Gibson Acoustic Specials – J-45, HUMMINGBIRD ET L-00 SPECIALS : l’excellence américaine

Gibson Acoustic Specials – J-45, HUMMINGBIRD ET L-00 SPECIALS : l’excellence américaine

DÉSORMAIS DISPONIBLES DANS LE MONDE ENTIER SUR GIBSON.COM

L’HÉRITAGE ACOUSTIQUE GIBSON AU SERVICE DE L’INNOVATION

Fabriquées à la main par les luthiers experts de Gibson Acoustic à Bozeman, Montana, les nouvelles Specials offrent un condensé de l’excellence américaine, avec une qualité de fabrication inégalée et un prix attractif pour les passionnés.

Gibson, marque iconique et référence absolue en matière de guitares artisanales, façonne la musique depuis plus de 130 ans. Avec l’arrivée des nouvelles Gibson Acoustic Specials – J-45 Special, Hummingbird Special et L-00 Special – la marque propose une synthèse parfaite entre tradition et innovation. Ces guitares, fabriquées aux États-Unis, offrent le son Gibson authentique et un confort de jeu optimal à un tarif accessible. Elles sont désormais disponibles dans le monde entier via Gibson.com, le Gibson Garage à Nashville et Londres, ainsi que chez les revendeurs agréés Gibson.

UNE ÉDITION SPÉCIALE POUR LES MUSICIENS EXIGEANTS

Conçues pour accompagner les musiciens de la scène aux sessions studio, ces guitares acoustiques intègrent les meilleurs éléments Gibson :

Électronique L.R. Baggs™ intégrée pour une sonorité amplifiée de qualité studio.

Finitions satinées en nitrocellulose offrant une résonance améliorée et une prise en main agréable.

Bois sélectionnés : dos et éclisses en acajou massif, table en épicéa Sitka avec barrage en X sculpté.

Étuis souples premium inclus pour une protection optimale en déplacement.

Gibson Acoustic Specials : l’excellence américaine

DES INSTRUMENTS ICONIQUES, UNE INTERPRÉTATION MODERNE

L-00 SPECIAL : L’ÂME DU BLUES, L’EXPRESSION D’UNE ÉLÉGANCE INTEMPORELLE

Depuis son introduction en 1932, la Gibson L-00 est l’une des guitares acoustiques compactes les plus prisées. Son corps plus étroit offre une projection sonore équilibrée, idéale pour le fingerpicking et le blues. Disponible en Satin Vintage Sunburst et Satin Wine Red, elle combine authenticité et jouabilité moderne.

HUMMINGBIRD SPECIAL : LA LÉGENDE DU FOLK, RÉINVENTÉE

Icône depuis 1960, la Hummingbird Special adopte une caisse square-shoulder légèrement affinée, procurant un son chaleureux et précis. Sa finition en Satin Vintage Cherry Sunburst et Satin Wine Red sublime son esthétisme légendaire, tandis que son pickguard arbore la signature graphique emblématique de la Hummingbird.

J-45 SPECIAL : L’INCONTOURNABLE “WORKHORSE” DE GIBSON

Modèle acoustique le plus vendu de Gibson, la J-45 a conquis le cœur des musiciens depuis 1942. Son corps round-shoulder légèrement aminci favorise une jouabilité accrue et une réponse plus percutante dans les basses. Son élégance intemporelle se décline en Satin Vintage Sunburst et Satin Wine Red, pour une touche de raffinement supplémentaire.

UNE GUITARE GIBSON, UNE HISTOIRE À RACONTER

« Gibson est fier d’offrir le meilleur de son savoir-faire avec cette nouvelle gamme d’acoustiques », explique Robi Johns, Senior Product Development Manager chez Gibson Acoustic. « Ces modèles spéciaux sont le choix parfait pour les compositeurs, les musiciens de scène et tous ceux qui recherchent un instrument inspirant et polyvalent. »

DISPONIBILITÉ ET POINTS DE VENTE

Les Gibson Acoustic Specials sont disponibles immédiatement sur Gibson.com, aux Gibson Garage de Nashville et Londres, ainsi que chez les revendeurs Gibson agréés.

