EGGXTING SPA par PETROSSIAN

Eggxiting, la petite boule nomade remplie de caviar, dans un coffret ludique, frais et jeune ! Une invitation inattendue à déguster le caviar dans un bain, un jacuzzi, une piscine ou au bord d’un lagon…  Comprend : 2 Eggxiting 2 mignonettes de vodka 2 bouées à Eggxiting 2 verres et deux spatules de nacre. Source : http://www.petrossian.fr. A voir également sur le sujet www.gogoparis.com

PIPILOTTI RIST

Pipilotti Rist, en réalité Elisabeth Charlotte Rist, (21 juin 1962 à Grabs dans canton de St. Gall en Suisse) est une vidéaste suisse. Elle vit à Zurich, Bâle et Leipzig. Elle a obtenu sa maturité et a poursuivi ses études artistiques dans l’illustration et la photographie à la Haute Ecole d’arts appliqués de Vienne. Elle suivit la classe de création audiovisuelle à la « Schule für Gestaltung » de Bâle. De 1988 à 1994, elle fut membre du groupe de musique « Les reines prochaines». En quelques années elle maîtrise les images et elle les travaille longuement avec sa table de montage et son ordinateur. Elle incorpore dans ses vidéos des effets cinématographiques. Elle umet à profit les « défauts » de l’image et utilise le brouillage, le flou, les renversements ( l’image peut se retrouver inversée ou sur le côté comme dans l’une de ses vidéos où le spectateur est invité à se coucher pour la regarder ), le rythme, les plans rapides, les couleurs, les sons et la musique. De 1990 à 2001, elle travaille dans la vidéo et les installations vidéos à Zürich. Elle fut la première directrice artistique de l’Exposition nationale suisse de 2002 (Expo.02). 1982-1986 Etude artistique d’illustration et photographie à la haute école d’art appliqué à Vienne (Autriche) Graphiste pour ordinateur dans la pharmacie 1986-1988 Suit la classe de création audiovisuelle à « Schule für Gestaltung », Bâle Depuis 1984 travail avec des « Performances » et de la cofondatrice de l’orchestre féminin »Les Reines Prochaines«; Depuis 1988 art vidéo et installation vidéos En 1998, elle fait partie des finalistes du Prix Hugo Boss d’art contemporain 1997-1999 Directrice artistique de l’Exposition nationale suisse de 2002(Expo.02)

DRAGON ASH – VELVET TOUCH

Shizuka naru koe wo mune ni daite velvet touch
Mitsukaranu toge wo ima mo daite velvet touch
Ryoute ni wa velvet glove azayaka ni blow
Mizukara no shoumei wo hibi ni egaite velvet touch
Hey, we got iron fist
Nameraka na glove no uchigawa ni close on
Hey, we got iron fist in velvet
Iron fist in a glove
Oh, iron fist in a velvet glove
Shizuka naru koe wo mune ni daite velvet touch
Mitsukaranu toge wo ima mo daite velvet touch
Ryouashi ni velvet shoes adeyaka ni shoot
Mizukara no shoumei wo hibi ni egaite velvet touch
Hey, we got iron foot
Nameraka na shoes no uchigawa de bulls on
Hey, we got iron foot in velvet
Iron foot in a shoes
Iron foot in a velvet shoes
Haruka naru touge wo mune ni daite velvet touch
Kasuka naru moe wo ima mo daite velvet touch
Kokoro ni wa velvet coat karoyaka ni walk
Mizukara no shoumei wo hibi ni egaite velvet touch
Hey, we got iron heart
Nameraka na coat no uchigawa ni close on
Hey, we got iron heart in velvet
Ue ni hana sakanu hi wa shita ni ne nobaseba ii
Shinayaka ni kono ishi wo kate ni me wo daseba ii
Oh, iron heart in a velvet coat
So many pain kou ni kaete kanade
Yorokobi isande naite warae
Kidoairaku nido nai hazu no kêsu
Ore tachi wa purasu to mainasu no days
Hirusagari mo We’ll be right here
Tsuki akari no yoru mo We’ll be right here
Nameraka ni ikou ze seven days walk
Iron fist in a velvet glove

RILO KILEY – THE MONEYMAKER

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=mtyhWo8qngk]
« The Moneymaker »
You’ve got the money maker
You’ve got the money maker
This is your chance to make it
Out out out oh yeah
You’ll get out out out oh yeah
You’ve got the money maker
They showed the money to you
You showed them what you can do
Showed them your money
Make you get out out out oh yeah
You’ll get out out out oh yeah
You are the money maker
She wants to overtake you
You know you wanna make her
Show her your money maker
She said out out out oh yeah
She said out out out oh yeah
You get out out out oh yeah
You get out out out oh yeah
And deep in my hands
I will if you want me to
She is out out out oh yeah
She is out out out oh yeah
You get out out out oh yeah
You get out out out oh yeah

The Orgasm Cocktail

Mélanger la vodka, le rhum, le Malibu, la téquila et le jus de fruit (au choix: banane, orange, pamplemousse) dans un shaker. Servir le Cocktail dans un verre à whisky et compléter avec la grenadine.

