Recette : Cocktail El Diablo

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé 11% crème de cassis 22% tequila 66% ginger ale. Mettre de la glace dans un shaker. Verser les ingrédients. Bien frapper. Servir dans un verre. Compléter avec du ginger ale.

Les 22 bonnes manières indispensables à table

Ne jamais faire quoi que ce soit avant que votre hôte ne le fasse en premier. Utilisez d’abord les couverts les plus éloignés de votre assiette. Puis, au fil des plats, revenez progressivement vers le bord de l’assiette. Si vous n’êtes pas sur de ce qu’il faut faire, attendez un peu et regardez ce que fait votre voisin. Si vous ne trouvez pas d’indices, simulez au mieux. Ne mettez pas votre cuillère à soupe entièrement dans votre bouche. Si vous ne savez pas si vous avez le droit ou non d’utiliser vos doigts pour manger quelque chose, alors utiliser vos couverts. Vous ne devez jamais remettre vos couverts sur la nappe après les avoir utilisés. Si vous renversez quelque chose sur la table, n’en faites pas toute une histoire.  Le sel et le poivre doivent être servis ensemble. N’oubliez pas de dire « S’il vous plaît » ou « Merci. Ne mettez pas de glace dans votre vin. Si vous voulez plus de vin, finissez votre verre. Au contraire, si vous n’en voulez plus, laissez-y un peu de vin. Quand vous avez fini de manger, posez vos couverts ensemble et verticalement sur votre assiette. Vos deux mains doivent être au-dessus de la table au même moment.

Glamorama

Victor Ward est dé-bor-dé par les préparatifs de lancement d’une boîte de nuit. Pedro (Almodovar), Naomi Campbell viendront mais ni Giorgio Armani, ni Pamela Anderson, ni… ne pourront, malheureusement. Victor, mannequin pas encore vedette, est un type insupportable, arrogant, qui parle trop, fume trop, baise trop (notamment la petite amie de son associé et la maîtresse du même associé), et qui rêve d’obtenir un petit rôle dans Flightliners III… Mais l’inauguration de sa boîte est un fiasco, ses petites amies manquent s’entre-tuer, son père, sénateur, menace de lui couper les vivres s’il continue à poser en slip pour Calvin Klein et un type qui lui ressemble n’arrête pas d’aller à sa place assister aux défilés… Bref, la vie devient impossible ! On lui propose alors un pont d’or pour aller retrouver en Europe une des ses anciennes camarades de collège, top model…, qui se révèle une sanguinaire terroriste. C’est là que le destin de Victor bascule. Mais au fait, qui sont ces équipes de cinéma qui font un reportage sur sa vie et celles des top models, et quelle est cette équipe de cinéma qui filme la première équipe de cinéma ? et quel film est dans le film ?… De Bret Easton Ellis Source : http://www.amazon.fr

Salade Antillaise

300g de riz blanc 2 échalotes 2 citrons 1 ananas victoria 1 petite noix de coco 300g de haricots plats 1 petit piment Antillais 30g de beurre 4 cuil.à soupe de rhum blanc 5 cuil. à soupe d’huile d’olive sel Peler l’ananas et coupez-le en tranches puis en morceaux. Hacher les échalotes, casser la noix de coco, vider l’eau, détacher la chair. Prélever la moitiée avec un économe. Mixer le reste et faites-le fondre 3mn dans une poêle avec le beurre. Verser le riz, plus 1 fois et demie son volume d’eau chaude, cuire environ 20mn. Faire chauffer 1 casserole d’eau bouillante salée, cuire les haricots plats équeutés, égoutter et couper en tronçons. 2pépiner le piment, le couper en rondelles, l’ébouillanter 1mn. L’égoutter. Mélanger le jus de citron, le sel, le rhum, l’huile, le piment. Mettre ensemble le riz, l’ananas, les copeaux de noix de coco, les haricots plat, le piment dans un saladier. Servez la sauce à part. www.leprodelacuisine.fr

