Strut Records présente Nubiyan Twist, considéré comme l’un des chefs de file de cette passionnante nouvelle génération d’artistes britanniques, ce groupe de 10 musiciens, né à Leeds mais aujourd’hui établi à Londres, tisse avec finesse et énergie des liens entre Jazz, Soul, Hip Hop, sonorités latines, africaines, dub ou encore électroniques.
Sur Jungle Run (leur deuxième album, qui sortira en février 2019), le maestro de l’Afrobeat Tony Allen et le père de l’Éthio-jazz Mulatu Astatke s’invitent sur deux titres.
« J’espère avoir réussi à créer un projet qui raconte notre histoire en tant que groupe. Sur le plan conceptuel, c’est ce que ‘Jungle Run’ signifie pour moi : mettre en relation des personnes et des cultures différentes tout en explorant individuellement le parcours de chacun. Cet album est l’aboutissement de notre vision, et unir nos forces à celles des parrains de l’Afrobeat et de l’Éthio-jazz a été la cerise sur le gâteau… Célébrer cet héritage musical avec eux, dans un contexte moderne, est un honneur… » – Tom Excell, producteur & guitariste. La pochette de l’album est signée Marcus Davies, célèbre illustrateur londonien.
NUBIYAN TWIST – Jungle Run
(Strut Records / Differ-Ant)
Sortie le 15 février 2019
Le trio Islandais de pop éléctronique atmosphérique Vök annonce son nouvel album pour le printemps 2019. Pour rappel, le premier album de Vök (2017), acclamé par la critique, a notamment remporté le titre d’album de l’année aux Icelandic Music Awards, recevant les éloges de magazines comme Noisey, The New York Times, Stereogum etc…
POWERDISC, duo aux influences diverses et variées qui rappellent la pop japonaise, la funk de Sly Stone et la soul de Stevie Wonder est composé d’Eddie Purple et de Manu Dyens : Des démons du beat pas vraiment sortis de nulle part. Multi instrumentiste et véritable touche à tout, Eddie Purple a travaillé avec notamment Jamaica, Oxmo Puccino, Orelsan… C’est sur la tournée de Sly Johnson qu’il rencontre Manu Dyens, batteur de formation (Disiz, Maître Gims, Orelsan…) et producteur d’artistes émergents.
Lomepal le roi du Flip collabore avec Son Altesse sérénissime L’Impératrice !
Bientôt 8 ans qu’ce jeu m’a charmé
Mais moi j’suis pas un chanceux j’suis un jeune acharné
J’dors plus c’t’année j’ai déjà perdu cent nuits
Pourquoi tous les enfoirés frustrés veulent me faire des ennuis Comme si je méritais pas mon siège
Comme si j’étais né pour rester debout
J’fais une prière et je crame un cierge
Tout nu sur le trône le tissu royal me caresse les deux boules
La suite sera chaude genre
Plus je rappe, plus j’ose chanter
Plus le temps passe moins je chôme
J’sens qu’les choses changent, ça pue le succès
Bouge si ce parfum-là t’embête
J’tire 20 lattes en pers’
J’attends la fin d’la tempête
J’aurai encore décuplé mes forces dans l’heure
J’pense à mon futur, j’ai une grosse bosse dans le caleçon
J’m’en suis bien sorti pour un branleur
J’secoue ma canne et tout l’océan mord à l’hameçon
J’ai pris cette voie hier au pif
J’peux plus m’retourner comme un hiéroglyphe
Donc j’fonce tout droit
J’connais la Terre, j’veux découvrir les cieux
J’fais c’que j’aime, j’aime c’que j’fais
J’suis pas prêt d’ouvrir les yeux
Partagé entre deux styles, le projet EP#87 représente la dualité du rappeur : sombre et sérieux d’une part, enfantin et naïf de l’autre.
Avec Duke Winter, DA crée des chansons courtes et crues, aux airs d’interludes, avec des voix basses et chuchotantes. A commencer par “Chaude” “en compagnie de sa compagne Roxane Mesquida, titre tout en décalage et pleins d humour.
Vocals by DA & Roxane Mesquida
Composed & produced by Ryan Kozlowski
Extract from EP#87
Vive La Void est le nouveau projet solo de Sanae Yamada, cofondatrice et claviériste de Moon Duo. Elle a composé et enregistré cet album éponyme sur une période de deux ans lors des pauses de Moon Duo.
http://hyperurl.co/vivelavoid
(Sacred Bones / Differ-ant)
Déjà disponible en CD et LP
L’auteure-compositrice a confié la réalisation du clip à Thomas Salvador (Vincent n’a pas d’écailles) qui oppose à ce titre électro-pop brillant un univers cinématographique épuré et romantique, valorisant jeux de regards et plans rapprochés. Le cinéaste signe un portrait de femme gracieux et naturel, une dualité avec la musique qui donne une nouvelle profondeur à « Nuits sans sommeil », premier extrait d’un album accompli et nocturne à venir très prochainement chez Midnight Special Records.
M.I.A. vient de balancer, comme ça l’air de rien une bonne petite bombe à retardement, déjà connue des fans cependant. Le titre Reload étant présent à fin du documentaire MATANGI / MAYA / M.I.A consacré à la chanteuse. Cela n’enlève rien au plaisir, d’autant plus que la vidéo réalisée par Justine Frischmann du groupe Elastica et M.I.A. est juste nickel. On ne s’en lasse pas !
Heavy League: réunion au sommet de la scène house parisienne avec 4 B2B d’anthologie !
LINE UP:
Dusty Fingers B2B Maxye
Flegon / Disques Flegon B2B Clouclou Mamie’s
MAD REY B2B Mud Deep
Vitess B2B Col. J
Toutes les infos : www.facebook.com/events
5 boulevard Poissonnière, 2e, 75002 Paris
http://durevie.paris
Kristina Bazan dévoile son 1er EP en qualité d’auteure-compositrice-interprète. L’EP est construit sur des dualités, entre la réalité et l’illusion, le passé et le futur, la technologie et l’organique. Kristina Bazan crée son propre univers, il ne reste plus qu’à embarquer…
En découvrir plus: https://www.kristinabazanofficial.com
Ce jeudi 27 décembre, pour la 14ème édition des Soirées Concord, l’Hôtel de Crillon reçoit NA’SAYAH (HAïKU) de 22h30 à 2h. Si vous êtes habitué à fréquenter les dancefloors parisiens les plus exigeants et les prestigieuses soirées HAïKU, ce nom ne vous est clairement pas inconnu et cette soirée est pour vous. Pour rappel, chaque jeudi, l’Hôtel de Crillon accueille aux platines du bar Les Ambassadeurs une sélection de DJs et artistes de référence…
SOIRÉE CONCORD#14
https://www.facebook.com/hoteldecrillon
Bar Les Ambassadeurs Hôtel de Crillon, A Rosewood Hotel
Tous les jeudis de 22h30 à 2h Entrée Libre
N U I T annihile d’emblée toute tentative de classification, préférant nous emporter dans un tourbillon fait d’envies et de pulsions, de sons et d’émotions, dans un monde où la musique et l’image ne font qu’un, au sens propre comme au figuré.
