Alain Ducasse, le chef gastronome multi-étoilé, vient de remporter en tandem avec une filiale de Sodexho la concession des services de restauration de la Tour Eiffel au détriment du groupe Elior, qui était présent depuis 15 ans. Le contrat courra sur une période de 9 ans à compter de janvier prochain. Alain Ducasse aura donc la haute main sur la cuisine du bar-restaurant du 1er étage, « Altitude 95 », ainsi que sur celle du « Jules Verne » au 2ème étage. Il pilotera aussi les points de restauration rapide situés sur le parvis et dans les étages. http://www.lexpansion.com
De nos jours encore, des hordes de corps en Work In Progress s’activent dès potron-minet (vers 6 – 7h 00) dans les jardins publics de France et de Navarre, en un écho lointain et nostalgique du Central Park des eighties, pour pratiquer le jogging. A cette époque, les silhouettes sont dissimulées sous des survêtements en peau de pêche ou en éponge aux couleurs criardes, les plus fashions arborent fièrement le bandeau ou le bandanas, et toutes ne jurent que par les incontournables Reebok Freestyle. Aujourd’hui le mot d’ordre est ‘sport couture’. Le Jogging est remplacé par le pantalon de sport griffé en édition limitée, les sneakers sont customisées, Le iPod ou le NW-A805 ont remplacé le walkman baladeur, mais fort heureusement pour nous les males, les Sporty Girls sont éternellement sublimes dans l’effort…
Passée la vague mode et grand public, pour survivre, la Blogosphère se structure, deux courants leaders se confrontent. Tout d’abord, les influenceurs : Adepte, apôtres et gourous du Web 2.0, ils manient aussi bien le contenant que le contenu. Véritables spécialistes du multimédia marketing, ils magnifient les campagnes virales, les buzz et les pubs de la colonne de droite, de gauche et du centre. Page rank, position technorati, liens, rien n’est laissé au hasard et toute info distillée sur leurs espaces virtuels se doit d’être qualitative, sûre et parfois même sponsorisée pour générer de la visite et gagner du chaland. Bande organisée, les blogueurs with influence tissent des liens qui vont bien souvent au-delà de la toile. Un modèle en somme. Les élitistes : Avant tout artistes dans l’âme, les élitistes se plaisent à offrir à leur public exigeant et plutôt haut de gamme une infographie avant-gardiste et/ou des news originales, décalées voire inaccessibles pour le commun. Sur la toile, l’influence des élitistes reste modérée, d’ailleurs leurs blogs ne génèrent pas forcément un nombre extravagant de visites. Hédonistes, militants ou simples apporteurs de plus – value intellectuelle, les élitistes ne se sont pas castés et savent conserver leur indépendance. Une philosophie en somme.
Depuis quarante ans, Gerald Nanty ne dort pas. Depuis 1965, cet animateur féroce et spirituel a régné sur des night-clubs aussi légendaires que le Nuage, le Prélude, le Colony, l’Echelle de Jacob, ou le Trap. Aujourd’hui, son bar-restaurant le Mathi’s est une institution parisienne, un salon nocturne, un cabaret mondain et le dernier sanctuaire d’une nuit civilisée. A travers le parcours d’un snobnambule hors du commun, Elisabeth Quin ressuscite une Atlantide avec son peuple de la nuit et ses figures littéraires, interlopes, picaresques ou tragiques. Elisabeth Quin est journaliste. Elle a publié, chez Grasset, La peau dure et Tu n’es pas la fille de ta mère. http://www.amazon.fr
Pour être heureux vivons cachés, pour enfin respecter l’adage et passer des vacances de rêve, fuyons les pipoles et autres stars qui parasitent nos lieux favoris de villégiature. Las Palmas, Marrakech, Santander, Les Maldives : Out… Viva Guatemala ! A nous les longues promenades le long du lac Atitlán, les visites des temples Maya et des forets vierges et inexplorées…
