Kun est un petit garçon à l’enfance heureuse jusqu’à l’arrivée de Miraï, sa petite sœur. Jaloux de ce bébé qui monopolise l’attention de ses parents, il se replie peu à peu sur lui-même. Au fond de son jardin, où il se réfugie souvent, se trouve un arbre généalo-ma-gique. Soudain, Kun est propulsé dans un monde fantastique où vont se mêler passé et futur. Il rencontrera tour à tour ses proches à divers âges de leur vie : sa mère petite fille, son arrière grand-père dans sa trépidante jeunesse et sa petite sœur adolescente ! A travers ces aventures, Kun va découvrir sa propre histoire.
Entre Player One et Stranger Things, le retro gaming et en particulier l’Heroic-Fantasy version arcade ou vieilles machines, a le vent en poupe ! l’occasion de se replonger, avec nostalgie, dans quelques classiques qui marquèrent les esprits et les portes monnaies !
Ultima VI : Je déteste le terme galvaudé de « madeleine de Proust », mais je dois avouer que ce jeu sorti en 1990 conserve une place particulière dans mon coeur de « gamer » old school.
Gauntlet (1985) n’est pas vraiment un jeu de réflexion, c’est un hack n’ slash dont la particularité est d’être jouable à 4 simultanément en arcade, ultra addictif et défoulant à souhait !
Dragon’s Lair fut une grande révolution en 1983 car sorti en arcade sur Laser Disc, des graphismes somptueux digne d’un dessin animé mais un niveau de difficulté beaucoup trop relevé pour la majorité des joueurs de l’époque`;
Ghost n’ Goblins (1985), Un must play qui reste pour beaucoup la référence du genre (à égalité avec sa suite tout aussi mythique Ghouls n’ Ghost)
L’icône Iggy Pop et la coqueluche de la mode Rock n’ Roll John Varvatos présenteront en Mars 2019 sur la chaine Epix une Docusérie consacrée au punk avec notamment les témoignages de John Lydon, Marky Ramone, Wayne Kramer, Jello Biafra, Debbie Harry mais également Dave Grohl, Flea, Duff McKagan. Danny Fields, le boss d’Elektra Records, le journaliste Legs McNeil, la réalisatrice de Wayne’s World, Pénélope Spheeris. Celles et ceux qui ont fait et entretiennent la légende du Punk.
Itinéraire d’une véritable enfant du rock, l’autobiographie de Viv Albertine revient sur sa carrière de guitariste dans l’un des tout premiers groupes de punk exclusivement féminin Outre-manche : The Slits.
Évocation candide et franche d’un mouvement musical et social qui allait changer l’histoire de la musique, De fringues, de musique et de mecs regorge d’anecdotes sur les Clash, les Sex Pistols, Vivienne Westwood, Johnny Thunders et tant d’autres. Mais ce serait minimiser ce livre féroce et attachant que de le limiter à un énième document rock, car le propos de Viv Albertine va bien plus loin.
En retraçant sans tabou ni biais son parcours de gamine de la classe moyenne anglaise des années 70 fascinée par la scène musicale et bien décidée à y faire entrer les filles, puis de jeune femme embarquée dans un mouvement aux excès et au nihilisme affichés, et enfin de femme confrontée au grand vide post-punk qui tente de survivre aux excès, à la maladie, et à l’ennui d’une vie rangée, Viv Albertine livre un texte brûlant d’honnêteté et d’engagement. Choquant parfois, brutalement émouvant par moments et toujours drôle, ce livre est une ode aux femmes, un texte féministe qui regarde en face ce qu’il en a coûté, et ce qu’il en coûte encore, d’être une femme, d’être irrévérencieuse, et d’être têtue au point de croire à son destin.
Avec Netflix tout est possible, même me faire apprécier les séries allemandes et pourtant la réticence était grande, la faute à l’inspecteur Derrick, Schimanski ou encore la clinique de la forêt noire ! Après Dark de haute volée, le Parfum, librement inspiré du best-seller de Patrick Süskind, se démarque grâce à une ambiance capiteuse, oppressante, matinée de stupre et de sang. Le sujet est maitrisé, le suspense, bien entretenu, favorise le binge-watching. A regarder sans hésiter.
Six adolescents pensionnaires se lient d’amitié autour d’une passion commune pour le parfum. Lorsque, des années plus tard, l’un d’entre eux est violemment assassiné, de troublants secrets sont mis à jour tandis que la police enquête sur chacun des membres du groupe. Le parfum, disponible sur Netflix depuis le 21 décembre.
