 000 euros la veille de son incarcération. Epaulé par ses gars sûrs, Samir (Lotfi Labidi), Tito (Jérôme Guesdon), Hassan (Bun Hay Mean) et recherché comme jamais, il a 6 mois pour sauver sa peau.

Dans le prolongement et suite directe, Carrément Craignos : 9 épisodes x 26 min, on ne change pas une équipe qui perd. Kidnappés par deux dangereux malfrats, qui cherchent également à récupérer les 100 000 euros, Sam et Ernesto parviennent miraculeusement à s’échapper de leur emprise. Largué par Rose, Ernesto trouve refuge chez Hassan. Tito, de son côté, tombe amoureux d’une infirmière plus âgée que lui lors d’un séjour à l’hôpital. Quant à Sam, il s’apprête à intégrer l’école de police. Lorsque Joe sort de prison, Ernesto n’a toujours pas réuni la somme. Joe est d’autant plus furieux que les 100 000 euros appartiennent à un policier corrompu, Renard (Patrick Puydebat )… La pression est maximale !

Jean-Pascal Zadi est un conteur et un artisan, l’humour est son ciment, sans jamais se départir de messages forts disséminés astucieusement entre deux fous rires. Carrément Craignos appelle une suite et peut-être un long format ? La distribution est top, ça se binge watch avec plaisir, pas la peine de rappeler le contexte mais pour celles et ceux qui ont un peu le moral dans les chaussettes c’est mieux qu’un lexo et les afficionados des punchlines seront comblés. C’est une série sûre, validée par la street.

Expo : Aurélia Jaubert, Faire Tapisserie à La Manufacture de Roubaix

Expo : Aurélia Jaubert, Faire Tapisserie à La Manufacture de Roubaix

Faire tapisserie : «rester à sa place en étant réduit.e à un objet décoratif» ou « ne pas être invité.e à danser»…Comme un pied de nez à cette expression désuète, Aurélia Jaubert ainsi que les artistes conviés à participer à cette exposition, Clarence Guena, Benoit Jammes, Silvana Mc Nulty, Bérénice Szajner, Emmanuelle Villard, Paul Yore, replacent la tapisserie au coeur des enjeux et des questionnements contemporains.

En réutilisant des fragments de canevas ou de tapisseries mais aussi certains codes artistiques attachés à cette pratique puis en les détournant, ces artistes réaffirment la capacité créative de ce médium. Ainsi la tapisserie n’est plus seulement cet objet décoratif et populaire mais redevient un art « noble » grâce auquel l’artiste témoigne de son regard contemporain sur le monde et ses représentations, souvent avec humour.

Aurélia Jaubert présente également trois autres de ses séries liées au textile : Mixtape (2015-2016), SUPER VHS (2014-2017), et Rebuts d’atelier (2007-2010). Ces séries témoignent de ses recherches sur la matière détournée et anoblie, sur les changements d’échelle et les différentes formes de représentation.

Exposition du 26 juin au 29 août 2021
Vernissage public : vendredi 25 juin à 18h30
Ouverture : du mardi au dimanche de 14h à 18h, entrée libre et gratuite
Visite libre – entrée gratuite et sans réservation

Manufacture Roubaix, Musée de la Mémoire et de la Création Textile
29 Avenue Julien Lagache, 59100 Roubaix

« Scène Symphonique » première exposition parisienne de William Bakaimo (Cameroun) et Famakan Magassa (Mali)

« Scène Symphonique » première exposition parisienne de William Bakaimo (Cameroun) et Famakan Magassa (Mali)

Exposition présentée du Vendredi 9 avril au samedi 29 mai 2021

L’Appart Renoma 129 bis rue de la Pompe, Paris 16
Ouverture du mardi au samedi, de 10h à 18h

Cet accrochage, partition croisée de trois artistes, réunit des photographies de Maurice Renoma, une sélection de toiles de William Bakaimo et Famakan Magassa ainsi que des œuvres fusion créées spécialement pour cet événement. Entre fantasme et réalité, humour et fatalisme, Maurice Renoma, William Bakaimo et Famakan Magassa mettent en scène l’Homme face à ses limites et ses démons, sa nature destructrice et l’impact d’une société contemporaine intrinsèquement pervertie.

Stella McCartney A to Z Manifesto / Collaboration avec 26 artistes

Stella McCartney A to Z Manifesto / Collaboration avec 26 artistes

La Maison Stella McCartney a collaboré avec pas moins de 26 artistes pour le mois de novembre dans le cadre du McCartney Manifesto,

Sous forme d’abécédaire, chaque lettre, dont certaines seront mises aux enchères pour des œuvres de charité, reprend une valeur chère à la maison et présente un look de la collection Resort 2021 en lien avec cette valeur.

Pendant ce moment de pause forcé, je me suis posé des questions plus en profondeur sur ce que je fais et pourquoi je le fais. Comment pouvons-nous revenir au monde ‘habituel’ avec plus de conscience ? Lors d’une nuit pendant laquelle je peinais à trouver le sommeil, j’ai traduit par des mots mes pensées sur ce qui est vraiment important. Le résultat, que j’ai partagé avec mon équipe, est devenu une sorte de manifesto.

Nous l’appelons aujourd’hui le McCartney Manifesto de A à Z—une carte de notre ADN et un plan de nos futures intentions; tout ce que nous savons, croyons et aimons en termes de mode. Je voulais définir qui nous sommes et qui nous espérons être. Il s’agit d’un guide pour nous responsabiliser et un défi pour être la meilleure maison de mode durable qui soit.

Le manifesto porte notre légèreté : la mode a en effet besoin d’espoir et d’humour. Cependant, notre sentiment collectif d’urgence nous dit de faire en sorte que tout cela tienne, de se lever et d’agir. Mais qu’est-ce que cela signifie ?

Etant dans la mode depuis 20 ans, j’ai beaucoup réfléchi à notre impact à une grande échelle. Comment pouvons-nous réduire ce que nous produisons ? Comment pouvons-nous faire plus avec moins ? Comment pouvons-nous vraiment arriver à zéro déchet ?

En ce qui concerne les prochaines collections, nous nous engageons à réduire encore plus nos déchets et notre utilisation de matières premières, et à accroître notre utilisation de tissus recyclés. Nous continuerons de remettre en question notre approche et de rechercher des solutions meilleures et végétaliennes pour créer le plus de vêtements durables sans jamais sacrifier la notion de luxe intemporel ni la désirabilité.

Les jeunes d’aujourd’hui sont les leaders de demain—et ils se demandent déjà comment et où nos produits sont fabriqués. Leur optimisme, ainsi que leurs valeurs activistes, nous rappellent qu’il ne faut jamais accepter les choses comme l’industrie les dicte, et toujours voir le potentiel de chaque action. Avec un regard progressiste sur la diversité, l’inclusion et les femmes, nous soutiendrons toujours ces créateurs et militants.

De retour dans le monde ‘normal’, nous devons nous rassembler pour accélérer le changement positif. Pendant ce moment de pause global, nous avons tous vu que la nature peut guérir. La seule beauté qui se dégage des jours noirs que nous vivons, c’est que malgré le traumatisme et la perturbation, nous assistons à un réel moment d’espoir.

Chez Stella McCartney, à travers chaque lettre de ce ‘A à Z’ auquel ont donné vie 26 artistes étonnants, nous nous engageons à tenir nos promesses et à faire toujours mieux. En outre, nous le ferons avec amour pour notre profession, pour l’Autre, pour nos semblables et pour la Terre.

L’ALPHABET ET L’ART

Pendant le confinement, j’ai demandé à 26 artistes de choisir une lettre et de l’interpréter en toute liberté. Beaucoup sont des amis intimes, ou que j’ai rencontrés de façon naturelle lors de mes voyages par la mode. D’autres sont de nouvelles connaissances que j’ai toujours admirées, ou issus de la nouvelle génération de talents à qui nous souhaitons proposer une plate-forme pour démarrer leur carrière pendant cette période difficile.

J’ai été ravie lorsque chacun d’eux a gentiment accepté de créer une œuvre pour notre Manfesto A à Z, cela a été une grande joie de travailler avec eux. Ma gratitude est sans limite. La lettre de chaque artiste est essentielle à notre dictionnaire visuel des intentions qui nous animent chaque jour dans notre travail. Et ces lettres seront développées à travers nos collections dans les semaines à venir.

