Ces modèles inédits de Radiomir 1940 3 Days Blue Dials, développées par la manufacture Panerai et présentés exclusivement en boutique, s’équipent d’un nouveau cadran à la finition soleil sophistiquée qui offre un dégradé de bleu intense, souligné par son pourtour extérieur bleu foncé. www.panerai.com
Situé dans le luxueux écrin verdoyant d’une plantation de thé, bordant l’une des forêts tropicale les plus imposantes et comptant parmi les plus préservées d’Afrique, le domaine One&Only Nyungwe offre à ses clients l’opportunité de vivre une expérience immersive, dans une nature sauvage, entourés de sublimes panorama de jungle…
“ Nos invités auront la possibilité de partir à la rencontre des chimpanzés, ou de découvrir les singes Mangabey, de flâner au pied des arbres mahogany et d’apercevoir des oiseaux exotiques, des orchidées et autres papillons ” déclare Philippe Zuber, Président et Président directeur général de One&Only Resorts. “ Nous avons créé un oasis ultra luxueux qui célèbre chaque once de cet environnement sauvage à travers des petits déjeuners pris à l’aube, des cours de yoga dans des maisons nichées dans des arbres, profiter des méthodes de soins indigènes en plein air, jusqu’aux cocktails de fins de journées autour d’un feu de bois ”.
Les 23 chambres et suites du domaine One&Only Nyungwe House sont toutes pensées dans le but de se fondre harmonieusement dans la nature avoisinante. Au sein de chaque chambre et suite flotte des senteurs d’eucalyptus, tandis que de grandes terrasses privées offrent des vues à couper le souffle sur les paysages africains.
Le domaine One&Only Nyungwe House intègre la collection One&Only Nature Resort, rejoignant l’Emirates One&Only Wolgan Valley en Australie et qui sera complétée en 2019 par l’ouverture du One&Only Gorilla’s Nest dans le nord du Rwanda. En découvrir plus: www.oneandonlyresorts.com
La Kalpa Tourbillon Galaxy évoque la majesté d’un ciel rempli d’étoiles. Au cœur de son cadran en verre aventuriné, bat un tourbillon 30-secondes, une spécialité de la manufacture. Ce modèle unique allie la Haute Horlogerie avec la poésie d’un savoir-faire cadranier. Cette nomination reflète sa bienfacture exceptionnelle et salue le talent de tous les horlogers, artisans et concepteurs de Parmigiani Fleurier qui lui ont donné vie.
La Kalpa Tourbillon Galaxy n’existe qu’en un seul exemplaire et l’inscription « MODELE UNIQUE » est gravée au dos du boîtier en or rose 18 carats. A sa surface, la carrure est « full set » avec des 215 diamants baguette totalisant 11.80 carats. Les jeux de lumière des diamants prolongent le scintillement majestueux du verre aventuriné, surplombé d’index en or massif.
La Kalpa Tourbillon Galaxy est pourvue d’un tourbillon 30-secondes qui est une exclusivité du pôle horloger Parmigiani Fleurier et un défi de manufacture. Effectuant deux tours par minute plutôt qu’un seul, ce tourbillon double la portée compensatrice de la force de gravité. Ce mouvement à remontage manuel possède un double-barillet monté en série, lui permettant d’atteindre une réserve de marche d’une semaine, un accomplissement rare pour une telle complication. Les ponts du mouvement sont anglés à la main générant des jeux de lumière spectaculaires et chaque surface est décorée avec les plus fins standards de la Haute Horlogerie.
Grand Blanc est né de l’envie de faire de la musique comme un échappatoire et y a inscrit toute sa fougue adolescente. Trouver du beau là où l’on croyait voir du vide. Enfants d’une autre urbanité que celle d’un Paris fantasmé, ses membres viennent aux trois quarts de Metz. Voilà ce que pourrait incarner leur teinte opaline : à la fois page blanche et champ des possibles, lumière et aveuglement.
Après un premier album qui traduisait leurs influences punk et new wave ainsi qu’une envie de prose gouailleuse et lo-fi, Grand Blanc a depuis été voir ailleurs et revient avec une spectaculaire odyssée, Image au mur…
Tracklisting 01 Les Iles 02 Belleville 03 Los Angeles 04 Isati 05 Des Gens Bien 06 Rêve BB Rêve 07 Image au Mur 08 Dans La Peau 09 Rivière 10 Aurore 11 Ailleurs 12 Télévision
KOMONO s’est associé à 10 artistes internationaux, pour réinterpréter certaines formes des montres les plus appréciées de la marque.
