C’est l’été, dans un camping en Dordogne, des jeunes gens disparaissent. Les rumeurs les plus folles circulent, on parle d’une panthère qui rôde… Un sentiment de danger permanent au cœur duquel s’épanouit Laura, 17 ans. La rencontre avec Paul, un écrivain aussi attirant qu’inquiétant, la bouleverse. Une relation ambiguë se noue. Jusqu’à ce qu’un prétendant de Laura disparaisse à son tour et qu’une étrange policière entre dans la danse…
Réalisé par Vincent Mariette avec Lily-Rose Depp, Laurent Lafitte, Camille Cottin
Cet hiver, la marque de whiskey américain Bulleit Bourbon s’associe à l’artiste et tatoueur Jean André. A cette occasion il réinterprète la bouteille iconique, à travers un étui en cuir en édition limitée, en vente dans le concept store Archive 18-20.
Le style instinctif et minimaliste de Jean André s’est rapidement imposé comme une évidence pour Bulleit. A l’image de cet artiste singulier, Bulleit Bourbon est un spiritueux atypique et indépendant. Le design unique de sa bouteille s’inspire des flacons médicinaux qui transportaient le whiskey à travers l’Amérique des années 1850. Le flacon, embossé et tout en transparence, donne la part belle au liquide et à ses reflets acajou caractéristiques.
« J’ai tout de suite été séduit par l’idée de personnaliser ces bouteilles venues des Etats-Unis, en les travaillant à Paris. Chaque étui est marqué d’un numéro qui le rend unique, à l’image d’un tatouage. On a fait pas mal d’expérimentations, et je suis fier du rendu, juste et original.» Jean André.
Bouteille en vente -chez Archives 18-20, 20 rue des Archives 75004 Paris https://www.bulleit.com
Edition limitée à 80 bouteilles numérotées
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
La galerie Perrotin présente une exposition personnelle de Sophie Calle, la quinzième depuis le début de la collaboration avec l’artiste en 2001. À cette occasion, Sophie Calle présente deux nouveaux projets Parce que et Souris Calle, avec la collaboration d’une quarantaine de musiciens.
L’exposition ouvre sur une série de photographies inédites, de la série Parce que masquées par des rideaux brodés d’un texte que le visiteur peut lire avant de les soulever pour découvrir l’image. Le texte qui débute par « Parce que » explique la raison pour laquelle cette image existe, pourquoi l’artiste a choisi ce moment ou ce lieu. Ainsi, « Parce que la tentation de la suivre » s’applique à La ligne blanche (2018), photographie d’une ligne de démarcation de route qui s’enfonce sous l’eau, ou « Parce que quoi d’autre après plus rien ? » devance Plurien, sortie (2018), cliché d’un panneau de sortie de ville, face au cimetière de Plurien. La justification de la photographie est ainsi lisible avant l’image, dans un rapport tautologique inédit qui questionne la relation texte – image.
Le vidéo-clip Souris Calle (2018) est projeté dans une salle adjacente: Sophie Calle y raconte les dix-sept années de vie commune avec son chat, sa personnalité, leur habitudes et le vide créé par sa disparition.
Le dispositif de l’exposition est complété par une sélection d’œuvres de la série des Autobiographies, liées au décès de Souris. Juxtaposant des textes encadrés avec des photographies, ces Autobiographies sont une des séries les plus fameuses de l’artiste. Depuis 1991 elles ont été exposées dans le monde entier : Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de la Ville de Paris, Tel Aviv Museum of Art, Sprengel Museum de Hanovre, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, entre autres.
Je ne sais pas si vous le savez, mais Sophie Calle a perdu son chat. Souris. C’est son nom.
Elle ne l’a pas perdu par les rues, comme une certaine mère qui cherche encore le sien, mais pour de bon. À tout jamais.
En guise d’adieu, elle a demandé à une quarantaine de musiciens (Pharrell, Benjamin Biolay, Bono, Juliette Armanet…) d’écrire une chanson en hommage à Souris. Le chat.
Un requiem pour félin en somme.
Nous y sommes allés de notre ode.
Et si on y chante la douleur à l’estomac (papapa papa), ce n’est en rien pour célébrer cette belle science qu’est la gastro-entérologie.
Ne vous y trompez pas. On pleure la perte du chat.