http://www.nuit-officiel.com
Waterfalls, l’un des grands standards de TLC interprété par la très grande Meshell Ndegeocello. Le clip, tourné en Islande par Damani Baker, est le fruit d’une collaboration avec le Programme d’études et de formation de l’Université des Nations Unies en matière d’égalité entre les genres. Damani explique: « Je voulais raconter une histoire de résilience et de fragilité. La résilience des personnes déplacées, qui ne sont pas chez elles, qui cherchent la promesse élémentaire de la dignité humaine et de l’espoir. Et je voulais célébrer les personnes noires qui ouvrent la voie, célébrer la façon dont notre marginalité et notre lutte nous offrent une perspective unique dans cette époque où tant de gens se retrouvent en marge de notre économie, de nos systèmes politiques et de notre habitat. Nous avons tourné en Islande où la terre fondait littéralement sous nos pieds, et où le paysage étrange et désertique requiert toute notre imagination alors que nous nous efforçons tous ensemble de déterminer où nous irons ensuite. »
Amoureux du Funk, de la Soul et du Godfather James Brown, quelques infos sur ce titre « People get up and drive your funky soul », écrit par le Tromboniste Fred Wesley, J.B himself & St Clair Pickney, Charles Bobbit, extrait de la B.O du film Slaughter’s Big Rip Off sorti en 1973, disponible également sur la compilation de 1988 Motherlode. Un classique de la Blaxploitation, suite du film Slaughter qui raconte la vengeance dudit Slaughter envers des mafieux qui ont tué ses parents… Une série Z pour nostalgiques, le plus important, en définitive, étant la B.O et ses morceaux percutants à souhait : « Slaughter’s Theme Song », « Tryin’ to Get Over », « Transmorgrapfication », « Happy for the Poor », « Brother Rapp », « Big Strong », « Really, Really, Really », « Sexy, Sexy, Sexy », « To My Brother », « How Long Can I Keep Up », « People Get Up and Drive Your Funky Soul », « King Slaughter », « Straight Ahead »…
Vocals – James Brown
Alto saxophone, tenor saxophone – Maceo Parker
Bass – Fred Thomas
Drums – John Morgan
Guitar – Jimmy Nolen
Percussion – Johnny Griggs
Tenor saxophone, baritone saxophone – St. Clair Pinckney
Trombone – Fred Wesley
C’est parti pour 9 minutes de bonheur :
I said they’re drivin’ that funky soul
In Georgia, drivin’ that funky soul, drivin’ that funky soul
And you cross your tongue in Baltimore
Philadelphia, ha!
Join Chicago, St. Louis, Houston
I said Dallas, wow!
Cape Cove, the next-door neighbor
They’re drivin’ that funky soul
Raise up, get yourself together
And drive your funky soul
Raise up, get yourself together
And drive that funky soul
And I believe, they’re drivin’ their self
With that funky soul in Houston, Texas
They’re gettin’ their self together with the funky soul
In Mobile, Alabama, they gettin’ that funky soul
Raise up, get yourself together
And drive that funky soul
Los Angeles, raise up, get yourself together
And drive that funky soul
Birmingham, raise up get yourself together
And drive that funky soul
On the Island Mama
Get yourself together, drive that funky soul
Raise up, get yourself together
And drive that funky soul
I’m goin’ to get it
I’m goin’ to get it
Gotta’ get some money
And drive that funky soul.
Gotta’ get some money
Gotta’ get some money
I need a lil’ bit a money
Oh, yeah, I need a lil’ bit a money
Fred, I need a one million
Two million, three million
Brotha!
(Yeah)
So what about it?
Will one million be enough?
(Better get two)
Well since my man got three
Well man you better get three
You understand, can I use the three?
Take ’em on home Fred
Take ’em!
Get up get yourself together
And drive that funky soul
Woo!
That is
That is
That is, what is that?
Get up, raise up, raise up, raise up
Woo!
Raise up, raise up, raise
Raise on up, get yourself together
Drive that funky soul
Raise up, get yourself together
And drive that funky soul
You don’t miss nothin’ you never had
But you miss so much you wish you could get, ha!
I guess you can out that together
It takes a man to find a woman
And takes a woman to find what a man used to be
Get up, get on up
Get yourself together
Drive that funky soul
Everybody knows somebody
Who can drive that funky soul?
Everybody knows somebody
Who can drive that funky soul?
Get up, get yourself together
And drive your funky soul
Raise up, get yourself together
And drive that funky soul
Raise up, get yourself together
And drive that funky soul
Raise up, since we had it groovin’
You know
Roberto décrit l’album comme la bande-son d’une personne qui s’approche de vous, doucement, pendant 40 minutes. Et le musicien essaye d’imiter, de synthétiser, ce son qui nous hante, ou de donner voix au fantôme. Roberto visualise souvent la rencontre entre êtres étranges, des rencontres bizarres qui se produisent durant le processus de création, une forme sonore de manipulation, dans laquelle celui ou ce qui change, devient floue.
This Is How You Smile sortira le 8 Mars sur RVNG Intl. Helado Negro sera en tournée en Amérique de Nord et Centrale, et en Europe en première partie de Beirut – dont un passage parisien, au Grand Rex, le 5 Avril. Une partie des recettes de l’album sera reversée à United We Dream, une association qui soutient les droits des immigrants, soutenue par Come !Mend !, une initiative reliant le travail de RVNG à des associations caritatives.
Tracklisting
01. Please Won’t Please
02. Imagining What To Do
03. Echo for Camperdown Curio
04. Fantasma Vaga
05. Pais Nublado
06. Running
07. Seen My Aura
08. Sabana de luz
09. November 7
10. Todo Lo Que Me Falta
11. Two Lucky
12. My Name Is For My Friends
HELADO NEGRO
This Is How You Smile
(RVNG Intl / Differ-Ant)
Sortie le 8 Mars
www.igetrvng.com
La légende du rock underground de N.Y City revient du désert avec douze tubes redoutables. Du pur Garage Punk d’aujourd’hui, mélange de rhythm and blues et de grooves subversifs, un cocktail molotov de sons garantissant la destruction de n’importe quelle langue de bois post-moderne. Pulsant d’énergie, résonnant d’excitation, dégoulinant d’une âme radioactive et d’émotions brutes, Spencer ouvre son cœur comme jamais, explorant la condition de l’homme moderne avec ses guitares caustiques. L’album répond à la question suivante : « est-il possible d’incendier le monde sans scrupule des fake news et des révolutions en plastiques avec le pouvoir du rock’n’roll ? »
JON SPENCER – Spencer Sings the Hits
(In The Red / Differ-ant)
www.intheredrecords.com
Dave Keuning, membre fondateur et guitariste de The Killers réalise son premier album sous le nom de Keuning. Ces nouveaux morceaux ont été enregistrés dans son home studio de San Diego, et issus des centaines de mémos audios qu’il a enregistré pendant qu’il était en tournée avec The Killers ces dix dernières années.
