Même si le titre est équivoque, Il ne faut pas croire que le blogueur et l’utilisateur de Twitter, sont invariablement les mêmes, il est cependant usuel pour un blogueur de tweeter ! Il n’existe pas de règle établie mais la majorité des blogueurs ayant un compte Twitter, partagent des informations différentes de celles présentes sur leur blog. Les adeptes de Twitter sont friands d’infos immédiatement consommables, de petites phrases ou de traits d’humeur ou d’esprit. Twitter est dans l’instant, Facebook dans la journée et le Blog de part son indexation est dans la durée. Il ne me reste plus qu’à tweeter le titre de ce billet pour amener peut être de nouvelles réflexions sur le sujet…
Malheureusement il me semble totalement illusoire de croire qu’il est aujourd’hui possible en l’état, de réformer en un claquement de doigts la société de consommation internationale (hou le joli poncif). Il serait alors juste d’essayer de s’emménager une vie agréable dans cet environnement. Sans mépriser les valeurs essentielles. Tous ceux qui voyagent seront d’accord, en France l’herbe n’est pas moins verte, la différence c’est l’état d’esprit, la volonté collective de s’affirmer, d’assumer, de voir l’avenir. Nous aimons les cadres, les limites, les catégories, mais à cause notamment d’un traitement de l’information ultra premier degré et d’un manque évident d’en savoir plus, les français ont perdu le sens de la distance, du recul et de l’humour. La dérision potache et non acide ne fait pas recette parce que les gens sont conditionnés à ne s’intéresser qu’à la provoc. Les clowns sont devenus des hyènes et de fait la société s’est durcie. Alors le rire, l’arme fatale contre la médiocrité ambiante ? Comment être fier d’un pays alors qu’on nous explique depuis 30 ans qu’on doit être honteux, car nous sommes (d’après ceux qui le disent) d’abominables capitalistes, d’odieux racistes, la risée du monde et de l’Europe en particulier ? Le monde change pas les cons apprenons ensemble à dépasser cette condition.
Concrètement perdez du poids ou perdez du pognon, une manière originale de vous contraindre à perdre du poids ! Lose It or Lose It is an innovative online service that enables you to design your own 10-week weight loss plan and track your progress, and also gives you tools and incentives to keep you motivated and help you achieve your weight loss goals. The idea is very simple – you set a goal for yourself to lose a certain number of pounds per week and then give us how much money you want to put on the line if you don’t make your goals (we like to think of this as your investment in losing weight). The process starts with an initial weigh-in, and then there are 10 weekly weigh-ins after that. If you miss a weigh-in or if you fail to achieve your weekly weight goal, as verified through the weekly weigh-ins, a “penalty” will be deducted from your investment (please see the next section for how these penalties are calculated). In other words, lose the weight or lose your investment. That is why a Lose It or Lose It investment is different from a financial investment — there is no expectation of getting your investment back unless you achieve the goals you set for yourself. You will receive e-mail reminders to make sure you weigh in each week during the required timeframe. In addition, you must designate two or more “accountability friends” who must agree to receive e-mails about your progress so that they can spot you. At least two persons must agree to be accountability friends before you can start your plan. Your accountability friends will receive up to two e-mails a week about the results of your weigh-ins and certain other events, for example, if you fail in weigh in. Who Can Use Lose It or Lose It? Any resident of the United States who is 18 years of age or older. loseitorloseit.com
Le rire est le propre de l’homme, alors prenons les événements de la vie avec un tant soit peu de recul philosophique. Bouffe et sexe voilà ce dont nous avons besoin pour affronter les terribles turpitudes que le monde moderne nous infligent… Et finalement faut-il s’en offusquer ? Depuis que les rombieres se laissent embarquer dans les nuances de gris le sexe est devenu mainstream, les hommes prennent d’assaut la cuisine, l’appétit vient en mangeant… Faites chauffer les fourneaux.