C’est plutôt beau d’y penser : alors même qu’il nous quittait pour toujours (si on fait abstraction un instant de son empaillement), une chanson naissait, à son nom.
Le Chat Souris est mort. Vive le Chat Souris !
En live au Zenith de Paris le 24 Janvier & en tournée en France
A l’instar de Carpenter Brut ou Kavinsky, Martin Antiphon et Marc Botté, les deux membres de NinjA Cyborg, créent un univers qui évoque plus les codes de la musique électro que ceux de la pop music. Nourri de références cinématographiques, et marqué par l’histoire des jeux vidéo, NinjA Cyborg a peaufiné son nouveau titre à coups de Juno 60 et de TR606. Le clip a été confié au Freak Motion Studio qui a imaginé ce film imaginaire qui accompagne les nappes hypnotiques du titre The Sunny Road.
Avec cette vidéo animée, on suit les premières aventures de Gordon, le NinjA Cyborg, dans les bas-fond et sur les toits de Suncity. Qui est t-il vraiment ? Justicier solitaire ? Arme secrète du gouvernement ? Une simple machine a tuer ?
Batteur de Petit Fantôme, Melody’s Echo Chamber ou encore Frànçois & The Atlas Mountains, Jaune propose avec ce nouveau titre une pop discoïde et une musique lunaire.
Ce clip raconte l’histoire d’une rencontre. Une fille qui travaille dans un musée d’art contemporain et qui s’ennuie. Au détours d’une salle, David, un jeune homme, va lui taper dans l’oeil. Tous deux passerons une nuit ensemble. Une attente d’abord, un premier aperçu, des questionnements ensuite, un rapprochement enfin. Encadrés dans le béton d’un bâtiment public puis emportés dans la nuit par les lumières artificielles d’un bar, deux inconnus s’apprivoisent le temps d’une soirée…
MOU manie avec une pointe d’humour les codes du rap et de la chanson française… Ce Nantais d’adoption parle principalement d’amour, utilisant des références de son quotidien, pour les installer dans un décor décalé et surréaliste. Une marque de fabrique qui a su être appréciée lors de la sortie de son premier EP « Full sentimental » sorti en Janvier 2018.
Sur des instrumentaux de La Brousse, Maodea ou encore le bruxellois Mowley, MOU évolue seul sur scène. Se baladant de gauche à droite, hypnotisant comme un tic et un tac, pour suspendre le temps et voyager au coeur de ses histoires à dormir debout.
Cuisinier à la ville, ce grand corps au coeur tendre, n’est pas un amateur de prise de tête. Ses épopées pop naviguent dans l’ère du temps, ajoutant son grain de sel à une génération française qui se joue des styles (Myth Syzer, Muddy Monk, Lewis OfMan ou Vendredi sur Mer).
RELEASE PARTY LE 20 DÉCEMBRE AU POP UP DU LABEL & LE 15 DÉCEMBRE AU PANNONICA (NANTES)
1er extrait de son prochain EP prévu pour le 30 novembre
Pour la première fois en France, une grande exposition rend hommage à l’art méconnu de la vannerie japonaise en bambou. L’occasion de découvrir près de 200 oeuvres anciennes et contemporaines à la beauté poétique, destinées à l’origine à la décoration florale de la cérémonie du thé.
L’histoire de cet art typiquement japonais est mal connue en Occident : si plusieurs musées américains présentent de façon permanente quelques exemples de ces oeuvres spectaculaires, les collections publiques sont limitées en Europe comme au Japon. Le musée du quai Branly – Jacques Chirac est fier d’avoir pu rassembler dans une exposition inédite, le plus grand ensemble de pièces jamais montré en Europe, à l’occasion d’une année culturelle où les arts japonais sont particulièrement célébrés en France.
Exposition jusqu’au 7 avril 2019
Mezzanine Est
Commissariat : Stéphane Martin, président du musée du quai Branly – Jacques Chirac
37 Quai Branly, 75007 Paris www.quaibranly.fr
La marque dévoile une nouvelle ligne de doudounes NUPTSE, déclinées dans une large palette de couleurs. Iconique, colorée, légère et chaude, la NUPTSE se porte en ville comme en montagne. Inspirée de l’emblématique veste lancée en 1996, cette nouvelle version arbore de nombreux détails rétro. Elle reprend la même matière brillante que le modèle original, ainsi que les grands caissons de couleurs caractéristiques. Côté technique, la NUPTSE 1996 bénéficie de nombreux atouts dont une isolation au duvet d’oie à fort pouvoir gonflant et d’une finition déperlante assurant une protection parfaite pour les journées les plus froides.