Bien à vous,

Stella
Londres, octobre 2020

En découvrir plus : https://www.stellamccartney.com/experience/fr/mccartney-a-to-z-manifesto-summer-2021-show/

LA FABRIQUE DE L’HISTOIRE DE L’ART – 200 REVUES 1903-1969

LA FABRIQUE DE L’HISTOIRE DE L’ART – 200 REVUES 1903-1969

Fréquenté des seuls chercheurs ou spécialistes, ce magnifique corpus éditorial demeure très peu connu. C’est pourquoi les auteurs ont choisi de raconter une histoire de l’art subjective, vivante et accessible, à travers 200 aventures éditoriales. L’enjeu est d’incarner la diversité des registres : de la virulence pleine d’humour des revues Dada à la verve postcoloniale de la revue martiniquaise Tropiques d’Aimé Césaire jusqu’à l’énergie de Provoke, revue de photographie expérimentale japonaise.Selon un déroulé chronologique, les revues sont présentées au travers de fac-similés au format d’origine, couverture et pages intérieures, et selon trois types de contenus : des notices courtes et vives, des focus pour restituer des aventures éditoriales d’exception, des récits contextuels pour mettre en lumière les parcours biographiques uniques d’éditeurs passeurs. Et ainsi faire revivre ces intenses liens de sociabilité culturelle qui ont durablement façonné l’histoire de l’art du XXe siècle.

Damarice Amao, Mica Gherghescu, Mélanie Godefroy, Laurence Gueye-Parmentier, Camille Lenglois, Julia Motard, Annalisa Rimmaudo, Stéphanie Rivoire, Beatriz Sanchez-Santidrian, Didier Schulmann, Anne-Marie Zucchelli-Charron

En librairie le 4 Novembre, éditions Textuel

#ResteChezToi avec un manga ! Docteur Slump perfect edition

#ResteChezToi avec un manga ! Docteur Slump perfect edition

Un grand bravo et merci à Glénat pour l’opération #ResteChezToi avec un manga, qui permet de (re)découvrir de nouvelles séries, avec chaque jour un tome d’une série incontournable, en libre accès pendant 48h ! Pour ma part je suis dans les starting-blocks pour Docteur Slump perfect edition – Tome 1

Première grande série de Toriyama à avoir connu un succès phénoménal, Docteur Slump est réédité en français dans sa version Perfect. Ce monument de l’humour bénéficie ainsi d’une toute nouvelle traduction, encore plus fidèle à la version japonaise, de ses pages couleurs d’origine et, comme toujours, d’illustrations de jaquettes inédites signées par l’auteur. L’histoire, elle, n’a pas changé : dans le curieux village Pinguin, le génial savant Sembei Norimaki conçoit un robot ressemblant à une petite fille, à la force herculéenne : Aralé. Mais son insouciance et sa naïveté invraisemblables vont rapidement déclencher toute une série de catastrophes et d’événements plus loufoques les uns que les autres?

En découvrir plus: ici

On se rappellera du mythique crossover :

JÄDE 💔 DOCTEUR

JÄDE 💔 DOCTEUR

JÄDE oscille entre angoisses romantiques et penchants régressifs … Accompagnée de Anis Rhali (Golden Moustache) dans le rôle du Docteur Love, elle se met en scène avec humour dans un clio très rose bonbon…

Je dois aller chez le docteur, j’ai trop mal au coeur là
je me soigne devant tinder en mangeant des kinder moi (x2)

Je lui dis que je veux des câlins, il me dit « jäde pas dès le matin »
y’a pas de pause y’a pas de mi temps, Ami c’est pas ce que j’attends
moi seule sur le matelas, je matte la télé sur la 3
documentaire sur les Rois tu m’as bien mentis sur toi salope
je n’ serai jamais ta reine,
Dans mes chansons beaucoup de miel pour l’attirer comme abeille
il va me tirer les oreilles, j’ai trop fouillé dans son tel
Il est très mauvais acteur, notre amour fait amateur

Je dois aller chez le docteur, j’ai trop mal au coeur là
je me soigne devant tinder en mangeant des kinder moi (x2)
J’ai peur de finir folle enfermée à l’hosto
je suis pas comme ces ‘Nina’ ces bitches elles osent tout
Y’a pas de portes de sortie à part celles du loto
Celles du paradis sont fermées à double tour

La psy m’a prescrit quelques xans
J’vais peut être les filer à mes fans
Ceux qui m’ont connu sur le cloud (sadboy)
j’vous laisse ma dope, j’me suis mise tout le monde à dos
J’pars bouder comme une ado, j’fais un hit et je vais dodo

Je dois aller chez le docteur, j’ai trop mal au coeur là
je me soigne devant tinder en mangeant des kinder moi (x4)

Un film de La Piscine Mon Amour !
Réalisation : Jeanne Sigwalt et Oscarito Castro
Prod : bae kofi

Klub des Loosers  – Champion (Extrait du nouvel album VANITÉ)

Klub des Loosers – Champion (Extrait du nouvel album VANITÉ)

Champion est le premier single annonçant le grand retour du Klub des Loosers, qui sortira le 24 avril prochain. Un 4ème album studio, entièrement produit par son leader et membre unique Fuzati. Sur ce nouveau projet nommé VANITÉ, sous-couvert d’égo-trip et porté par l’humour noir qu’on lui connait, Fuzati questionne l’orgueil de l’Homme, son rapport au succès et à l’échec, à l’ère de l’autopromotion…

Plus misanthrope que jamais, il se place tour à tour en miroir du loser plaintif et du winner présomptueux… Gagnants et perdants se confondent, aucun humain n’est à sauver…

crédit photo : DARIO (@hellodario)
Clip réalisé par FRAMEpictures (Virgile Gesbert + Eric Rakotonirina)

Urusei Yatsura (Lamu) – Perfect Color Edition – Rumiko Takahashi

Urusei Yatsura (Lamu) – Perfect Color Edition – Rumiko Takahashi

Série culte par excellence, Urusei Yatsura est le  » Monthy Python  » du manga, un feu d’artifice d’humour et de folie pure imaginée par la reine de la bande dessinée japonaise. L’histoire d’amour entre la jolie extra-terrestre et le lycéen looser a depuis inspiré bien des auteurs, dans le monde entier. Cette “Perfect Color Edition” en 2 tomes célèbre l’art de Rumiko Takahashi en présentant tous les chapitres contenant des pages couleurs, issus de cette série culte. Une belle occasion d’admirer son travail, tout en découvrant les meilleurs extraits de la série.

Pour rappel, Rumiko Takahashi, Grand Prix d’Angoulême 2019. Autrice toujours active et comptant dans sa bibliographie des œuvres cultes comme Ranma 1/2 ou Maison Ikkoku, c’est avec Urusei Yatsura (aussi connu sous le titre français Lamu) qu’elle a débuté sa carrière en 1978. www.glenat.com

Le Livre sans nom

Le Livre sans nom

Les vacances, période culturelle privilégiée qui nous permet de découvrir ou de redécouvrir des pépites, ou tout au moins des œuvres, qui auraient mérité notre considération au cours de l’année, ou dans un passé plus ou moins proche, mais qui nous ont échappées parce que bon, il faut le reconnaître, ça arrive même au meilleur ! C’est en l’occurrence le cas ici présent, avec la série de livres consacrés au Bourbon Kid et dont l’auteur reste toujours à ce jour anonyme (certains disent que c’est Banksy ou Tarantino… joke). Bref, si vous aussi vous avez loupé le coche, battez-vous la coulpe une bonne fois pour toute et dévorez ces friandises pour amateurs de ciné / série B – Z, de punk, de trash, d’humour noir, de rock n’ folk au sens noble du terme.

