60 cl d’eau – 400 g de farine – 2 œufs – 4 pincées de levure chimique – 2 pincées de sel – 18 grappes de fleurs d’acacia – 2 l d’huile de pépins de raisin – sucre en poudre. 1 heure avant de réaliser la pâte à beignets, placez dans le réfrigérateur l’eau, les œufs, la farine, la levure, le sel. Mélangez l’eau, les œufs, la levure, le sel, rapidement. Ajoutez la farine. Brassez à la fourchette sans rechercher une consistance homogène, laissez des grumeaux. Faites chauffer l’huile de pépins de raisin à 180 °C. Plongez les grappes dans la pâte puis faites-les frire 4 par 4. Egouttez-les sur du papier absorbant et saupoudrez de sucre.
Pour 6 personnes. Une boîte de sardines ou de pilchards – 3 paquets de feuilles de manioc frais – 4 grosses aubergines – 5 oignons moyens – 7 cuillères à soupe d’huile d’arachide ou de palme – ciboulette – 300 g de crevettes séchées – 2 tablettes de bouillon-cube – un peu de pâte d’arachide. Laver et presser les feuilles de manioc à l’eau chaude, les piler à la main avec le mortier ou à l’aide d’un robot culinaire. Faire bouillir dans une grande casserole durant 1 heure dans l’eau salée ; ajouter un peu d’eau et le poisson. Au bout de 20 minutes, si le poisson a des arêtes, le retirer de la casserole et enlever celles-ci. ,Ajouter les aubergines épluchées et coupées en dés dans la casserole avec les feuilles de manioc ; remettre le poisson sans les arêtes dans la casserole et laisser cuire encore environ 20 minutes. Ajouter alors les crevettes séchées. ,Faire chauffer de l’huile dans une poêle. Verser cette huile dans la casserole du saka saka. Remettre la casserole sur le feu ; laisser chauffer jusqu’à l’évaporation totale de l’eau. , Enlever la casserole du feu et servir chaud ou froid, accompagné de riz ou de bananes plantains bouillies.
Et (surtout) de ceux qui ne le sont pas. Comment ai-je pu penser que le Club des Longues Moustaches était une association de gays pileux ? Où est situé ce restaurant de l’Algonquin dont on me répète qu’il était le centre du monde au début du XXe siècle ? D’où sortent ce baron Corvo et ce Zo d’Axa ? Suis-je tenu de relire l’intégrale des colloques de Cerisy, de me mettre à la post-poésie et à la littérature agénérique ? Pourquoi les Crosby sont-ils jugés beaucoup plus importants que les Fitzgerald ? Dois-je lire ce mystérieux B. Traven dont on m’assure qu’il surpasse Conrad et London ? Suis-je vraiment un idiot de croire que la Paris Review est un guide touristique consacré à la Ville Lumière ? Jean de La Ville de Miremont est-il le plus grand écrivain français du XXe siècle, comme on me l’affirme dans les dîners ? Qui est cet André Blanchard, de Vesoul, qui provoque crises de spasmophilie à la seule évocation de son nom ? Quel est le prix littéraire le plus déjanté ? Pourquoi devrais-je prêter attention aux journaux du défunt Matthieu Galey ? Suis-je obligé d’aller acheter mes livres à Tours, place Grand-Marché ? Ce lexique indispensable de connaissance littéraire pointue s’adresse à tous ceux qui soupçonnent l’existence d’un autre monde derrière les grandes figures imposées. Entre seconds couteaux ignorés ou oubliés, figures de dandy vénérées, personnages pittoresques, us et coutumes d’une secte étrange, ce dictionnaire d’un genre inédit est un remarquable voyage à travers la littérature. Et confirme le mot de Schnitzler selon lequel le snob a en général raison. Fabrice Gaignault (Auteur), Alberto Vejarano (Illustrations) www.amazon.fr
La région viticole la plus étendue de Suisse, fournissant 40% de la production nationale. Considéré comme la Californie de la Suisse, ce canton bénéficie d’un climat exceptionnel pour la culture de la vigne. Précipitations faibles et insolation maximale, températures douces jusque tard en automne. Le vignoble longe la vallée du Rhône, sur des côteaux abrupts échelonnés entre 500 et 800 mètres d’altitude, voir même 1100 mètres à Visperterminen (le plus haut vignoble d’Europe). Les sols sont très variés, avec cependant généralement peu d’argile. Bien aérés, légers, ils se réchauffent rapidement et retiennent peu l’eau. A Sion, les schistes, ou brisés, dominent, associés au mica: ce sont eux qui donnent au Fendant « les Murettes » ce tempérament caractéristique et ces arômes de pierre à fusil. Si le Fendant représente encore près de la moitié de la production, donnant un vin très réputé pour sa fraîcheur, sa légèreté et son léger pétillant, d’innombrables cépages, dont certains uniques au monde, sont remis aujourd’hui à l’honneur et permettent au Valais d’engranger des médailles dans les plus grands concours internationaux. En blanc, il faut citer l’amigne, l’arvine, la marsanne blanche, le muscat, le païen, la malvoisie et le sylvaner, appelé ici Johannisberg. En rouge, le Valais produit sans doute les vins les plus réputés de Suisse: la dôle, assemblage de pinot noir (prédominant) et de gamay, reste le grand classique. Le pinot peut également être vinifié seul et donner de grands vins de garde, comme le Vendémiaire de Gilliard. L’humagne rouge et le cornalin, cépages indigènes très réputés, donnent des vins extraordinaires, corsés, pleins de caractère, qui se bonifient avec l’âge. La syrah, encore rare, se développe pourtant rapidement grâce aux excellents résultats qu’elle donne, tout comme le diolinoir qui améliore sensiblement les vins d’assemblages, tel l’Antarès de Gilliard. Les rosés valaisans sont friands, frais et fruités: on trouve la dôle blanche, assemblage de pinot et de gamay vinifié en blanc, mais également les saignées de dôle et l’oeil de perdrix issu exclusivement de pinot noir. Les vins doux et liquoreux sont élaborés essentiellement à partir du Johannisberg, de l’amigne, de l’ermitage et du pinot gris. Le Valais offre l’un des rares micro-climats au monde permettant le développement de la pourriture noble. Les vins qui en sont issus, dans le respect de la charte « Grain Noble » sont dignes de concurrencer les plus grands liquoreux de la planète. Voir également: Arvine, Pourriture Noble, Rhône Produits en rapport avec cet article: Johannisberg Clos du Brûle Fer 2004, Fendant Clos de Cochetta 2005, Johannisberg Porte de Novembre 2004 37.5cl, Dôle des Monts 2005 75cl, Fendant Les Murettes 2005 75cl, Fendant Les Murettes 2005 37.5cl http://www.1885.ch