Les vestes rétro Nuptse sont disponibles dans les magasins The North Face + www.thenorthface.com
Le coffret en édition limitée de Hennessy X.O & Ice se transforme en seau à glace pour accompagner les nouvelles expériences de dégustation de cet assemblage sophistiqué.
Hennessy X.O on Three Rocks : Un mode de dégustation à la fois très contemporain et ancré dans la tradition familiale Hennessy. Versez le cognac dans un verre droit sur trois cubes de glace de bonne taille. La glace fond alors progressivement, libérant les arômes de fruits confits et d’épices de Hennessy X.O. Une façon idéale d’apprécier Hennessy X.O.
Hennessy X.O on a Rock : Une révélation surprenante des nombreuses eaux-de-vie qui composent X.O. Versez le cognac sur un seul grand cube de glace. Son froid souligne le caractère et les arômes du cognac et met en valeur le savoir-faire Hennessy.
Hennessy X.O Over Ice : Une boisson qui peut s’apprécier autour d’un brunch, lors un cocktail ou après le dîner. Placez plusieurs glaçons dans un grand verre à vin. Versez le cognac X.O, ajoutez une goutte d’eau froide et mélangez. La glace refroidit rapidement le cognac, révélant l’équilibre de l’assemblage et ses notes épicées subtiles et toniques.
Les conseils du mixologue de la Maison Hennessy pour créer des glaçons parfaits
1. Les glaçons de grande taille fondent moins rapidement.
2. N’utilisez que de l’eau minérale ou filtrée.
3. Passez les glaçons sous l’eau avant de les servir pour éliminer la couche de gel qui a pu se former à la surface.
Coffret en édition limitée disponible à la boutique des Visites Hennessy à Cognac et chez les cavistes partenaires.
En découvrir plus: www.hennessy.com
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
Pour rendre hommage une nouvelle fois à « Magic Senna », TAG Heuer présente deux nouvelles séries spéciales : La TAG Heuer Carrera Heuer 02 et la TAG Heuer Carrera Heuer 02 Tourbillon Editions Spéciales Ayrton Senna. Elles arborent le fameux « S » laqué rouge, symbole exclusif pour Senna, sur le cadran et le fond de chaque montre. Associé à une lunette avec échelle tachymétrique, ces deux chronographes ont du caractère et rappellent le niveau de performance de Senna.
Proposé en édition limitée à 150 exemplaires numérotés, ce Chronographe Tourbillon Heuer 02, entièrement développé au sein de la Manufacture, est pour la première fois associé à Ayrton Senna. Cette pièce se fait remarquer avec ses 45mm, son cadran squeletté noir opalin, sa lunette en céramique matte et son bracelet en cuir noir. Son design et l’association bracelet, boitier, cadran noir à quelques touches de rouges affichent clairement la couleur : TAG Heuer réaffirme son lien avec la course automobile…
Une approche radicalement neuve, ouverte et transversale de l’histoire de la mode
En choisissant d’élargir leur focale au contexte historique, sociologique et économique, Denis Bruna et Chloé Demey, avec leur équipe de jeunes chercheurs, racontent une toute nouvelle histoire des modes où les usages, les modes de vie, les matériaux, les savoir-faire jettent un éclairage passionnant au-delà de l’histoire de l’art.
Il s’agit d’une histoire sur la longue durée, de 1330 aux années 2000, considérée depuis la France mais ouverte aux apports des pays étrangers. Enfin, et ce n’est pas un détail, il n’est pas ici question uniquement du vêtement féminin mais de celui des hommes et des enfants… et même parfois des animaux !
Denis Bruna est docteur en histoire de l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne et conservateur chargé des collections Mode et Textile antérieures au XIXe siècle aux Arts Décoratifs. Il est aussi professeur et directeur de recherche en histoire de la mode, du costume et du textile à l’École du Louvre. Il est notamment l’auteur de Piercing, sur les traces d’une infamie médiévale (Textuel, 2001) et Bijoux oubliés du Moyen Âge (Seuil, 2008).
Chloé Demey est diplômée de l’École du Louvre en muséologie. Elle est responsable des éditions du Musée des Arts Décoratifs.