Pitch One : Santa Mondega, une ville d’Amérique du Sud oubliée du reste du monde, où sommeillent de terribles secrets.
Un serial killer qui assassine ceux qui ont eu la malchance de lire un énigmatique livre sans nom. La seule victime encore vivante du tueur, qui, après cinq ans de coma, se réveille, amnésique. Deux flics très spéciaux, des barons du crime, des moines férus d’arts martiaux, une pierre précieuse à la valeur inestimable, un massacre dans un monastère isolé, quelques clins d’oeil à Seven et à The Ring…

The Dead Don’t Die de Jim Jarmusch (Bill Murray, Adam Driver, Tilda Swinton, Chloë Sevigny, Steve Buscemi, Danny Glover, Iggy Pop, Selena Gomez, RZA, Tom Waits…)

The Dead Don’t Die de Jim Jarmusch (Bill Murray, Adam Driver, Tilda Swinton, Chloë Sevigny, Steve Buscemi, Danny Glover, Iggy Pop, Selena Gomez, RZA, Tom Waits…)

The Dead Don’t Die, le nouveau film de Jim Jarmusch sera présenté à Cannes en ouverture, en compétition et en première mondiale !

C’est avec la projection en compétition du nouveau long métrage de Jim Jarmusch, The Dead Don’t Die, que s’ouvrira le 72e Festival International du Film. Mardi 14 mai, sur l’écran du Grand Théâtre Lumière, le film du réalisateur et scénariste américain sera le premier à concourir pour la Palme d’Or.

Dans la sereine petite ville de Centerville, quelque chose cloche. La lune est omniprésente dans le ciel, la lumière du jour se manifeste à des horaires imprévisibles et les animaux commencent à avoir des comportements inhabituels. Personne ne sait vraiment pourquoi. Les nouvelles sont effrayantes et les scientifiques sont inquiets. Mais personne ne pouvait prévoir l’évènement le plus étrange et dangereux qui allait s’abattre sur Centerville : THE DEAD DON’T DIE – les morts sortent de leurs tombes et s’attaquent sauvagement aux vivants pour s’en nourrir. La bataille pour la survie commence pour les habitants de la ville…

La nouvelle incursion du cinéaste indépendant dans le film de genre (après Dead Man et le western, Ghost Dog et le film de samouraïs, Only Lovers Left Alive et le film de vampires) promet d’être : « un casting à réveiller les morts ». Bill Murray, Adam Driver, Tilda Swinton, Chloë Sevigny, Steve Buscemi, Danny Glover, Caleb Landry Jones, Rosie Perez, Iggy Pop, Selena Gomez, RZA, Sara Driver, Austin Butler, Luka Sabbat, Eszter Balint, Carol Kane, et Tom Waits.

The Dead Don’t Die réuni également Jarmusch et un grand nombre de ses collaborateurs habituels dont le Directeur de la Photographie Frederick Elmes (Night on Earth, Paterson, Broken Flowers) et le Monteur Affonso Gonçalves (Only Lovers Left Alive, Paterson). The Dead Don’t Die, le treizième long métrage de Jim Jarmusch, n’est pas seulement une comédie et une subversion du genre parfois effrayante (avec un clin d’œil au film phare de George Romero, La Nuit des Morts-Vivants) mais aussi un hommage au 7è art.

Depuis Stranger Than Paradise, lauréat de la Caméra d’Or au Festival de Cannes en 1984, qui fit date dans l’histoire du nouveau cinéma indépendant américain, Jim Jarmusch nous a habitués à ses univers créatifs et mélancoliques, à ses B.O. inspirées, à son humour décalé et aux errances de ses anti-héros dans un monde toujours légèrement étrange. À Cannes, son cinéma rock et élégant souvent à l’étude d’une Amérique différente a été salué par quatre prix dont la Palme d’Or du court métrage en 1993 pour Coffee and Cigarettes et le Grand Prix en 2005 pour Broken Flowers.

The Dead Don’t Die présenté par Focus Features, produit par Joshua Astrachan et Carter Logan, est distribué par Focus Features et Universal Pictures International dans le monde et Longride au Japon. Le film sortira en France le même jour que sa présentation à Cannes le 14 mai en soirée, aux États-Unis le 14 juin 2019 puis dans le monde entier. La Cérémonie d’Ouverture du 72e Festival de Cannes aura lieu le 14 mai 2019. Elle sera retransmise en clair par Canal +, ainsi que dans les salles de cinéma partenaires. L’acteur et réalisateur Edouard Baer en sera le maître de cérémonie. Le Jury de la Compétition présidé par Alejandro Gonzáles Iñárritu remettra la Palme d’Or lors de la cérémonie du Palmarès le samedi 25 mai.

Expo JENNY HOLZER L’INDESCRIPTIBLE – MUSÉE GUGGENHEIM BILBAO

Expo JENNY HOLZER L’INDESCRIPTIBLE – MUSÉE GUGGENHEIM BILBAO

Du 22 mars au 9 septembre 2019, le Musée Guggenheim de Bilbao présente avec Jenny Holzer : L’indescriptible la plus exhaustive sélection d’œuvres encore jamais réunie à ce jour sur le travail de cette artiste nord-américaine de premier plan, née en 1950.

Depuis plus de quarante ans, Jenny Holzer exprime avec force ses idées et ses prises de positions aussi bien dans des espaces publics (Times Square, New York) qu’au sein d’institutions internationales (Biennale de Venise, Musée Guggenheim de New York, Whitney Museum of American Art, Louvre Abu Dhabi).

La matière première de son travail est le texte, qu’il soit apposé sur des t-shirts, des plaques ou des panneaux électroniques. Elle y aborde des sujets et des thèmes dénonçant l’ignorance et la violence, souvent avec humour, compassion et courage.

La carrière de Jenny Holzer débute dans les années 70 avec une série d’affiches placardées dans les rues de New York. Ses plus récentes productions comprennent des projections lumineuses sur des paysages et des architectures.

Pensée en collaboration avec l’artiste, l’exposition réunit des installations spécialement conçues pour interagir avec l’architecture de Frank Gehry ; ses fameuses séries Truismes (Truisms) ou Essais incendiaires (Inflammatory Essays), présentées en cinq langues ; des plaques en bronze coulé ; des panneaux en métal émaillé ; des bancs et des sarcophages en pierre recouverts d’inscriptions ; des peintures à l’huile et des aquarelles sur documents officiels en relation avec les événements du 11 septembre 2001 à New York. De même, de nouveaux dispositifs robotisés spécialement conçus pour l’exposition, animent les panneaux électroniques de l’artiste dont les textes en défilement continu viennent parfois éclairer des ossements humains. Des dessins, des objets et des souvenirs provenant des archives de l’artiste viennent compléter cette présentation et l’exposition comprend également une collection d’œuvres sur papier et de sculptures réalisées par des artistes qui ont influencé le travail d’Holzer : Rosa Bonheur, Paul Klee, Louise Bourgeois, Paul Thek, Charles Burchfield, Kiki Smith, Lee Lozano et Nancy Spero, entre autres.

JENNY HOLZER – L’INDESCRIPTIBLE

MUSÉE GUGGENHEIM BILBAO (22 MARS – 9 SEPTEMBRE 2019)

Commissaire d’exposition : Petra Joos en collaboration avec l’artiste

RÉVEILLE-TOI ! de RUBY WAX

RÉVEILLE-TOI ! de RUBY WAX

Ruby Wax, scénariste de la mythique série Absolutely Fabulous, vit à Londres. Actrice, scénariste, productrice et réalisatrice américaine, elle intègre la prestigieuse Royal Shakespeare Company et fait carrière dans la comédie et à la télévision depuis 25 ans. Elle nous offre ici, avec son humour dévastateur, le meilleur itinéraire de sortie et les meilleures destinations où se reposer et faire le plein.

Si les orgasmes duraient éternellement, nous n’aurions plus le temps de faire grand-chose. Hélas, ils ne durent pas, et entre deux il nous faut traverser des régions souvent pénibles. Ruby Wax le sait mieux que personne. Un mariage, des enfants, une carrière à la télévision… les étapes habituelles qui, tout naturellement, l’ont conduites au burn out. Résultat, des mois de maison de repos, après une vie de stress et de fatigues accumulées.

Après avoir essayé à peu près toutes les recettes du bien-être, Ruby a enfin trouvé la plus efficace, qui s’avère aussi, curieusement, être la plus simple : cesser de confier les rênes à ce fameux pilote automatique qui, sans cesse, nous ramène dans nos vieilles habitudes et reprendre sa vie en mains.