Au milieu des années 90, l’écrivain Guillaume Dustan divisait le monde en deux catégories : ceux qui, tous les lundis, se précipitaient sur Libération pour y lire les dernières tribulations nocturnes d’Eric Dahan, et les autres. Chroniques d’un genre nouveau, mixant avec brio trash et glamour, superstars et anonymes, mondanités et sous-culture, ses Nuits Blanches fascinaient ou agaçaient, mais ne laissaient personne indifférent. Décantation revisitée des Nuits Blanches, Night Reporter entrecroise récits de défilés de mode et de raves techno, de soirées SM ou de concerts rock, et multiplie les rencontres improbables au bout du monde ou au coin de la rue avec des personnes, inconnues ou célèbres, qui portent un regard singulier sur notre époque, ses totems et ses tabous. Expérience de littérature ironique, fragmentaire et impure, ouvertes à toutes les associations d’idées, projections ou transferts mais également enquête sur la déréalisation du monde, dont les indices sont à la fois visuels et textuels (…) http://www.somogy.net
Une ligne de bagagerie chic et parisienne, dynamique et espiègle, coquette et musicale à l’image de la créatrice ! En avant-première chez colette depuis le 3 septembre, et en exclusivité, le sac pour casque audio ou stilettos, selon votre envie (eshop). www.colette.fr
Picture the scene. The other fuckin’ week there… doin’ the fuckin’ Volley with Tommy playing pool. I’m playin’ like Paul-fuckin’-Newman by the way… givin’ the boy here the tannin’ of a lifetime. So it comes to the last shot, the deciding ball of the whole tournament. I’m in the black, and he’s sittin’ in the corner looking all fucking biscuit-arsed. When this hard cunt comes in. Obviously fucking fancied himself like. Starts staring at me. Looking at me, right fucking at me, as if to say, « Come ahead, square go. » You know me. I’m not the type of cunt that goes looking for fucking bother… but at the end of the day, I’m the cunt with the pool cue… and he can get the fat end in his puss any time he fucking wanted, like. So I squares up, casual like. What does the hard cunt do? Or the so-called hard cunt? Shites it. Puts down his drink, turns and gets the fuck out of there. And after that, well, the game was mine. Source: http://www.script-o-rama.com
100g de riz pour risotto 200g de cèpes 1 l de bouillon de poulet 50g de beurre Persil haché Sel, poivre Faire fondre 20g de beurre dans une casserole, ajouter le riz, le faire revenir dans le beurre jusqu’à ce que les grains en soient bien imprégnés, ajouter une louche de bouillon très chaud, remuer et en rajouter à chaque fois qu’il est absorbé. Continuer a mélanger de temps en temps. Quand le riz aura atteint le degré de cuisson désiré, retirer la casserole du feu. En même temps, faire revenir 30g de beurre dans une poêle, pendant ajouter les champignons coupes en petits morceaux; mélanger et faire cuire pendant 4 a 5 minutes. Ajouter le persil haché et mélanger le tout au riz.
2 coquelets prêts à cuire 2 têtes d’ail 1 kg de pommes de terre à chair ferme 5 brins de thym 10 cl d’huile d’olive gros sel de mer et poivre du moulin Allumez votre four à thermostat 6 (180° C). Mélangez l’huile d’olive avec le thym effeuillé, enduisez-en la peau des coquelets. Déposez-les dans un plat à rôtir. Ôtez les peaux blanches des têtes d’ail sans séparer complètement les gousses. Posez-les à côté des coquelets, arrosez-les d’un peu d’huile. Glissez le plat dans le four et laissez cuire pendant 25 min. Arrosez les coquelets deux fois avec leur jus de cuisson. Pendant ce temps, faites cuire les pommes de terre avec la peau pendant 10 min à l’eau salée, pelez-les puis coupez-les en quartiers. Retirez le plat du four et sortez les coquelets. Répartissez les pommes de terre dans le plat, versez un filet d’huile d’olive au thym par dessus, ajoutez un peu de gros sel et du poivre, mélangez pour bien les enrober de jus . Reposez les coquelets sur les pommes de terre, laissez cuire encore 20 min. Servez les coquelets très chauds entourés de pommes de terre et de gousses d’ail confites.