BIOGRAPHIE : Orson Welles

Orson Welles est un réalisateur, acteur, producteur et scénariste américain. Né le 6 mai 1915 à Kenosha dans le Wisconsin (États-Unis), il est mort le 10 octobre 1985 à Hollywood, Los Angeles en Californie d’une crise cardiaque. Conformément à sa dernière volonté, ses cendres ont été enterrées en Espagne. Il a été parfois crédité sous les noms de O.W. Jeeves ou G.O. Spelvin. Orson Welles est une figure incontournable du cinéma comme réalisateur avec Citizen Kane, considéré comme l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma alors que c’était son premier film. Il a également laissé sa trace en tant qu’acteur, assura de nombreuses narrations dans près d’une centaine de films. Malgré une filmographie de seulement quinze films, il a exercé une grande influence sur différents réalisateurs, en particulier sur Stanley Kubrick dont il se sentait artistiquement très proche. Artiste précoce, il s’est pris de passion pour Shakespeare très jeune ainsi que pour Montaigne, et a également laissé sa marque à la radio avec ses adaptations d’œuvres littéraires, plus particulièrement celle de La Guerre des mondes de HG Wells, le 30 octobre 1938, où la véracité de la mise en scène et des propos a laissé croire à ses auditeurs à l’invasion des États-Unis par des Martiens.

New York: les journaux gratuits accusés de nuire au fonctionnement du métro

Les quotidiens gratuits distribués aux entrées du métro de New York affectent son fonctionnement, en favorisant les inondations les jours de pluie, avance un rapport remis à l’Autorité des transports métropolitains (MTA). L’étude se penche sur le cas d’une mémorable tempête qui en septembre 2004 provoqua l’inondation des voies et l’interruption du trafic. Pour Barry Feinstein, membre du conseil de la MTÀ à l’origine de l’étude, les responsables sont tout désignés: les journaux gratuits, qui, comme AmNewYork et Metro, sont présents en ville depuis l’automne 2003. (…)  Le jeudi 26 octobre 2006 Agence France-Presse New York http://www.cyberpresse.ca

ELEGANGZ ET JC/DC: District Party

Samedi 9 avril 18h – 02h De 18h à 22h, la boutique JC/DC (située au 10, rue Vauvilliers) ouvrira ses portes en grand et accueillera un live des Flying Turns à 19h30 (www.myspace.com/flyingturns). Vitamin Water distillera son bien-être, Grolsch fera vibrer vos esprits créatifs, Elegangz taggera les murs, les shops du quartier se mélangeront, et le soleil se couchera. Une TOMBOLA sera organisée pour vous faire gagner :  10 montres JC/DC (dont la nouvelle) 5 sacs Kipling de la nouvelle collection 12 colliers N2 de la collection “ Les Petites Reines ” un forfait de 10 pâtisseries du Horror Picture Tea un tatouage du Horror Picture Tea (lettrage…)  De 22h à 2h, tout ce joli monde basculera vers le Horror Picture Tea pour manger de jolis gâteaux, écouter le Crew Elegangz passer de la musique, connaitre les gagnants de la Tombola… Une soirée printanière comme on en voudrait plus souvent !  (ça tombe bien la 2ème fête sera organisée en juin…) Avec la participation de la Galerie la Tour (111, rue Saint-Honoré), Starcow (64, rue Saint-Honoré), TH gallery (10, rue Vauvilliers), La Poule au Pot (9, rue Vauvilliers). Ainsi que Vitamin Water, Grolsch, Kipling, OFIVE.TV et N2.

JACK SPADE / PRODUCT OF YOUR ENVIRONMENT

Un kit après-Halloween ? La pochette en cuir ‘FIRE’ de Jack Spade pour recouvrir n’importe quelle pochette d’allumettes de bars inavouables (http://colette.test.ui-pro.com) et le cahier « I must exorcise daily » de Product of your Environment (Bientôt sur le eshop).

De Miró à Warhol, la Collection Berardo à Paris

Venez découvrir la collection du mécène portugais José Berardo, qui compte parmi les plus grands chefs-d’œuvre de l’art moderne.  Jusqu’au 22 Février 2009 Musée du Luxembourg Né à Madère et ayant fait fortune en Afrique du Sud, l’entrepreneur portugais José Berardo a acquis en vingt ans les œuvres de plus de 500 artistes ayant marqué l’art depuis 1900. Un moyen, dit-il, de « faire l’expérience du XXe siècle ». Cette exposition suit un parcours en quatre étapes : le surréalisme avec Miro, Dali ou Breton ; l’abstraction géométrique dans l’entre-deux-guerres avec Mondrian, Arp ou Tanguy ; la confrontation entre l’Europe et l’Amérique des années soixante avec le Nouveau Réalisme français et le Pop Art américain, représentés par Warhol, Klein ou Soulages ; et les différentes recherches plastiques d’après-guerre, avec Riopelle, Schnabel ou Stella. En ouverture, une première section réunit les coups de cœur du collectionneur, signés Picasso, Pollock, Gruber, de Staël ou Balthus. nouveau-paris-ile-de-france.fr