À PROPOS DE GIBSON
Fondée en 1894, Gibson est une légende vivante de la lutherie américaine. Depuis plus de 130 ans, la marque a su créer des instruments mythiques, joués par les plus grands artistes. Entre innovation et héritage, Gibson continue de façonner le son de demain avec des instruments d’exception.

Explorez l’univers Gibson sur Gibson.com, suivez la marque sur Instagram, Twitter et Facebook, et visitez le Gibson Garage à Nashville et Londres. Une question ? Demande à Lia !

Gibson s’associe à Sir Brian May pour le lancement de la SJ-200 12-String

Gibson s’associe à Sir Brian May pour le lancement de la SJ-200 12-String

Une Édition Limitée Exceptionnelle Inspirée par le Légendaire Guitariste de Queen. Disponible dès maintenant sur Gibson.com

Un Hommage à une Légende du Rock

Alors qu’elle célèbre plus de 130 ans d’histoire musicale,  la marque iconique d’instruments de musique, annonce fièrement son partenariat avec Sir Brian May, l’un des musiciens les plus influents de l’histoire et co-fondateur du groupe Queen.

Découvrez la Brian May SJ-200 12-String, une guitare acoustique en édition limitée fabriquée par les experts luthiers du Gibson Custom Shop à Bozeman, Montana. Seulement 100 modèles de cette SJ-200 12-String seront disponibles dans le monde entier, rendant cet instrument aussi rare qu’exceptionnel.

Une Collaboration Unique avec Sir Brian May

Créée en collaboration étroite avec Sir Brian May, cette guitare incarne à la fois son héritage musical et sa passion pour l’astronomie.

« L’idée de cette guitare est née lorsque j’avais besoin d’une 12-String pour une tournée, mais celle que j’avais ne fonctionnait pas comme je le voulais sur scène. Gibson m’a proposé de créer un modèle sur mesure. J’ai demandé à inverser l’ordre des cordes octaviantes pour pouvoir entendre les notes aiguës en jouant en picking ascendant. Cette guitare est une merveille de technologie et de savoir-faire. Gibson a réussi à intégrer l’univers sur cette guitare, avec un clin d’œil à la planète Mercure, en hommage à un ami qui est toujours avec moi. » Sir Brian May

Un Design Inspiré par l’Astronomie et l’Innovation

La Brian May SJ-200 12-String célèbre à la fois la contribution de Sir Brian May à la musique rock et son amour pour l’astronomie. Le pickguard à thème planétaire a été conçu par Sir Brian May lui-même, renforçant le motif astronomique.
L’ordre des cordes a été inversé : les cordes graves sont placées en haut et les octaves en bas, offrant un son unique et distinctif qui la différencie des autres modèles acoustiques Gibson.

Des Caractéristiques Techniques et Artistiques Inégalées
• Bois de Première Qualité : Fond et éclisses en bois de rose AAA, table en épicéa de Sitka AAA avec une finition Vintage Sunburst.
• Manche en Érable AAA : Manche en érable 2 pièces avec un profil arrondi, un filet en noyer et une touche en bois de rose avec des incrustations en nacre agoya en forme d’étoile à 8 branches.
• Chevalet Moustache™ en Bois de Rose : Orné de quatre incrustations en agoya style années 60.
• Électronique Fishman® Matrix® : Prête pour la scène et le studio dès la sortie de l’étui rigide inclus.
• Design Astronomique Unique : Inspiré par la passion de Sir Brian May pour l’astronomie, chaque détail de cette guitare rend hommage à l’univers.

Une Édition Ultra Limitée pour les Collectionneurs et les Fans de Musique

Seuls 100 exemplaires de la Brian May SJ-200 12-String ont été fabriqués à la main par les maîtres luthiers du Gibson Custom Shop.

Un Héros du Rock et de l’Astrophysique

En mettant de côté ses études de doctorat pour devenir le légendaire guitariste de Queen, Sir Brian May a marqué l’histoire du rock avec son son distinctif et son jeu de guitare inégalé.
En 2007, après des décennies de renommée mondiale, il a terminé sa thèse de doctorat en astrophysique. Cette guitare honore à la fois sa contribution à la musique et sa passion pour l’astronomie.