Vanilla Skyy

1 cuill. café vermouth blanc (liqueur de vin) 2.5 cl vodka aromatisée à la vanille 2.5 cl vodka 1.5 cl schnapps à la pomme…

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé

Eleganza

Comme tous les ans les guetteurs de tendance attendent le signal pour enfin se lancer et annoncer formellement le thème de l’été. Cette année le mot d’ordre est « Club House Eleganza ». Elégance et décontraction. Styles inspirés de sportifs comme les mousquetaires Henri Lacoste et Jean Borotra, Guillermo Villas, Arthur Ash, Nick Faldo ; d’acteurs comme Sean Connery, David Niven, Marcello Mastroianni, Alain Delon ; de films comme la Dolce Vita, My fair Lady ou Plein Soleil ; de lieux comme Syracuse, Monte Carlo ou St Germain. Chic et rétro, air du temps et plaisir des sens. Apprécier une Peroni Nastro Azzuro* en terrasse, déguster un Cohiba Esplendidos et se régaler du spectacle des naïades en maillot de bain Agent Provocateur. Bande – son by Eliane Elias ou Ennio Morricone pour les grands espaces. Byzance. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

I Don't Want to Sleep Alone

Réalisé par Tsai Ming-liang Avec Lee Kang-sheng, Chen Shi-zheng, Norman Atun Kuala Lumpur. Un sans-abri, Hsiao Kang, est attaqué un soir dans la rue. Des travailleurs bangladeshi le trouvent et le transportent chez eux, dans le bâtiment désaffecté où ils habitent. Il va être pris en charge par l’un d’eux, Rawang. Chyi, une serveuse de bar, va elle aussi tomber sous le charme de Hsiao Kang. Cet homme qui n’était plus rien, devient l’objet de toutes les convoitises…

Brochettes thaïlandaises

600 g de porc maigre 12 piques à brochettes en bois 3 cuillères à café de curry 1 cuillère à café de sel 11 cuillères à soupe d’huile 6 cuillères à soupe de lait de coco 600 g de beurre de cacahuètes 4 cuillères à soupe de satay en poudre 2 cuillères à soupe de vinaigre. Préparer la marinade en mélangeant le curry, le sel, 3 cuillères à soupe d’huile et le lait de coco. Couper la viande en petits dés et la mettre dans la marinade. Bien mélanger et laisser reposer pendant 30 minutes. Préparer la sauce d’accompagnement : bien mélanger ensemble le beurre de cacahuètes, le satay, le vinaigre et l’huile restante. Piquer la viande sur les piques à brochettes. Griller au barbecue (ou sous le gril du four) pendant 10/15 minutes. Pour finir … Servir les brochettes avec la sauce et une salade de crudités. Le satay (ou sateh) est un mélange d’épices thaïlandais. On en trouve dans les épiceries asiatiques.

Sugar Ray – Every Morning

[youtube=http://youtube.com/watch?v=3cqU1pFRqYE]
Every morning there’s a halo hangin
from the corner of my girlfriend’s four post bed
I know it’s not mine but I’ll see if I can use it for
the weekend or a one-night stand
Couldn’t understand
How to work it out
Once again as predicted left my broken heart open
and you ripped it out
Something’s got me reeling
Stopped me from believing
Turn me around again
Said that we can do it
You know I wanna do it again
(Sugar Ray say)
Oh………..
(Every Morning)
Oh…………….
(Every Morning when I wake up)
(Shut the door baby, don’t say a word)
Oh…….
(She always rights the wrong, she always rights, she always rights)
(Shut the door baby, Shut the door baby)
Every Morning there’s a heartache hanging
from the corner of my girlfriend’s four-post bed
I know it’s not mine and I know she thinks she loves me
but I never can believe what she said
Something so deceiving
When you stop believing
Turn me around again
Said we couldn’t do it
You know I wanna do it again
Oh………..
(Every Morning)
Oh………………
(Every Morning when I wake up)
(Shut the door baby, don’t say a word)
Oh………..
(Every Morning)
Oh……….
(Every Morning when I wake up)
(Shut the door baby, shut the door baby)
She always rights the wrong
For me
Baby
She always rights the wrong
For me
Every Morning there’s a halo hanging
from the corner of my girlfriend’s four-post bed
I know it’s not mine but I’ll see if I can use it for
the weekend or a one-night stand
(Shut the door baby, don’t say a word)
Every Morning
Every Morning when I wake up
(Shut the door baby, shut the door baby)
Every Morning
Every Morning (Turn me around again)
(Shut the door baby, don’t say a word)
Every Morning
Every Morning

HOMARD A LA NAGE ET COCOS FRAIS

4 homards de 500 g – 1 kg de moules nettoyées – 1 kg d’étrilles – 300 g de haricots cocos frais, écossés – 2 blancs de poireaux – 2 carottes – 6 échalotes – 6 gousses d’ail – 100 g de concentré de tomate – 1 bouquet garni – 25 cl de vin blanc doux – 1 cuillère à soupe de miel – 20 g de beurre – 1 cuillère à café de gingembre en poudre – 1 pincée de piment de Cayenne – 1 cuillère à café de muscade ou de macis + 1 de curry – 10 cl d’huile d’olive – sel, poivre.