Réalisé par Vincent Gallo Avec Vincent Gallo, Christina Ricci, Ben Gazzara Après cinq années passées à la prison de Buffalo, Billy Brown est libéré. Il part rendre visite à ses parents, qui ignorent tout de la nature véritable de sa disparition, et kidnappe sur sa route une jeune étudiante nommée Layla. Il lui demande alors de jouer le rôle de l’épouse fictive qui lui a jusqu’à présent servi d’alibi dans ses lettres.www.allocine.fr
Cinéaste atypique, cassant les genres par un cinéma résolument « trash », ses premiers films du genre sont Pink Flamingos, Female Trouble, et Desperate Living. Des films en totale rupture avec les conventions et le bon goût, comme en témoigne une scène culte de Pink Flamingos dans laquelle Divine, acteur fétiche de John Waters, mange des excréments de chien. Il est à noter que John Waters fais souvent place aux femmes fortes dans ses films. Nombreuses sont ses héroïnes aux formes généreuses. Divine dans la plupart de ses films, mais aussi Ricki Lake dans Hairspray, où elle vampe les hommes et remporte un concours de danse devant toutes les autres candidates minces. À partir de Hairspray, on notera un assagissement, du point de vue « trash », même si ses films auront toujours cette touche anti-conventionnelle qui caractérise John Waters. Que ce soit dans le choix des acteurs, aux physiques en totale opposition avec les acteurs américains conventionnels, que ce soit par l’humour qui caractérise ses œuvres, humour bien souvent noir ou décalé, voire de mauvais goût. Mais également au niveau des scénarios, qui nous emmènent dans des situations complément ahurissantes : ses films, même moins provocants qu’à ses débuts, seront toujours caractérisés par une vraie rupture avec le cinéma américain conventionnel. A la différence de ses premiers films caractérisés par son mauvais goût, il utilisera une image plus « douce », plus « propre » dans les années 80/90 mais son discours sera d’autant plus virulent et la pervesion d’autant plus efficace : utiliser les conventions d’un teenmovie (« hairspray »), d’un soap opéra (« Polyester ») pour mieux les détourner est une des meilleures réussites du style John Waters.
Quand l’art rencontre la mode. A l’occasion de la « VOGUE FASHION NIGHT OUT », le jeudi 6 septembre 2012, HUGO BOSS met à l’honneur l’art contemporain, en faisant appel à l’artiste peintre, Yann Sciberras. Influencé par le mouvement de la figuration libre, son travail est incisif, décalé et résolument urbain. Ce témoin artistique, comme il aime à se définir, mixe autodérision et humour. Sa peinture constitue un mélange détonant tant sur les couleurs flashy et pop que par les mots utilisés comme accroche à l’influence urbaine. Il combine les formes et les mots version « in english ». Ses toiles racontent une histoire, une vérité au travers de slogans et de poésies. De 18 heures à 22 heures, Yann Sciberras, réalisera une performance en live en reprenant les codes de la maison HUGO BOSS. Avec cette manifestation, HUGO BOSS confirme son implication dans l’art contemporain. En association avec la Fondation Guggenheim, le géant du prêt-à-porter a créé en 1996 le Prix HUGO BOSS. Cette récompense représente aujourd’hui l’un des plus anciens partenariats entre la mode et l’art. Ce prix a valeur de référence internationale. Remis tous les deux ans, il est doté de 100.000 dollars et s’accompagne d’une exposition temporaire au Guggenheim de New York. Parmi les lauréats figurent notamment Matthew Barney (1996), Douglas Gordon (1998), Pierre Huyghe (2002) ou Tacita Dean (2006).
Le 9ème Prix HUGO BOSS sera remis le jeudi 1er novembre 2012 au Guggenheim de New York.
En attendant, Rendez-Vous le jeudi 6 septembre de 18h00 à 22h00 à la boutique HUGO BOSS – 372, rue Saint-Honoré 75008 Paris.
It’s like a little colorful fly floating in a pool of hungry trout. Do no bite or you will be somebody’s dinner. Enjoy, at your own risk. source: egotastic.com
La plupart des garçons vous le diront, se raser les parties intimes est le meilleur moyen pour transformer un sexe de taille correcte en trompe d’éléphant. Effectivement, mais pas seulement, cela peut aussi, dans certains cas, aider à vaincre les réticences de celles qui n’aiment pas la fellation… Douceur, propreté, confort, le rasage intime démontre également de la part de ceux qui le pratiquent un réel « savoir – vivre ». Attention néanmoins aux coupures et autres désagréments dus à un rasage trop intense. Vous pouvez également proposer à votre partenaire de vous raser… Terriblement sensuel et excitant.
Pour 6 personnes 500 g de fruits (fraises, mûres, nectarines) – 1 orange – 1 citron – 130 g d’amandes effilées – 300 g de semoule fine de blé – 50 g de farine – 1 sachet de levure chimique – 220 g de sucre – 4 œufs – 100 g de beurre + 10 g – 3 cuillères à soupe de rhum – sel. Préchauffer le four à 180° C. Travailler les jaunes d’œufs et 100 g de sucre jusqu’à blanchiment. Ajouter la farine mélangée à la semoule et à la levure, puis 100 g de beurre tiède. Battre les œufs en neige bien ferme avec un peu de sel et les incorporer à la préparation, avec 100 g d’amandes effilées. Parsemer un moule à savarin beurré du reste d’amandes sur le fond et les côtés. Y verser la pâte et mettre au four 35 min. Laver et équeuter les fraises, couper les nectarines en tranches fines. Réaliser le sirop : faire bouillir 5 min 120 g de sucre, 15 cl d’eau et le zeste des agrumes. Laisser tiédir et ajouter le rhum. Démouler le gâteau et l’arroser aussitôt de sirop filtré. Laisser refroidir et garnir l’intérieur de fruits frais. Préparation : 30 min. Cuisson : 35 min.