Recette du Canard de pékin aux crêpes

Pour le canard sel 1 canard pret a cuire (env. 1,8 kg) Pour la marinade : 3 c.s. de miel env. 150 ml de sherry 1 c.s. de sel 1/2 c.c. de gingembre rape Pour les crepes : 300 g de farine de ble sel 250 ml d’eau bouillante 2 c.s. d’huile de sesame Autres ingredients : sauces de soja Hoisin et aux prunes chutneys prets a l’emploi oignons nouveaux et tranches de concombres selon convenance Porter une casserole d’eau salee a ebullition, y plonger le canard et le laisser quelques secondes. Le retirer ensuite, l’eponger et le suspendre pendant une nuit pour qu’il seche. Le lendemain matin, melanger le miel, le sherry, le sel et le gingembre. Enduire de toutes parts le canard avec la marinade. Laisser macerer pendant au moins 5 heures. Prechauffer le four a 200°C. Placer la plaque au milieu du four. Laisser cuire le canard pendant 1 h 30 – 2 h. Le piquer regulierement et arroser avec le liquide de cuisson. Au besoin, ajouter un peu d’eau. Pendant ce temps, tamiser la farine, ajouter de l’eau et du sel, puis la travailler jusqu’d obtention d’une pate elastique. La petrir pendant 10 minutes, Former une boule et la laisser reposer pendant au moins 30 minutes. Petrir a nouveau la pate, former un rouleau de 5 cm de diametre et le couper en tranches d’l cm d’epaissseur. Enduire une tranche de pate d’huile de sesame et la recouvrir d’une autre tranche. Etendre au rouleau cette double tranche a partir du milieu jusqu’d ce qu’elle ait un diametre de 15cm. Faire chauffer une poele et y faire dorer les tranches de pate des deux cotes tout en remuant regulierement la poele. Quand apparaissent des taches dorees sur les crepes, c’est que la cuisson est terminee. Enlever la peau du canard et la couper en losanges. Decouper ensuite la viande en morceaux. Servir tout ensemble: les crepes, les sauces, les chutneys et les legumes. premiumorange.com

Exclu: Dur comme la pierre épisode 1

Je déteste les livres qui commencent par une introduction fastidieuse. Prolégomènes insipides destinées à mettre en place le carcans étriqué dans lequel va se dérouler la basique intrigue. Lente mise en place de personnages, pseudo suspens, rarement vus tels que l’auteur l’aurait voulu, soit parce qu’il ne les décrit pas comme il le faut (incompétent), soit parce que le lecteur est trop limité pour y arriver !

Pour ma part, c’est très clair, je vais vous parler d’un salaud de la pire espèce et comme tous les salauds il va arriver à vous séduire et finalement c’est moi que vous condamnerez. Mais ce n’est pas grave, ne prenez pas cet air courroucé, je vous vois froncer les sourcils et vous dire « encore un qui se victimise, le seul coupable est toujours soi même. » et autres arguments psychologiquement admis et encouragés par les magazines féminins.

De toute façon à travers ce prisme du miroir qu’est l’autre je solde inévitablement mes comptes avec une partie de moi que je rejette.

J’hésite à appeler cet homme, car il s’agit d’un homme, Alfred ou Léon, Léon c’est rond tandis qu’Alfred ça fait majordome. Laissez moi réfléchir… Va pour Alfred ça correspond mieux à son obséquiosité.

Ce cher Alfred est né au moment où il le fallait, durant la 2eme guerre mondiale. À croire que cette inadmissible violence s’est naturellement instillée dans son sang. Dans une famille bourgeoise catholique mais pas trop il a commencé par annexer le lait rationné destiné à son petit frère. Angoissant le bougre déjà bien replet pour son âge.

Alfred
Qui es-tu petit morveux pour revendiquer une place ? Il n’y a que moi qui compte, jamais les parents ne te préfèreront, j’ai 3 ans et toi tu viens juste de naître, je pourrais très bien t’étouffer avec un coussin ou te faire tomber du berceau face contre terre… J’ai 3 ans et je ne formalise pas mais je conceptualise ces idées. Je n’éprouve pas de sentiments à l’égard de ce minable petit être, ni des Géniteurs, ils sont là pour me nourrir et me servir. Ils sont fonctionnels. Je réalise que lorsque je fais des sourires ou je suis amical avec le morveux ils manifestent leur contentement. Quand ils me regardent je caresse la joue du niard et dès qu’ils se retournent je lui fais une petite pichenette. Je suis le plus fort. Je suis le meilleur. Il n’y a que moi qui compte et le monde tournera toujours ainsi.

Le temps passe et Alfred grandit, son système de pensées n’a pas évolué mais s’est affiné, les coupables de sa naissance ont plus de moyens financier. Le père est un homme d’affaire important et la mère une femme de maison on ne peut plus respectable. Alfred est destiné vivre comme un Prince.

À Suivre

Defiance: MathGoth expose le graffeur new yorkais Cope2

Proposée par la galerie MathGoth, l’exposition Defiance réunira du 18 février au 1er mars prochain des œuvres d’une des légendes du graffiti international dont le travail, sans s’assagir, conjugue désormais les techniques du graffiti avec la dextérité du pinceau ou des collages.

Ses nouvelles toiles côtoieront des plaques originales du métro newyorkais tagguées et graffées, symbolisant l’univers de Cope2 : des évolutions certes, mais sans aucun reniement.