Dans un faitout, faites s’ouvrir les moules avec la moitié des échalotes hachées et le vin. Filtrez le jus (gardez les moules pour une autre recette). Ecrasez les étrilles. Saisissez-les avec les échalotes ciselées, 5 cl d’huile et le concentré de tomate. Versez le jus des moules. Ajoutez les poireaux et une carotte découpés en rondelles et 1,5 litre d’eau tiède. Laissez réduire de moitié 2 h sur feu doux. Ebouillantez les cocos 5 min. Egouttez-les. Remettez-les dans la casserole avec de l’eau salée, le bouquet garni et une carotte taillée en rondelles. Laissez frémir 15 min. Egouttez. Couvrez les haricots avec un linge humide. Placez les homards au froid pour les endormir. Coupez-leur la tête, fendez-la en deux. Détachez et cassez les pinces. Otez la poche à gravier. Découpez l’abdomen en trois. Faites revenir les têtes, les pinces et les tronçons de homard avec 5 cl d’huile et l’ail écrasé. Ajoutez les cocos, mouillez avec la nage. Laissez mijoter 3 min. Incorporez les autres épices et le miel. Laissez cuire 4 min. Prélevez le homard et les cocos. Filtrez le jus et fouettez-le avec le beurre. Servez sans attendre. Préparation : 40 min. Cuisson : 30 min + 2 h pour la nage.

Ben Khan – Savage

L’ovni savage de Ben Khan est un kaléidoscope surréaliste, iconoclaste et hallucinant ! Pouvoir de l’image…

NIKITA KADAN “Procedure room”

This project is about police torture, a widespread practice in contemporary Ukraine. One could also say that this project is about the body, as something personal (unalienated), something private (an object of exchange), and as something that exists for the public good (entrusted to uniformed professionals). The project consists of a set of souvenir plates printed with drawings of police tortures and the text of the email dialogue between Yekaterina Mishchenko and Nikita Kadan.

(suite…)

AUGURIES OF INNOCENCE

To see a World in a Grain of Sand

And a Heaven in a Wild Flower,

Hold Infinity in the palm of your hand

And Eternity in an hour.

A Robin Red breast in a Cage

Puts all Heaven in a Rage.

A dove house filld with doves & Pigeons

Shudders Hell thro’ all its regions.

A dog starvd at his Masters Gate

Predicts the ruin of the State.

A Horse misusd upon the Road

Calls to Heaven for Human blood.

Each outcry of the hunted Hare

A fibre from the Brain does tear.

A Sky lark wounded in the wing,

A Cherubim does cease to sing.

The Game Cock clipd and armd for fight

Does the Rising Sun affright.

Every Wolf’s & Lion’s howl

Raises from Hell a Human Soul.

The wild deer, wandring here & there,

Keeps the Human Soul from Care.

The Lamb misusd breeds Public strife

And yet forgives the Butchers Knife.

The Bat that flies at close of Eve

Has left the Brain that wont Believe.

The Owl that calls upon the Night

Speaks the Unbelievers fright.

He who shall hurt the little Wren

Shall never be belovd by Men.

He who the Ox to wrath has movd

Shall never be by Woman lovd.

The wanton Boy that kills the Fly

Shall feel the Spiders enmity.

He who torments the Chafers sprite

Weaves a Bower in endless Night.

The Caterpillar on the Leaf

Repeats to thee thy Mothers grief.

Kill not the Moth nor Butterfly,

For the Last Judgement draweth nigh.

He who shall train the Horse to War

Shall never pass the Polar Bar.

The Beggers Dog & Widows Cat,

Feed them & thou wilt grow fat.

The Gnat that singst his Summers song

Poison gets from Slanders tongue.

The poison of the Snake & Newt

Is the sweat of Envys Foot.

The poison of the Honey Bee

Is the Artists Jealousy.

The Princes Robes & Beggars Rags

Are Toadstools on the Misers Bags.

A truth thats told with bad intent

Beats all the Lies you can invent.

It is right it should be so;

Man was made for Joy & Woe

And when this we rightly Know

Thro the World we safely go.

Joy & Woe are woven fine,

A Clothing for the Soul divine;

Under every grief & pine

Runs a joy with silken twine.

The Babe is more than Swaddling Bands;

Throughout all these Human Lands

Tools were made, & Born were hands,

Every Farmer Understands.

Every Tear from Every Eye

Becomes a Babe in Eternity;

This is caught by Females bright

And returned to its own delight.

The Bleat, the Bark, Bellow & Roar

Are Waves that Beat on Heavens Shore.

The Babe that weeps the Rod beneath

Writes Revenge in realms of death.

The Beggars Rags, fluttering in Air,

Does to Rags the Heavens tear.

The Soldier armd with Sword & Gun,

Palsied strikes the Summers Sun.

The poor Mans Farthing is worth more

Than all the Gold on Africs Shore.

One Mite wrung from the Labrers hands

Shall buy & sell the Misers lands

Or if protected from on high

Does that whole Nation sell & buy.

He who mocks the Infants Faith

Shall be mock’d in Age & Death.

He who shall teach the Child to Doubt

The rotting Grave shall neer get out.

He who respects the Infants faith

Triumphs over Hell & Death.

The Childs Toys & the Old Mans Reasons

Are the Fruits of the Two seasons.

The Questioner who sits so sly

Shall never Know how to Reply.

He who replies to words of Doubt

Doth put the Light of Knowledge out.

The Strongest Poison ever known

Came from Caesars Laurel Crown.

Nought can deform the Human Race

Like the Armours iron brace.

When Gold & Gems adorn the Plow

To peaceful Arts shall Envy Bow.

A Riddle or the Crickets Cry

Is to Doubt a fit Reply.

The Emmets’ inch & Eagles mile

Make Lame Philosophy to smile,

He who Doubts from what he sees

Will never believe do what you please.

If the Sun & Moon should doubt

They’d immediately go out.

To be in a Passion you Good may do

But no Good if a Passion is in you.

The Whore & Gambler by the State

Licencd build that Nations Fate.

The Harlots cry from Street to Street

Shall weave Old Englands winding Sheet.