Babyshambles: The blinding EP

Babyshambles reviennent enfin avec autre chose que des nouvelles d’arrestations policières ou de futilités people (si en fait mais on n’y reviendra pas ici). Première collaboration avec le label Regal, The Blinding est un EP de cinq chansons en préambule à un nouvel album. Après leur excellent single caritatif dans lequel ils reprenaient « Jamie Jones » des Clash, les acolytes de Pete Doherty semblent repartis sur de bons rails. Les morceaux ne sont pas de toute première fraicheur – ça fait des mois, voire même des années qu’on connaît « Love You But You’re Green » … http://planetgong.over-blog.com/article-4626355.html http://critico-blog.viabloga.com/news/4434.shtml

Guru's Jazzmatazz

Guru’s Jazzmatazz en concert a la Scene Bastille le 17 Mars 2008 Keith Edward Elam plus connu sous le nom de Guru naît le 17 Juillet 1966 à Boston (USA). Il officie d’abord dans le groupe de Hip-Hop Gang Starr avec Dj Premier avec qui il enregistre Step In the Arena (1991). En 1993, Guru part en solo et monte le projet Jazzmatazz sur lequel il invite de nombreux rappeurs et jazzmen dont MC Solaar, The Brand New Heavies … En savoir Plus http://www.gurusjazzmatazz.net A propos de guru’s Jazzmatazz III Streetsoul : Troisème volet des expériences hip hop-jazz de Guru, où il invite une pléaïde d’artistes soul du moment.Lorsque Guru décide en 1993 de produire son propre projet solo, cela donne « Jazzmatazz… An Experimental Fusion of Hip Hop ». Le rappeur de « Gangstarr » rappelle que le hip hop possède quelques racines dans le jazz, deux genres musicaux initiés par les afros-américains. Sept ans plus tard (avec entre temps un deuxième volume plus anecdotique) Guru sort un troisième volume bien dans son époque, où il fait se croiser hip hop et soul.  Source : Thierry PRAS / www.infoconcert.com

Lunettes de soleil « bijoux » par Chanel

Vues sur le podium de la couture hiver 2007-08, les lunettes de soleil « bijoux » seront disponibles dès le mois de janvier dans les boutiques Chanel exclusivement. Plumes, broderies Lesage, organza de la maison Lemarié, perles, sequins ou camélias s’invitent sur les montures imaginées par Karl Lagerfeld. Vert d’eau, gris, lilas ou bleu nuit constituent la palette de l’accessoire.J.DLR. http://www.vogue.fr

Maison Martin Margiela

20 Dec. 2008 – 01 Oct. 2009 Pour la deuxième année consécutive, la Cité de l’architecture & du patrimoine accueille le magazine ELLE DECORATION pour faire revivre l’ancien appartement de Jacques Carlu, architecte du Palais de Chaillot dans les années 30. Après Christian Lacroix, c’est à Maison Martin Margiela que la Cité et Elle Décoration ont donné « carte blanche » pour l’aménagement de cet appartement d’exception, situé face à la Tour Eiffel et surplombant tout Paris depuis sa terrasse. L’intervention de Maison Martin Margiela dans la Suite entend dépasser la simple idée de décor pour faire vivre le lieu, dans l’espace comme dans le temps. Le temps qui s’arrête après une fête et laisse ses stigmates de désordre. Pour que cet espace raconte une histoire, attise la curiosité et stimule l’imagination des visiteurs, qui deviennent témoins d’une scène de vie et des traces laissées par le temps et le mouvement. S’y mêlent les codes, les thèmes et l’univers de la Maison (le(s) blanc(s), l’argent, le trompe l’œil, les housses de coton, les traces du temps). S’y traduisent également ses valeurs (l’ironie, le détournement, la déconstruction) que la Maison ne cesse d’interprèter dans ses expressions créatives, que ce soit à travers les vêtements ou les univers qu’elle conçoit. L’entrée se fait par un long couloir argent du sol au plafond, prémisse de la fête qui a eu lieu dans le reste de l’appartement. Les murs sont recouverts de rideaux argentés, un plafond miroité s’étend sur toute la longueur et reflète le sol en plastique à effet miroir. La première salle expose les préparatifs d’une fête : on retire les tableaux précieux qui laissent apparaître leurs traces sur les murs, on pousse les meubles – mais cette fois, au centre de la pièce – et on les recouvre d’une housse de coton pour les protéger. La salle des fêtes a été quittée en l’état : les télévisions sont restées allumées, les cadavres de bouteilles et les verres vides s’entassent sur les tables de bistrot, les chaises sont encore empilées, la musique hante le piano qui continue de jouer… La perspective créée par l’effet trompe l’oeil de la moquette imprimée parquet, des coffrages des garde-corps et des photocopies noir&blanc des murs et plafond donne une dimension anamorphique à l’espace. La terrasse adjacente est recouverte d’un gazon blanc, les tabourets « pied-d’éléphants » ont accueilli ceux qui ont profité de la vue. Une petite salle capitonnée propose comme seul élément de décor une paire de chaussures Tabi en glace présentée dans un réfrigérateur vitré. Cette salle pourrait permettre d’accueillir des expositions temporaires d’artistes débutants invités par la Maison. Enfin, la visite de termine par la salle du festin, elle aussi laissée telle quelle, où l’écho des conversations résonne inlassablement. Les confetti recouvrent le sol, la table des convives est encore dressée : les vaisselles, candélabres et girandoles sont figés, le buffet offre toujours ses sceaux à champagne, glaçons et plats. Les murs et plafond sont recouverts de photocopies trompe-l’œil d’un ancien appartement Haussmannien orné de moulures et pâtisseries. Ici, la fête est finie. Elle continue ailleurs… Palais de Chaillot 1, place du Trocadero et du 11 novembre 75016 Paris www.citechaillot.fr