PARUTION LE 21 MARS
ÉDITIONS DU CHERCHE-MIDI

DA Feat Roxxxy – Chaude

DA Feat Roxxxy – Chaude

Partagé entre deux styles, le projet EP#87 représente la dualité du rappeur : sombre et sérieux d’une part, enfantin et naïf de l’autre.

Avec Duke Winter, DA crée des chansons courtes et crues, aux airs d’interludes, avec des voix basses et chuchotantes. A commencer par “Chaude” “en compagnie de sa compagne Roxane Mesquida, titre tout en décalage et pleins d humour.

Vocals by DA & Roxane Mesquida
Composed & produced by Ryan Kozlowski
Extract from EP#87

MOU – SENSUELLE

MOU – SENSUELLE

MOU manie avec une pointe d’humour les codes du rap et de la chanson française… Ce Nantais d’adoption parle principalement d’amour, utilisant des références de son quotidien, pour les installer dans un décor décalé et surréaliste. Une marque de fabrique qui a su être appréciée lors de la sortie de son premier EP « Full sentimental » sorti en Janvier 2018.

Sur des instrumentaux de La Brousse, Maodea ou encore le bruxellois Mowley, MOU évolue seul sur scène. Se baladant de gauche à droite, hypnotisant comme un tic et un tac, pour suspendre le temps et voyager au coeur de ses histoires à dormir debout.

Cuisinier à la ville, ce grand corps au coeur tendre, n’est pas un amateur de prise de tête. Ses épopées pop naviguent dans l’ère du temps, ajoutant son grain de sel à une génération française qui se joue des styles (Myth Syzer, Muddy Monk, Lewis OfMan ou Vendredi sur Mer).

RELEASE PARTY LE 20 DÉCEMBRE AU POP UP DU LABEL & LE 15 DÉCEMBRE AU PANNONICA (NANTES)

1er extrait de son prochain EP prévu pour le 30 novembre

https://lnk.to/Mou-Sensuelle

Le duo des chats de Roger Vivier avec Catherine Deneuve

Le duo des chats de Roger Vivier avec Catherine Deneuve

Pour le lancement des créations Très Vivier pour les fêtes de fin d’année, Roger Vivier présente un film avec Catherine Deneuve. Inspiré du célèbre morceau Duo des chats de Rossini et mis en scène par le réalisateur, auteur et cinéaste Michael Haussman, ce film raconte l’histoire d’une famille parisienne excentrique célébrant Noël…

« Travailler avec une icône telle que Catherine Deneuve était un rêve, qui est devenu réalité dans ce film pour Roger Vivier » explique Gherardo Felloni. « L’idée de voir des femmes se battre pour l’objet de leur désir a toujours été une référence créative pour moi ; j’aime cette ironie, cet humour, cette passion. Et voir à l’écran Nadia, cette jeune et belle actrice, jouer ce rôle félin sur cette musique, cela fonctionne très bien ! »

« Lorsque Gherardo m’a expliqué le projet et l’ironie de l’intrigue, ma curiosité a toute de suite été piquée. Jouer un rôle en fonction du tempo d’une chanson est quelque chose que je n’avais encore jamais fait. » déclare Catherine Deneuve

En découvrir plus: www.rogervivier.com

LIMITE LIMITE, LE JEU POUR ADULTES QUI REPOUSSE … LES FANS DE MAITRE GIMS / LES HATERS / LES LIMITES

LIMITE LIMITE, LE JEU POUR ADULTES QUI REPOUSSE … LES FANS DE MAITRE GIMS / LES HATERS / LES LIMITES

LIMITE LIMITE ? Oubliez le jeu classique du Monopoly, Docteur Maboul et La Bonne Paye… Place à l’Humour (Très) Noir !

Si vous êtes fan d’humour borderline, de soirées où l’on se lâche sans filtre et de jeux qui font pleurer de rire (ou de honte), alors ce jeu est fait pour vous.

Avec ses cartes à choix multiples, ce jeu vous plonge dans un univers où l’absurde, le trash et l’irrévérence sont rois. De 3 à 10 joueurs, préparez-vous à révéler le pire de vous-même… et de vos amis.

📌 ⚠️ Avertissement : Ce jeu est strictement interdit aux moins de 18 ans (et aux âmes sensibles).

🔥 COMMENT JOUER ?

🎯 Le principe est simple :
1️⃣ Un joueur lit une phrase incomplète tirée du paquet.
2️⃣ Les autres doivent choisir la carte la plus scandaleuse ou drôle pour la compléter.
3️⃣ Le maître du jeu choisit la combinaison la plus décalée… et c’est le grand gagnant du tour !

💀 Le but ? Faire rire (ou cringer) la tablée avec des associations de cartes aussi absurdes qu’immorales.

🔪 UNE EXTENSION ENCORE PLUS CHOQUANTE

Au bout d’un moment, vous avez déjà tout testé et vous pensez avoir épuisé les pires combinaisons ?

💥 L’extension LIMITE LIMITE LIMITE débarque avec des cartes inédites pour encore plus de délires !

🎭 Quelques exemples non contractuels (et totalement WTF) :

👉 Ce matin, je me suis réveillé avec une terrible envie de :
• 🍼 Traire une femme qui allaite
• 🤦‍♂️ Baiser le mauvais jumeau
• 💉 Remplacer l’insuline d’un diabétique par de l’héroïne

👉 Je dois filer, c’est l’heure de :
• 🐝 Violer un nid de frelons
• 🤹 Jongler avec des bébés et des tronçonneuses
• 🦿 Faire une balayette à un cul-de-jatte

📌 Si votre soirée manque de piment, cette extension va clairement relancer la machine.

🍻 ET POUR VARIER LES PLAISIRS… D’AUTRES JEUX À TESTER !

Si vous êtes accros à l’humour noir et aux jeux qui mettent mal à l’aise, voici 3 alternatives créées par les auteurs :

1️⃣ 🎭 LE TRIBUNAL → Imaginez Les Z’amours + Limite Limite. Vous devez deviner comment vos potes réagiraient face à une situation hyper malaisante. Rires et malaise garantis.

2️⃣ 🥃 GNÔLE → Le jeu à boire ultime. Si vous trouvez que c’est déjà dévastateur, attendez de combiner cela avec quelques verres…

3️⃣ 📸 KANTU → Le jeu des mèmes, une sorte de sosie avec des images. On vous donne un mème en guise de carte, et il faut choisir la légende la plus drôle ou gênante.

💥 Envie de faire hurler de rire (ou fuir) vos amis ?

📌 Bonus : Offrez-le en cadeau pour un Secret Santa mémorable ou pour piéger un collègue trop coincé.

🔥 Si vous avez déjà joué, dites-nous en commentaire : quelle est la pire combinaison que vous ayez vue ? 🎲

AVEC UN GRAND H DE JEAN-CHRISTOPHE PIOT

AVEC UN GRAND H DE JEAN-CHRISTOPHE PIOT

De la culture sans confiture mais avec beaucoup de piment, c’est la recette secrète de Jean-Christophe Piot pour ce petit concentré facétieux et captivant. Une traversée de l’Histoire aussi drôle qu’érudite. Avec un grand H est un ensemble de 68 chroniques aussi véridiques que surprenantes sur des sujets et personnages historiques hauts en couleurs. Ces petites histoires, issues de la grande, se dévorent grâce aux talents de conteur de Jean-Christophe Piot, qui n’a ni son esprit ni son humour dans sa poche. Au programme ? Spartacus, la peste, une truie, des sorcières, Champollion, Calamity Jane, la lobotomie, Toutânkhamon, une pirate chinoise, Laïka, la Saint-Valentin, quelques légions perdues et un facteur (entre autres). Diffusées sur Radio Nova, ces chroniques ont déjà été saluées par la critique (Télérama). Pour cette édition, l’auteur nous offre également cinq sujets inédits. L’histoire a toujours quelques tours dans son sac…

Jean-Christophe Piot : Diplômé de Sciences Po Lyon et de l’Université Lyon III (histoire romaine), il écrit pour différents médias français (France Télévisions Infos, Radio Nova) et suisses (Le Matin, l’Hebdo, Technologist, Hémisphères, Swissquote) ainsi que pour des entreprises ou des acteurs culturels, toujours dans un souci de vulgarisation.