Une Équipe de Création de Légende
• Design et Conception : En collaboration étroite avec Sir Brian May.
• Fabrication : Gibson Custom Shop à Bozeman, Montana, reconnu pour son artisanat exceptionnel.
• Électronique : Fishman® Matrix® pour des performances scéniques et en studio inégalées.

Vidéo Exclusive avec Sir Brian May

Visionnez l’interview exclusive de Sir Brian May concernant la création de cette guitare exceptionnelle. La musique de fond est le morceau emblématique de Queen, “Love of My Life”.

Disponibilité et Prix

La Brian May SJ-200 12-String est disponible en édition limitée dès maintenant sur Gibson.com, au Gibson Garage de Nashville et Londres, ainsi que chez les revendeurs Gibson agréés.
• Quantité limitée à 100 exemplaires dans le monde.
• Accompagnée d’un étui rigide personnalisé, d’un certificat d’authenticité et d’un livret signé à la main par Sir Brian May.

Un Hommage à la Musique et à l’Univers

En combinant artisanat traditionnel et innovation technologique, la Brian May SJ-200 12-String n’est pas seulement une guitare : c’est une œuvre d’art célébrant l’héritage musical et l’amour des étoiles de Sir Brian May.

Pour plus d’informations et pour commander, visitez :
• Gibson.com
• Gibson Garage Nashville
• Gibson Garage London

Rejoignez la Communauté des Fans
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• Twitter (X) : @GibsonGuitar
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• YouTube : Gibson TV

Une Gibson Mythique pour les Passionnés

La Brian May SJ-200 12-String est un chef-d’œuvre de lutherie, alliant musique, science et artisanat.
Célébrez l’héritage de Queen et l’amour des étoiles avec cet instrument d’exception.

Réservez la vôtre dès maintenant et rejoignez l’histoire légendaire de Gibson et Brian May.

Adam Jones (Tool), Gibson Les Paul Standard Antique Silverburst

Adam Jones (Tool), Gibson Les Paul Standard Antique Silverburst

La nouvelle Adam Jones Les Paul Standard de Gibson USA rend hommage à ce qu’Adam appelle « l’une de mes guitares préférées de tous les temps ». Les fans peuvent voir Adam et sa Les Paul Standard sur scène lors de la tournée mondiale de l’album à succès Fear Inoculum de Tool. Finie en Antique Silverburst, la nouvelle Les Paul Standard d’Adam a une touche en ébène avec des incrustations trapézoïdales en nacre et des tuners Grover Rotomatic avec des boutons de style contemporain. Elle est équipée d’un Burstbucker recouvert de chrome en position neck et d’un DC High Gain Humbucker non recouvert en position chevalet. Les commandes sont câblées à la main avec des condensateurs Orange Drop. L’Adam Jones Les Paul Standard présente la signature d’Adam sur le couvercle de la tige de réglage et des illustrations personnalisées d’Adam Jones à l’arrière et est livrée avec un étui rigide.

La résurrection de la Gibson ES 335 millésime de Clapton

Le sujet ici présenté, montre sous toutes coutures la façon de re-créer une « Guitare de Star », en partant du modèle original, un véritable travail de fourmi. Ce reportage de 55 minutes nous montre, toutes les facettes de la résurrection de la Gibson ES 335 millésime 1964 d’Eric Clapton celle de Cream  » Crossroads  » entre autre, depuis la prise en possession de l’instrument jusque…  ICI

Gibson

Une vraie Gibson est la seule chose qui vaille le coup. http://www.gibsoneurope.com