Chacun de ces artistes incorpore un ou plusieurs des modèles Signature dans leur travail artistique. De la photographie à la vidéo en passant par l’illustration, ces oeuvres forment une collection unique qui capture l’esprit de notre époque.
La collection Signature est disponible dans les modèles Harlow, Lewis, Walther, Walther Retrograde, Lexi Royale, Moneypenny, Winston Sub, Magnus II, Konrad, Konrad Retrograde et Orson Sub.
Louise Mertens dirige un studio d’art basé à Anvers, ville natale de KOMONO. Son travail est son miroir, le reflet de son univers visuel et de son admiration pour la pureté, la texture et les matériaux.
Intéressé par l’identité performative et l’exploration des communautés modernes, le duo londonien, Kim Jakobsen To et Hamish Wirgman, réalise des oeuvres révélant la «vulnérabilité» partagée avec le sujet à travers l’acte de photographier. Les images créées se placent quelque part entre le documentaire et la construction d’un environnement, ouvrant un dialogue entre immobilité et confiance.
Nicasio Torres a étudié le génie civil avant d’étudier les Beaux-Arts à l’Université de Barcelone, où il vit et réside actuellement. Il travaille comme illustrateur de mode et travaille régulièrement en collaboration avec ShowStudio et avec la Fashion Illustration Gallery.
Debby Woo est une artiste et illustratrice taïwanaise basée en France. Son travail porte sur l’amour, les relations et les concepts d’identité et de modernité. Elle joue avec les symboles de la culture contemporaine tels que les ordinateurs et les téléphones portables et les adapte dans un environnement plus traditionnel, donnant une sensation troublante.
Les interactions performatives de Csilla Klenyanszki peuvent être considérées comme une recherche personnelle d’équilibre. Un attrait constant pour la tension physique et mentale caractérise son travail. Sa pratique actuelle se concentre sur le genre, la relation homme-objet et le temps.
Amber Vittoria est une illustratrice qui vit et travaille à New York. Ses pièces se concentrent sur la féminité et la forme féminine, mettant en lumière les parties physiques telles que les poils.
Frankie est un artiste mi-japonais et mi-américain de Tokyo. Son travail va de la peinture sur toile à la création de peintures murales à grande échelle sur l’extérieur des bâtiments, lui permettant d’exposer des oeuvres comme dans des environnements publics.
Daiana Ruiz, basée en Argentine, utilise la couleur et la forme pour représenter des personnages féminins volumineux. Parmi les références de Daiana figurent des artistes tels que Hockney, Matisse, Gaugin et le groupe Memphis.
La photographie d’Arcin Sagdic a un aspect surnaturel, résultat de l’examen incessant des frontières entre le réel et l’imaginaire. Inspiré aussi bien par les rituels quotidiens des hommes que par les écrits de Léonard de Vinci et de Richard Feynman sur l’électrodynamique, son travail explore les frontières entre art et science.
Basée à Varsovie, Barrakuz est une graphiste, mais aussi une artiste de collage. Son travail est de déconstruire et de construire des images, afin de créer une nouvelle signification.
Broken Bells, c’est l’association de deux emblèmes des scènes indie et alternative: Le chanteur / guitariste de The Shins James Mercer, et le producteur / multi-instrumentiste Brian Burton, aussi connu sous le nom de Danger Mouse.
Shelter, premier extrait de leur troisième album à paraître courant 2019.
« Notre monde vient d’en trouver un autre, cet autre monde ne fera qu’entrer en lumière quand le nôtre en sortira » face à cette assertion lumineuse et actuelle de Montaigne, éditorialistes, journalistes, bot d’articles, commentateurs, philosophes, spiritualistes, entertainers, influenceurs, personnalités publiques, grands professionnels et petits exécutants, sont tous unis dans une même volonté: donner du sens : A la vie, à l’existence, à la nature, à la collectivité, à l’altérité, au travail, à l’au-delà… (Liste non exhaustive).
