Vendredi 8 juin de 19h à 5h à La Rotonde. TRICKSKI – ARK (Live) – DAVID SHAW and THE BEAT – PATRICK VIDAL – MARIE MADELEINE (Sextapes) – LAMÂCHE – MIAOU MIX – FLORIAN SAILER – VICTOR PETROI & JAMALE – ETHEL SWAN – ADLANE – BUZZ L’EKLER – ÉRIC LABBÉ I DON’T CARE c’est le rendez-vous trimestriel d’Elegangz et HTC avec la Nuit Parisienne (avec des majuscules un peu partout).
Après une première édition parfaitement dantesque, I Don’t Care Demain Matin, voici venu le temps de I Don’t Care Les Préliminaires, dans l’idée de ne pas y aller par quatre chemins. Toujours je-m’en-foutiste, toujours à La Rotonde, et toujours avec cette idée de faire sauter les agaçants carcans du clubbing parisien.
Singuliers et remarquables, les hôtels de la collection MGallery le sont par leur agencement et leur décor. Classique et volontairement historique, ou design et résolument moderne, l’aménagement et la décoration de chaque hôtel plongent le voyageur dans une ambiance unique propre à l’histoire de l’établissement.
avec Jean Michel Jarre (en entretien avec Patrick Thévenin) Mercredi 16 mai 2012 – Lyon (Nuits Sonores) Compte rendu En ouverture du festival Nuits Sonores, la Red Bull Music Academy a accueilli Jean Michel Jarre à l’Hôtel de Ville de Lyon. Le pionnier de l’électro s’est confié durant deux heures, entre anecdotes, techniques secrètes et visions musicales. Bluffant.
Jarre est ici pour se livrer, pour raconter les petites et les grandes histoires d’une carrière larger than life. Et c’est ce qu’il fait : « Ma rencontre avec Pierre Schaeffer a été fondamentale. On enregistrait des matières, on manipulait des bandes. Mais on ne parlait pas de musique électronique, le terme n’existait même pas ». Lorsque Jean Michel Jarre débute, la musique électronique est encore une science obscure, chasse gardée du Groupe de Recherche Musical (GRM) réuni autour de Schaeffer. « Happyness is a sad song », une de ses créations résonne alors entre les baffles et désarçonne les fans du premier rang, habitués aux mélodies marquantes qu’il n’a pas encore inventé : « A l’époque, je n’avais pas d’argent pour acheter un Theremin, donc ce qu’on entend c’est de la scie musicale, l’instrument des clowns…, sourit-il, avant de préciser : Sur le moment, ce morceau était un ovni. Les labels n’y comprenaient rien, c’était un truc de spécialistes ».
Dans ce contexte, son départ du GRM provoque un séisme. Sur les disques de Christophe ou de Patrick Juvet, il bouscule la variété française en la passant à la moulinette de ses rêves électro. Quelques mois plus tard, Oxygène est un choc : ce disque synthétique et hors formats (titres longs, absence de chant, visuel étrange…) dresse un pont entre les chercheurs du GRM et la musique populaire. « Ce disque m’a permis de connecter mon amour du son et celui de la mélodie ». Jarre invente alors le futur : « Ceux qui faisaient de la musique classique avaient des siècles d’histoire musicale derrière eux, ceux qui faisaient du rock avaient quelques décennies. Mais pour la musique électronique, il n’y avait rien, c’était nouveau ». Le soleil cogne sur la place de l’Hôtel de ville, mais Jean Michel Jarre tient l’audience en otage. Passionné et ouvert à la discussion, il explique tout. Un intérêt ravivé par Patrick Thévenin qui mène l’interview, qui connaît l’animal et sonde ses secrets.
ll y a 40 ans, Jean Michel Jarre a été un des premiers a inventer et populariser le langage électro. En un sens, ceux qui partagent aujourd’hui les scènes des Nuits Sonores (Etienne Jaumet, Theo Parrish…) lui doivent beaucoup. Après avoir répondu aux questions du public, il salue, remercie, signe quelques autographes et disparaît dans les rues de sa ville natale. Ce soir, il arpentera les scènes du festival pour voir à quoi ressemble le futur de cette musique électronique qu’il a contribué à créer. Mais seuls les chanceux réunis cet après-midi savent combien il en a rêvé, dès 1970, dans son petit studio.
Comme un avant-goût de la Red Bull Music Academy 2012 qui se tiendra dans quelques mois à New York, cette session exceptionnelle aura été l’occasion de pénétrer l’univers d’un artiste singulier. De lire entre les lignes, de lever le voile sur une carrière démesurée et de réduire la distance entre l’artiste et son public. L’histoire de la musique, version confidentielle.