C’est lui qui s’est chargé d’enregistrer quasiment tous les instruments des 14 morceaux qui composent l’album, à part quelques parties de batterie. Combinant guitares acoustiques et électriques, ainsi que sa longue fascination pour les claviers et la musique électronique – qu’il ne peut pas explorer autant qu’il le voudrait au sein de The Killers – Keuning a créé un véritable journal intime qui nous permet d’en apprendre plus sur ses choix de vie.
Blondie est un clin d’oeil à Debbie Harry, un concentré d’énergie qui réunit autant less influences rock, pop et disco des dignes héritiers de… vous le savez déjà, savourons le plaisir de les écouter sans systématiquement s’appuyer sur leur fameux lien de parenté…
Facebook : http://po.st/MinuitFB
Because Music
« Jamais encore je n’avais lu de description si détaillée et si croustillante d’une expérience rock’n’roll. Les plus grands plaisirs et les plus grands périls de la célébrité s’y côtoient. The Dirt est tout à la fois fascinant et révoltant. » Joey Levy, Rolling Stone « The Dirt renvoie toutes les autres biographies dans la catégorie de littérature pour nonnes. » Mötley Crüe, c’est Nikki Six, Vince Neil, Mick Mars et Tommy Lee. Artistes internationaux aux multiples disques de platine, ils ont ouvert la voie à toute une génération de rockeurs. Voici leur histoire. www.camionblanc.com
L’adaptation ciné / télé du biopic sortira sur Netflix le 22 mars 2019 avec Iwan Rheon (Mick Mars), Machine Gun Kelly (Tommy Lee), Douglas Booth (Nikki Sixx), Daniel Webber (Vince Neil). A cet effet, Mötley Crüe a enregistré 4 nouveaux titres.
Home Boy, Sister Out, album culte de Don Cherry, produit par Ramuntcho Matta distribué en France uniquement en 1985, fait désormais l’objet d’une sortie mondiale sur Wewantsounds, plus de quarante ans après sa parution initiale. Avec un casting comprenant Elli Medeiros, le poète avant-garde Brion Gysin et le batteur sénégalais Abdoulaye Prosper Niang (Xalam), ce disque est la bande son du Paris du début des années 80, celui de la « sono mondiale » de Radio Nova, où Funk, Jazz, Hip Hop et New Wave se mêlaient aux sons d’Afrique, des Caraïbes et Latino. Remasterisé, l’album est ici enrichi d’un second LP de titres bonus tirés des archives de Ramuntcho ainsi que d’une pochette gatefold comprenant un nouvel essai du journaliste français Jacques Denis.
https://wewantsounds.bandcamp.com
Les Guns N’ Roses ne font vraiment rien comme les autres et c’est très bien ainsi ! Il aura fallut attendre l’année 2018 et la sortie du coffret Appetite For Destruction : Locked N’ Loaded Edition pour (re)découvrir ce titre de 1986, jamais sorti officiellement mais que l’on trouvait sur les bootlegs avec un son bien dégueu à l’époque. Shadow Of Your Love enfin dépoussiéré est désormais doté d’un nouveau mixage et est régulièrement interprété sur scène pour notre plus grand plaisir. A titre perso, j’aimais bien » Just Another Sunday » (only the fans know).
Pour rappel, Le coffret « premium » comprend l’édition Super Deluxe 4CD + Blu-Ray audio, 7 maxi single, 7 45 tours en vinyle jaune, 12 lithographie illustrant chaque chanson de l album, 5 bagues des crânes des membres du groupe en métal faite à la main, 5 pin’s des crânes des membres du groupe, 5 médiators, une feutrine pour platine vinyle, des posters…
Guns N’ Roses – “Shadow Of Your Love” – The unreleased 1986 studio recording from Appetite For Destruction: Locked N’ Loaded. http://gunsnroses.com
Epic, extrait de l’album The Real Thing sorti en 1990, est l’oeuvre de Mike Patton: chant, Mike Bordin: batterie, percussions, Roddy Bottum: claviers, Bill Gould: basse, Jim Martin: guitare, plus connus ensemble sous le nom du mythique combo Faith No More. En ces temps d’uniformisation musicale et de fake revival grunge, il est gouleyant de réécouter, de revoir, de relire les paroles de ce titre aussi foutraque que brillant.
Can you feel it, see it, hear it today?
If you can’t, then it doesn’t matter anyway
You will never understand it ’cause it happens too fast
And it feels so good, it’s like walking on glass
It’s so cool, it’s so hip, it’s alright
It’s so groovy, it’s outta sight
You can touch it, smell it, taste it so sweet
But it makes no difference ’cause it knocks you off your feet
You want it all but you can’t have it
It’s cryin’, bleedin’, lying on the floor
So you lay down on it and you do it some more
You’ve got to share it, so you dare it
Then you bare it and you tear it
You want it all but you can’t have it
It’s in your face but you can’t grab it
It’s alive, afraid, a lie, a sin
It’s magic, it’s tragic, it’s a loss, it’s a win
It’s dark, it’s moist, it’s a bitter pain
It’s sad it happened and it’s a shame
You want it all but you can’t have it
It’s in your face but you can’t grab it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
You want it all but you can’t have it
It’s in your face but you can’t grab it
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
What is it?
It’s it
Deux ans après Stripped, Macy Gray est de retour avec Ruby, son nouvel album qui sortira le 7 septembre sur le label Mack Avenue.
Réalisé par Christian Lamb et tournée à Los Angeles, la vidéo de Sugar Daddy met en vedette Macy Gray et s’inspire du film « Lady Sings The Blues » sortie en 1972, et dans lequel Diana Ross incarnait la légendaire Billie Holiday. Pour l’anecdote, c’est Evan Ross, le fils de Diana Ross qui joue dans la vidéo le rôle du « méchant » de la discothèque qui tente d’attirer Macy Gray en agitant un gros pourboire.
Sugar Daddy figure sur le dixième album studio de la chanteuse qui a décidé de collaborer à sa réalisation avec le guitariste Gary Clark, Jr. et les producteurs Tommy Parker Lumpkins (Janet Jackson, Justin Bieber, Kelly Rowland), Johan Carlsson (Michael Bublé, Maroon 5), Tommy Brown (Jennifer Lopez, Ariana Grande).