The Winners Shout, the Losers Curse

Dance before dead Englands Hearse.

Every Night & every Morn

Some to Misery are Born.

Every Morn & every Night

Some are Born to sweet delight.

Some are Born to sweet delight,

Some are born to Endless Night.

We are led to Believe a Lie

When we see not Thro the Eye

Which was Born in a Night to Perish in a Night

When the Soul Slept in Beams of Light.

God Appears & God is Light

To those poor Souls who dwell in Night

But does a Human Form Display

To those who Dwell in Realms of day.

William Blake

Feuilleté de Saint-Jacques au champagne et truffes

  • 30 cl de champagne
  • 18 noix de Saint-Jacques
  • 500 g de pâte feuilletée
  • 1 boîte de pelures de truffe
  • 220 g de beurre demi-sel
  • 1 c. à soupe de farine
  • 1 jaune d’oeuf
  • sel
  • fleur de sel
  • poivre moulu et en grains
  • 3 brins de cerfeuil

Etalez la pâte feuilletée sur 1 cm. Découpez-y six rectangles de 8 cm sur 6 cm. Déposez-les sur une plaque humectée d’eau. Mettez 30 min au frais. Emincez les noix de Saint-Jacques en deux ou trois disques, gardez-les au frais. Allumez votre four à 180°C.

Badigeonnez les rectangles de pâte de jaune d’oeuf mélangé à 1 c. à d’eau et cuisez-les pendant 15 à 18 min. au four. Faites réduire le champagne à environ à 4 c. à soupe. Farinez légèrement les Saint-Jacques, dorez-les 1 à 2 min dans 20 g de beurre chaud à la poêle. Salez, poivrez.Gardez au chaud. Incorporez le reste de beurre très froid coupé en cubes dans la réduction de champagne, en fouettant vivement. Poivrez et ajoutez les pelures de truffe hachées. Gardez au chaud dans un bain-marie frémissant. Fendez les feuilletés en deux, déposez les fonds sur des assiettes. Garnissez-les de Saint-Jacques. Nappez-les d’un peu de beurre de champagne. Posez les couvercles. Coulez le reste de sauce autour des feuilletés. Parsemez de fleur de sel et de poicre concassé.

HER : Un film de Spike Jonze

Los Angeles, dans un futur proche. Theodore Twombly, un homme sensible au caractère complexe, est inconsolable suite à une rupture difficile. Il fait alors l’acquisition d’un programme informatique ultramoderne, capable de s’adapter à la personnalité de chaque utilisateur. En lançant le système, il fait la connaissance de ‘Samantha’, une voix féminine intelligente, intuitive et étonnamment drôle. Les besoins et les désirs de Samantha grandissent et évoluent, tout comme ceux de Theodore, et peu à peu, ils tombent amoureux…
Avec : Joaquin Phoenix, Amy Adams, Scarlett Johansson, Rooney Mara…

Set in Los Angeles, slightly in the future, « her » follows Theodore Twombly, a complex, soulful man who makes his living writing touching, personal letters for other people. Heartbroken after the end of a long relationship, he becomes intrigued with a new, advanced operating system, which promises to be an intuitive entity in its own right, individual to each user. Upon initiating it, he is delighted to meet « Samantha, » a bright, female voice, who is insightful, sensitive and surprisingly funny. As her needs and desires grow, in tandem with his own, their friendship deepens into an eventual love for each other. From the unique perspective of Oscar-nominated filmmaker Spike Jonze comes an original love story that explores the evolving nature—and the risks—of intimacy in the modern world.

La Sérénité intérieure de Plutarque

La Sérénité intérieure rassemble les considérations morales sur la tranquillité de l’âme que Plutarque envoie à Paccius, sénateur romain. Le ton, familier et immédiat, est celui de la correspondance, tandis que profonde et rationnelle est la quête d’un parfait équilibre qui sait triompher des événements extérieurs, des troubles intérieurs, des passions prêtes à nous aigrir et à voiler d’ombre certains moments de notre existence. La philosophie de Plutarque nous apprend à accepter tout ce qui arrive, car il y réside toujours quelque bien : c’est dans la pratique de cette philosophie de l’adversité que nous trouvons en nous les valeurs morales et spirituelles dont personne ne pourra jamais nous priver.

Visionaire No. 55: Surprise [SPECIAL LIMITED EDITION]

How does photography come to life? How do you transform 2-D into 3-D? Can a photograph move on the printed page? This newest issue of the high-concept fashion quarterly Visionaire pushes the limits of paper with an issue devoted to pop-ups. Visionaire 55: Surprise presents 12 hardcover pop-up books, boxed together, with projects by Steven Meisel, Mario Testino, Steven Klein, Sophie Calle, Andreas Gursky, Cai Guo-Qiang, Guido Mocafico, S0lve Sundsb0, Yayoi Kusama, Gareth Pugh and Alasdair McLellan. Together, the pop-up folios are housed in a cloth-covered case with a magnetized closure and an engraved metal plaque. Surprise is a collaboration with the internationally renowned Champagne house, Krug. 