Terre Natale, Ailleurs commence ici

Terre Natale, Ailleurs commence ici Native Land, Stop Eject 21 nov. 2008 › 15 mars 2009 / Nov. 21, 2008 › March 15, 2009 “Avec Raymond Depardon, on se retrouvait sur la même question : qu’est-ce qu’il reste du monde, de la terre natale, de l’histoire de la seule planète habitable aujourd’hui ?”  Paul Virilio Tandis que le monde est à un moment critique de son histoire, où l’environnement conditionne ce que l’homme fait et ce qu’il va devenir, l’exposition Terre Natale, Ailleurs commence ici propose une réflexion sur les notions d’enracinement et de déracinement et les questions identitaires qui leur sont attachées.  Alors que Raymond Depardon donne la parole à ceux qui, menacés de devoir partir, veulent demeurer sur leur terre, Paul Virilio expose la remise en question de la notion même de sédentarité face à l’offensive migratoire sans précédent que connaît le monde contemporain “Raymond Depardon and I are both concerned with the same question: what is left of the world, of native lands, of the history of the only habitable planet today?”  Paul Virilio While the world has reached a critical moment in its history, where the environment conditions what humans do and what they will become, the exhibition Native Land, Stop Eject proposes a reflection on the notions of being rooted and uprooted, as well as related questions of identity.  Whereas Raymond Depardon gives a voice to those who wish to live on their land but are threatened with exile, Paul Virilio examines and challenges the very idea of sedentariness in the face of the unprecedented migrations confronting the contemporary world. Voir les vidéos de l’exposition / See the exhibition videos Voir le programme des Soirées Nomades / See the Nomadic Nights program Voir le programme des Conversations / See the Conversations program Signature avec Raymond Depardon Samedi 22 novembre à 15h / Saturday, November 22 at 3 p.m. Raymond Depardon viendra signer les livres publiés à l’occasion de l’exposition Terre Natale le samedi 22 novembre à la librairie de la Fondation Cartier à partir de 15h. On the occasion of the exhibition Terre Natale, the Fondation Cartier pour l’art contemporain offers on Saturday, November 22 at 3 p.m. an encounter with Raymond Depardon as well as a signature of the books published for the exhibition. Consulter le Catalogue de l’exposition / Exhibition Catalogue Consulter Raymond Depardon, Donner la parole / Hear them Speak Consulter Raymond Depardon, Le tour du monde en 14 jour / Around the world in 14 days Au détour du monde Conversation entre Raymond Depardon et Paul VirilioLundi 1er décembre à 19h / Monday, December 1 at 7 p.m. Au détour du monde, conversation entre Raymond Depardon et Paul Virlio Modérateur : Stéphane Paoli, journaliste à France Inter Revenir sur ses pas, faire le tour du monde à l’époque de la globalisation… Demain, si nous n’y prenons garde, l’arrivée pourrait bien coïncider avec le départ ! Round the World, Conversation between Raymond Depardon and Paul Virlio Moderator: Stéphane Paoli, France Inter Going back on our tracks, travelling round the world in the era of globalisation… Tomorrow, if we’re not careful, our destination could well be the same as our starting point! Entrée libre dans la limite des places disponibles. Fondation Cartier pour l’art contemporain 261, boulevard Raspail 75014 Paris fondation.cartier La Fondation Cartier est ouverte au public tous les jours, sauf le lundi, de 11h à 20h. Nocturne le mardi jusqu’à 22h.