A Perfect Circle porte toujours aussi bien son nom depuis sa création en 2000, chacun des membres (provisoire ou permanent) est peu ou prou lié à la grande histoire du rock moderne, formant ainsi un cercle parfait. Maynard James Keenan au chant, toujours aussi habité et inspiré depuis Tool, conduit ses musiciens au delà des frontières arbitraires qui assignent malheureusement un groupe à un genre musical. Eat The Elephant est un très grand album, loin de révéler tous ses secrets lors de la première écoute. Au centre du cercle, nul ne peut s’égarer…
De Billy Howerdel, guitar tech émérite pour Nine Inch Nails, The Smashing Pumpkins, Guns N’Roses (également présent sur le titre There was a time, de Chinese Democracy) ou encore Tool. Dave Sardy qui de la lettre a pour Atari Teenage Riot jusqu’à z ZZ Top est producteur, auteur, compositeur ou ingénieur du son passant allègrement du rock, punk, alternative à l’électronique et l’indus hardcore.
Matt McJunkins qui officie sur le side project de Maynard James Keenan, Puscifer. Isaac Carpenter batteur entre autre pour Tyga, Loaded (le super combo de Duff Mc Kagan) ou encore Awolnation. Jeff Friedl passé chez Filter, Matt Chamberlain, Pearl Jam, James Iha des néo reformés Smashing Pumpkins… Tous contribuent à la grande vibration cosmique que provoque la musique avec un grand M.
Les anciens se rappelleront tout de même avec beaucoup d’émotions de Judith dont la vidéo de 2000, que nous avons le plaisir d’associer à ce billet, reste encore à ce jour un modèle, fut réalisé par David Ficher :
Tracklist
1. Eat The Elephant
2. Disillusioned
3. The Contrarian
4. The Doomed
5. So Long, And Thanks For All The Fish
6. TalkTalk
7. By And Down The River
8. Delicious
9. DLB
10. Hourglass
11. Feathers
12. Get The Lead Out
https://aperfectcircle.lnk.to/EatTheElephantID
https://www.instagram.com/aperfectcircle
℗ 2018 A Perfect Circle under exclusive license to BMG Rights Management (US) LLC
Avec plusieurs EPs et 2 albums à leur actif, M.A BEAT! se sont évertués à créer une électronica onirique, parfois dansante ou contemplative, imprégnée de krautrock, de jazz et de world. Inclassable, le trio mêle samplers et synthétiseurs à une section rythmique explosive.
Sur leur précédent album, Sans Soleil, ils collaborent avec l’américain Laraaji, légende de l’ambient, puis sortent un remix de ce dernier chez Warp. Un retour aux sources de leurs influences les plus fortes. Révélés par les Transmusicales, le trio a tourné en Europe, aux USA et au Japon, mettant par magie le public Tokyoïte dans un état de transe et de relâchement total. M.A BEAT! sortent Microsizers, une compilation de morceaux qui referme le chapitre de l’album Sans Soleil. Un nouvel album est prévu pour mars-avril 2019.
https://www.facebook.com/m.abeatmusic
Rosborough est signé sur Ignition Rec, piloté par Noel Gallagher.
“When I first heard the song, it was like the world stopped, there was nothing but this person and this (slightly out of tune) guitar and nothing else. It was the sweetest most honest thing I’d heard and it still holds true now. The bravery of bearing yourself that much, to write something so beautiful but so simple and more over so honest struck a chord which I don’t think will ever fade. He wasn’t perfect, he wasn’t cool, he wasn’t anything like the glammed up stories you’d hear of bands on TV. He was a songwriter, someone who could stop the world with three chords and words that actually meant something. It really solidified the notion that I was actually doing something worthwhile, that you don’t have to be cool or popular, good looking. One of the greatest minds in popular music sold tapes in a car park.”
Ep acoustique The Paper Boats EP
Tracklisting
1. Burn Blue (video acoustique)
2. In this Moment
3. Another Lesson
4. True Love will find you in the End (video acoustique)
5. Fall to Earth (video acoustique)
Stupéfiant dans ta chambre seul tout, Tu seras pute à la Gare du Nord, Si tu te perds dans les subtilités là-dehors…
Scénario : Claire Laffut – Réalisé par Alexandre Brisa
Avoir, avoir peur de tout
Stupéfiant dans ta chambre seul tout
Tu seras pute à la Gare du Nord
Si tu te perds dans les subtilités là-dehors
Avoir, avoir peur de tout
Stupéfiant dans ta chambre seul tout
Y a pas si longtemps
T’as découvert ça comme délivrance
C’est lâche, ma grande on te dira
C’est l’âge
Pas sûr que ça s’estompe avec le temps
On reste tous des enfants
C’est lâche, ma grande on te dira
C’est l’âge
Pas sûr que ça s’estompe avec le temps
On reste tous des enfants
En rien du tout tu ne te retrouves
Plus rien du tout n’a de sens
En rien du tout tu ne te retrouves
Y en n’a pas un seul pour te comprendre
En rien du tout tu ne te retrouves
Plus rien du tout n’a de sens
(Plus rien du tout
Plus rien du tout)
En rien du tout tu ne te retrouves
Plus rien du tout, plus rien du tout
C’est lâche, ma grande on te dira
C’est l’âge
Pas sûr que ça s’estompe avec le temps
On reste tous des enfants
C’est lâche, ma grande on te dira
C’est l’âge
Pas sûr que ça s’estompe avec le temps
On reste tous des enfants
Avoir, avoir peur de tout
Stupéfiant dans ta chambre seul tout
Tu seras pute à la Gare du Nord
Si tu te perds dans les subtilités là-dehors
Avoir, avoir peur de tout
Stupéfiant dans ta chambre seul tout
Y a pas si longtemps
T’as découvert ça comme délivrance
C’est lâche, ma grande on te dira
C’est l’âge
Pas sûr que ça s’estompe avec le temps
On reste tous des enfants
C’est lâche, ma grande on te dira
C’est l’âge
Pas sûr que ça s’estompe avec le temps
On reste tous des enfants
Que passe le temps, que passe le temps
Faîtes que passe le temps
Que passe le temps, que passe le temps
Faîtes que passe mon temps
Que passe le temps, que passe le temps
Faîtes que passe mon temps
Que passe le temps, que passe le temps
Faîtes que passe mon temps
Ce nouveau clip toujours aussi léger et décalé, réalisé par David Gantz et Theo Cohn nous prouve une nouvelle fois que le jeune californien n’a pas besoin de se prendre au sérieux pour faire de belles choses…
Ridin’ down the street in my CR-V
Picking up my homies in my CR-V
Kick it with my boo thang in my CR-V
Ridin’ down the street in my Honda SUV
Ridin’ down the street in my CR-V
Picking up my homies in my CR-V
Kick it with my boo thang in my CR-V
Ridin’ down the street in my Honda SUV
I look like a mom in my CR-V
Flexin’ on your friends in my CR-V
Got like 5 seats in my CR-V
For my whole crew in my CR-V
Got my whole gang in my CR-V
Got the groceries in my CR-V
I got no game in my CR-V
I’m so average in my CR-V
Ridin’ down the street in my CR-V
Picking up my homies in my CR-V
Kick it with my boo thang in my CR-V
Ridin’ down the street in my Honda SUV
Ridin’ down the street in my CR-V
Picking up my homies in my CR-V
Kick it with my boo thang in my CR-V
Ridin’ down the street in my Honda SUV
Chiquito Tracklist :
1. Lucy (feat. J-Kwe$t)
2. Dontmakemefallinlove
3. Sunnyside
4. Summertime hightime (feat. J-Kwe$t)
5. Mi Infinita
6. CR-V
Nothing est le premier single de Caûme, tandis que la vidéo est l’oeuvre de 6to10
Disponible en écoute et en téléchargement : https://caume.lnk.to/nothingremixAY
https://www.facebook.com/caumemusic/
Auteur : Caûme
Compositeur : David ROCCHI
Remix : Cardinal
Réalisation : Arnaud Pham-Gia et Greg Kozo
(p) & © 2018 Un Plan Simple
Devenu extrêmement rare, l’album de la chanteuse et actrice américaine Jaye P. Morgan, réunissant alors la crème de la scène jazz et funk de Los Angeles, avec à son bord une brochette de musiciens exceptionnels dont Harvey Mason, Ed Greene, Jay Graydon, Ray Parker Jr, Ernie Watts ou encore la section de cuivres de Tower of Power, est une orgie de funk sophistiqué du même cru que les meilleures productions de Quincy Jones de l’époque. Cette oeuvre culte mais oubliée et quasi méconnue par chez nous, enregistrée à L.A. dans les légendaires studios Sound City, est la première véritable production du célèbre David Foster, trois ans avant l’album I Am de Earth Wind & Fire, qui fera de lui l’un des producteurs les plus populaires de la côte ouest.