01:22 la maisonnée raisonne du sommeil des justes, tandis que je pianote sur mon IPad ces mots qui tels des bouteilles à la mer syntaxique iront frayer, dès que j’aurais publié ce billet, avec la rétine et l’intellect d’un être cher par nature puisqu’il aura choisi de me lire. L’écriture de nuit est évidemment différente de celle de jour, plus intime, plus hasardeuse, moins contrôlée.
Je ne parle qu’à toi, à demi mots et par confidence, prêt à te livrer les secrets de mon cœur et de mon âme (si j’en suis pourvu), pourquoi m’en priver ? La difficulté ne réside pas dans le dire mais dans le bien dire. Solitude des maux infligés, me battre pour être en conformité avec mon étincelle de vie. Le jeu pour le Je. Apprendre à contrôler le torrent passionnel qui voyage en moi et t’ecouter sans te juger. Te reconnaître pour ce que tu es et comme tu es sans t’interpreter. Me libérer tout seul des chaînes invisibles qui me condamnent à la stagnation et te donner la clé parce que j’ai confiance en toi, j’ai confiance en nous, toi qui me lis, moi qui t’écris. Notre rapport va bien au delà tu le sais bien et même si au fond de toi tu doutes, laisse ma sincérité t’envelopper. Voyageons sur le chemin de la liberté sans crainte de rien. Ici au cœur de la nuit et par ce clavier virtuel, rien n’est impossible, tout est en devenir, toi, moi, l’existence, créons un monde onirique, de rêves éveillés. Every accomplishment starts with the decision to try.
Je ne parle qu’à toi mais je ne te parle que de moi, c’est bien assez et comme je te l’ai dit, je ne veut pas me méprendre sur ce que tu penses, ce que tu ressens, comment ton étincelle de vie brille en toi. Il y a longtemps que je me suis sacrifié à l’autel de la bêtise, à l’autel de l’orgueil, à l’autel des préjugés et à l’autel de la jalousie. Cela ne m’a pas servi de leçon puisque je pratique toujours l’art de l’inversion. Je veux tout, tout de suite, sans rien donner, mais abreuve moi de ton amour, abreuve moi de tes charmes, envoluptes moi au paradis interdit. Au corps de la nuit, le calme vient après l’onde de choc. Tu dors ? Laisse moi me blottir contre toi, chaleur et douceur, tendrement enlacés pour l’éternité d’un instant. Au cœur de la nuit je te rejoins. Parle Cœur, je t’ecoute pour la première fois.
60 g d’amandes effilées 100 g d’amandes en poudre 6 pêches blanches 50 g de beurre 5 cl de miel liquide 25 cl de lait 70 g de sucre en poudre 3 jaunes d’œufs 20 g de maïzena Préchauffez le four sur th 6 (180° C). Plongez les pêches dans une casserole d’eau bouillante pendant 2 min, puis pelez-les, coupez-les en deux et enlevez les noyaux. Enduisez un plat à gratin avec 25 g de beurre. Piquez la moitié des amandes effilées sur le pourtour des pêches, puis rangez-les dans le plat et arrosez-les avec le miel. Parsemez avec le reste de beurre en parcelles. Enfournez puis laissez cuire 20 min en arrosant souvent de jus de cuisson. Sortez les pêches du four et laissez refroidir. Faites chauffer le lait additionné de la poudre d’amandes. Dans un bol fouettez les jaunes d’oeufs avec le sucre jusqu’à ce qu’ils blanchissent. Incorporez la Maïzena. Délayez avec un peu de lait chaud, reversez dans la casserole de lait et faites épaissir sur feu moyen sans cesser de remuer à la spatule. Transvasez dans un saladier, incorporez le jus de cuisson des pêches et laissez refroidir complètement en remuant de temps en temps.Faites griller quelques secondes à sec dans une poêle le reste des amandes effilées. Disposez les pêches sur les assiettes et garnissez-les de crème, décorez avec les amandes effilées.
2 queues de langoustes 400 g de gambas 2 mangues 2 pommes 2 tomates 2 gousse d’ail 1 oignon 0.5 poivron vert 60 g de noix de cajou 40 cl de lait de coco en conserve 20 cl de crème liquide 50 g de beurre clarifié 2 c. à soupe de curry doux sel et poivre Décortiquez à cru les gambas en laissant la nageoire caudale. Découpez les queues de langoustes en médaillons en suivant les articulations. Epluchez et émincez l’ail et l’oignon. Pelez et épépinez les tomates,détaillez-le en dés. Coupez le poivron en lamelles fines. Débitez la chair des pommes et mangues en dés. Faites fondre le beurre clarifié dans une cocotte, sur feu vif. Mettez-y l’oignon et l’ail à revenir 3 min sans les laisser colorer. Ajoutez le curry, une pincée de sel et de poivre et tournez 1 min le mélange sur feu vif avec une cuillère en bois pour que le parfum se développe. Versez petit à petit le lait de coco et portez éébullition. Mettez poivrons, toamates,pommes et mangues et laissez mijoter 5 min; ajoutez morceaux de langouste et gambas. Laissez mijoter à découvert 5 min à partir du premier frémissement. Grillez les noix de cajou à sec dans une poêle, réservez. Videz le contenu de la cocotte dans une passoire au-dessus d’une casserole. Versez la crème dans la casserole et portez à ébullition pour lier la sauce. Rectifier l’assaisonnement. Répartissez les médaillons de langouste et les gambas sur des assiettes chaudes nappées de sauce. Garnisssez de dés de fruits et de légumes, parsemez les noix de cajou et servez.