EAN: 9791096681112
Format: 12×16 cm. 228 pages
Diffusion Distribution: Hachette

En découvrir plus: shop.novaplanet.com

MOU – Allez (Extrait de Royal calin)

MOU – Allez (Extrait de Royal calin)

Cultivant sa nonchalance loin de la fainéantise, MOU manie avec une pointe d’humour les codes du rap et de la chanson française. Cuisinier à la ville, ce grand corps au coeur tendre, n’est pas un amateur de prise de tête. Ses épopées pop naviguent dans l’ère du temps, ajoutant son grain de sel à une génération française qui se joue des styles (Myth Syzer, Muddy Monk, Lewis OfMan ou Vendredi sur Mer).

EN LIVE AUX BARS EN TRANS LE 8 DÉCEMBRE (1988 CLUB) & RELEASE PARTY DE L’EP :
20 DÉCEMBRE AU POP UP DU LABEL (PARIS)
15 DÉCEMBRE AU PANNONICA (NANTES)

L’HYMNE DES RÉSEAUX AU 2.0 DEGRÉ : ANGÈLE – LA THUNE

L’HYMNE DES RÉSEAUX AU 2.0 DEGRÉ : ANGÈLE – LA THUNE

La Thune » est une chanson que j’ai écrite il y a quelques mois. Je remarquais à ce moment là, le rapport étrange que l’on peut avoir avec les réseaux sociaux, cette idée de se montrer, de manière superficielle, toujours dans son plus bel élément et toujours seul face à son écran… Le dernier couplet du titre raconte en fait que toute la chanson est une auto-critique un peu exagérée.. Je prend beaucoup de distances avec les réseaux, mais je dois admettre que ça fait entièrement partie de mon métier. D’où l’importance d’en écrire une chanson pour en rappeler les dangers (narcissisme, solitude, comparaison,…)

Quand le réalisateur Aube Perrie, m’a envoyé le premier moodboard du clip, je me le suis figuré tout de suite, l’histoire générale, le visuel, le stylisme, j’aimais cette idée d’en faire un clip cinématographique. Le très grand nombre de références appuie cette idée de faux »

« La Thune parle de notre relation aux réseaux sociaux et par extension au monde qui nous entoure. Avec l’humour qui la caractérise si bien, Angèle se met dans le même sac que tout le monde et s’amuse de sa génération. La Thune ce n’est pas une critique vive des réseaux et smartphones, c’est de l’autodérision par rapport à nos comportements. Angèle sait qu’elle est la première à jouer ce jeu. Pour clipper le morceau, je me suis amusé à imaginer et construire le film exactement comme une photo Instagram, comme on fabrique sur les réseaux un miroir de sa vie qui reflète une image biaisée, factice, fantasmée. Pour pousser à fond le concept, je me suis inspiré de ces vidéos de gens qui filment à tout prix devant une situation dangereuse à la recherche de vues. Imaginer qu’on puisse sortir son smartphone pendant un braquage me semble délirant mais m’apparaît probable, possible, aujourd’hui. Jouer avec la réalité d’Angèle qui interprète son vrai-faux propre rôle de fille qu’on reconnaît partout. Inviter dans le film uniquement de vraies followers au top toutes castées via les pages d’Angèle qui sont venues kiffer autant que nous. »

ZOMBIES HEALTHY VS BONS VIVANTS

Ils ont envahi les réseaux dits sociaux et les magazines Lifestyle (H/F) avec leur mode de vie identitaire et uniformisé, basé sur l’entrainement à la salle de sport, les parcours kilométrés en semaine, les compétitions de running du week-end, les repas vitaminés à base de graines, bowls vegan, plats à moins de 30 calories, régimes… Ils ne parlent que de ça, font la roue dès qu’on salue leur silhouette toujours plus filiforme, trichent tout de même sur instagram, mais c’est de bonne guerre parce que tout le monde le fait, assènent sans cesse leur vérité sur le corps, il n’y a pas mieux, ni plus sain, ni plus appréciable, ils vivront très vieux et en très bonne santé, ils seront très beaux, mais seront-ils heureux ? Connaîtront-ils le goût du sel de l’existence ? Les quelques bons vivants encore en activité sont acculés, arc-boutés et de moins en moins enclins à la ripaille et à la gaudriole. Alors les zombies healthy sont certes proches de la perfection en extérieur, mais que serait la littérature par exemple, sans les esthètes de la fourchette et de la dive bouteille que furent notamment et parmi d’aussi illustres, Rabelais ou Alexandre Dumas ? Et l’humour dans tout ça ? Non pas pour rire de mais avec, avec celles et ceux qui tournent les phrases et les mots comme des grands crus et qui transforment les repas en véritables jubilations ? Serait-il possible dans un absolu idéal, de concilier les deux ? dépasser le culte du corps pour faire saillir les lumières de l’esprit ? François Rabelais a dit : “Par le monde, il y a beaucoup plus de couillons que d’hommes.”, c’est un fait malheureusement établi…

NAVRANCE & HUMANITUDE

Nous vivons l’époque des syllogismes d’ensemble absurdes, des clivages impossibles, du raisonnement figé sans remise en question. La faute à qui ? Le dire m’exposerait à la réfutation totale et immédiate de cette proposition de réflexion. Prenons un exemple concret : Donald Trump critique une partie de la presse, une partie du peuple critique Trump donc la presse dans son ensemble et le peuple dans son ensemble sont victimes de Trump… si je souhaite revenir sur ce que j’ai écrit, parce que je considère que c’est exagéré ou médiocre, ce sera trop tard, mon éventuel contradicteur se sera emparé de cette première information et ne me laissera aucune possibilité de modérer, d’atténuer ou même de changer mon propos. C’est possiblement le crépuscule de la spontanéité et de l’esprit critique. J’en veux pour preuve celui qui, sous le coup d’une impulsion, écrit un tweet, se rend compte qu’il n’est pas approprié et le retire, le commentaire consécutif ne tiendra compte que du fait que le message a été écrit, donc réfléchi et assumé en pleine conscience, par conséquent cet acte doit être condamné avec la plus grande fermeté, c’est d’autant plus vrai si c’est un trait d’humour… qui ose faire de l’humour en 2017 ? … Critiquer un élément revient à critiquer sa totalité. Si lors du journal télévisé j’ai l’impression qu’on sert la soupe à un parti politique populiste et que je l’exprime, ou si je conteste la fiabilité de certains sondages qui sont, selon moi, des pièges à clics tout aussi populistes et racoleurs, alors j’aurai commis le crime d’avoir critiqué l’ensemble du corps professionnel journalistique qui s’emploierait (si je représentais quelque chose) à me discréditer par tous moyens. De fait, j’ai de plus en plus l’impression que l’objectif n’est plus d’informer, d’éduquer mais de censurer et de condamner, de générer la petite phrase qui précipitera l’auteur au bûcher des vanités… Le risque étant par conséquent que, effrayés par ce traitement totalitaire de la pensée, nos concitoyens se résignent au pire en réaction à ce jusqu’au boutisme fanatique digne de l’inquisition, motivé notamment par la course aux espaces publicitaires.

Que penser par exemple de ces titres glanés au fil d’une recherche de 30 secondes :

Cyrille Eldin essaie de déstabiliser Laurence Haïm
« Monsieur pipi », « Mister Nobody », « Loser »: les surnoms de François Fillon peuvent-ils lui nuire ?
La blague de Vladimir Poutine sur Donald Trump et les « meilleures prostituées du monde »
« C à vous » : Yann Moix dézingue à nouveau l’émission d’Anne-Sophie Lapix
Dopage : Fourcade quitte prématurément la réunion avec la Fédération internationale…
François Hollande « sidéré par la bêtise » d’Anne Hidalgo
Ce sondage a de quoi inquiéter le PS… et un peu François Fillon
L’attitude de Barron Trump à l’investiture de son père fait marrer les internautes
Revenu universel. Benoît Hamon a-t-il rétropédalé ?