Les gens aigris me fatiguent au point où je le deviens, les gens jaloux me fatiguent au point où je le deviens, les gens rancuniers me fatiguent au point où je le deviens. Révolté je suis par les antagonismes minables que reservent inexorablement le quotidien. J’ai beau fuir les embrouilles et les fauteurs de trouble, ils me dénichent toujours, nécessaire il semble que je suis à leur épanouissement. Et puis des ténèbres surgit la lumière, des personnes ouvertes qui me donnent goût à la vie, des personnes simples qui me donnent goût à la vie, des personnes courageuses et humbles qui me donnent la force de me battre. Contre moi même et mes faiblesses, contre mon jugement, contre l’idée que je me fais des gens.
Traiter ses clients comme des invités. Les marques de luxe rivalisent d’idées et d’attentions pour (re)donner du sens à l’acte d’achat. Au coeur de Mayfair, en retrait de l’agitation de Bond Street, Bourdon House, l’ancienne demeure du duc de Westminster, accueille le nouveau navire amiral de Dunhill. Difficile ici de parler de boutique, même si ce vaste hôtel particulier en briques sombres de style classique – le bâtiment date de 1720 – propose sur trois niveaux tout l’univers de la marque britannique de prêt-à-porter masculin, propriété du groupe Richemont : vêtements, accessoires, bagages, et, présentés dans la « discovery room », ces « toys for boys » et autres gadgets qui appartiennent à l’imaginaire de la maison. A l’étage, aux côtés d’un petit musée réunissant pièces d’archives et articles vintage, les clients se voient proposer les services d’un tailleur, d’un barbier, ainsi qu’un salon de coiffure et le désormais incontournable spa. Salon, salle de projection et cave à cigares ont trouvé leur place au sous-sol. (…) VALÉRIE LEBOUCQ La suite sur www.lesechos.fr
Fabrice Emaer (1935-1983) était un directeur artistique de boites de nuit parisienne. Il était propriétaire de beaucoup de boîtes de nuits dans la rue Sainte-Anne à partir des 1960, comme le sept, et en 1978, il ouvre la plus grande boîte de nuit parisienne en s’inspirant du Studio 54 à New York dans un vieux music-hall désaffecté qu’il a rachète et rénove : Le Palace où des artistes nationaux, locaux, internationaux et des politiciens, écrivains venaient se jeter dans l’ambiance de cette discothèque du tout Paris, comme Régine, John Travolta, Grace Jones, Jack Lang, Pierre et Gilles, etc. Il meurt en 1983 d’un cancer du rein.
1 poulet d’1,4 kg coupé en morceaux – 1 citron – 500 g d’oignons – 2 gousses d’ail – 2 cm de gingembre frais (ou 5 g en poudre) – 1 pincée de safran – 1 petit bouquet de persil – 2 bâtons de cannelle – 1 petit bouquet de coriandre – 2 citrons confits ou 10 tranches (épicerie fine, produits orientaux des grandes surfaces) – 1 feuille de laurier – 1 branche de thym frais – 150 g d’olives noires ou vertes dénoyautées – 5 cuillères à soupe d’huile d’olive – sel, poivre. Presser le citron. Mélanger le jus avec du sel et du poivre. Enduire les morceaux de poulet de ce jus. Peler et couper les oignons en deux, les émincer grossièrement. Peler et dégermer les gousses d’ail, les écraser. Eplucher et râper le gingembre. Hacher le persil et les feuilles de coriandre, en réserver quelques brins pour la décoration. Dans le fond d’une cocotte, disposer les oignons, ajouter l’ail, le gingembre, le safran, la cannelle, le persil et la coriandre hachés. Y poser les morceaux de poulet. Répartir les rondelles de citrons confits, ajouter la feuille de laurier et le thym. Arroser de 5 cuillères à soupe d’huile d’olive, saler, poivrer. Ajouter de l’eau pour couvrir la viande. Mettre à feu vif pour porter à ébullition. Puis couvrir la cocotte, réduire le feu et laisser mijoter pendant environ 45 min, à feu très doux, jusqu’à ce que la chair du poulet se détache facilement des os. Pendant la cuisson, retourner la viande délicatement avec la cuillère en bois une ou deux fois. Ajouter les olives 15 min avant la fin de la cuisson. Retirer les morceaux de poulet de la cocotte et les poser dans un plat de service creux. Couvrir d’une feuille de papier d’aluminium et maintenir au chaud dans le four à 50°C. Faire réduire le jus de cuisson de moitié, à découvert. Puis arroser le poulet de cette sauce. Décorer de feuilles de persil et de coriandre, servir très chaud.