L’homme riche, oisif, et qui, même blasé, n’a pas d’autre occupation que de courir à la piste du bonheur; l’homme élevé dans le luxe et accoutumé dès sa jeunesse à l’obéissance des autres hommes, celui enfin qui n’a pas d’autre profession que l’élégance, jouira toujours, dans tous les temps, d’une physionomie distincte, tout à fait à part. Le dandysme est une institution vague, aussi bizarre que le duel; très ancienne, puisque César, Catilina, Alcibiade nous en fournissent des types éclatants; très générale, puisque Chateaubriand l’a trouvée dans le forêts et au bord des lacs du Nouveau-Monde. Le dandysme, qui est une institution en dehors des lois, a des lois rigoureuses auxquelles sont strictement soumis tous ses sujets, quelles que soient d’ailleurs la fougue et l’indépendance de leur caractère. Les romanciers anglais ont, plus que les autres, cultivé le roman de high life, et les Français qui, comme M. de Custine, ont voulu spécialement écrire des romans d’amour, ont d’abord pris soin, et très judicieusement, de doter leurs personnages de fortunes assez vastes pour payer sans hésitation toutes leurs fantaisies; ensuite ils les ont dispensés de toute profession. Ces êtres n’ont pas d’autre état que de cultiver l’idée du beau dans leur personne, de satisfaire leurs passions, de sentir et de penser. Ils possèdent ainsi, à leur gré et dans une vaste mesure, le temps et l’argent, sans lesquels la fantaisie, réduite à l’état de rêverie passagère, ne peut guère se traduire en action. Il est malheureusement bien vrai que, sans le loisir et l’argent, l’amour ne peut être qu’une orgie de roturier ou l’accomplissement d’un devoir conjugal. Au lieu du caprice brûlant ou rêveur, il devient une répugnante utilité. Si je parle de l’amour à propos du dandysme, c’est que l’amour est l’occupation naturelle des oisifs. Mais le dandy ne vise pas à l’amour comme but spécial. Si j’ai parlé d’argent, c’est parce que l’argent est indispensable aux gens qui se font un culte de leurs passions; mais le dandy n’aspire pas à l’argent comme à une chose essentielle; un crédit indéfini pourrait lui suffire; il abandonne cette grossière passion aux mortels vulgaires. Le dandysme n’est même pas, comme beaucoup de personnes peu réfléchies paraissent le croire, un goût immodéré de la toilette et de l’élégance matérielle. Ces choses ne sont pour le parfait dandy qu’un symbole de la supériorité aristocratique de son esprit. Aussi, à ses yeux, épris avant tout de distinction, la perfection de la toilette consiste-t-elle dans la simplicité absolue, qui est en effet la meilleure manière de se distinguer. Qu’est-ce donc que cette passion qui, devenue doctrine, a fait des adeptes dominateurs, cette institution non écrite qui a formé une caste si hautaine? C’est avant tout le besoin ardent de se faire une originalité, contenu dans les limites extérieures des convenances. C’est une espèce de culte de soi-même, qui peut survivre à la recherche du bonheur à trouver dans autrui, dans la femme, par exemple; qui peut survivre même à tout ce qu’on appelle les illusions. C’est le plaisir d’étonner et la satisfaction orgueilleuse de ne jamais être étonné. Un dandy peut être un homme blasé, peut être un homme souffrant; mais, dans ce dernier cas, il sourira comme le Lacédémonien sous la morsure du renard. On voit que, par de certains côtés, le dandysme confine au spiritualisme et au stoïcisme. Mais un dandy ne peut jamais être un homme vulgaire. S’il commettait un crime, il ne serait pas déchu peut-être; mais si ce crime naissait d’une source triviale, le déshonneur serait irréparable. Que le lecteur ne se scandalise pas de cette gravité dans le frivole, et qu’il se souvienne qu’il y a une grandeur dans toutes les folies, une force dans tous les excès. Etrange spiritualisme! Pour ceux qui en sont à la fois les prêtres et les victimes, toutes les conditions matérielles compliquées auxquelles ils se soumettent, depuis la toilette irréprochable à toute heure du jour et de la nuit jusqu’aux tours les plus périlleux du sport, ne sont qu’une gymnastique propre à fortifier la volonté et à discipliner l’âme. En vérité, je n’avais pas tout à fait tort de considérer le dandysme comme une espèce de religion. La règle monastique la plus rigoureuse, l’ordre irrésistible du Vieux de la Montagne, qui commandait le suicide à ses disciples enivrés, n’étaient pas plus despotiques ni plus obéis que cette doctrine de l’élégance et de l’originalité, qui impose, elle aussi, à ses ambitieux et humbles sectaires, hommes souvent pleins de fougue, de passion, de courage, d’énergie contenue, la terrible formule: Perindè ac cadaver! Que ces hommes se fassent nommer raffinés, incroyables, beaux, lions ou dandies, tous sont issus d’une même origine; tous participent du même caractère d’opposition et de révolte; tous sont des représentants de ce qu’il y a de meilleur dans l’orgueil humain, de ce besoin, trop rare chez ceux d’aujourd’hui, de combattre et de détruire la trivialité. De là naît, chez les dandies, cette attitude hautaine de caste provoquante, même dans sa froideur: Le dandysme apparaît surtout aux époques transitoires où la démocratie n’est pas encore toute-puissante, où l’aristocratie n’est que partiellement chancelante et avilie. Dans le trouble de ces époques quelques hommes déclassés, dégoûtés, désoeuvrés, mais tous riches de force native, peuvent concevoir le projet de fonder une espèce nouvelle d’aristocratie, d’autant plus difficile à rompre qu’elle sera basée sur les facultés les plus précieuses, les plus indestructibles, et sur les dons célestes que le travail et l’argent ne peuvent conférer. Le dandysme est le dernier éclat d’héroïsme dans les décadences; et le type du dandy retrouvé par le voyageur dans l’Amérique du Nord n’infirme en aucune façon cette idée: car rien n’empêche de supposer que les tribus que nous nommons sauvages soient les débris de grandes civilisations disparues. Le dandysme est un soleil couchant; comme l’astre qui décline, il est superbe, sans chaleur et plein de mélancolie. Mais, hélas! la marée montante de la démocratie, qui envahit tout et qui nivelle tout, noie jour à jour ces derniers représentants de l’orgueil humain et verse des flots d’oubli sur les traces de ces prodigieux mirmidons. Les dandies se font chez nous de plus en plus rares, tandis que chez nos voisins, en Angleterre, l’état social et la constitution (la vraie constitution, celle qui s’exprime par les moeurs) laisseront longtemps encore une place aux héritiers de Sheridan, de Brummel et de Byron, si toutefois il s’en présente qui en soient dignes. Ce qui a pu paraître au lecteur une digression n’en est pas une, en vérité. Les considérations et les rêveries morales qui surgissent des dessins d’un artiste sont, dans beaucoup de cas, la meilleure traduction que le critique en puisse faire; les suggestions font partie d’une idée mère, et, en les montrant successivement, on peut la faire deviner. Ai-je besoin de dire que M. G., quand il crayonne un de ses dandies sur le papier, lui donne toujours son caractère historique, légendaire même, oserais-je dire, s’il n’était pas question du temps présent et de choses considérées généralement comme folâtres? C’est bien là cette légèreté d’allures, cette certitude de manières, cette simplicité dans l’air de domination, cette façon de porter un habit et de diriger un cheval, ces attitudes toujours calmes mais révélant la force, qui nous font penser, quand notre regard découvre un de ces êtres privilégiés en qui le joli et le redoutable se confondent si mystérieusement: « Voilà peut-être un homme riche, mais plus certainement un Hercule sans emploi. » Le caractère de beauté du dandy consiste surtout dans l’air froid qui vient de l’inébranlable résolution de ne pas être ému; on dirait un feu latent qui se fait deviner, qui pourrait mais qui ne veut pas rayonner. C’est ce qui est, dans ces images,
parfaitement exprimé.