Avec des interprétations magistrales de titres emblématiques tels que « Seems So Long » de Stevie Wonder et « Can’t Hide Love » de Earth, Wind & Fire (Foster, Champlin et Graydon écriront bientôt « After The Love Has Gone » pour le groupe, qui deviendra un immense hit), associé à une sélection de morceaux originaux triés sur le volet, on navigue entre funk assumé et ballades soul mid-tempo, avec ce son riche, typique des productions de Los Angeles, mettant non seulement en lumière la superbe voix de Morgan, mais témoignant aussi de la genèse du talent d’un futur poids lourd de la production musicale. La version LP enfin réédité par Wewantsounds, le 25 janvier 2019, comprend l’insert original 4 pages avec crédits et photos.
Cat Power dévoile son interprétation de « What The World Needs Now », classique de Burt Bacharach et Hal David publié en 1964. Cette version de Cat Power était à l’origine disponible sur le 45 tours qui accompagnait l’édition deluxe de son album en vinyle, le titre est à présent disponible en digital.
« Je voulais sortir une chanson avec un message d’espoir. » raconte Chan. « ‘What the world needs now is love sweet love’ sont des paroles qui résonnent en chacun. »
What the world needs now is love, sweet love
It’s the only thing that there’s just too little of
What the world needs now is love, sweet love
No, not just for some but for everyone, for everyone
Lord, we don’t need another mountain
There are mountains and hillsides enough to climb
There are oceans and rivers enough to cross till the end of time
What the world needs now is love, sweet, sweet love
It’s the only thing that there’s just too little of
What the world needs now is love, sweet, sweet love
No, not just for some but for everyone, for everyone
Lord, we don’t need another meadow
There are cornfields and wheat fields enough to grow
There are sunbeams and moonbeams enough to shine
Oh listen, Lord, if you want to know
What the world needs now is love, sweet love
Désignée par FADER comme la “rock’s next big thing”, l’artiste basée à Los Angeles, SASAMI, dévoile le clip de son single ‘Not The Time’. Co-réalisée par Kate Hollowell et Sasami Ashworth, la vidéo met en scène la compagnie LA Municipal Dance Squad et The Linda Lindas en backing band.
SASAMI (Sasami Ashworth) se produit sur la scène de Los Angeles depuis une dizaine d’années. Elle joue du cor d’harmonie en orchestre et en studios, ainsi que du clavier, de la basse et de la guitare dans plusieurs groupes de rock locaux (Cherry Glazerr, Dirt Dress), elle a contribué aux chœurs et aux arrangements cordes et vents sur plusieurs albums studios (Curtis Harding, Wild Nothing, Hand Habits) et a également produit des morceaux pour des artistes tels que Soko.
Après son diplôme à Eastman School of Music en 2012, SASAMI a passé son temps à composer et signer les arrangements d’orchestres pour des musiques de films, de publicités et des albums studios, tout en étant une professeure de musique investie à Los Angeles. Pendant près de deux ans et demi, elle était en tournée à travers le monde avec le groupe Cherry Glazerr et se concentre à présent sur ses compositions. SASAMI a aussi joué avec Japanese Breakfast, Liz Phair, The Breeders et Blondie.
Grand Blanc est né de l’envie de faire de la musique comme un échappatoire et y a inscrit toute sa fougue adolescente. Trouver du beau là où l’on croyait voir du vide. Enfants d’une autre urbanité que celle d’un Paris fantasmé, ses membres viennent aux trois quarts de Metz. Voilà ce que pourrait incarner leur teinte opaline : à la fois page blanche et champ des possibles, lumière et aveuglement.
Après un premier album qui traduisait leurs influences punk et new wave ainsi qu’une envie de prose gouailleuse et lo-fi, Grand Blanc a depuis été voir ailleurs et revient avec une spectaculaire odyssée, Image au mur…
Tracklisting
01 Les Iles
02 Belleville
03 Los Angeles
04 Isati
05 Des Gens Bien
06 Rêve BB Rêve
07 Image au Mur
08 Dans La Peau
09 Rivière
10 Aurore
11 Ailleurs
12 Télévision
LES DISQUES ENTREPRISE
GrandBlanc.lnk.to/ImageAuMurFL
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Broken Bells, c’est l’association de deux emblèmes des scènes indie et alternative: Le chanteur / guitariste de The Shins James Mercer, et le producteur / multi-instrumentiste Brian Burton, aussi connu sous le nom de Danger Mouse.
Shelter, premier extrait de leur troisième album à paraître courant 2019.