Code source. William Gibson

Hollis, ancienne chanteuse de rock dans les années quatre-vingt-dix, travaille pour un magazine d’art en cours de création pour lequel on lui demande d’enquêter sur des artistes virtuels. Son enquête la conduit à Chombo, un ancien ingénieur de systèmes de guidage devenu « producteur ». Il est paranoïaque, reclus, très secret.  Tito a la vingtaine. Sa famille vient de Cuba. Il parle couramment le russe, habite un studio dans un entrepôt de Manhattan et remplit des missions sensibles dans le transfert clandestin de données.  Milgrim est un drogué de première, accro aux calmants et braqueur de talent. Il ne survivrait sans doute pas vingt-quatre heures si Brown, un homme mystérieux qui l’a sauvé d’un malentendu avec son dealer, cessait de lui fournir ses médicaments. Milgrim ignore ce que cherche Brown, mais le soupçonne d’être un espion.  Sur la trace d’un mystérieux container pisté par Chombo, tous vont converger et se retrouver à Vancouver, Canada… Artistes en réalités virtuelles, trafiquants de technologies, anciens espions de la guerre froide, leurres et écrans de fumée : une guerre de l’information et du contre-renseignement à l’heure des réalités virtuelles ! « Gibson cisèle des phrases d’une beauté dérangeante, il est notre grand poète des foules. » San Francisco Examiner  « Gibson produit une œuvre de fiction à l’écoute des psychoses actuelles, du désarroi et de la furie perplexe qui imprègnent notre culture. Avec Code source, Gibson fait un grand pas en avant et s’affirme comme l’un des observateurs les plus astucieux et drôles de notre présent chaotique mais étonnant. »  The Washington Post’s Book World. Source : www.audiable.com

Slash ft. Myles Kennedy and The Conspirators – April Fool (Extrait de 4)

Slash ft. Myles Kennedy and The Conspirators – April Fool (Extrait de 4)

SLASH FT. MYLES KENNEDY & THE CONSPIRATORS, (SMKC) ont récemment terminé leur tournée nationale « The River Is Rising » aux États-Unis avec des concerts à guichets fermés en soutien à leur nouvel album 4 disponible partout maintenant via Gibson Records/BMG. Aujourd’hui, le groupe a dévoilé la vidéo officielle de son deuxième single, « April Fool ».

J’ai beaucoup d’enregistrements de nous en train de jouer « April Fool » lors des balances sans savoir où cela nous mènerait, et bien que cela ait pris du temps à se mettre en place, c’est un riff cool », dit SLASH. « La chanson a vraiment pris forme lorsque nous sommes entrés en studio, et c’est l’une des chansons sur laquelle Dave Cobb a eu un impact certain. Certains éléments clés manquaient dans la démo, au niveau de l’arrangement, et il a dit : « On va connecter ça juste là… » Et j’ai dit : « Oh, oui, c’est une bonne idée ! ». [rires] Parfois vous avez juste besoin de cette autre personne en qui vous pouvez avoir confiance musicalement. Et s’ils ont une idée, on ne peut pas être trop précieux pour l’essayer. »

MYLES KENNEDY ajoute à propos de la chanson : « C’est l’une de mes préférées. Un morceau vraiment amusant. Lyricalement, il s’agit de se faire jouer, et finalement, vous réalisez que vous en avez assez, et vous décidez que vous allez avoir le dernier rire à la fin. C’est là que la phrase « I guess the jokes’ on you, » entre en jeu. Et Dave s’est sali les mains sur ce coup-là. Il a fait quelques retouches et soudain, on s’est dit : « C’est beaucoup mieux ! On était vraiment, vraiment, heureux de ce que ça donnait. »

SLASH FT. MYLES KENNEDY & THE CONSPIRATORS (L-R): TODD KERNS (bass & vocals), SLASH (guitar), MYLES KENNEDY (vocals), FRANK SIDORIS (guitar & vocals), and BRENT FITZ (drums). Photo credit : Ross Halfin

Guns n’ Roses – Not in This Lifetime Tour 2017

Tu connais le célèbre adage de Tom Jones ? Au début de ta carrière les fans déchainées jettent leurs petites culottes ou leurs strings sur scène, à la fin, les mêmes t’envoient leurs gaines … Depuis 2016 et l’annonce de la « re formation » du groupe, les Guns font le plein de culottes XXL. Déjà 230 millions de dollars engrangés par Axl et sa moitié de gang originel (Duff et Slash) et des dates sold out aux quatre coins du monde. En Juillet 2017 ils seront au Stade de France. Nous aussi.