(suite…)

Eureka Street

L’auteur de Ripley Bogle nous entraîne à Belfast, sa ville natale, pour un roman foisonnant, à la fois tragique et hilarant. Qu’a donc trouvé Chuckie Lurgan, gros protestant picoleur et pauvre, qui à trente ans vit toujours avec sa mère dans une maisonnette d’Eureka Street ? Une célébrité cocasse et quelques astuces légales mais immorales pour devenir riche. Que cherche donc son ami catholique Jake Jackson, orphelin mélancolique, ancien dur et coeur d’artichaut ? Le moyen de survivre et d’aimer dans une ville livrée à la violence terroriste aveugle. Et qu’a donc trouvé Peggy, la mère quinquagénaire de Chuckie ? Le bonheur, tout simplement, grâce à une forme d’amour prohibée, donc scandaleuse dans son quartier protestant. Et, pendant ce temps-là, un inconnu couvre les murs de Belfast d’un mystérieux graffiti : OTG, écrit-il, OTG.

Un début prometteur

« Tu ne vis que pour le sexe, Henry ». On doit cette réplique lapidaire et clairvoyante à Hortense, copine de collège et « première fois » d’Henry, début prometteur des plaisirs du sexe et de l’amour, ses deux centres d’intérêts. Au cœur d’une famille en miettes, le jeune ado observe des adultes, ombres d’eux-mêmes, retournés comme des gants, qui se débattent entre la banalité crasse du quotidien et l’angoisse d’avoir à se poser les vraies questions. Il peaufine aussi son éducation « sentimentale » grâce aux conseils avisés de Martin, son trentenaire de frère. Ce dernier, « qui montrait ses chemises dans tout Paris » est revenu vivre chez ses parents vidé par la rupture, démoli par l’adultère ; il ressasse sa déchéance amoureuse dans un mobile-home au fond du jardin consommant tout ce qui peut faire oublier.

(suite…)

Recette : Artichauts poivrades et pois gourmands aux pignons

8 artichauts poivrades 200 g de pois gourmands 1 gousse d’ail 2 brins de cerfeuil 2.5 citrons (le jus seulement) 10 cl de mayonnaise 1 blanc d’oeuf 2 c. à soupe de pignons de pin 1 c. à café de graines de coriandre 1 feuille de laurier sel et poivre Coupez la queue des artichauts au ras des tiges, enlevez les premières feuilles trop dures de la base, coupez le sommet avec des ciseaux de cuisine. Plongez les artichauts ainsi parés dans de l’eau additionné du jus d’un citron. Versez 30 cl d’eau et les jus d’un deuxième citron dans une casserole. Ajoutez la gousse d’ail écrasée, le laurier et les graines de coriandre, du sel et du poivre. Portez à ébullition, cuisez 5 min. Égouttez et coupez en quatre les artichauts, faites-les cuire dans le bouillon jusqu’à ce qu’ils soient tendres (pendant environ 12 à 15 min) et laissez-les refroidir dans leur jus de cuisson. Faites cuire les pois gourmands effilés 3 ou 4 min dans de l’eau salée à découvert, rafraîchissez et égouttez-les. Répartissez les artichauts sur un plat avec les pois gourmands. Faites griller les pignons de pin à sec à la poêle. Montez le blanc d’oeuf en neige avec une pincée de sel. Incorporez-le à la mayonnaise, ajoutez n filet de jus de citron, versez-en sur les assiettes, parsemez de pignons et de pluches de cerfeuil.

Bite Me Magazine Issue #1

Je vous encourage vivement à vous rendre sur issuu.com pour découvrir cette extravagance arty ! « There’s Art and then there’s Butt Art« . Cette fois pas de doute c’est un vrai journal de cul ! Katrina Tran & Jason Schlabach sont à l’origine de Bite Me, Magazine édité à  Hong Kong.

Lampe de table Bourgie par Pharrell

Le touche à tout de génie s’illustre cette fois dans le domaine de la déco avec cette réinterprétation de la Bourgie, modèle phare de chez Kartell.

Damien Hirst ‘Gone But Not Forgotten’

Si vous êtes à Cannes avec quelques ressources, sachez que cette pièce dee Damien Hirst sera à vendre dans le cadre du gala amfAR Cinema Against AIDS. Oui je sais, il se passe assez étonnamment d’autres événements que la montée des marches de Bimbos de la télé réalité ou la projection de films parfois très très néo hipsters.

If you were an M&M, what color would you be ?

What personality would you have? What would you do to make us laugh? The chocolate candy company has launched a website that lets you create your own M&M character, complete with its own personality, and so much more. On the website, you can find a number of options for you to create your own M&M character: body shape and color, shoe style and color, hair style, facial hair, and even accessories. You’re able to print your new M&M character onto coffee mugs, or even set it as your desktop background. Additionally, the site is full of other interesting content: downloads, desktop backgrounds, commercials, and even games. I am sure that you’ll enjoy taking the time to make your character and surf the website.

Customiser ses repas

Véritable phénomène de mode, la customisation de plats préparés est en passe de remplacer la cuisine traditionnelle. Vous ne savez pas faire la pate à pizza ? Vous n’avez pas le temps ? Peu importe, il suffit d’acheter une marguerita de base surgelée et d’y ajouter vos ingredients : cêpes, chorizo, fromage etc… Il en va de même pour les desserts et les plats exotiques. Tout est modifiable pour peu que vous ayez suffisament d’imagination. N’hésitez plus à faire des courses ludiques et n’oubliez pas que c’est également valable pour les plats achetés chez le traiteur, remplacez par exemple la saucisse de francfort de la choucroute par une toulouse etc… Objectif: Prendre à nouveau du plaisir dans la cuisine.

Les blogueurs ont-ils droit de protéger leurs sources ?

La protection des sources est un garde-fou fondamental permettant de garantir l’indépendance des journalistes.