The story of premium denim is one that is intricately intertwined with the launch of 7 For All Mankind in Los Angeles, California in the Fall of 2000. 7 For All Mankind was the first company to truly bring premium denim to scale, marking Los Angeles, California as denims’ venerable center for research and development worldwide changing the landscape of denim forever. 7 For All Mankind’s premium jeans literally exploded onto the scene, quickly earning critical acclaim and an immediate following for its innovative us of fits, fabrics, and finishes in denim. Sales for the first year reached a staggering $13 million, an unheard of figure in the denim market, and has continued to show exponential growth year after year. In the past seven years 7 For All Mankind has become both an established modern classic for its sophisticated fits as well as a leading trendsetter for its newest fashion forward washes and designs. The brand, famously dubbed “Sevens” by fashion editors and stylists, grew to fame in no small part because it became an instant favorite among Hollywood’s elite. 7 For All Mankind jeans continue to rank as a preferred jean among Hollywood’s leading ladies such as Angelina Joile, Cameron Diaz, Jennifer Garner and Liv Tyler. Male celebrities such as Jake Gyllenhaal, Ben Affleck, and Ryan Reynolds became fan’s of the brand shortly after the launch of the 7 For All Mankind’s men’s collection in 2002. The company continues to grow and evolve as a true denim lifestyle brand, expanding its product line to include men’s, sportswear, handbag, footwear and kids collections. The brand’s offerings also continue to expand through innovative collaborations with highly regarded designers such as The Great China Wall, Zac Posen, Azzedine Alaia, Evan Yurman and Pucci. Exciting partnerships that push the envelope of design and creativity are now a signature part of the brand’s exploratory endeavors. 7 For All Mankind continues to merge the worlds of denim and couture to redefine the fashion landscape. The brand is currently sold at luxury retail stores such as Barneys New York, Neiman Marcus, and Saks Fifth Avenue as well as high end specialty boutiques in over 80 countries throughout the world. http://www.7forallmankind.com
Un vin très agréable qui ne demande qu’à se faire une place parmi les grands. A l’antithèse des Rioja souvent trop forts, ce Baron de Ley présente des caractéristiques dignes d’intéresser un pur Bordelais… Comptez aux alentours de 60€ la bouteille Reserva 94. Représentant en France : ELIDIS AQUITAINE 31, Allee du Moura 64200 BIARRITZ Tel. 33 – 59232425 Fax 33 – 59412502 www.barondeley.com. A consommer avec bonne humeur et bon sens.
Cette mixtape ‘Back to the Future’ de Guru’s Jazzmatazz est le pendant brut de l’album Jazzmatazz Vol.4 sorti en 2007. Ce CD a été mixé avec attention et superbement mis en valeur par le super producteur Solar afin de nous présenter l’ « âge d’or » New Yorkais avec un style futuristique tranchant. On comprend donc bien mieux ce titre, ‘Back To The Future’. gurujazzmatazz4
Claude-Adrien Helvétius, né le 26 février 1715 à Paris et mort le 26 décembre 1771 à Versailles, est un philosophe français. Au sein des matérialistes de son siècle, Helvétius (latinisation de Schweitzer) développe un sensualisme matérialiste, où l’intérêt seul dirige les jugements et considère l’éducation comme l’élément constitutif principal de l’esprit des humains, qui sont, selon lui, tous susceptibles de s’instruire également. Il est fortement inspiré par Locke, dont il lit très tôt l’Essai sur l’entendement humain. Ses idées sur la constitution de l’esprit humain en seront nettement influencées. Il veut dépasser cependant toute idée de Dieu en défendant un athéisme relatif. Il considère la croyance en Dieu et en l’âme comme le résultat de notre incapacité à comprendre le fonctionnement de la nature, et voit dans les religions, notamment la religion catholique, un despotisme n’ayant comme but que le maintien de l’ignorance pour une meilleure exploitation des hommes. Souvent présenté comme un physiocrate (il monte une manufacture, fait faillite, puis connait le succès) et un philosophe matérialiste, selon Michel Onfray Helvétius est pourtant plus à rapprocher d’un philosophe nominaliste et déiste. On trouve dans ses textes plusieurs références à Dieu et à son existence : « l’être suprême », « l’éternel », « le législateur céleste » sont des expressions qui reviennent plusieurs fois dans son ouvrage De l’Homme ; il y définit même Dieu comme étant « la cause encore inconnue de l’ordre et du mouvement ». La raison de cet amalgame est en partie due à la récupération politique de ses textes, qu’il s’agisse de discréditer son œuvre (jésuites, jansénistes, le pape Clément XIII ou encore le pouvoir royal de Louis XV) ou d’en faire un penseur incontournable du socialisme scientifique (marxistes). Ainsi, si Helvétius est anti-chrétien, il ne nie pas l’existence d’une force dans la nature et il défend même l’idée d’une philosophie plutôt positive dans cette religion une fois épurée de son fanatisme, superstitions et institutions. Helvétius était à la fois matérialiste et sensualiste. Le matérialisme est un système philosophique qui n’admet pas d’autre substance que la matière : il s’oppose notamment à la religion et à la notion d’âme immatérielle. Selon le sensualisme, toutes nos connaissances et nos idées découlent des sensations, dont elles ne sont que la combinaison de plus en plus complexe. Le sensualisme s’oppose à l’activité spontanée de l’esprit.