Avec Friederike Becht, Wotan Wilke Möhring, Jürgen Maurer…
La Switch s’enorgueillira dès le 11 Janvier prochain d’un nouveau portage de la WII U très attendu par les fans, New Super Mario Bros en version Deluxe, avec l’ensemble des niveaux de New Super Mario Bros et New Super Luigi. U. A noter, Nabbit et Toadette seront également de la partie !
La vie est devenue un numéro d’équilibriste pour Adonis Creed. Entre ses obligations personnelles et son entraînement pour son prochain grand match, il est à la croisée des chemins. Et l’enjeu du combat est d’autant plus élevé que son rival est lié au passé de sa famille. Mais il peut compter sur la présence de Rocky Balboa à ses côtés : avec lui, il comprendra ce qui vaut la peine de se battre et découvrira qu’il n’y a rien de plus important que les valeurs familiales.
Date de sortie 9 janvier 2019
De Steven Caple Jr. avec Michael B. Jordan, Sylvester Stallone, Tessa Thompson…
« J’étais devenu un fantôme. Une sorte de mort-vivant. J’ai trouvé un ultime sursaut d’énergie pour avaler une poignée de tranquillisants avec un fond de vodka. Je me suis assis dans mon fauteuil club et j’ai regardé une série sur HBO. Je me suis réveillé en pleine nuit. Non. Le cauchemar était bien réel. Joséphine n’était plus amoureuse de moi. »
Si l’amour est la plus forte, la plus dangereuse et la plus répandue des addictions, voici le roman de l’impossible désintoxication, le roman du chagrin d’amour.
DATE DE PARUTION : 2019-01-10,
NOMBRES DE PAGES : 192,
EAN-ISBN : 979-10-307-0209-5,
À PROPOS DE L’AUTEUR
Nicolas Rey est lauréat du Prix de Flore. Il a publié six romans au Diable vauvert : Treize minutes, Mémoire courte, Prix de Flore 2000, Un début prometteur, Courir à trente ans, Un léger passage à vide, L’amour est déclaré, Les enfants qui mentent n’iront pas au paradis, un recueil de chroniques, La Beauté du geste, ainsi que le scénario La Femme de Rio, César du court-métrage 2015. Longtemps chroniqueur sur France Inter dans l’émission de Pascale Clark, il a créé avec Mathieu Saïkaly le duo les Garçons Manqués qui se produit depuis 2015 à la Maison de la Poésie à Paris et dans toute la France en 2018 pour un nouveau spectacle. Son dernier roman Dos au mur paraît en 2018 au Diable vauvert.
Le nom de Lucille Bogan est longtemps resté absent des études consacrées au blues ou à la culture afro-américaine, et la chanteuses reste encore grandement sous-estimée. Cela tient, sans doute, à trois facteurs. D’abord la biographie de Lucille Bogan reste extrêmement lacunaire, son propre fils semble peu au fait de la vie de sa mère ; ensuite, contrairement à ses consoeurs, nous n’avons pas de traces matérielles concernant ses éventuelles prestations publiques, manifestement la chanteuse n’appréciait guère la scène ; enfin la crudité sans équivoque de ses blues a longtemps effarouché l’industrie culturelle : jusqu’à la fin des années 1990, seule une poignée d’initiés avait accès à son oeuvre.
Les choses ont changé depuis qu’avec les rappeurs les « explicit lyrics » sont devenus à la mode, à ce titre l’oeuvre de Lucille Bogan constitue un chaînon manquant entre le blues et le rap. En effet, les paroles de ses blues dévoilent une obscénité souterraine à l’oeuvre dans la culture afro-américaine que le rap a désormais placée sur le devant de la scène. Mais, dans leur style formulaire qui puise aux racines de la tradition, et par-delà le côté salace de leurs propos, les blues de Lucille Bogan, toujours finement observés, proposent un témoignage saisissant sur la vie quotidienne des afro-américain(e)s (en particulier à Birmingham, véritable poumon industriel de l’Alabama), sur la grande dépression de 1929, sur les chemins de fer américains ou sur le trafic et la consommation d’alcool à l’heure de la prohibition etc. Mais c’est sans doute sur la condition et sur les aspirations des femmes issues du prolétariat Noir que Lucille Bogan se montre la plus percutante. Ses revendications féministes diffèrent sensiblement des mots d’ordre des très bourgeoises et très moralisantes ligues féministes Noires comme la NACW.