C’est la rentrée, et évidemment les culs sont de retour ! Nos amis males peuvent enfin se satisfaire d’une chose : Le retour des demoiselles aux corps ensoleillés. C’est reparti pour la chasse : boites de nuit, bars, clubs…
Jay-Z on Decoded When you’re famous and say you’re writing a book, people assume that it’s an autobiography–I was born here, raised there, suffered this, loved that, lost it all, got it back, the end. But that’s not what this is. I’ve never been a linear thinker, which is something you can see in my rhymes. They follow the jumpy logic of poetry and emotion, not the straight line of careful prose. My book is like that, too. Decoded is first and foremost, a book of rhymes, which is ironic because I don’t actually write my rhymes–they come to me in my head and I record them. The book is packed with the stories from my life that are the foundation of my lyrics–stories about coming up in the streets of Brooklyn in the 80’s and 90’s, stories about becoming an artist and entrepreneur and discovering worlds that I never dreamed existed when I was a kid. But it always comes back to the rhymes. There’s poetry in hip-hop lyrics–not just mine, but in the work of all the great hip-hop artists, from KRS-One and Rakim to Biggie and Pac to a hundred emcees on a hundred corners all over the world that you’ve never heard of. The magic of rap is in the way it can take the most specific experience, from individual lives in unlikely places, and turn them into art that can be embraced by the whole world. Decoded is a book about one of those specific lives–mine–and will show you how the things I’ve experienced and observed have made their way into the art I’ve created. It’s also about how my work is sometimes not about my life at all, but about pushing the boundaries of what I can express through the poetry of rap–trying to use words to find fresh angles into emotions that we all share, which is the hidden mission in even the hardest hip-hop. Decoded is a book about some of my favorite songs–songs that I unpack and explain and surround with narratives about what inspired them–but behind the rhymes is the truest story of my life. amazon.com
AoA est une famille musicale recomposée sur les cendres de Filter et de STP à découvrir… Le combo est composé des ultra talentueux: Richard Patrick Vocals Filter Dean DeLeo Guitar Stone Temple Pilots Robert DeLeo Bass Stone Temple Pilots Ray Luzier Drums David Lee Roth’s band Morceaux choisis à écouter sur site : http://www.myspace.com:80/armyofanyone
Mythes ou réalité, à vous de tester: Le rince-cochon: 1/3 vin blanc, 1/3 limonade, 1/3 Vichy. Recette alternative: un trait de sirop de citron, 1/2 vin blanc, 1/2 Vichy. Ou encore mi-vin blanc, mi-jus de citron. Le Bloody Mary: 4 cl de vodka, 12 cl de jus de tomates, 1 trait de jus de citrons, 1 cuillère à café de sauce worcestershire, 2 gouttes de tabasco, sel de céleri, sel, poivre Frapper au shaker les ingrédients, verser dans un tumbler. Ajoutez à convenance sel de céleri, sel et poivre. Alka Seltzer
Tout est dit dans le titre, ce qui se fait de mieux dans le genre. Une référence: http://www.we-make-money-not-art.com
Toujours dans une démarche et un esprit respectueux de l’environnement, Sandra Canselier, la créatrice parisienne / new yorkaise de COCLICO vous propose pour cette saison printemps / été 2011 une collection haute en couleurs et en originalité : Ainsi semelles compensées côtoient sandales colorées, derbies ou encore talons en bois aux lignes uniques. shopcoclico.com
Jean-Edern Hallier, né le 1er mars 1936 à Saint-Germain-en-Laye, mort à bicyclette (accident, malaise cardiaque, assassinat ?) le 12 janvier 1997 à Deauville, est un écrivain français. Écrivain pamphlétaire et habitué des coups d’éclats médiatiques, Jean-Edern Hallier s’est montré particulièrement féroce contre le pouvoir socialiste et contre François Mitterrand, dont il fut un temps proche, en menaçant de révéler l’existence de sa fille cachée, Mazarine, son passé, son cancer (dans son pamphlet L’Honneur perdu de François Mitterrand), etc. (…) Il a par ailleurs créé et animé le journal satirique L’Idiot international, En 1982, il fut soupçonné d’avoir simulé un faux enlèvement et également d’avoir commandité un attentat dans l’immeuble de Régis Debray. Les sources de ces faits rapportés sont nombreuses : récemment l’auteur de sa biographie, Régis Debray, a confirmé le fait, ainsi que Gilles Ménage. (…) En 1977, il aurait commandité un mini-attentat chez Françoise Mallet-Joris, juré Goncourt, afin de protester contre les magouilles des prix littéraires ; la seule conséquence fut un feu de paillasson… (…)
Mais oui… Le petit marronnier de l’été, avec l’attitude post New Age qui va bien, genre je flâne sur mon jet ski, je sieste dans le hamac le verre plein d’un sublime nectar servi par une délicieuse naïade. Éphémère prise de conscience que la vie vaut la peine d’être vécue surtout quand je constate béat, subjugué, que le ciel est constellé d’étoiles. Ouais, j’adore surtout le moment de charger les sacs de voyage Vuitton et de reprendre le chemin du quotidien chargé de cette si douce sensation d’apaisement et de paix intérieure. Les quelques jours pendant lesquels sont encore présentes dans ma mémoire, les frasques vécues dans les clubs les plus fermés de la planète, réservés comme il se doit au Happy Few seul à même de comprendre comment et pourquoi le débordement est une nécessité. Jet Society or not ?