Suis-je le seul à ressentir la violence de ces mots ? A lire ces conditionnels qui ne traitent pas de faits mais sont le fruit de simples spéculations, quelle vérité peut sortir de cette information-spectacle ? Toute la journée la pression s’exerce sur les smartphones, tablettes, ordinateurs, boites mails, radios, télévisions, journaux papier, l’homme de la rue peut-il échapper à cette façon de raisonner ? Un autre point de rupture est la légitimité par le chiffre. Qu’importe la nullité si les chiffres sont importants, si ce billet est partagé des milliers de fois alors il deviendra référence, sinon il n’aura aucune valeur… Pour conclure, je ne parle qu’en mon nom, je ne représente personne, je suis ma propre voix et mes interrogations me sont personnelles. Je ne donne pas de leçons ni ne cherche à en recevoir, en revanche mon souhait serait qu’il y ait plus de recul, plus de vérité et moins d’interprétation, moins d’huile sur le feu et plus de compréhension. Est-ce déjà trop tard ?

DAS UNBEHAGEN IN DER KULTUR … UND DIE MEDIEN

DAS UNBEHAGEN IN DER KULTUR … UND DIE MEDIEN

« Parfois, ce sont les personnes qu’on imagine capables de rien qui font des choses que personne n’aurait imaginé ».

Das Unbehagen in der Kultur traduit en français par Malaise dans la civilisation est le titre d’un livre de Sigmund Freud. Pour l’auteur : La culture est la « somme totale des réalisations et dispositifs […] qui servent à deux fins : la protection de l’homme contre la nature et la réglementation des relations des hommes entre eux. » La culture n’est pas seulement soucieuse d’utilité car la beauté fait partie des intérêts de la culture. Le développement de la culture entraîne une restriction de la liberté individuelle : la culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel ; d’où l’hostilité de certains individus à la culture…

Sur la culture, au sens de « matériel » destiné à savoir, à connaitre ou à divertir , Gerard Depardieu s’est exprimé en ces termes, qui me semblent parfaitement sensés et justifiés : « Il n’existe plus que des gens normaux, puisqu’il n’y a plus de culture ». Même chose pour la démocratie, à l’ère du numérique : « Le suffrage universel, c’est fini : nous sommes dirigés par Apple et Zuckerberg ». Quant à son départ de la France : « Contrairement à ce que disent les journalistes, ce n’est pas pour la fiscalité que je me suis barré. Non. Si c’était pour ça, je me serais barré bien avant ! (…) Ce que je ne supporte pas, (…) c’est de voir que les Français sont tristes comme la mort ».

Nos médias, qui contribuent chaque jour selon moi à l’appauvrissement culturel, au diktat d’une pensée uniquement motivée par des intérêts économiques et au nivellement par le bas de notre civilisation (sans oublier le manque d’humour avec la prédominance du 1er degré), s’enferrent dans l’absurde position de juge, jury et bourreau d’informations, le plus souvent conditionnelles, générées dans le seul but de susciter la curiosité morbide ou la réflexion la plus primaire / binaire, sans jamais offrir l’occasion de réfléchir ou d’exprimer son esprit critique. J’en veux pour preuve quelques titres du jour :

Michou sans lunettes : la photo très TRES RARE !
Disparue après une punition : le corps de la petite Sherin aurait été retrouvé
Quelle est la bonne heure pour partir lorsque vous dînez chez des amis?
Nicolas Sarkozy inquiet du nombre d’heures de sommeil d’Emmanuel Macron
Les documents sur l’assassinat de Kennedy « pourraient perturber la perception que les Américains ont de leur pays »
Quand Nemo, le chien du couple Macron, urine dans un salon de l’Elysée

Paracelse : Souvent il n’y a rien dessus, tout est dessous. Cherchez !

Entendu récemment : « C’est sérieux, la connerie ça fait partie du patrimoine »

Illustration: Laszlo Moholy-Nagy, « A 19, » 1927, oil on canvas (LACMA)

This is Spinal Tap

États-Unis, début des années 80: le groupe de heavy metal Spinal Tap part en tournée, qui de triomphale se transformera bien vite en infernale, les déboires s’ajoutant les uns aux autres sous l’œil de la caméra d’un réalisateur de documentaires… Bien avant Le Projet Blair Witch ou Forgotten Silver et dans la lignée de Zelig, Rob Reiner avait réalisé en 1984 un vrai-faux documentaire sur le groupe Spinal Tap, inventé de toutes pièces pour l’occasion en compagnie de Christopher Guest. Une manière brillante de critiquer avec force et humour le milieu de la musique, des tournées et du heavy metal qui sortait alors de son heure de gloire et entamait son déclin. Enchaînant les situations les plus drôles avec entrain, peignant le portrait au vitriol d’une société du spectacle particulièrement détestable, Reiner a réalisé un véritable chef-d’œuvre d’humour époustouflant de réalisme. À tel point que le réalisateur a été dépassé par sa création, puisque le groupe devint réellement culte et fit une série de concerts après la sortie du film en salle, allant jusqu’à se reformer en 1992 pour enregistrer un nouvel album, Break like the wind ! Ce dernier accompagne les deux DVD bourrés de suppléments (dont deux sujets tournés par l’expert en rock’n’roll, Philippe Manœuvre) et le CD de la musique du film dans ce très beau coffret en forme d’ampli de guitare, qui devrait logiquement trouver sa place dans toute vidéothèque digne de ce nom… –David Rault  Rob Reiner a donné naissance en 1984 au premier Rockumentaire parodique, une satire sans faille des groupes de Heavy Metal. Spinal Tap, grand frère de Wayne’s Word, est devenu le film culte de plusieurs générations de fans. David Rault

Titre originalThis Is Spinal Tap
RéalisationRob Reiner
ScénarioChristopher Guest
Michael McKean
Harry Shearer
Rob Reiner
Acteurs principaux
Pays d’origineÉtats-Unis / Royaume-Uni
Sortie1984
Durée82 minutes

Un début prometteur

« Tu ne vis que pour le sexe, Henry ». On doit cette réplique lapidaire et clairvoyante à Hortense, copine de collège et « première fois » d’Henry, début prometteur des plaisirs du sexe et de l’amour, ses deux centres d’intérêts. Au cœur d’une famille en miettes, le jeune ado observe des adultes, ombres d’eux-mêmes, retournés comme des gants, qui se débattent entre la banalité crasse du quotidien et l’angoisse d’avoir à se poser les vraies questions. Il peaufine aussi son éducation « sentimentale » grâce aux conseils avisés de Martin, son trentenaire de frère. Ce dernier, « qui montrait ses chemises dans tout Paris » est revenu vivre chez ses parents vidé par la rupture, démoli par l’adultère ; il ressasse sa déchéance amoureuse dans un mobile-home au fond du jardin consommant tout ce qui peut faire oublier.

(suite…)

Le retour du Vieux dégueulasse: Charles Bukowski

« Je préfère les chiens aux êtres humains, les chats aux chiens, et moi plus que tous les précédents quand je suis saoul, en sous-vêtements, et debout devant ma fenêtre ».
Charles Bukowski

En 1969, Charles Bukowski, écrivain underground inconnu du grand public, fut projeté sur la scène internationale avec la parution du Journal d’un Vieux dégueulasse. Cette première édition n’avait repris qu’une quarantaine des chroniques qu’il avait écrites durant vingt ans ; certaines allaient ensuite nourrir Contes et Nouveaux contes de la folie ordinaire (1972), Au sud de nulle part (1973), Je t’aime Albert (1983), entre autres.

Le Retour du Vieux dégueulasse réunit en un volume celles qui seraient injustement tombées dans l’oubli. Cet ensemble constitue une espèce de gigantesque « roman à clef » grâce auquel Charles Bukowski a pu laisser vagabonder son imagination. Transgressant tous les tabous, il nous livre ses explorations de toutes les formes de sexualité, toutes les « perversions », toutes les « déviances ». Son humour permet à ses personnages, l’air de rien, « de laisser voir leur véritable nature »

LES MONTY PYTHON SONT-ILS DRÔLES ?