Le label new-yorkais accueille un nouveau membre au sein de sa prestigieuse écurie : Doug Shorts, fondateur et ex-chanteur du groupe Master Plan Inc., en provenance de Chicago. Le crooner funk travaille actuellement sur de nouveaux enregistrements, préparant son retour au premier plan sous la direction d’Homer Steinweiss, membre des Dap-Kings, et du hitmaker canadien Frank Dukes, l’un des producteurs les plus courtisés ces dernières années : The Weeknd, Cardi B, Kendrick Lamar, SZA, Drake, Kanye West…
Tout pourrait être autrement. C’est avec cette idée en tête que Catastrophe vit, ne faisant jamais deux fois la même chose. En 2018, sur le label Tricatel, paraît le disque La nuit est encore jeune, précédé en 2017 d’un essai littéraire du même nom, aux éditions Pauvert/Fayard…
Sur scène, la surprise est reine. Après avoir oscillé entre 3 et 20 membres, Catastrophe se cristallise autour de sept personnalités – Pierre, Blandine, Arthur, Bastien, Pablo, Carol et Mathilde – comme autant de Power Rangers avec leurs propres savoir-faire, leurs tours spéciaux. Kaléidoscope de genres musicaux, Catastrophe partage le même goût pour l’innovation que Kamasi Washington et Aquaserge, ou celui pour l’improvisation et l’expérimentation qu’on retrouve dans le hip-hop social de Kendrick Lamar ou dans la joie collective d’Arcade Fire.
Catastrophe: en concert le 19 décembre à la Gaîté Lyrique
Feu rouge est une belle ballade avec un refrain fédérateur. Le clip se déroule à la manière d’un générique de film, le début d’une nouvelle aventure… Tourné un lundi matin à l’aube à Montmartre (starring Fishbach), réalisé par La Comète, des réals de théâtre géniaux (« Le Bal ») inventeurs du Méta-cinéma.
Oh il ne manquait que la pluie
Voilà je t’écris du taxi
Et les gouttes dansent comme nous dansions
Et la radio chante comme nous chantions
Ici Paris, qui disparaît mais d’ici Paris me regarde
Alors que toute la ville défile
Dans cette dernière course folle
Que je fuis le défi
Oui que j’abandonne
Ici Paris, qui disparaît mais d’ici Paris me regarde
(Partir très loin)
A chaque feu rouge de colère
Paris qui défile sous la pluie
Je me défile, je suis parti
Écouter en streaming : https://qlima.cool/FeuRouge
Tom Misch révèle le clip de son morceau « It Runs Through Me », extrait de son album « Geography ». Un clip qui donne le ton dés les premières notes: des riffs ensoleillés, un esprit jazz classe, une voix ronronnante, tout ce qu’il faut pour passer un weekend sous le signe du groove et de la détente. Une évidence lorsqu’on est accompagné par De La Soul.
Ce premier album est le produit d’influences multiples, à commencer par de grands noms du jazz tels que Robert Glasper, Roy Hargrove ou Cory Henry, qui bercent Tom Misch depuis de longues années. Viennent ensuite s’ajouter la techno, la house et le disco, découverts à travers le prisme de producteurs tels que Kaytranada et Motor City Drum Ensemble. C’est enfin l’euphorie des années 1970 et 1980 et le tempo des boîtes de nuit comme Fabric ou Corsica qui ont conduit Tom Misch à amener plus de rythme dans ses chansons.
1. Before Paris
2. Lost In Paris (feat. GoldLink)
3. South Of The River
4. Movie
5. Tick Tock
6. It Runs Through Me (feat. De La Soul)
7. Isn’t She Lovely
8. Disco Yes (feat. Poppy Ajudha)
9. Man Like You
10. Water Baby (feat. Loyle Carner)
11. You’re On My Mind
12. Cos I Love You
13. We’ve Come So Far
https://www.facebook.com/tommisch123/
Je ne sais pas si vous le savez, mais Sophie Calle a perdu son chat. Souris. C’est son nom.
Elle ne l’a pas perdu par les rues, comme une certaine mère qui cherche encore le sien, mais pour de bon. À tout jamais.
En guise d’adieu, elle a demandé à une quarantaine de musiciens (Pharrell, Benjamin Biolay, Bono, Juliette Armanet…) d’écrire une chanson en hommage à Souris. Le chat.
Un requiem pour félin en somme.
Nous y sommes allés de notre ode.
Et si on y chante la douleur à l’estomac (papapa papa), ce n’est en rien pour célébrer cette belle science qu’est la gastro-entérologie.
Ne vous y trompez pas. On pleure la perte du chat.
C’est plutôt beau d’y penser : alors même qu’il nous quittait pour toujours (si on fait abstraction un instant de son empaillement), une chanson naissait, à son nom.
Le Chat Souris est mort. Vive le Chat Souris !
En live au Zenith de Paris le 24 Janvier & en tournée en France
A l’instar de Carpenter Brut ou Kavinsky, Martin Antiphon et Marc Botté, les deux membres de NinjA Cyborg, créent un univers qui évoque plus les codes de la musique électro que ceux de la pop music. Nourri de références cinématographiques, et marqué par l’histoire des jeux vidéo, NinjA Cyborg a peaufiné son nouveau titre à coups de Juno 60 et de TR606. Le clip a été confié au Freak Motion Studio qui a imaginé ce film imaginaire qui accompagne les nappes hypnotiques du titre The Sunny Road.
Avec cette vidéo animée, on suit les premières aventures de Gordon, le NinjA Cyborg, dans les bas-fond et sur les toits de Suncity. Qui est t-il vraiment ? Justicier solitaire ? Arme secrète du gouvernement ? Une simple machine a tuer ?
Batteur de Petit Fantôme, Melody’s Echo Chamber ou encore Frànçois & The Atlas Mountains, Jaune propose avec ce nouveau titre une pop discoïde et une musique lunaire.
Ce clip raconte l’histoire d’une rencontre. Une fille qui travaille dans un musée d’art contemporain et qui s’ennuie. Au détours d’une salle, David, un jeune homme, va lui taper dans l’oeil. Tous deux passerons une nuit ensemble. Une attente d’abord, un premier aperçu, des questionnements ensuite, un rapprochement enfin. Encadrés dans le béton d’un bâtiment public puis emportés dans la nuit par les lumières artificielles d’un bar, deux inconnus s’apprivoisent le temps d’une soirée…
MOU manie avec une pointe d’humour les codes du rap et de la chanson française… Ce Nantais d’adoption parle principalement d’amour, utilisant des références de son quotidien, pour les installer dans un décor décalé et surréaliste. Une marque de fabrique qui a su être appréciée lors de la sortie de son premier EP « Full sentimental » sorti en Janvier 2018.
Sur des instrumentaux de La Brousse, Maodea ou encore le bruxellois Mowley, MOU évolue seul sur scène. Se baladant de gauche à droite, hypnotisant comme un tic et un tac, pour suspendre le temps et voyager au coeur de ses histoires à dormir debout.
Cuisinier à la ville, ce grand corps au coeur tendre, n’est pas un amateur de prise de tête. Ses épopées pop naviguent dans l’ère du temps, ajoutant son grain de sel à une génération française qui se joue des styles (Myth Syzer, Muddy Monk, Lewis OfMan ou Vendredi sur Mer).