Mettant à profit la venue de l’artiste en France, la maison de vente Artcurial l’a invité pour une performance publique où il réalisera -dans l’immeuble du Rond-Point des Champs-Élysées une grande toile le samedi 11 février 2012, à la veille de la traditionnelle vente d’art urbain prévue le 15 février sous le marteau d’Arnaud Oliveux.

DEFIANCE Galerie MathGoth 103, rue Saint-Maur – 75011 Paris Du 18 février au 1er mars 2012

Donc je suis ?

Merci à tous et à toutes de me reconnaître une capacité d’écriture, c’est agréable et flatteur d’être encouragé dans cette voie qui m’est chère. Je dois confesser que la plupart du temps mes récits surgissent du tréfonds de mon « subconscient » et ne prennent forme qu’à l’ultime moment de la rédaction. C’est pourquoi le plus souvent le tout repose sur le rien et que la forme est un écrin involontaire du fond. Imaginer c’est créer, créer c’est rêver, exister c’est créer la vie au présent tout en s’appuyant sur des faits passés et à venir. Le lien entre le tout est l’être, façonné par le temps et l’expérience, l’intuition 6 ème sens éthéré complète ce schéma pour le rapprocher de sa forme irréductible d’Homme. Donc je suis. Moralité, je ne suis pas limitable ou circonscrit à un simple rôle, une simple tâche, une enveloppe. Je suis 1, je suis le tout, je suis la vie, je est un soi à moi et à vous, si vous le voulez en âme, corps et esprit. Nous sommes ? Alors imaginons, créons, vivons, existons, sans limites et sans carcans. Pour qu’aujourd’hui soit tous les jours le 1er jour.

Champagne et Parties Fines

Outre le fait que cela soit le titre du premier film de Gérard KiKoïne (qui réalise maintenant des infomerciales pour tf1…) et qui lança la carrière de Brigitte Lahaie, la partie fine est une activité sexuelle collective. L’amour à plusieurs permet de démultiplier les combinaisons possibles, et de jouer beaucoup plus intensément avec la simultanéité d’activités passives et actives. Pendant plusieurs siècles, les vases grecs (qui sont des récipients pour boire) vont jouer avec des représentations des différents cas de figure. Déjà un simple groupe de deux hommes et d’une seule femme offre un grand nombre de variantes. Par exemple, la femme est à quatre pattes ; un homme, derrière elle, appuyé sur ses reins, la pénètre ; elle a dans la bouche le sexe de l’autre homme, penché sur elle, lui caressant les épaules. Mais les trois peuvent être debout ; la femme, pliée en avant, est pénétrée par l’un tandis qu’elle se retient aux hanches de celui dont elle goûte le sexe. Ou encore : la femme est allongée à plat ventre sur une table qui met son vagin et sa bouche à la bonne hauteur pour les deux hommes qui la pénètrent de leur sexe. Quant au champagne, il rafraichit et érotise les sens…

Ouvre les yeux

Passionnant polar fantastique, Ouvre les yeux impose son metteur en scène Alejandro Amenabar comme l’un des grands espoirs du cinéma espagnol. Son premier film, Tesis, qui se déroulait dans le milieu des snuff-movies, avait déjà fortement impressionné. Sur un scénario diabolique, il prend un malin plaisir à détourner toutes les images : Qui est qui ? Où est le rêve ? Où la réalité ? Dans un univers paranoïaque, il déroule avec brio une intrigue labyrinthique à souhait. On a beau rester les yeux ouverts, force est de reconnaître qu’on prend une jubilation certaine à se laisser manipuler ! Désarçonné, stupéfait, on reste ébloui par la maîtrise dont témoigne son second film. Lorgnant du côté de David Lynch pour l’univers visuel de Matrix, et Dark City pour le scénario machiavélique, c’est in fine un autre grand film onirique sur la jalousie que rappelle ce fabuleux thriller : Eyes Wide Shut. Interprété remarquablement par la nouvelle génération de comédiens ibériques – Penelope Cruz, Eduardo Noriega, ainsi qu’une apparition inattendue mais cruciale de Gérard Barray –, ce film-puzzle ébouriffant mérite largement de figurer parmi l’un des sommets du cinéma fantastique de ces vingt dernières années. –Sylvain Lefort http://www.amazon.fr

Chronique du con ordinaire: Tout pour ma gueule

L’empereur, le pape, le roi, le winner absolu, celui qui invoque en permanence les mots droits et principe, qui n’hésite jamais à critiquer ceux qui agissent comme lui sans jamais se remettre en question ni voir de similitudes. Il parle mal, s’impose, néglige les règles élémentaires du savoir-vivre parce qu’il n’a qu’une pensée en tête : Lui. Prioritaire en tout, il ne partage rien ou si peu. Son avis est d’autorité même lorsqu’il se lance dans les discours les plus abracadabrantesques. Persuadé d’être l’ultime référence et que tout lui est dû, il répand autour de lui une odeur nauséabonde, sauf auprès de certains happés par son immense égo et sa fol ambition de convaincre qu’il est toujours essentiel en tout. Cet artiste du moi je est le meilleur ambassadeur de notre époque, le porte drapeau de la connerie ambiante et de la médiocrité sociétale. Au fait, tu vois de qui je veux parler ?