Bien entendu, s’opposent les convictions de l’ancien et du nouveau monde, les progressistes et les conservateurs. Les apôtres de l’inclusion et les désesperants dévots de l’exclusion. Chacun arc bouté sur son idée du sens, au point qu’il en devient parfois totalitaire ou réducteur. Mais pourquoi est-il si difficile d’accepter que le corrollaire indispensable au don est la réception ?
Posons-nous la question avec objectivité, est-ce que notre quête du sens n’est pas, dévoyée ? plutôt que de renforcer notre humanité, nous cherchons manifestement à imposer un ordre, une idéologie, un dogme, une appréciation centrée et égotiste, en dépit du bon sens, c’est à dire sans prendre en compte les aspirations, la nature profonde, la capacité à être ou à faire. J’en veux pour preuve toutes les méthodes dont nous sommes inondés qui sont censées nous apprendre, nous coacher pour que nous mangions mieux, travaillions mieux, nous organisions mieux, elevions mieux nos enfants, vivions mieux etc. Sans jamais prendre en compte la capacité à recevoir, à accepter… Le bon sens, en définitive, est probablement celui qui émane d’un cœur libre vers un cœur libéré et reciproquement. Un chemin qui semble si accessible… et pourtant !
Et si nos médias s’allongeaient sur quelques divans de psychiatres, et se libéraient enfin de la dépression dans laquelle ils se complaisent au quotidien depuis l’émergence des Internets ? Et que, par voie de conséquence, se raréfiaient les vindictes de lecteurs – commentateurs, toujours plus excités par les idées de haine, de division et d’intolérance, dommages collatéraux causés par leur lugubre logorrhée ?
Est-il permis d’espérer, à l’avenir, un traitement de l’information neutre, objectif et qui sait, quand le sujet s’y prête bienveillant ? Cela semble malheureusement compromis, Eric Schmidt, ancien patron de Google a récemment déclaré à propos du vaste web : « Je pense que le scénario le plus probable à présent n’est pas une séparation, mais plutôt une bifurcation avec d’un côté un leader d’internet chinois et de l’autre un leader d’internet américain ».
Il devient nécessaire de faire, si ce n’est l’apologie, au moins la promotion des acteurs de la diversité culturelle, dont la portée est malheureusement reléguée en page 15 ou 16 du tout puissant moteur de recherche.
Faut-il, pour autant, en déduire qu’une faible audience est la garantie d’une liberté plus grande ? Non pas ! Il convient d’être aussi vigilant et alerte que pour des médias classiques, afin d’éviter d’être influencé ou manipulé par des illuminés persuadés d’être détenteurs de la vérité ou du bon goût. Cependant on constate parfois de véritables envolées lyriques, ou gloses profondes d’humbles experts en musique, littérature, cinéma, arts graphiques, etc. adorateurs sincères et dévoués, de genres oubliés ou plongés dans les ténèbres propres aux déchus de la mode. En ce sens, les tenants de l’immédiat et du mainstream, requins sans scrupules, n’hésitent d’ailleurs jamais à racketter ces sources de savoir acquis parfois de longue date, le jour où la nécessité se fait sentir (retour en grâce, mise en lumière par un roi du jour).
Alors n’hésitons pas à arpenter les rues biscornues et à priori mal achalandées des Internets plutôt que les vastes avenues des agrégateurs de news, vers lesquelles nous sommes guidés à l’instar de vulgaires touristes.
Le prix à payer pour ce regain de liberté ? Un temps de chargement parfois plus long, des templates éculés, le déni des prétendues best practices…
La montre Polaris Geographic WT, proposée exclusivement en boutiques et en édition limitée de 250 pièces. Son design s’inspire de la montre Memovox Polaris de 1968, modèle emblématique de la Grande Maison. Ses courbes entièrement redessinées dénotent une élégance sportive à porter au quotidien. Son boîtier de 42 mm abrite le Calibre 936A/1, un calibre mécanique Jaeger-LeCoultre à remontage automatique qui apporte une nouveauté dans la ligne : la fonction géographique, qui accompagnera l’homme actif comme le voyageur.
Véritable signature de la ligne, le cadran illustre parfaitement l’alliance subtile des deux couleurs de la ligne Jaeger-LeCoultre Polaris, le bleu évoluant vers le noir. Ce cadran bleu fumé confère à la montre Polaris Geographic WT une impression de grande profondeur. Il s’agrémente de trois finitions : opaline pour le disque des villes, azurée pour les sous-cadrans du quantième à 2 heures, de la seconde zone horaire à 6 heures et de la réserve de marche à 10 heures, et grenée pour le fond du cadran…
En découvrir plus: http://www.jaeger-lecoultre.com
La collection printemps / été 2019 de Neith Nyer est un hommage à Paris, lieu d’espoir et de désespoir raconté à travers l’objectif d’une wanabee reine de beauté qui tente de se hisser au sommet.