Oui, car ils ont dynamité les convenances. A l’occasion du succès de Spamalot, la comédie musicale adaptée du film Sacré Graal !, The Independent a demandé à deux chroniqueurs de plancher sur l’humour des Monty Python. Pour l’humoriste Mark Steel, leur drôlerie est indiscutable. courrierinternational.com

Le Bonheur par Club Med

Après 10 ans d’absence, le Club Med revient à télévision et au cinéma pour célébrer avec humour et connivence sa différence. Intitulé « Le Ballet », ce film surprenant est une parenthèse décalée qui mêle sophistication et convivialité.

En plus de 60 ans d’histoire, le Club Med s’est fait une place à part dans l’inconscient collectif. Il s’est aussi profondément métamorphosé durant ces 10 dernières années en menant à bien sa stratégie de montée en gamme, dans le but de rendre ses clients toujours plus heureux. Cette campagne célèbre ce chemin que le Club Med a parcouru. La nouvelle signature « Redécouvrez le bonheur » invite le public à se faire sa propre idée, en prenant part à l’expérience Club Med : une expérience riche, sur mesure et résolument haut de gamme. La liberté de tout faire ou de ne rien faire, dans des lieux d’exception, avec des équipes attentionnées dans une ambiance chaleureuse, c’est ça le Club Med !

Richard Yates – Tao Lin

Ce roman, même s’il s’intitule Richard Yates, n’a aucun rapport avec l’auteur éponyme… Ce n’est en aucun cas une biographie, le titre fait plutôt appel (même s’il est fait référence à quelques reprises à l’écrivain Richard Yates) à la sensation d’approximation, de «réalité abstraite» qu’on vit lorsqu’on s’aperçoit de la différence entre un contenant et son contenu, ou lorsqu’on compare des éléments aussi paradoxalement éloignés l’un de l’autre que l’Art et la Vie : une situation étrange et pourtant familière, nous laissant dans un doux état de confusion 
Deux jeunes gens, que l’auteur affuble de noms d’acteurs américains, Haley Joël Osment, 21 ans, habitant New York, et Dakota Fanning, 16 ans, habitant dans le New Jersey, font connaissance sur internet et s’éprennent l’un de l’autre. Après une première rencontre réelle au domicile de l’adolescente, ils enchaînent les allers-retours entre New York et le New Jersey. Le couple mange végan, vole dans les magasins et disserte sur la vie et l’ennui, se sent seul, échoue souvent à se comprendre. Lorsqu’ils ne sont pas ensemble, ils discutent en chat, alimentent leur spleen et une relation entre bonheur fulgurant et déprime suicidaire. Lorsque Joël quitte son appartement de New York pour s’installer dans le New Jersey, les deux personnages se dévoilent, laissant apparaître leurs blessures, leurs pulsions, leurs failles. Et Joël découvre alors les mensonges et manipulations de Dakota. Des jeunes ligotés par leurs liens virtuels, des adultes désarticulés par le réel, un récit entre l’hypnose et l’anesthésie. L’écriture minimaliste de Tao Lin et son humour à froid nous plongent dans la dépression générationnelle de ceux que l’on nomme les hipsters. Et, au détour d’une conversation en ligne apparemment anodine, les démons surgissent, avec toujours, en fond sonore, une solitude que l’on embrasse et dont on rit, comme pour l’apprivoiser. 
«Souvent hilarante, l’écriture de Tao Lin évoque les débuts de Douglas Coupland ou Bret Easton Ellis, mais avec quelque chose de particulier, presque beckettien. (…) Il y a chez lui une attitude, une ambiance, un abandon comiquement désespéré de l’ego littéraire.» The Guardian
Tao Lin, né en 1983, est l’une des voix les plus remarquées de la jeune littérature américaine. Il est l’auteur de deux recueils de poèmes (Cognitive-Behavioral Therapy et You are a little bit happier than I am), d’un recueil de nouvelles (Bed), d’une novella (Shoplifting from American Apparel) et de deux romans (Eeeee Eee Eeee et Richard Yates), à paraître au Diable vauvert, et travaille sur des projets cinéma expérimentaux. Il vit à Brooklyn.

Carton jaune

« C’est là depuis toujours, il faut que ça sorte. » Celui qui parle est au lit avec sa femme. On s’attend à quelque révélation sentimentale ou sexuelle ! Il continue : « Je vois Limpar qui feint d’alerter Gillespie, lequel fait écran, faute du défenseur ! Penalty ! Dixon marque. 2 à 0″… Le match est lancé. Sa femme le secoue : « À quoi penses-tu, chéri ? » Pas d’autre alternative alors que de mentir. Parce que pour un obsédé du foot, avouer la vérité peut entraîner l’exclusion immédiate.  Pour Nick Hornby, l’obsession a commencé alors qu’il était enfant, fils de divorcés et en quête de repères affectifs. Son père l’emmène voir le club d’Arsenal dans le nord de Londres et il découvre les matchs grandioses ou soporifiques, l’ambiance des stades mais aussi la futilité des supporters ou des joueurs. Derrière le récit de sa fertile imagination sportive, se dessine alors une autobiographie d’une grande originalité. La rupture familiale et les vides comblés par le foot, et plus tard, comment on devient écrivain malgré ou à cause de cette occupation monomaniaque, s’en excuser et en rire.  Au-delà de quelques longueurs narratives, Carton jaune est un récit plein d’humour dont la lucidité et le sens de l’autodérision ne peuvent laisser indifférent… même les plus allergiques au football. Belle victoire. –Stellio Paris  Quatrième de couverture  » Depuis l’admirable Haute Fidélité, Nick Hornby n’a pas perdu son sens de l’humour, de l’autodérision et du détail qui fait mouche. Derrière le récit de matchs épiques ou soporifiques se dessine le portrait attachant d’une famille, le passage à l’âge adulte. Carton jaune est un modèle d’autobiographie doublé d’un livre fin et drôle. Que demander de plus ?  »  De Nick Hornby http://www.amazon.fr

Et le rire dans tout ça ?

Les riches sont toujours plus riches. Les pauvres toujours plus pauvres et au milieu ça galère comme il faut… Sinistrose quand tu nous tiens ! Alors bien sûr on peut s’accommoder de ces poncifs et ne rien faire, si ce n’est tenter de vivre au mieux dans cet environnement. Sans mépriser les valeurs essentielles. Ce serait déjà un bon début… Ou alors prendre conscience qu’en France l’herbe n’est pas moins verte qu’ailleurs et que les cons sont légions partout dans le monde et pas uniquement chez nous. Ce qui m’interpelle aujourd’hui c’est le sérieux de notre société globalisée. La dérision, l’humour sont réduits au niveau de techniques marketing, pas plus. Le premier degré est devenu roi et gare à celui ou celle qui voudrait contrevenir à cet état de fait… De « 1984 » au « meilleur des mondes » en passant par d’autres romans d’anticipation, on peut constater que la légèreté,  le deuxième degré et tout ce qui permet le rire sont systématiquement absents. On parle toujours de la cruauté de l’homme comme élément différenciant de l’animal mais le rire bon sang, n’est ce pas ça aussi le propre de l’homme ? Justement, il faut distinguer l’humour mécanique, froid, cynique et cruel si en vogue aujourd’hui, du rire simple et sans arrière-pensée de l’innocent…

Tous des cons…

« Le pire con, c’est le vieux con. On ne peut rien contre l’expérience. » dit Jacob Braude, cela étant Yvan Audouard a raison lorsqu’il affirme  qu’être traité de con par un autre con ne prouve pas que vous n’en soyez pas un. Mais je ne peux que m’incliner devant cette sublime citation  de Georges Wolinski « Je suis un con, mais quand je vois ce que les gens intelligents ont fait du monde… ». Tout ça pour dire qu’à longueur de journées nous nous plaignons complaisamment des cons  aux yeux desquels nous sommes sans doute, à l’instar d’un miroir, leur alter-ego. Ayons au moins la franchise de l’admettre de temps en temps, être con n’est pas incurable, il suffit d’ajouter à sa personnalité un brin d’humour, de recul, de lâcher – prise, de tolérance et de considérer l’autre non pas comme une pompe à essence 24/24 mais comme un véritable être humain. Cela fait vous deviendrez juste con par intermittence et non plus constamment.  Dont acte of course 🙂