L’oeuvre de Lucille Bogan nous fait découvrir un féminisme sans concession à l’idéologie dominante. Du fait d’une documentation biographique quasi inexistante, seule une étude minutieuse des quelque 67 morceaux enregistrés qui subsistent (Lucille Bogan en a sans doute gravé plus d’une centaine) aura permis de cerner l’art de la chanteuse. Ce n’est donc pas la vie de l’artiste qui éclaire son oeuvre, mais l’oeuvre qui s’élucide par elle-même. Cette démarche semble d’autant plus appropriée que, contrairement aux divas du blues classique, Lucille Bogan est l’auteure de quasiment tous les titres qu’elle a enregistrés, passant, aux dires de son fils, beaucoup de temps à les peaufiner, chez elle, à Birmingham, avant chaque séance dans les studios des compagnies du Nord.
Pour la Saint-Sylvestre, le 5 étoiles propose à un couple de vivre une expérience unique dans sa plus grande suite, avec dîner privatif signé Gordon Ramsay sur son immense terrasse surplombant la ville… Un Réveillon dans les étoiles, la nuit du 31 décembre 2018 dans la Suite royale, le dîner de Réveillon pour deux signé Gordon Ramsay dans une bulle transparente sur la terrasse extérieure de la suite, le petit déjeuner à la brasserie Le Bordeaux et l’accès libre au spa NUXE Les Bains de Léa. 5.000 euros pour deux Prépaiement exigé, réservation non modifiable et non remboursable. Offre soumise à disponibilité et conditions. Possibilité de préparer la bulle pour y passer la nuit après le dîner pour un supplément de 500 euros.
Informations et réservations : +33 (0)5 57 30 43 96 ou reservations.bordeaux@ihg.com InterContinental Bordeaux – Le Grand Hôtel
2-5 place de la Comédie
33 000 Bordeaux – France
Tél. : +33 (0)5 57 30 44 44 www.bordeaux.intercontinental.com
C’est l’histoire d’une vengeance. L’histoire d’une fille qui affronte une bête. Son proxénète, son violeur. Son père. Drogues, meurtres, esclaves sexuelles, pédophilie. Au cour d’un village qui borde l’autoroute, entre marécages lugubres et forêts profondes, un monstre se déploie. Depuis la Souille, son repère situé au cour de la forêt, l’Ours dirige son clan d’une poigne de fer et repousse chaque jour les frontières de son empire criminel. Sa fille Kimy n’a qu’une obsession : attendre froidement l’heure de la vengeance. Car si personne ne se souvient de son visage, nul n’oubliera sa colère. Dans un thriller à la densité paroxystique, Köping prend le lecteur à la gorge et connecte, page après page, les fils d’une bombe à retardement. Une onde de choc étourdissante qui fait figure d’événement dans la scène littéraire française.
Ils reprennent en choeur : « Joyeux anniversaire, salope ! Joyeux anniversaire, salope ! » Ils l’ont encerclée, hilares, à poil. Ils sont tous là, son père, son oncle, Simplet, Waldberg, Delveau, Beloncle. Elle est à quatre pattes au milieu de la meute, fragile et nue, déchirée de sanglots. Son père la maintient par les cheveux. Elle s’appelle Kimy. Ce soir, on fête ses quinze ans.
Mattias Köping vit en Normandie. ll partage son temps entre deux grandes passions, les arts martiaux et la littérature.
L’année 2019 sera l’année des X-Men à en croire le calendrier. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, Les X-Men (ce qu’il en reste) vont enfin retrouver leur leader Cyclope, fraichement ressuscité et celui-ci manifestement ne sera pas là pour plaisanter… On devrait en savoir plus dès le mois de Janvier avec le numéro spécial « Uncanny X-Men Annual #1 »
Le personnage le plus charismatique et torturé de l’univers Marvel a dressé une liste « de choses à faire », suite aux événements tragiques de l’Arc Disassembled (reveal en Février)…
Pour cela, Slim s’appuiera (en Mars) sur une équipe solide constituée de Serval (Wolverine), Magik, Hope Summers, Félina, Havok, Mirage, Le Hurleur, Karma et de l’Homme-Multiple. De quoi réjouir ou inquiéter les fans (que sont devenus les autres ?), en attendant les adaptations cinématographiques de la saga du Phénix Noir (Juin) et des Nouveaux Mutants (août). Espérons que tout cela sera à a hauteur des espérances !