C’est grâce à elle que les « affaires » peuvent être dévoilées. Si un média peut être forcé de « donner » ses informateurs, des scandales comme celui du « Watergate » ne peuvent plus être révélés. La protection des sources est un privilège relatif, même pour un journaliste professionnel.  Aux Etats-Unis, par exemple, nombreux sont les cas de reporters envoyés en prison pour avoir fait fuiter des informations « portant atteinte à la sécurité nationale » (ex : Judith Miller ou Lance Williams et Mark Fainaru-Wada. Certaines affaires, notamment outre-Atlantique avec Josh Wolf, ont généré un débat sur l’élargissement de cette protection à tous ceux, comme les blogueurs, qui publient de l’information sans pour autant être considérés comme des journalistes professionnels.

Selfish, Self-Absorbed, Egotistic… Comfortably Numb

Hello? Hello? Hello?

Is there anybody in there? 
Just nod if you can hear me. 
Is there anyone at home? 
Come on now 
I hear you’re feeling down. 
Well I can ease your pain 
Get you on your feet again. 
Relax. 
I’ll need some information first. 
Just the basic facts. 
Can you show me where it hurts ? 

(suite…)

Le cocktail Margarita

Les cocktails fondamentaux (à consommer avec modération) démarrent avec le cocktail Margarita
Ingrédients: 4 cl de tequila. 2 cl de liqueur d’oranges (cointreau,grand marnier). 1 cl de jus de citrons verts. Préparation au shaker. Frapper les ingrédients puis verser dans le verre givré au citron et au sel fin… Servir dans un verre de type « verre à cocktail » Décorer d’une tranche de citron vert

Trop sexy pour prendre le bus – Un Gorafi like de 2007

Un conducteur de bus de Lindau, dans le sud de l’Allemagne, a menacé d’expulser une de ses passagères qu’il jugeait trop sexy. « Soudain il a arrêté le bus », a raconté au quotidien Bild Debora C, une vendeuse de vingt ans. « Il a ouvert la porte et m’a crié dessus ‘Votre décolleté me distrait à chaque fois que je regarde dans mon rétroviseur et je ne peux pas me concentrer sur la circulation. Si vous ne vous ne changez pas de place, je vais devoir vous faire descendre' ». La jeune femme a déclaré qu’elle avait changé de place mais s’était sentie humiliée par le chauffeur. Un porte-parole de la compagnie de bus a pris la défense du chauffeur. « Le conducteur du bus est autorisé à faire cela et il a fait ce qu’il avait à faire », a-t-il déclaré. « Un conducteur ne peut être distrait parce que cela met en danger la sécurité de tous les passagers. »

Ella Fitzgerald – I'm beginning to see the light

I never cared much for moonlit skies I never wink back at fireflies But now that the stars are in your eyes I’m beginning to see the light I never went in for afterglow Or candlelight on the mistletoe But now when you turn the lamp down low I’m beginning to see the light Used to ramble through the park Shadowboxing in the dark Then you came and caused a spark That’s a four-alarm fire now I never made love by lantern-shine I never saw rainbows in my wine But now that your lips are burning mine I’m beginning to see the light.

Ella Fitzgerald – I’m beginning to see the light

(suite…)

Tamara de Lempicka

Tamara de Lempicka, née Maria Gorska le 16 mai 1898, à Varsovie, en Pologne, et décédée le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique. Elle est la peintre polonaise la plus célèbre de la période Art déco.

Brillante, belle et audacieuse, inclassable, mystérieuse et contradictoire, elle a fait de sa vie une succession de mises en scène très élaborées. Elle prône le luxe et la modernité. Elle aimait avant tout les femmes mais elle s’est mariée deux fois. Tamara de Lempicka occupe une place à part dans l’art du XXe siècle : malgré une production peu abondante (à peine 150 tableaux dans sa meilleure période qu’on situe entre 1925 et 1935), ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd’hui lorsqu’il s’agit d’illustrer les années folles de l’entre-deux-guerres. Ses modèles se caractérisent par des regards interrogateurs et sensuels, une bouche pulpeuse pour les femmes et pincée pour les hommes, des couleurs vives, mais en nombre limité, mises en valeur par des fonds gris ou noirs. Derrière une stylisation néo-cubiste, qui les situent parfaitement dans leur temps, les portraits de Tamara de Lempicka ne négligent aucune des magistrales recettes de composition qui furent élaborées par ses grands prédécesseurs de la Renaissance italienne.

Candle in the Wind

Le Dandy, créature romantique par excellence et butineur de vie par essence ne se préoccupe de la mort qu’à la lueur d’une bougie True Grace ;

Concerné non pas par l’aspect bassement morbide de la chose mais plutôt par la façon la plus élégante de quitter ses contemporains. Même si il n’imagine sa disparition qu’au terme d’une vie longue et merveilleuse, pleine d’attraits et d’aventures sulfureuses, le Gentleman sait déjà que l’on entendra résonner dans une cathédrale l’Etude in C minor Op. 10.12 – Revolution de Chopin en sa mémoire, qu’il sera habillé d’un costume pourpre en velours sur mesure et de Berluti en crocos, des milliers de fleurs exotiques encercleront son ultime demeure tandis que ses multiples veuves pleureront des effluves de Joy de Jean Patou… Si chic So dead like a Candle in the Wind.

(suite…)

Trick baby – Iceberg Slim

Chicago, octobre 1960, histoire d’arnaqueurs.