John Waters

Cinéaste atypique, cassant les genres par un cinéma résolument « trash », ses premiers films du genre sont Pink Flamingos, Female Trouble, et Desperate Living. Des films en totale rupture avec les conventions et le bon goût, comme en témoigne une scène culte de Pink Flamingos dans laquelle Divine, acteur fétiche de John Waters, mange des excréments de chien. Il est à noter que John Waters fais souvent place aux femmes fortes dans ses films. Nombreuses sont ses héroïnes aux formes généreuses. Divine dans la plupart de ses films, mais aussi Ricki Lake dans Hairspray, où elle vampe les hommes et remporte un concours de danse devant toutes les autres candidates minces. À partir de Hairspray, on notera un assagissement, du point de vue « trash », même si ses films auront toujours cette touche anti-conventionnelle qui caractérise John Waters. Que ce soit dans le choix des acteurs, aux physiques en totale opposition avec les acteurs américains conventionnels, que ce soit par l’humour qui caractérise ses œuvres, humour bien souvent noir ou décalé, voire de mauvais goût. Mais également au niveau des scénarios, qui nous emmènent dans des situations complément ahurissantes : ses films, même moins provocants qu’à ses débuts, seront toujours caractérisés par une vraie rupture avec le cinéma américain conventionnel. A la différence de ses premiers films caractérisés par son mauvais goût, il utilisera une image plus « douce », plus « propre » dans les années 80/90 mais son discours sera d’autant plus virulent et la pervesion d’autant plus efficace : utiliser les conventions d’un teenmovie (« hairspray »), d’un soap opéra (« Polyester ») pour mieux les détourner est une des meilleures réussites du style John Waters.

HUGO BOSS x VOGUE FASHION NIGHT OUT 2012

 Quand l’art rencontre la mode. A l’occasion de la « VOGUE FASHION NIGHT OUT », le jeudi 6 septembre 2012, HUGO BOSS met à l’honneur l’art contemporain, en faisant appel à l’artiste peintre, Yann Sciberras. Influencé par le mouvement de la figuration libre, son travail est incisif, décalé et résolument urbain. Ce témoin artistique, comme il aime à se définir, mixe autodérision et humour. Sa peinture constitue un mélange détonant tant sur les couleurs flashy et pop que par les mots utilisés comme accroche à l’influence urbaine. Il combine les formes et les mots version « in english ». Ses toiles racontent une histoire, une vérité au travers de slogans et de poésies. De 18 heures à 22 heures, Yann Sciberras, réalisera une performance en live en reprenant les codes de la maison HUGO BOSS. Avec cette manifestation, HUGO BOSS confirme son implication dans l’art contemporain. En association avec la Fondation Guggenheim, le géant du prêt-à-porter a créé en 1996 le Prix HUGO BOSS. Cette récompense représente aujourd’hui l’un des plus anciens partenariats entre la mode et l’art. Ce prix a valeur de référence internationale. Remis tous les deux ans, il est doté de 100.000 dollars et s’accompagne d’une exposition temporaire au Guggenheim de New York. Parmi les lauréats figurent notamment Matthew Barney (1996), Douglas Gordon (1998), Pierre Huyghe (2002) ou Tacita Dean (2006).

Le 9ème Prix HUGO BOSS sera remis le jeudi 1er novembre 2012 au Guggenheim de New York.
En attendant, Rendez-Vous le jeudi 6 septembre de 18h00 à 22h00 à la boutique HUGO BOSS – 372, rue Saint-Honoré 75008 Paris.

Survivant de Chuck Palahniuk

 » Personnes ne veut voir ses problèmes résolus. Ses égarements, ses histoires réglées, sa vie débarrassée de ses merdes. Sinon, que resterait-il à tout un chacun ? Rien que l’inconnu, ce vaste inconnu qui fiche la trouille.  » Tender Branson est bien placé pour le dire. Il est le dernier survivant d’une secte d’allumés et il navigue seul, après l’avoir détourné, dans un Boeing 747 mis en pilotage automatique à 13 000 mètres d’altitude. Destination l’Australie et le crash assuré. Plus que sept heures de vol à vivre pour raconter à la boîte noire ses incroyables secrets. Quelques litres de kérosène avant de finir éclaté en milliards de petits débris… Un roman imprévisible, inoubliable et un sommet de l’humour sauvage qui confirme Chuck Palahniuk comme l’un des écrivains de fiction les plus originaux du moment. http://www.amazon.fr

Comment gerer sa position sociale lorsqu’elle n’est pas « Stylée » ?

Je lisais ce matin un titre de la newsletter de 20 minutes qui fait état du désir de 3 salariés sur 4 de changer de travail en 2011 (enquête commandée par le site de recherche d’emploi Monster). Outre les motivations réelles de certains (sous payés, mal traités, etc…), d’autres semblent mélanger le macro et le micro économique (impôts, taxes, loyers) pour justifier leur envie de voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Et même si l’intelligentsia en Rolex tente de rassurer la plèbe en assénant que 80% des salariés chinois sont heureux (cela dit si ce chiffre était vrai et compte tenu du nombre de salariés en chine, 20% de malheureux ce serait déjà trop selon moi), le sujet reste brulant en France. Après la retraite c’est directement l’emploi qui sera probablement au cœur des débats en 2011. Il n’en demeure pas moins que parallèlement à cela, il y a également des salariés qui se morfondent pour autre chose.

En France, pour l’instant, nous n’avons pas de façon formelles et popularisées les réunions des anciens de la promo, de l’école, etc. comme aux Etats – Unis par exemple. Mais nous avons Facebook, Copains d’avant ou encore Trombi. D’où la question  : Comment gérer sa position sociale lorsqu’elle n’est pas  à proprement parlé « pump it up » ? (chef de rien, employé lambda, chômeur, éternel stagiaire). Il est logique que sur le nombre de contacts de chacun, certains aient mieux « réussi » professionnellement que d’autres. Alors les solutions pour celles et ceux qui se sentent minés par la réussite affiché de l’autre, en particulier celui à qui vous pétiez la gueule dans la cours de récré ou celle que vous surnommiez affectueusement gueule de tanche et qui aujourd’hui est une belle avocate, mère de trois enfants, qui roule en audi; vous pouvez gonfler votre profil, en rajouter sur les titres (conseil en vente de détail, manager d’espaces intérieurs, responsable petite enfance, rentier, créateur d’entreprise, coach, expert en sommeil, etc…) afficher vos meilleures photos de vacances, mettre en avant votre famille et si vous êtes un peu humour tuning  s’octroyer quelques diplômes farfelus (MBA de l’université du Kentucky dans le Fried Chicken)…

STOP ! Maintenant que j’ai balancé les bonnes conneries que l’on peut lire sur la plupart des portails : Wake Up ! Nous sommes en 2011, passez à autre chose, plus que jamais la société de consommation est en train de péricliter et le jeu des apparences ne concernent que les dupes volontaires. Alors libérez vous, faites comme dans la chanson : « Amusez vous, foutez vous de tout ! », n’oubliez pas que la roue tourne à partir du moment où vous vous donnez les moyens de modifier le cours des évènements. Travaillez, espérerez, persévérez et si cela tourne à votre avantage alors tant mieux pour vous, mais soyez élégant, ménagez les susceptibilités !

POP-CIBLE – Fidia Falaschetti

Jusqu’au 28/07/2012 Avec humour et une bonne dose de sarcasme, l’artiste florentin Fidia Falaschetti présente sa première exposition personnelle en France, POP-CIBLE, à la Galerie Lazarew. Graphiste, illustrateur et photographe pour la publicité, Fidia connait bien les engrenages du système, qu’il s’amuse à tourner en dérision dans une oeuvre dense et variée: installation, dessin, sculpture, etc. Avec force et ironie, il interpelle le spectateur dans une « surenchère » d’objets et de situations absurdes. La pomme rouge vif d’Apple Care, prête à être dégoupillée, ou la cigogne livrant un sac poubelle de Born to Be a Lie sont autant de pistes de réaction aux non-sens de la société contemporaine. Les variations pop de Fidia Falaschetti, en écho à l’exposition Ma l’Educazione actuellement à Brescia (Galerie Colossi Contemporaneo), mettent à contribution les visiteurs, libres de les interpréter selon leurs propres références. Galerie Lazarew 14 rue du perche 75003 Paris