Ajiaco

1 kg de poulet en morceaux 1 bouquet garni 2 os de veau coupés en 2 1 cuillère à café de vinaigre de xérès 3 tubercules de manioc ou pommes de terre ½ cuillère à café de cumin en poudre 1 banane à cuire. Sel 1 épi de maïs ou une petite boite. Poivre 1 oignon 1 piment fort 1 clou de girofle Faire chauffer 1,5 litre d’eau dans un faitout. Plonger les morceaux de poulet salés et poivrés dans l’eau bouillante. Ajouter les os de veau. Laisser cuire à petit bouillon 10 minutes. Remuer de temps à autres. Couper le piment, enlevez les graines et les filaments au couteau. Peler l’oignon et le piquer avec le clou de girofle. Mettre l’oignon dans le faitout. Ajouter alors le bouquet garni, le cumin, le sel et le poivre. Laisser mijoter 20 minutes. Eplucher et couper le manioc (ou les pommes de terre si vous n’avez pas de manioc) en dés. Mettre les tubercules 25 minutes dans de l’eau salée en ébullition. Retirer les morceaux de poulet du faitout pour les désosser et leur enlever la peau. Filtrer le bouillon.  Réserver l’ensemble dans le faitout et reportez au feu pendant encore 10 minutes. Couper la banane et l’épis de maïs en gros morceaux (si vous n’avez pas de maïs en épi, une petite boite de mais pourra faire l’affaire. Mettre la banane et le maïs dans le faitout avec le manioc. Versez le vinaigre et poursuivez la cuisson 5 mn encore. Servir chaud. Plat typique colombien. Source : americas-fr.com

Lauréats du Mobile Film Festival 2012

Cette année, le Prix du Meilleur Film Mobile est attribué à «  De Palier » , de Benjamin Busnel. Un film plein d’humour et de fraîcheur pour tous ceux qui fantasment d’une rencontre dans l’ascenseur !



Prix du Public : «  Transformation ! » de Sylvain Certain
http://fr.mobilefilmfestival.com/videos/transformation.html?var_mode=calcul
Mention Spéciale du Jury : «  Cut » , d’Arnaud Prochasson
http://fr.mobilefilmfestival.com/videos/cut.html?var_mode=calcul
Prix de la Meilleure Animation : «  Youthful eyes »  de David Martins Da Silva
http://fr.mobilefilmfestival.com/videos/youthful-eyes.html?var_mode=calcul
Prix du Meilleur Acteur : Jérôme Daran dans «  Joyeux anniversaire »
http://fr.mobilefilmfestival.com/videos/joyeux-anniversaire.html?var_mode=calcul
Prix de la Meilleure Actrice : Juliette Montel dans « Casting »
http://fr.mobilefilmfestival.com/videos/casting-1428.html?var_mode=calcul
et Sabine Moindrot dans «  De Palier »
http://fr.mobilefilmfestival.com/videos/de-palier.html?var_mode=calcul
Prix du Meilleur Scénario : «  Les Pieds sur Terre »  de Benjamin Clavel
http://fr.mobilefilmfestival.com/videos/les-pieds-sur-terre.html?var_mode=calcul

Marni at H&M Directed by Sofia Coppola

Set in Marrakesh, Morocco, Academy Award and Golden Globe winner Sofia Coppola has directed this commercial for the Marni at H&M collection.  Director of Photography: Harris Savides Stylists: Lucinda Chambers and Michelle Rafferty Models/actors: Imogen Poots and Sam Hayes. Antonine Peduzzi, Nicolas Peduzzi, Annabelle Dexter Jones, Charlie Klarsfeld , Liu Wen, Jonatan Frenck and Langley Fox Featured song: « Avalon », by Bryan Ferry. Marni at H&M is available in selected stores and online on March 8th, except in Japan and Singapore where the collection launch is scheduled for March 10th, 2012.

KILLTRONIK

La pop de KILLTRONIK a le corps électronique mais son cœur est organique, battant au rythme de mélodies et gimmicks imparables. Sur scène, c’est une autre histoire qui s’écrit depuis trois ans de tournées en France, et notamment à l’Olympia pour une première partie très remarquée de Pony Pony Run Run. Une histoire plus collective, riche en surprises imaginées par un musicien aux idées longue…

Walking on Mars by Killtronik