Les Guns ? C’est grosso modo l’histoire d’un groupe de cowboys white trash, étiquetés dans un genre, dans une époque : Le « hard rock », qui incarnent à la perfection le fantasme des chroniqueurs et autres journalistes musicaux. A la réputation parfois prétendument sulfureuse, parfois vraiment hardcore. Au succès façonné par MTV. Punks par intermittence, qui reprennent – sans faux col – Mc Cartney, Dylan, les Who ou encore les Misfits, vouent un culte à Johnny Thunders, pompent allègrement depuis le début de leur carrière, les usages des Toxic Twins D’Aerosmith.

Un combo électrique nerveux et gras en formation à cinq, genre, vrais voyous, fils de fer prêt à tataner à la santiag le mec qui s’endort au premier rang, capables du twist ultime, à savoir se compromettre à peine dix ans plus tard dans un barnum façon cirque Gruss ; Choristes habillées en filles de mauvais genre, claviers, section de cuivres, dans des stades surbondés, chanteur en cycliste et bandana sur la tête. Gratteux en chef doté d’un pantalon en cuir moule teub et chapeau haut de forme, qui égrène invariablement les notes à la verticale, homme- sandwich pour Marshall et Gibson, tandis que le bassiste dissimulait avec peine sous ses cheveux dégueu et peroxydés une peau digne de figurer sur doctissimo dans la rubrique furoncles cradingues. C.f Vincennes 92. Ajoutez à cela des changements de Line up dignes de mercato footballistiques et vous comprendrez aisément pourquoi les « pistolets et les roses » ont explosés à la fin des 90’s … comme le genre musical d’ailleurs.

Tout aurait pu vraiment s’arrêter à ce moment là. C’était sans compter sur le chanteur, sournois et malin comme un chacal qui fort des mots de Winston Churchill « Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement. » s’est octroyé sans vergogne le nom du groupe, laissant en carafe les musiciens qui devaient quand même un peu flipper à l’idée de finir en Paul Personne de Michael Jackson ou pire à faire des concerts au Plan à Ris Orangis en deuxième partie de soirée.

Axl Rose c’est toujours mieux que William Bailley son vrai nom, preuve vivante que le blaze c’est 50% de la carrière, a voulu poursuivre en solo, recrutant deci delà la fine fleur des shredders et des mercenaires de studios. Résultat après la plus longue attente pour un album, et s’être taillé une jolie réputation dans le métier, il a sorti, l’air de rien un L.P avec entre autres remplaçants musiciens, un mec qui porte une boîte en carton KFC sur la tête et un masque genre halloween… Pour la petite histoire on se doute bien de la destination des wings, vu que le beau gosse roukmoute Axl est passé de la taille XS au triple XL façon Carlos époque papayou. En aparté, je trouve que Chinese Democracy est un bon album, comme le reste d’ailleurs. Ne m’en voulez pas, le propre d’un fan c’est d’être en tout point partial et jamais objectif. Le rock est une affaire de sentiments. Peu importe les coups de pute, on marche ou crève avec le groupe. Alors, oui, il a fallu supporter les humeurs, les atermoiements, la traversée du désert, les side projects comme ce Velvet Revolver monté par les révoltés du Bounty : Slash, Duff, Matt, un peu Izzy et Gilby, avec pour lead singer le regretté Scott Weiland, camé notoire tandis que les autres avaient tous décroché. Des paradoxes temporels et des embrouilles de télé-réalité. La réconciliation réchauffée façon Page – Plant ou Jagger – Richards pour cette tournée.

Des bios à n’en plus finir nous expliquent leurs vérités. Au fond, on s’en fout, il suffit de prendre Appetite for Destruction, de le fourrer à sa place, c’est à dire dans une platine laser, vinyle, cassette, mp3 et de pousser le potard jusqu’à 11. Se délecter de chaque note, de chaque octave, se complaire dans la nostalgie la plus crasse et oublier leur âge, leur apparence ou leur ego tant qu’ils jouent. La mémoire d’un fan de rock est sélective, noyée dans la bière chaude et la transpi du perfecto. Toujours en quête d’une vibration, d’un riff ou d’un pogo. Le rock n’ roll is dead disait l’autre ? Fais gaffe, tu vas prendre un coup de Weston, foi de bobo défroqué !