« White Folks » dit aussi « Trick Baby » (fils de passe) a beau avoir les cheveux clairs, les yeux bleus et la peau blanche, il est rejeton de métisse et noir en dedans. Avec son complice Old Blue, il forme le tandem de petits entourloupeurs de rues le plus efficace de la ville. Mais il est rejeté à la fois par la communauté noire et par la communauté blanche. En redoutable menteur, il mène néanmoins très bien sa petite barque de la truande, plumant les pigeons qui se présentent ça et là. Sauf qu’un vilain jour, comble de malchance, il s’attaque à un vieil homme qui s’avère être parent avec le parrain de la mafia Nino Parelli. C’est comme ça qu’on s’attire de gros ennuis. Les pressions, chantages et terribles menaces vont se multiplier… www.amazon.fr Adaptation cinématographique : Trick Baby (1973)

Soap the Stamps


Following obsessive fans and musicians, Soap the Stamps, who turned the rural satellites and drab suburbs of the UK on their heads

Initials S.G

Une nuit que j’étais
A me morfondre
Dans quelque pub anglais
Du coeur de Londres
Parcourant l’Amour Monstre de Pauwels

Elle s’était donnée, entièrement, elle qui était fière, qui s’aimait, s’admirait, se croyait de l’étrangeté et des pouvoirs dans la solitude exaltée de son coeur, de son coeur qui brûlait, mais comme la glace brûle.
Elle qui voulait être plus forte que la famille, le couvent, le mariage, tout ce qui l’avait serrée ; elle qui s’était donné un coup de pouce du côté des prémonitions, des signes, de l’insolite, des sortilèges ; elle qui avait de la froideur, en dépit de son gros tempérament, elle avait cru remporter une victoire sur le passé en séduisant cet homme.
Mais voilà qu’elle s’était vraiment donnée.
Cela avait été plus fort qu’elle. Elle avait déversé tout ce feu dans l’amour de son amant. Soudain, elle n’était plus rien qu’une femme qui s’ouvre, mais avec une sincérité, une violence extraodinaires.
Elle avait résisté à sa mère, elle avait échappé au couvent, elle s’était gardée de son mari, et tout cela avec une habileté inspirée qui ressemblait au triomphe de la vertu.
Elle avait ensuite vécu en l’attendant…
Et maintenant, elle s’était donnée, aussi farouchement qu’elle s’était jusqu’ici défendue. Elle était amie, épouse, enfant, maîtresse, mère… Elle s’évanouissait dans le plaisir, elle s’anéantissait avec adoration, elle abandonnait tout dans le spasme humble jusqu’à l’incandescence, pleine d’un délire de bête et d’un renoncement religieux. Elle livrait son âme et son corps. Elle s’écartelait ; des cris, des flots, des bruits sortaient d’elle ; elle inondait le lit, elle s’immolait et elle mettait du surhumain là-dedans.
Il y avait peut-être, en effet, quelque chose de surhumain…
La femme est rare, la vraie femme est le miracle : son amant l’avait découverte. Elle se révélait à elle-même. Il s’accomplissait. Elle était déliée de son passé, lisse, confiante, enfantine. Il avait rajeuni, il s’était élargi… Avant les gens le trouvaient distant, fermé. Maintenant, il rayonnait…
C’était l’amour et ce n’était que le commencement… Louis Pauwels (1955)
Me vint une vision
Dans l’eau de Seltz
B Initials
B Initals
B Initials
B.B.
Tandis que des médailles D’impérator
Font briller à sa taille
Le bronze et l’or
Le platine lui grave
D’un cercle froid
La marque des esclaves
A chaque doigt
B Initials
B Initals
B Initials
B.B.
Jusques en haut des cuisses
Elle est bottée
Et c’est comme un calice
A sa beauté
Elle ne porte rien
D’autre qu’un peu
D’essence de Guerlain
Dans les cheveux
B Initials
B Initals
B Initials
B.B.
A chaque mouvement
On entendait
Les clochettes d’argent
De ses poignets
Agitant ses grelots
Elle avança
Et prononça ce mot :
Alméria !

Et si les réseaux sociaux devenaient moralistes ?

Compte Instagram de Rihanna fermé. Sanctions des braqueurs de j’aime sur Facebook.

Parité suiveurs – suivis et comptes licencieux très scrupuleusement surveillés sur Twitter. Chaines fermées sur youtube. Les Social Network ne badinent plus avec la morale et la « déontologie ? » Pourquoi ? Ben…. je crois que ces connards se sont quand même rendu compte que plus personne n’y faisait rien à part subir les mêmes pressions qu’à la téloche. Moins d’engagement, moins de création, moins d’intérêt, c’est moins de temps passé dessus, c’est moins de données à collecter (on regarde tous le même sujet et c’est tout), c’est surtout lénifiant au point de pousser les gens à déserter leurs profils pour faire des trucs de fous genre aller dehors et se rencontrer pour de vrai, sans smartphones, sans risquer de se retrouver le lendemain viralisé à outrance…

Alors, maintenant c’est respecte la ligne blanche ou dégage ! pour l’instant youporn et et pornhub résistent mais combien de temps 🙂 Toujours est-il que le réseau Jelly est en train de se faire sa place au soleil avec son système bien disant de « je te pose une gentille question », « tu me donnes une gentille réponse », le tout dans la cordialité la plus absolue…

Avec ces conneries je ne suis pas prêt de fermer boutique, il n’y aura plus que ce genre d’espace bloguesque pour  cumuler du cul, de la gnole, du politiquement pas correct et éventuellement des empoignades dans les commentaires !