Les salons VIP des compagnies aériennes font toujours l’objet d’un soin important. A JFK (New York) Virgin Atlantic propose un décor digne d’une boite de nuit !
4 jaunes d’œufs 15 cl de champagne brut 2 poignées de gros sel marin 2 douzaines de grains de poivre Quelques branches de thym frais 2 feuilles de laurier. Sel fin. Dans une grande casserole, faites bouillir 4 litres d’eau avec le gros sel, le poivre en grain, le thym et le laurier. Plongez les homards dans l’eau bouillante tête première et laissez-les cuire 13 minutes. Egouttez les homards et laissez-les refroidir. Battez les jaunes d’œufs dans une casserole et ajoutez-y le sel fin et le champagne. Placez ensuite la casserole au bain marie et faites cuire sur feu assez vif sans cesser de fouetter. Comptez environ 8 minutes pour obtenir une préparation épaisse et mousseuse comme un sabayon. Préchauffez le four à 230° ( th 7 ). A l’aide d’un bon couteau, fendez les homards en deux dans le sens de la longueur. Posez-les sur un plat allant au four et nappez-les de sauce. Mettez au four chaud et faites gratiner 6 à 8 minutes jusqu’à ce que le dessus soit bien doré.
Il est utile, en ces temps de rigorisme rénovateur, de lutter contre : Le cloisonnement intellectuel, le conformisme petit bourgeois, le soi disant « bon droit » procédurier et obtu, la loi du plus con… Nos armes : La dérision, le cynisme, l’intelligence, la culture et la remise en question… Resistenza !
Be determined, be fierce, la hyène ne recule devant aucune pratique pour atteindre son objectif souvent peu louable. Dans une société où argent, pouvoir et sexe sont érigés en valeur, le lycanthrope n’hésite jamais à faire trébucher les autres pour parvenir à ses fins. Son terrain de chasse favori ? La haute société. Agissant dans l’ombre, il fomente les complots les plus vils et aide les surpuissants à asseoir leurs positions. Impossible à raisonner, cet animal humain n’est ni domptable ni aimable. Attention à vous, ses crocs sont acérés…
Megalopolis est un magazine trimestriel d’enquêtes, de reportages et de récits sur l’Ile-de-France et le Grand Paris et un site internet d’actualité sur la métropole parisienne. Le projet est porté par de jeunes journalistes épris de presse, pourvu qu’elle soit de qualité. Ce qu’ils en disent : « Quelle est la ligne éditoriale ? La région parisienne! Nous voulons la montrer, la raconter, la décrypter à travers des sujets susceptibles de toucher aussi bien les Parisiens et les banlieusards. Car, au-delà des différences territoriales, culturelles, économiques et sociales, nous sommes tous des habitants d’une seule et même métropole: nous devons tous affronter le même périph, supporter (ou détester) le même PSG et nous interroger sur la politique suivie par le même conseil régional… » megalopolismag.com
Le caviar blanc est un caviar très rare, le Sterlet, de part ses gros grains couleur or et sa saveur particulière, était le caviar adulé par les Tsars, les shahs et les empereurs.
Mettre en scène le désir & déshabiller la morale Maison Close passe en revue les codes de la séduction en revisitant de façon contemporaine les pièces maîtresses du vestiaire érotique. Goût du secret, raffinement et un certain plaisir fétiche définissent ces collections de lingerie et d’accessoires coquins. Jusqu’au vocabulaire, Maison Close revendique son attachement à une tradition des jeux de l’amour bien française où galanterie et plaisirs fripons font bon ménage. Jouant sur la corde sensible de la maîtrise et de la soumission, du secret et du dévoilement, de la retenue et de l’extase, les différentes collections évitent l’écueil de la vulgarité et de l’exhibition racoleuse. Plus que de vains apparats, Maison Close propose à toutes les femmes des dessus dessous et des accessoires pour des parenthèses intimes qui transcendent le quotidien. Vous avez dit “érotique et chic” ? www.maison-close.com
Le blouson avec lunettes intégrées à la capuche, surnommé « burqa pour hommes », connaît un succès croissant auprès des jeunes Britanniques depuis sa mise en vente il y a quelques semaines mais la police est impuissante face l’anonymat qu’il procure. (…)
Le Studio 54 était une discothèque mythique de New York, située sur la 54e rue, dans un ancien théatre puis studio de télévision de CBS. Créée par Steve Rubell et Ian Schrager, assistés par Carmen D’Alessio, elle fut ouverte entre avril 1977 et mars 1986. Le Studio 54 voyait passer toutes les grandes stars du moment et était un haut lieu de la scène underground new-yorkaise. Elle avait rapidement acquis un statut international et la réputation de plus grande boîte de nuit de tous les temps. La musique diffusée était principalement du disco. Lors de la soirée d’inauguration, Carmen d’Alessio, connue pour son carnet d’adresses, envoya 5 000 invitations à travers le monde aux plus grandes stars du moment, avec un cadeau personnalisé pour chacune d’elles. L’évènement fut annoncé dans la presse par un simple « il va se passer quelque chose d’énorme ». La foule était si nombreuse à se précipiter à l’entrée que plusieurs célébrités dont Mick Jagger et Frank Sinatra n’ont pas réussi à y accéder.
Véritable mal du siècle consécutif au problème de l’éducation et du nivellement de la société par le bas, le A – L’aisisme est un modus comportemental à la croisée des chemins entre le sans – gêne et le pique – assiette qui se répand et s’installe comme une épidémie. Glorifié par une bonne partie des émissions de Tf1, rendu sympathique par Franck Dubosq dans ses sketchs ainsi que dans le film Camping, par exemple, le A – l’aisiste est en réalité un beauf à la puissance mille. A titre de comparaison, les films ‘Les Bronzés 1 et 2’ se moquaient des français moyens (beaufs) des années 70 – 80, mais avec le recul on constate que ceux – ci étaient néanmoins capables de partir au club à l’étranger ou aux sports d’hivers… Ce qui n’est plus le cas du A – l’aisiste qui voyage à 30 mètres de chez lui dans un mobil home financé grâce à un coup de fil à Cofilem. Le A – L’aisiste est aussi un vrai con toujours prêt à dégainer des remarques grossières outrancières et déplacées. Pourtant il est parfaitement installé dans la société, car ses goûts, ses choix, ses actes sont ceux de la majorité. Il est la majorité. On dira simplement que cette majorité s’est radicalisée et que nos cons d’aujourd’hui sont pires que ceux d’hier mais peut être moins que ceux de demain… Faut il craindre le pire ?