RELEASE PARTY LE 20 DÉCEMBRE AU POP UP DU LABEL & LE 15 DÉCEMBRE AU PANNONICA (NANTES)
1er extrait de son prochain EP prévu pour le 30 novembre
https://lnk.to/Mou-Sensuelle
Kadhja Bonet dévoile trois titres inédits issus des sessions d’enregistrement de Childqueen, son très acclamé deuxième album.
L’EP Childqueen Outtakes est à découvrir ici : kbonet.com/album/childqueen-outtakes
« Low » est une composition palpitante et introspective parlant des idées préconçues sur les débuts d’une relation. C’est un groove funky et cinématique harmonisant des couches de cuivres, d’instruments à cordes et plusieurs niveaux de chants avec l’aide de feu le grand Michael Jackson. Dans cette nouvelle vidéo documentaire, on découvre le processus créatif de Lenny Kravitz lors des sessions d’enregistrement en studio.
LENNY KRAVITZ DE RETOUR EN FRANCE AU PRINTEMPS 2019
16/05/2019 – LYON – Halle Tony Garnier
17/05/2019 – NICE – Palais Nikaïa
19/05/2019 – TOULOUSE – Zénith
20/05/2019 – NANTES – Zénith
05/06/2019 – PARIS – AccorHotels Arena
https://lennykravitz.lnk.to/RaiseVibration
Par les damné.e.s de la terre est compilation unique en son genre honorant la musique francophone engagée, véritable mémoire patrimoniale des luttes sociales et/ou décoloniales portée par Rocé.
« Je fais partie de cette génération qui a vu naître le rap français, et avec lui l’énorme engouement pour cette musique des enfants de la deuxième et troisième génération d’immigrés. J’ai voulu creuser au-delà du rap, fouiller les artistes de la langue française qui véhiculent la poésie de l’urgence, la poésie à fleur de peau, engagée malgré elle parce que le contexte ne lui donne pas le choix. La poésie des « damné.e.s de la terre ». Dans l’ombre des chanteurs à texte médiatisés existent des femmes et des hommes devenus artistes juste le temps d’un disque.
Inutile de chercher dans ce recueil le morceau « exotique et funky », extrait du folklore destiné à la métropole. Rythmes et textes sont vêtus de leur propre « blues » dur et sincère. La langue française réunit des régions du monde qui portent des fardeaux communs. Géopolitique et sentiments se mêlent. Les paroles des anciens résonnent jusque dans les oreilles des enfants d’aujourd’hui, ceux des diasporas. Un bon nombre des artistes présent.e.s dans ce recueil n’a pas eu la chance de croiser son public à l’époque, je pense que le contexte actuel des migrations et des questionnements identitaires donnera une résonance toute particulière à ces textes et à ces musiques.
Deux historiens, Naïma Yahi et Amzat Boukari-Yabara, écrivent le livret du disque, ils décrivent les contextes de l’époque et des pays dont proviennent les morceaux.
Ce projet, musical et de patrimoine, répond à un besoin : (re)donner la voix aux nouvelles générations qui évoluent en France avec une absence d’identification, un oubli de l’histoire de leurs parents dans le paysage politique et culturel qu’elles traversent en grandissant. Il écrit une autre histoire de la musique en français. À la jonction des luttes de libération des pays d’origines, des luttes ouvrières, des exils, il cristallise une époque où les luttes bâtissaient des fraternités, des affirmations, de la dignité, des liens entre les peuples opprimés et des convergences que l’Histoire des livres scolaires ne dit pas. Il est important à mes yeux de transmettre ces moments de tous les possibles afin d’en imprégner la morosité dans laquelle grandissent les nouvelles générations.
Les enfants des diasporas et ceux des travailleur.euse.s ouvrier.ère.s ont besoin d’avoir des espaces de transmission de l’histoire de leurs parents. Ces parents qui ont sacrifié des années dans des luttes ou dans l’exil et qui ont choisi pour leurs enfants une intégration dans la discrétion et pointée vers un futur sans le poids d’une lourde mémoire. Le passé ne se transmet pas facilement lorsqu’il est emprunt de tabous et qu’on pense ses enfants libres, sauvés, car nés en France. Mais les combats de nos aînés, à la vue des luttes actuelles, sont précieux et utiles. Le présent se débrouille mieux lorsqu’il a de la mémoire.
Ce disque est donc un constat, un bout de mémoire qui montre que le champ des possibles était ouvert un court moment, avant d’être refermé, nous plongeant dans l’individualisme, le court terme, l’absence de projets de société. L’absence des ces histoires dans l’Histoire nous prive de l’espoir, des notions de fraternité, de résistance, de modes d’emplois d’autodéfense. L’époque actuelle nous impose ses fictions dystopiques, des histoires d’échecs et d’impasses.
Le sillon fossilisé dans le disque m’a permis de découvrir des artistes et intellectuels qui ont transmis des solutions multiples. On connaît trop peu le personnage de Frantz Fanon, ce Martiniquais qui a épousé la cause algérienne, on connaît trop peu le grand Franklin Boukaka, artiste congolais qui rend hommage dans une chanson à Mehdi Ben Barka, homme politique marocain. Il a existé un soutien entre étudiants guadeloupéens pour l’indépendance de la Guadeloupe et un militant corse du FLNC qui a décidé d’héberger sur son label leur musique. Nous pouvons être tous d’accord, ça ne sert à rien s’il n’y a pas de projet commun. Je ne sais pas comment sera demain, ce que je sais c’est qu’avec la mémoire nous pouvons additionner la force et l’union des peuples d’hier aux diasporas et subalternes d’aujourd’hui. Nous placer au centre de l’histoire que l’on nous conte afin de rompre avec la logique impérialiste. »
– TRACKLISTING –
1. Jean-Marie Tjibaou – Discours Mélanésia 2000 – Kanaki 1974
2. Joby Bernabé – La logique du pourrissement – Madinina 1985
3. Lena Lesca – Aux Tortionnaires – France 1978
4. Alfred Panou & Art Ensemble of Chicago – Je suis un sauvage – Bénin & USA 1970
5. Léon Gontran Damas – Il est des nuits – Guyane 1988
6. Slimane Azem & Cheikh Nourredine – La Carte de résidence – El Djazair 1979
7. Manno Charlemagne – Le Mal du Pays – Ayiti 1984
8. Guy Cornely – Où sont donc les tam tam ? – Karukera 1969
9. Groupement Culturel Renault – Cadences 1 – France 1973
10. Colette Magny – La Pieuvre – France 1972
11. Salah Sadaoui – Déménagement – El Djazair 1985
12. Võ Nguyên Giáp – « Rien n’est plus précieux » Entretien à Alger – Vietnam 1976
13. Les Colombes de la Révolution – Hommage à Mohamed Maïga – Burkina Faso 1985
14. Hô Chi Minh – « Arbitrer le conflit » – Vietnam 1963
15. Peloquin / Sauvageau – Monsieur l’Indien – Québec 1972
16. Francis Bebey – On les aime bien – Kamerun 1979
17. Léon Gontran Damas – Blanchi – Guyane 1988
18. Groupement Culturel Renault – Cadences 2 – France 1973
19. Pierre Akendengue – Le Trottoir d’en Face – Gabon 1974
20. Eugêne Mona – Pitié – Madinina 1972
21. Dane Belany – Complexium – After Aimé Césaire – France & USA 1975
22. Troupe El Assifa – (Extrait de ‘Ça travaille, ça travaille, et sa ferme sa gueule’) – Maurice 1975
23. Dansons avec les travailleurs immigrés – Versailles – France & Tunisie 1971
24. Abdoulaye Cissé – Les Vautours – Burkina Faso 1978
Des voix de luttes 1969-1988
https://lnk.to/par-les-damne-e-s
(Hors Cadres – sortie le 2 novembre)
Suite à sa récente sortie de prison, le petit prodige du Rap revient en force sur le devant de la scène. Alors qu’il feature sur le nouveau single de Gucci Mane ‘Wake Up In the Sky’ aux cotés de Bruno Mars, Kodak Black cartonne actuellement avec l’énorme banger ‘Zeze’ Ft Travis Scott & Offset, autre extrait de son album Dying To Live.