Ecrivains, paroliers, journalistes, politiques, individus lambda et plus si affinité ont définitivement intégrés marques et logos dans leur vocabulaire pour donner plus de corps, plus de poids à leurs propos souvent vides de sens. Lolita Pille avec son roman « Hell » fait dorénavant figure de « précurseuse ». Morceau choisi : « J’enfile un jean Chloé délavé, des Nike argentées, un pull en maille blanc Paule Ka et mes lunettes Gucci, je prends mon cabas Vuitton monogrammé dans lequel je glisse des médocs, « Voici », du maquillage et mon étui à lunettes (…) Vivre d’amour ; d’Evian et de Marlboro Light. ». Qui prendra le relais ?
Pour 4 Store Cupboard Sundaes: 4 bâtonnets Häagen-Dazs® parfum au choix 6 à 8 biscuits (secs, aux fruits, au chocolat, les boudoirs pour les gencives du bébé, ce qui est dans votre placard) De la chantilly en bombe (ou faite maison si vous avez de la crème fleurette fraîche ou UHT) Amandes effilées ou noisettes hachées. Vous les connaissez, les livres de recettes où tout serait déjà dans votre placard. Soit ils sont très optimistes, pensant que vous aurez stocké naturellement l’ingrédient phare (style gingembre confit à la vanille) soit les recettes contiennent à 99% du thon en boite. Cette recette sera TOUJOURS là pour vous, et toujours délicieuse car ici l’ingrédient phare, ce sont les bâtonnets Häagen-Dazs®. Et ceux-là, vous les achetez aussi régulièrement que vos coquillettes et votre huile d’olive bio, n’est-ce pas ? La présentation est très importante. N’oubliez pas les paroles du grand prêtre du congélateur, « Ce n’est pas parce que vous n’avez rien à faire… » etc, etc. Dans une jolie coupe, soit classique, soit kitsch, soit plus droite, style verrine, en tout cas transparente, écrasez les biscuits en faisant une couche dans le fond de la coupe. Ecrasez ensuite le bâtonnet Häagen-Dazs®, mais pas trop, puis coiffez de chantilly. Décorez de noisettes hachées ou d’amandes effilées grillées. Source: http://www.haagen-dazs.fr A découvrir également l’innénarable Haaagen Dazs gout pina colada.
Le CLUB RIVIERA FESTIVAL 2012 (Nous Productions & Savoir Faire), aura lieu du 28 juin au 29 juillet 2012 à Nice, Carpentras et Juan Les Pins. CLUB RIVIERA FESTIVAL crée un véritable parcours musical en s’associant aux promoteurs locaux.
Sur 5 dates, le festival met à la portée de tous les plus grands noms de l’électro
avec une programmation aussi pointue qu’attractive lors d’événements spécialement créés pour l’occasion. Skrillex, 2manydjs (dj set), Paul Kalkbrenner (live), Brodinski, Gesaffelstein (live), A-Trak, Kavinsky, Birdy Nam Nam (live), Club Cheval, Foreign Beggars (live), Dirtyphonics (live), Julian Jeweil, Worakls (live), Joris Delacroix (live), Greg Delon, Autoreverse, Reflex, Efix vs Nick Holson, Super Nacho & Irish Steph Decks & Fx et Spiky The Machinist
PARA ONE was en Dj set @ la Villa Schweppes à Cannes mardi 22 mai de 17h à 19h pour présenter son deuxième album solo « Passion » sortie le 18 juin (Marble/ Because) et son Premier EP « Lean On Me » (Feat. TEKI LATEX) Disponible sur les plateformes digitales. Avec « Passion », Para One a su rassembler ses références hip-hop, notons les nombreux clins d’oeil aux grands classiques du rap 90s, son groove pernicieux et son goût prononcé pour la soul. Il délaisse le formatage dance-floor pour ne garder que la déstructuration chirurgicale des rythmes et une élégance des plus synthétiques. Para One nous montre ici qu’il est un artiste libre et qu’il tient à nous faire partager cette liberté. En tournée française: 25 mai, Toulouse (Festival des Curiosités) 27 mai, Paris (Social Club) 31 mai, Lyon (DVI)