344 mots pour ce billet, ça ne tient pas sur Twitter, ni sur Facebook trop long et pas assez visuel, pareil pour snapchat, instagram et pinterest, ce n’est pas un cliché original d’illustration, piqué sur tumblr et je n’ai pas fait de vidéo donc j’oublie youtube, dailymotion, viméo…

En fait comme tout le monde je les connais et utilise tous, mais de là à reconnaitre leur utilité pour étayer un point de vue…

Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maître et le sculpteur de toi-même. » Friedrich Wilhelm Nietzsche Partagez plutôt cette citation en espérant qu’elle profite à quelqu’un qui saura s’en servir correctement, mieux que nous avec nos réseaux prisons.

 

LA CHAMBRE BLEUE un film de Mathieu Amalric

« Une merveille » Gilles Jacob, président du festival de Cannes

D’après le roman « La Chambre Bleue » de Georges SIMENON avec Mathieu Amalric, Léa Drucker, Stéphanie Cléau, Laurent Pointrenaux, Serge Bozon, BLUTCH

Dis- moi Julien, si je devenais libre, tu te rendrais libre aussi ?
– Tu dis ?…
Un homme et une femme s’aiment en secret dans une chambre, se désirent, se veulent, se mordent même. Puis s’échangent quelques mots anodins après l’amour.
Du moins l’homme semble le croire.
Car aujourd’hui arrêté, face aux questions des gendarmes et du juge d’instruction, Julien cherche les mots.
« La vie est différente quand on la vit et quand on l’épluche après-coup. »
Que s’est-il passé, de quoi est-il accusé ?…

France
Durée : 1h16
Distribution : Alfama Films
Produit par Paulo Branco

Velouté à la Crécy

800 g de carottes 100 g de de pommes de terre 1 blanc de poireau 20 g de beurre 1 c. à café de concentré de tomate ou de curry 2 cubes de bouillon de légumes 10 cl de crème liquide 4 brins de ciboulette sel et poivre Peler et couper tous les légumes en rondelles. Faire suer le poireau dans le beurre, ajouter les carottes, les pommes de terre, le concentré de tomate, mélanger, verser 1l d’eau et les cubes de bouillon. Saler un peu, poivrer. Laisser mijoter pendant 30 min, mi-couvert. Mixer ou passer à la moulinette, ajouter la crème liquide, réchauffer 5 min à feu très doux. Verser dans de bols, parsemer de ciboulette ciselée. Servir avec des croûtons grillés.

Langouste royale

4 queues de langouste (600 g) – 600 g d’asperges vertes surgelées – 2 tranches de mangue – 50 cl de court-bouillon – 2 échalotes hachées – 2 c. à café de gingembre râpé – 20 g de beurre – 6 cl de crème fraîche – 2 œufs entiers – sel, poivre. Faire cuire les asperges à l’eau bouillante salée 8 min.

Préchauffer le four à 180°C. Couper 12 pointes d’asperges, les réserver. Mixer le reste avec la crème et les œufs. Saler, poivrer, verser dans 4 ramequins beurrés. Enfourner au bain-marie 20 min. Faire cuire au court-bouillon les queues 9 min dès la reprise de l’ébullition. Egoutter et réserver 20 cl de court-bouillon. Faire revenir les échalotes avec 10 g de beurre, le gingembre et la mangue coupée en morceaux 5 min. Mouiller avec le court-bouillon et laisser cuire 5 min, mixer. Saler et poivrer. Couper la langouste en tranches, servir avec la sauce chaude et les mousses garnies de pointes d’asperge.

Vitello Tonato

1,4 kg de rôti dans la noix de veau, 12 filets d’anchois à l’huile, 1 verre de vin blanc sec, 2 carottes, 1 oignon, 3 gousses d’ail , 2 cuillères à soupe d’huile d’olive, 1 branche de céleri, thym, laurier, sel, poivre.

Pour la sauce : 1 petite boîte de thon au naturel, 6 cuillères à soupe de mayonnaise, 1 cuillère à soupe de moutarde, 1 cuillère à café de Cognac, 1 jus de citron, 2 cuillères à soupe de câpres.  A l’aide d’un couteau pointu, piquez le rôti avec les filets d’anchois à intervalles réguliers. Dans une cocotte, faites rissoler le rôti dans l’huile d’olive chaude. Quand la viande est bien dorée, ajoutez les carottes, le céleri et l’oignon en gros dés, l’ail écrasé. Complétez avec le thym, le laurier, salez et poivrez. Arrosez avec le vin blanc et un peu d’eau pour arriver à hauteur de la viande. Portez à ébullition et laissez cuire avec un couvercle 90 mn à petite ébullition. Laissez le Vitello Tonato refroidir dans son jus au réfrigérateur, plusieurs heures. Pour la sauce : dans un robot, mixez le thon égoutté avec la moutarde, le Cognac et le jus de citron. Mélangez le tout avec la mayonnaise et les câpres.

Dandy

Le dandysme, considéré comme la pratique d’un raffinement et d’une élégance dans l’habit, les manières et l’esprit, surgit comme un style de vie des élites hommes– car il s’agit d’un monde d’hommes– de la société anglaise à l’aube du XIXe siècle. Son arrivée en France coïncide avec la Restauration et le retour des émigrés monarchistes après 1815.

Dès 1816, le roi des dandys anglais George Brummell vit à Caen où il devient pour un temps consul. Le dandy veut creuser des écarts avec le reste de la société. Sa dimension pittoresque autant que sa présence dans les endroits à la mode l’inscrivent rapidement comme centre d’intérêt. (…)