Comment-ça tu ne peux pas me saké ? J’avoue volontiers que c’est nul mais on m’a toujours dit à l’école de journalisme (que je n’ai pas faite), de débuter un sujet par une petite note humoristique ce qui a pour effet positif d’entraîner la sympathie du lecteur… Poursuivons. La semaine dernière je suis allé manger au restaurant chinois, ce qui ne m’étais pas arrivé depuis un moment (et là vous vous dites: « on s’en fout, c’est quoi ce blog, il délire, n’importe quoi » et vous aurez raison) le repas fut tout à fait correct mais je ressentis néanmoins une pointe de frustration au moment de l’addition. Point de saké accompagné de ses jolis petits verres dans lesquels figurent des hommes et des femmes qui découvrent leurs corps nus au fur et à mesure de l’ingestion de ce breuvage le plus souvent infâme. Oui mesdames et messieurs, il est temps de militer pour la réhabilitation des verres à saké dans les restaurants qu’ils soient chinois ou non, parce que ces personnes à poil sont aujourd’hui au chômage, qu’il n’y a plus le psychodrame de la fin de repas lorsqu’il faut accepter à contrecœur le tord-boyau…