Septembre est là, et avec lui l’anniversaire de Use Your Illusion. On se rappelle que 1991 n’était pas une année : c’était un volume. Les clips de Guns N’ Roses passaient en boucle, les ballades imparables prenaient toute la pièce, et on écrivait au bic des bribes de phrases qu’on se promettait de comprendre plus tard. Cette capsule n’est pas une simple discographie : c’est le trajet émotionnel qui va de “Don’t Cry” à la pluie d’“November Rain”, en passant par les routes d’“Estranged” et le regard de “Yesterdays”.
Sur la photo et chez Vintage XX, la mémoire est rangée par désordre :
CD albums : Appetite for Destruction ; GN’R Lies ; Use Your Illusion I & II ; The Spaghetti Incident? ; Live Era ’87–’93 ; éditions spéciales/Maxi (cf. photo).
Livres : Duff McKagan – It’s So Easy (et autres mensonges) ; Steven Adler & Lawrence Spagnola – My Appetite for Destruction.
Partitions : Songbook Use Your Illusion I (grand format, full color folio).
Chaque boîtier claque comme une porte d’ascenseur, chaque livret garde l’encre d’une époque où on lisait les crédits comme des cartes au trésor.
Ce que racontent les chansons (et pourquoi ça mord encore)
“November Rain” : une cathédrale de guitare, la certitude que la démesure peut être sincère.
“Yesterdays” : une marche vers l’avant, tête haute.
“So Fine” (chantée par Duff) : le moment où le groupe prend un visage d’ami — « Si tu as besoin d’une épaule… » (et tout est dit).
“Civil War”, “Don’t Cry”, “Knockin’ on Heaven’s Door” : trois façons d’apprendre qu’un tube peut aussi être un avis.
On a vieilli, certes, mais les morceaux tiennent parce qu’ils parlent d’endurance, pas d’innocence.
Lieux, gestes, looks — mémoire incarnée
La fin de journée colle encore à la peau. La télé cathodique bourdonne, MTV promet que le clip durera autant que le film.
On serre un bandana sur des cheveux trop longs, on enfile un perfecto qui pèse vraiment, on noue une chemise à carreaux à la taille par réflexe. Les Aviator rayées racontent la veille.
Le monde sent le vinyle neuf, le cuir et le marqueur noir qu’on utilise pour écrire G N’ R sur le bord d’un cahier.
Pourquoi une Capsule Illusion (et pas “juste une Guns collection”)
Parce que rassembler disques + livres + partitions met la musique entre les mains. On lit Duff, on écoute Axl, on travaille le solo de “Don’t Cry” sur le songbook : la mémoire devient pratique.
La Capsule ne promet pas la jeunesse ; elle promet l’usage : rallumer, rejouer, relire.
Contenu & état (transparence)
CD : série complète visible sur la photo (Appetite, Lies, Use Your Illusion I&II, Live Era, Spaghetti, etc. + éditions liées).
Livres : Duff (édition FR), Adler (EN).
Songbook guitare : Use Your Illusion I (grand format).
État : bon ensemble d’occasion (boîtiers patinés, livrets propres ; songbook feuilleté).
Envoi : carton renforcé + calage, expédition suivie 24–48 h.
Capsule Mémoire — 1991 → 1992
1992 — Les clips géants tournent, la pluie tombe en plein jour. Les guitares se portent longues, les bandanas aussi.
Objets : Discman anti-choc, Walkman abandonné, piles de boîtiers empilés.
Style : bandana + perfecto + jeans déchirés + boots/baskets blanches.
Vintage XX — Marchand de souvenirs : on ne liquide pas, on réveille.
7) Shop the story
• Anthologie Guns N’ Roses — CD + livres + songbook
• Option Vinyle : ajoute la discographie G N’ R en vinyles (sur demande, quantité limitée).
Vintage XX — Marchand de souvenirs. On ne vend pas un groupe : on vend la manière de s’en souvenir correctement.
CD, livres, partitions — la mémoire 1991–1992 en pièces. Ouvrez la capsule et rejouez la pluie.
guns n’ roses, use your illusion, november rain, yesterdays, so fine, 1991, 1992, nostalgie, vintage xx