https://Kodak.lnk.to/ZezeID (WEA)
Remember the time, en 1997 Janet sort son album le plus abouti et le plus audacieux, The Velvet Rope. Au programme des réjouissances musicales ce titre désormais classique qui échappe peut-être à certains de nos contemporains, mais qui synthétise à merveille, le rap, le R&B, la folk… Pour couronner le tout, la vidéo est un chef d’oeuvre de Mark Romanek, que l’on retrouvera prochainement à la direction du film The Lost Symbol, adaptation du roman éponyme de Dan Brown.
What’s… what’s the next song?
The one about me
Oh yeah?
I like this song
Uh-uh like Joni says…
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s–
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s–
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s–
You don’t know what you’ve got ’til it’s–
Gone
Have a feelin
Now believin
That you were the one
I was meant to be with
Oh how I’m wishin
Thinkin dreamin
Bout you
And the love
How’d I ever let you get away?
Got ’til it’s gone
Don’t- don’t- don’t it always–,
Don’t- don’t- don’t it always–
Got ’til it’s gone
Don’t- don’t- don’t it always–
Yeah, yeah, yeah…
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Joni Mitchell never lies
You don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
If I could turn back
The hands of time I’d make you
Fall in love
In love with me again
So would you give me
Another chance to love
To love you
In the right way no games
Got ’til it’s gone
Don’t- don’t- don’t it always–, Don’t- don’t- don’t it always–
Here we go again…
Got ’til it’s gone
Don’t- don’t- don’t it always–, Don’t- don’t- don’t it always–
Joni Mitchell never lies
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
1, 2… 1, 2…
Gone
Yo lemme just fuck wit it for a minute
You don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Now you’re realizin when the nights go long right?
Campaign for me stay when you know that I’m gone right?
You act all wild when I tell you to settle
I was workin round the clock but your girls wanna meddle
Talkin bout, « I heard he swims with this chick on the beach. »
That was out with the tide but my love you impeached
Now you lookin at the walls head in hand cold Jonezin
Ringin my house, hangin up, and then posin
Now why you wanna go and do that love huh?
Now why you wanna go and do that and do that, huh?
Now why you wanna go and do that love huh?
Now why you wanna go and do that and do that huh?
Now why you wanna go and do that love huh?
Now why you wanna go and do that and do that huh?
Now why you wanna go and do that love huh?
Now why you wanna go and do that and do that and do that?
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Don’t it always seem to go that you don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
Joni Mitchell never lies
You don’t know what you’ve got ’til it’s
Gone
You don’t know what you’ve got ’til it’s gone
You don’t know what you’ve got ’til it’s gone
Dust
Des’ree Weekes / James Harris / James Iii Harris / Janet Jackson / Joni Mitchell / Kamaal Fareed / Michael Graves / Terry Lewis
Paroles de Got ‘Til It’s Gone © Sony/ATV Music Publishing LLC, Janet Jackson Dba Black Ice
Emotions like a rollercoaster ride…
Après « Isabella » tourné à Los Angeles par Nadia Lee Cohen (Tyler The Creator, Kali Uchis…), « The Sinner » réalisé en Sibérie, et « Distance » qui suivait un gang en Thaïlande, ce dernier clip d’Isaac Delusion boucle la boucle avec un retour à Paris, et peut-être le plus lointain voyage…
Album « Rust & Gold » → http://qlima.cool/RUSTGOLD
Originaire d’Oxnard, en Californie (ville natale de Madlib, Anderson Paak), Cola Boyy est un jeune crooner disco avec une voix atypique. Sa musique est un savant mélange entre la disco du Studio 54, la fraîcheur d’un Mac DeMarco et la poésie de son idole absolue, Paul McCartney.
A travers ce clip réalisé par Pablo Padovani et Mirielle Productions, Matthew Urango aka Cola Boyy a voulu passer un message fort, et mettre en valeur les personnes avec un handicap : « This you notice it? The disabled and the different at « Black Boogie Neon » can enjoy themselves without stigma or judgement. We can show us as what we decide to be, enjoy ourselves with style, laugh. We are not made by glass. You will learn a lot about yourself when you take the chance to listen with your ears, and not just stare at us with you eyes«
Après plus de 10 ans d’attente, Worakls nous livre son premier album solo, « Orchestra ». Le co-fondateur du label Hungry Music laisse s’exprimer pleinement ses influences de musiques de film en les incorporant dans sa musique électronique.
Cet album s’accompagne d’une tournée des salles les plus prestigieuses d’Europe où Worakls sera accompagné par l’Orchestre de la Philharmonie Provence Méditerranée, composé de 20 musiciens. La force de ce show réside dans le fait que la musique originale composant l’album ait été spécialement créée pour être jouée avec un orchestre. Plus qu’un premier album, plus qu’un show, c’est l’aboutissement d’un artiste inimitable, dont les inspirations touchent toutes les générations de mélomanes.
Premières dates annoncées :
15.02 : PARIS – L’OLYMPIA
22.02 : CAEN – LE CARGO
23.02: BREST – LA CARENE
28.02 : MARSEILLE – LE SILO
01.03 : NIMES – PALOMA
02.03 : LYON – LE TRANSBORDEUR
08.03 : BORDEAUX – LE ROCHER DE PALMER
09.03 : TOULOUSE – LE BIKINI
25.04 : STRASBOURG – LA LAITERIE
26.04 : BRUXELLES – LES NUITS BOTANIQUE
Toutes les dates @facebook.com/pg/worakls/events