800 g. de viande de porc 500 g. de vénus 8 pommes de terres 2 poivrons rouge 6 gousses d’ail 3 feuilles de laurier, vin blanc, margarine, sel et poivre. La veille, préparer la viande : couper-la en morceaux et laisser mariner avec la sauce faites de : ail haché, laurier, sel, poivre et arroser de vin blanc et un peu de bière. Le lendemain, faire dorer la viande dans la margarine, ajouter les vénus et laisser cuire. Couper les pommes de terres en petits carrés et les faire frire. Servir avec du riz blanc sec et les pommes de terres saupoudrées de coriandre
Spectacular views of the Indian Ocean, talcum powder beaches, swaying palm trees, lush tropical forests and Banyan Tree’s stunning pool villas – paradise on the Seychelles. Our 60 villas combine the best of Seychellois architecture with touches of contemporary, colonial and ‘plantation’ décor. From the high sloping ceilings, airy verandahs, louvered doors and marble floors to ethnic woven textiles, the villa interiors are nothing short of eclectic. For ocean lovers, we have 22 one-bedroom Beach Villas featuring private swimming pools and spa pavilions. If you prefer an elevated position high on the hill with glorious sea views and tropical forest all around, our 20 one-bedroom Hill Villas are the prefect choice. They enjoy separate living pavilions and private pools. And for the ultimate in exclusivity, stay at our two-bedroom Presidential Villa occupying its own private cove by the water edge. Anse Intendance, P. O. Box 2086, Mahe, Seychelles Tel: (+248) 383-500 http://www.lhw.com
Lorsque votre train de vie apparaît disproportionné par rapport à votre revenu, le fisc se réserve le droit de vous imposer forfaitairement en reconstituant un revenu théorique basé sur certains éléments de votre train de vie, à l’aide d’un barème spécialement prévu à cet effet par la loi. Ces éléments sont au nombre de 12, auxquels l’administration attribue une valeur forfaitaire de revenus. Leur énumération fleure bon parfois l’archaïsme désuet. En effet, à côté de la résidence principale, des résidences secondaires, des voitures, motocyclettes (de plus de 450 cm3), yachts ou bateaux de plaisance, avions de tourisme, chevaux de course et employés de maison, figurent d’autres critères dignes de la Belle Epoque : les chevaux de selle, les droits d’entrée à un club de golf et les droits de chasse… A titre d’exemple, le revenu présumé de l’avion de tourisme équivaut à 69 € par cheval-vapeur tandis que l’adhésion à un club de golf vaut deux fois les sommes versées au-delà de 4 600 €. Rassurez-vous cependant si vous avez acheté le Phocéa avec l’argent de Papa, il vous suffira de prouver la succession ou la donation pour éviter la taxation selon les signes extérieurs de richesse… SOURCE: http://www.lecri.fr
Ce chef-d’œuvre d’érotisme et de fantastique explore les interdits de l’inconscient. Ce récit fantasmagorique (terminé en 1925, après une genèse de 17 ans) est sans nul doute l’un des plus riches, des plus accomplis et des plus troubles de l’ouvre du romancier et dramaturge autrichien. Un couple, Valentine et Fridolin, heureux et aimants, parents d’une petite fille, va vivre des expériences identiques, l’un en songe, l’autre au cours de débauches nocturnes. Entre les songes pervers de l’épouse et les transgressions « réelles » du mari, la réalité clignote et se trouble, le rêve se charge d’une vénéneuse pesanteur et des abîmes se creusent sous la sublime frivolité des apparences. Ce chef-d’œuvre d’érotisme et de fantastique explore les interdits diaboliques de l’inconscient.
WASHINGTON (AFP) – Un restaurant en Arizona, le « Heart Attack Grill » (le Grill de la crise cardiaque), a introduit un nouveau hamburger à son menu, le « hamburger quadruple pontage » servi par des serveuses habillées en infirmières. L’empilement de quatre steaks de viande hachée soit près d’un kilo, intercalés de tranches de fromage et d’oignons, et coiffé de bacon frit revient à 8.000 calories. C’est l’équivalent de plus trois jours de repas nécessaires à l’organisme humain. « Ce n’est pas bon pour la santé, mais c’est une blague », reconnaît le patron du restaurant, John Basso, qui a ouvert le « Heart Attack Grill » (le Grill de la crise cardiaque), à Tempe, il y a moins d’un an, avec le slogan: « C’est bon à mourir ». Le menu qui pour 11 dollars propose aussi un paquet de cigarettes et des frites cuites « dans le lard pur » offre en prime aux plus affamés de ces clients une sortie de repas en chaise roulante poussée par ses serveuses, très court vêtues d’un costume d’infirmière. Le restaurant est d’ailleurs menacé de poursuites par le Conseil de la profession des infirmières d’Arizona, qui craignent que les clients pensent avoir à faire à de réelles infirmières. Les mangeurs effrayés par le « hamburger quadruple pontage » peuvent opter pour « le triple » ou « le double pontage ». « Je rêve d’ouvrir un restaurant à Paris », affirme, en français, le patron qui est aussi le cuisinier.
Certaines d’entre vous pratiquent le bronzage intégrale ou le topless. Cela peut etre un plaisir pour les yeux (et encore cela depend de qui le pratique). Pour ma part, je trouve que le blanc est particulierement excitant. Le contraste des couleurs, le fait de voir ces parties cachées est de nature à décupler le désir. Bien sur pour que cela soit sexy, il faut que cela soit raisonnable, vous n’êtes pas un zebre. Le top, juste les seins blancs et le triangle du slip. Délicious !