« Hé ! Mec ! Mec, comment t’épelles Paris ? Paris ? P-A-R-I-S. Non, non, non, non, non, Paris, ça s’épelle M-E-R-D-E. Tu sais, tu devrais trouver quelqu’un Qui remplisse ton cœur d’amour, ou de calmant. Enfin de quelque chose Parce qu’on arrive par erreur, par hasard, Et trop tard. Et la poubelle est pleine depuis si longtemps, Qu’il n’y a plus de place pour nos déchets à nous. C’est Paris. Paris, ville de nos rêves. Et à Paris y’a rien à faire, Juste marcher dans les rues. P-A-R-I-S. » depuis que Daniel Darc chantait Paris avec Taxi girl en 1984, rien n’a changé au contraire. Heureusement une poignée de groupes de la Capitale redorent le blason d’une ville qui fout le cafard. Paris, d’abord nommé Parade (pour le ballet de Cocteau avec une musique de Satie et des costumes de Picasso), puis Dior (Galliano trouvait l’idée géniale, mais l’appellation était déposée) est la formation fondée en 1999 par Nicolas Ker (Poni Hoax) et Axel Bonard. « Ca aurait été cool de s’appeler Dior alors qu’on était au RMI et plutôt habitués de Ed l’épicier et qu’on portait des pantalons YSL rapiécés ». Mais la rencontre des deux rmistes remonte à beaucoup plus loin. (…) La Suite : www.myspace.com/unoceandetoiles
Jacek Sienkiewicz | Recognition Records R-EP029 In the world of factory presets, default settings and copy-paste ethics, there are few artists that actually care to make a difference. And “Who Told You That?”, 29th release on Warsaw Recognition label, is certainly a voice to be heard. The title track is another subtle narrative from label boss Jacek Sienkiewicz. Eerie chord and a solid, damp beat from the start are underpinned by sherds of dialogue – snippets of words and laughter keep coming back in the mix, providing some sort of uneasy commentary towards todays minimal house formula. But at some point the voices disappear – and then the tracks gently goes somewhere outside the boundaries of todays club music, somewhere otherworldly. This shift, albeit amazingly subtle, is a leap towards music free of any defined context, far beyond dancefloor and definitely original. If this sneak peak into the possible futures of man-machine induced visions is too much to handle, there is still the B-side of this release. Two tracks here – both clocking around mere 5 minutes – are prime exercises in compact, clever, tight and efficient club tools. Uplifting “Cobalt Drive” is bound to to be quoted and reworked into many forms of a late-night burner. “Patefon”, on the other hand, is a peak-time stormer with its stuttering chords and moody samples, supposedly picked from some vintage shellac discs. As tribal as it gets, this miniature novel reveals new meanings with each listen…. “incredibly good” Sven Schäfer (Raveline) “have to agree with my colleague: incredibley good! ” Alexis Waltz (Groove Magazine/De:Bug) “so muss Techno anno 2010 klingen. Entspannt und groovy.” Raveline “very much like the groove of who told you that but my favorite is cobalt drive. lovely release!” Electric Indigo “amazing trippy stuff.” Dario Zenker (Harry Klein) “strong EP – very cool – digging this and playing” Slam (Soma Records)
Un Style Setter est un véritable caméléon urbain. Il se distingue notamment du Style Leader car il n’arbore jamais d’accoutrements trop voyants (parfois dignes de meneuses de revue des folies bergères futuristes), mais il prône au contraire une image de luxe de glamour et de sobriété.
En toutes circonstances le Style Setter se démarque de son « quasi sosie » en retard d’une marque ou d’une couleur parce qu’il a Le Snap.
Le Snap ne se définit pas, c’est un tout. Le port de tête digne de la statue grecque. La coupe de cheveux ou du pantalon qui aura un « je ne sais quoi » qui vous fera inconsciemment vous interroger sur votre propre style, la démarche chaloupée qui effleure à peine les pavés, mais qui révèle un modèle unique de chez Berlutti ou de chez Vaneau. Le signe ostensible de la main qui obligera un Uber Skoda ou Hyundai (4×4) à s’arrêter pile devant lui.
Ce sont ces détails infimes mais déterminants qui fondent la différence entre un Setter (pionnier) et un Leader (Chef de meute Hype). Le Setter n’a pas forcément le dernier gadget (mais il sait s’en servir), car la nécessité pour lui, ne réside pas dans la nouveauté à tout prix (Geek), mais dans le « bien maîtriser », du boxer short au socquettes, des ongles aux poils. Comprendre ces différences fondamentales peut vous aider dans votre quête stylistique. Cependant soyez prudents, car outre le Style Leader, il existe une autre catégorie plus dangereuse encore et qui peut vous laisser croire à des courants ou à des styles déjà éculés ou trop facilement accessibles : Le Para Setter.
Nul doute que, dans une société aussi superficielle que la notre, vous soyez d’une façon ou d’une autre influencé dans votre comportement, dans votre attitude et dans votre système de pensée par le vêtement. A tel point que la confiance s’accorde plus naturellement au costume qui rassure qu’au jogging basket qui inquiète.
De fait, un voleur en costume (l’homme politique) sera toujours plus apprécié et respecté que le baggy (le racketteur), d’ou l’idée que si à l’avenir vous deviez par le plus piteux des hasards commettre un forfait… soignez votre apparence ! Cynique n’est-il pas ?
Le terme jet renvoie à l’avion à réaction du même nom, à bord duquel ces élites sont censées se déplacer, vie trépidante, obligations sociales et fortune obligent.
Ce n’est ni une culture, ni un style, mais elle est plutôt vue comme une aristocratie qui s’est inventée elle-même.
Les points de convergence représentant la Jet Set sont l’argent, la mode, l’apparence, l’extravagance, la bonne humeur à outrance… Plus qu’un milieu social, elle fait plutôt référence à une façon de vivre sa vie comme un spectacle où les notions de tabou et de mauvais goût n’existent pas.
Parmi les personnages qui ont suscité cette notion, Tom Ford avec Gucci a réinventé un style extravagant, donnant envie aux gens d’être Jet Set.