Francisco Terra pensait à cette fille pleine de rêves mais à la fois marginale, une gamine gothique fantasmagorique de Bastille qui rêve d’être Miss France. Et travaillera dur pour accomplir son rêve.
Le label new-yorkais accueille un nouveau membre au sein de sa prestigieuse écurie : Doug Shorts, fondateur et ex-chanteur du groupe Master Plan Inc., en provenance de Chicago. Le crooner funk travaille actuellement sur de nouveaux enregistrements, préparant son retour au premier plan sous la direction d’Homer Steinweiss, membre des Dap-Kings, et du hitmaker canadien Frank Dukes, l’un des producteurs les plus courtisés ces dernières années : The Weeknd, Cardi B, Kendrick Lamar, SZA, Drake, Kanye West…
Tout pourrait être autrement. C’est avec cette idée en tête que Catastrophe vit, ne faisant jamais deux fois la même chose. En 2018, sur le label Tricatel, paraît le disque La nuit est encore jeune, précédé en 2017 d’un essai littéraire du même nom, aux éditions Pauvert/Fayard…
Sur scène, la surprise est reine. Après avoir oscillé entre 3 et 20 membres, Catastrophe se cristallise autour de sept personnalités – Pierre, Blandine, Arthur, Bastien, Pablo, Carol et Mathilde – comme autant de Power Rangers avec leurs propres savoir-faire, leurs tours spéciaux. Kaléidoscope de genres musicaux, Catastrophe partage le même goût pour l’innovation que Kamasi Washington et Aquaserge, ou celui pour l’improvisation et l’expérimentation qu’on retrouve dans le hip-hop social de Kendrick Lamar ou dans la joie collective d’Arcade Fire.
Catastrophe: en concert le 19 décembre à la Gaîté Lyrique
Feu rouge est une belle ballade avec un refrain fédérateur. Le clip se déroule à la manière d’un générique de film, le début d’une nouvelle aventure… Tourné un lundi matin à l’aube à Montmartre (starring Fishbach), réalisé par La Comète, des réals de théâtre géniaux (« Le Bal ») inventeurs du Méta-cinéma.
Oh il ne manquait que la pluie Voilà je t’écris du taxi Et les gouttes dansent comme nous dansions Et la radio chante comme nous chantions
Ici Paris, qui disparaît mais d’ici Paris me regarde
Alors que toute la ville défile Dans cette dernière course folle Que je fuis le défi Oui que j’abandonne
Ici Paris, qui disparaît mais d’ici Paris me regarde (Partir très loin)
A chaque feu rouge de colère Paris qui défile sous la pluie Je me défile, je suis parti
Tom Misch révèle le clip de son morceau « It Runs Through Me », extrait de son album « Geography ». Un clip qui donne le ton dés les premières notes: des riffs ensoleillés, un esprit jazz classe, une voix ronronnante, tout ce qu’il faut pour passer un weekend sous le signe du groove et de la détente. Une évidence lorsqu’on est accompagné par De La Soul.
Ce premier album est le produit d’influences multiples, à commencer par de grands noms du jazz tels que Robert Glasper, Roy Hargrove ou Cory Henry, qui bercent Tom Misch depuis de longues années. Viennent ensuite s’ajouter la techno, la house et le disco, découverts à travers le prisme de producteurs tels que Kaytranada et Motor City Drum Ensemble. C’est enfin l’euphorie des années 1970 et 1980 et le tempo des boîtes de nuit comme Fabric ou Corsica qui ont conduit Tom Misch à amener plus de rythme dans ses chansons.
1. Before Paris
2. Lost In Paris (feat. GoldLink)
3. South Of The River
4. Movie
5. Tick Tock
6. It Runs Through Me (feat. De La Soul)
7. Isn’t She Lovely
8. Disco Yes (feat. Poppy Ajudha)
9. Man Like You
10. Water Baby (feat. Loyle Carner)
11. You’re On My Mind
12. Cos I Love You
13. We’ve Come So Far