« Paris, Paris, tu n’es pas comme au cinéma… » Pour l’un des titres phares de l’album Matahari, un clip hommage magistralement réalisé par Clémence Demesme. Ode à la ville lumière et au 7ème art, aux références multiples qui se découvrent après plusieurs visionnages (Pulp Fiction, Twin Peaks, L’enfer…). Avec en guest, une apparition surprise de Marina Foïs… Une vidéo comme un écho à cette citation de Marylin Monroe : Dreaming about being an actress, is more exciting then being one.
J’entends les murmures de la ville
Que la nuit a mise à nu
Le fracas des automobiles qui filent
Juste un instant s’est tu
Dans la brume électrique elle dort
Sans dessous dessus
Et son corps encore inconnu
Laisse entrevoir
Son coeur qui cogne un peu plus fort
Toutes ces couleurs qui courent encore
Est-il trop tôt, est-il trop tard ?
C’est comme une fille qu’on embrasse
Mais qu’on ne voit jamais de face
Le refrain sans accords
Des sirènes du soir
C’est comme une fille qu’on embrasse
Mais dont le souvenir s’efface
Dites moi si je sors
Du rêve, du cauchemar
Paris, parie avec moi
Quitte à essayer cent fois
Paradis ou pas
sous les pavés je te vois
Oh pari perdu avec toi
Qui voudrait d’une vie comme ça ?
Paris tu n’es pas
comme au cinéma
Elle ouvre les yeux sans efforts
Se lève d’un seul coup
Et nous recrache par milliers
Sur ses Grands Boulevards
Fille noctambule fan de l’aurore
Femme de la nuit multicolore
Mais tes matins restent noirs
C’est comme une fille qu’on embrasse
mais qu’on ne voit jamais de face
le refrain sans accords
des sirènes du soir
C’est comme une fille qu’on embrasse
Mais dont le souvenir s’efface
Dites moi si je sors
Du rêve, du cauchemar
Paris, parie avec moi
Quitte à essayer cent fois
Paradis ou pas
Sous les pavés je te vois
Oh pari perdu avec toi
Qui voudrait d’une vie comme ça ?
Paris tu n’es pas
Comme au cinéma
Premier album MATAHARI http://qlima.cool/MATAHARI