The Girlfriend Experience : Réalisé par Steven Soderbergh Avec Sasha Gray, Timothy J. Cox, Jeff Grossman Le point de vue d’une call girl de luxe sur la prostitution.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x9l7dz_girlfriend-experience-bande-annonce_shortfilms[/dailymotion]
I Am The One, Orgasmatron, The Outstretched Grasping Hand My Image Is Of Agony, My Servants Rape The Land Obsequious And Arrogant, Clandestine And Vain Two Thousand Years Of Misery, Of Torture In My Name Hypocrisy Made Paramount, Paranoia The Law My Name Is Called Religion, Sadistic, Sacred Whore. I Twist The Truth, I Rule The World, My Crown Is Called Deceit I Am The Emperor Of Lies, You Grovel At My Feet I Rob You And I Slaughter You, Your Downfall Is My Gain And Still You Play The Sycophant And Revel In You Pain And All My Promises Are Lies, All My Love Is Hate I Am The Politician, And I Decide Your Fate I March Before A Martyred World, An Army For The Fight I Speak Of Great Heroic Days, Of Victory And Might I Hold A Banner Drenched In Blood, I Urge You To Be Brave I Lead You To Your Destiny, I Lead You To Your Grave Your Bones Will Build My Palaces, Your Eyes Will Stud My Crown For I Am Mars, The God Of War, And I Will Cut You Down Lyrics by Max Cavalera / Sepultura
» Personnes ne veut voir ses problèmes résolus. Ses égarements, ses histoires réglées, sa vie débarrassée de ses merdes. Sinon, que resterait-il à tout un chacun ? Rien que l’inconnu, ce vaste inconnu qui fiche la trouille. » Tender Branson est bien placé pour le dire. Il est le dernier survivant d’une secte d’allumés et il navigue seul, après l’avoir détourné, dans un Boeing 747 mis en pilotage automatique à 13 000 mètres d’altitude. Destination l’Australie et le crash assuré. Plus que sept heures de vol à vivre pour raconter à la boîte noire ses incroyables secrets. Quelques litres de kérosène avant de finir éclaté en milliards de petits débris… Un roman imprévisible, inoubliable et un sommet de l’humour sauvage qui confirme Chuck Palahniuk comme l’un des écrivains de fiction les plus originaux du moment. http://www.amazon.fr
4 rougets de 300 g chacun (demandez au poissonnier de retirer les arêtes centrales par le dos et aussi de les vider) – 6 poivrons rouges – 2 oignons – 1 grande crépine de porc. Pour la farce : 1 gros bouquet d’herbes fraîches (persil, cerfeuil, estragon, ciboulette…) – 10 g de parmesan râpé – 10 cl de lait – 100 g de pain de mie – 2 échalotes – 8 cuillères à soupe d’huile d’olive – sel, poivre moulu. Préchauffez le four à 180°C. Rincez et épongez les poivrons, posez-les sur une grille et enfournez une heure. Pendant ce temps, préparez la farce des rougets : retirez la croûte du pain de mie, arrosez la mie avec le lait bouillant, écrasez à la fourchette. Hachez finement herbes et échalotes. Mélangez la mie avec les herbes, les échalotes, le parmesan, sel et poivre. Rincez la crépine, essorez-la dans un linge. Découpez-la en quatre rectangles. Posez-les sur une grande planche, posez un poisson bien à plat sur chacun des rectangles, répartissez dessus la farce, puis roulez les poissons dans la crépine et maintenez-les avec de la ficelle. Réservez au réfrigérateur. Retirez la peau et les graines des poivrons, découpez-les en lanières. Pelez et émincez les oignons, faites-les fondre doucement dans 4 cuillères à soupe d’huile d’olive, ajoutez les poivrons, salez et poivrez, puis couvrez et laissez confire 20 min environ. Chauffez l’huile restante dans une poêle, faites juste dorer la surface des poissons, puis glissez-les dans le four 10 min environ à 180°C. Servez-les dès la sortie du four avec les poivrons compotés.
An oki-ni exclusive. The GA-100 Big Face Combi watch. Featuring G-Shock’s legendary ‘three eyes’ dials, this piece has a 35mm watch face. Other details include: LED Light Shock Resistant World Time 1/1000th Sec Stopwatch Repeat Countdown Timer 5 Alarms 200M Water Resistant oki-ni.com
Les Archives municipales de Bordeaux poursuivent le développement de projets pédagogiques et viennent de mettre en ligne, avec leurs partenaires (l’agence ECLA Aquitaine, la DRAC Aquitaine, le Conseil régional et le rectorat de Bordeaux) les productions de parcours éducatifs innovants. Ce programme d’éducation au patrimoine intitulé monumérique/archimérique, a permis à des élèves de collèges, lycées, lycées professionnels et centres de formation d’apprentis d’Aquitaine, de produire sur internet un 1er travail réalisé sur un thème donné, à partir de documents numérisés issus des fonds des Archives municipales. Parcours numérique original Le 1er thème proposé par les Archives municipales de Bordeaux a porté sur « la traite, l’esclavage et leurs abolitions ». Véritables programmes d’éducation au patrimoine par le numérique, les parcours monumérique/archimérique, promus par l’État et la Région Aquitaine, constituent une expérience unique sur le plan national. Pendant l’année scolaire, les élèves travaillent sur un thème précis au moyen de visites de lieux patrimoniaux (archives, musées), d’une déambulation urbaine puis d’une analyse en classe, de nombreux documents numérisés issus des Archives municipales. Nourrie de ces différentes approches, chaque classe guidée par un professionnel du numérique, élabore alors une production numérique multimédia. Plusieurs dizaines de documents d’archives ont été numérisés pour ce projet et intégrés dans une base de données mise à la disposition des classes. Ces productions scolaires sont désormais en ligne sur www.archives.monumerique.bordeaux.fr. Les partenaires du projet pour l’État : la DRAC Aquitaine, le Rectorat de l’Académie de Bordeaux pour la Région Aquitaine : l’agence ECLA, la Banque numérique du savoir en Aquitaine pour la Ville de Bordeaux : les Archives municipales, le Musée d’Aquitaine l’association Pétronille les professionnels du numérique : Christophe Gonthier, l’association d’Asques et d’Ailleurs, l’association Médias-cité les établissements scolaires : lycée professionnel Molière d’Orthez (Pyrénées-Atlantiques), lycée Paul-Rey de Nay (Pyrénées-Atlantiques), collège Endarra d’Anglet (Pyrénées-Atlantiques), CFA multimétiers de Reignac (Gironde), collège Paul-Emile-Victor de Branne (Gironde), collège Les Dagueys de Libourne (Gironde), lycée professionnel La Morlette de Cenon (Gironde), lycée professionnel Beau de Rochas de Bordeaux (Gironde).