This march, the world will meet the UNCANNY X-MEN.
Cyclops. Wolverine. Mirage. Magik. Havok. Multiple Man. Karma. Banshee. Wolfsbane. Hope. pic.twitter.com/fayA8WZbMN
Mes nouveaux chouchous des Editions Goutte d’Or ont dégainé une nouvelle balle après Paname Underground de Johann Zarca (Prix de Flore 2017) et avant Success Story.
Ce livre est un polar, et pourtant tout est vrai. À Paris, en 2016, un dentiste, une étudiante et un informaticien sont morts d’une overdose. Le premier après avoir consommé de la cocaïne, la deuxième de la MDMA et le troisième une drogue aphrodisiaque prisée de certains milieux gays. Le groupe Surdoses, unité spéciale de la brigade des stupéfiants, enquête sur les trois affaires. À partir d’indices récoltés sur les corps et les téléphones des défunts, les policiers remontent jusqu’à un “cocaïne call-center” de la capitale, un bar à chicha de Sevran et un site internet fantôme d’Amsterdam. Après un an d’immersion au sein de l’unité Surdoses, le journaliste Alexandre Kauffmann nous embarque pour une plongée en apnée dans l’intimité des victimes, des enquêteurs et des dealers…
Le terrible Begbie, l’un des quatre antihéros de Trainspotting, mène enfin une vie tranquille sous le nom de Jim Francis. Peintre et sculpteur à succès, il vit confortablement avec sa femme et leurs deux filles dans une station balnéaire prospère de Californie. Pour certains il est un escroc, pour d’autres un visionnaire. Lorsqu’après le meurtre de son fils qu’il connaissait à peine, il regagne Édimbourg et retrouve ses amis, ils attendent de lui une sanglante vengeance. Pendant ce temps, de l’autre côté de l’Atlantique, sa femme et ses filles découvrent un passé sordide qui ne semble pas qu’un lointain souvenir.
Roman élégant, électrisant, ultraviolent mais curieusement rédempteur, L’Artiste au couteau développe l’univers de Trainspotting, avec le retour d’un des personnages contemporains les plus infâmes et attachants de la littérature, l’incendiaire Francis Begbie.
Elégant mélange entre design scandinave, horlogerie traditionnelle et technologies intelligentes, les modèles Kronaby sont à la fois beaux et utiles car ils sont conçus sans compromis. Associées à un smartphone, les montres Kronaby proposent une gamme unique de fonctions telles que le filtrage des notifications, le réglage automatique du fuseau horaire, l’alarme silencieuse, le contrôle de la musique ou de l’appareil photo, un minuteur et même une fonction favorisant l’activité physique. Toutes ces fonctions ont été sélectionnées et conçues afin que l’utilisateur reste connecté, mais ne soit pas distrait par toutes les possibilités existantes… En découvrir plus : www.kronaby.com
Les meilleures marques mondiales de tourisme de ski viennent d’être recompensées lors de la cérémonie des Travel Ski Awards qui s’est tenue à Kitzbühel, en Autriche. Dans la catégorie « Nouveaux Hôtels », le luxe discret ainsi que son confort “comme à la maison” ont mené le FAHRENHEIT SEVEN COURCHEVEL en haut du podium. Il remporte le prix du MEILLEUR NOUVEAU SKI HÔTEL AU MONDE tandis que le FAHRENHEIT SEVEN VAL THORENS remporte le prix du MEILLEUR SKI HÔTEL DE FRANCE, après avoir été élu MEILLEUR NOUVEAU SKI HÔTEL AU MONDE en 2017.
Skier à Courchevel, dans une ambiance de luxe décontractée, sans se ruiner, c’est la nouvelle tendance. Le Fahrenheit Seven Courchevel s’amuse à bousculer les codes de l’hôtellerie traditionnelle. Convivialité, générosité et confort sans modération, un emplacement skis aux pieds exceptionnels, une touche d’anticonformise, une déco recherchée mais non-ostentatoire avec un authentique clin d’oeil retro en hommage à l’histoire et l’ADN de la station, une cuisine directe, sans chichi, qui fait la part belle aux produits locaux et une équipe impliquée, attentive et bienveillante, voici les points forts qui ont été décisifs dans l’élection du Fahrenheit Seven Courchevel comme Meilleur Ski Hôtel du monde.
A la Cheminée, on s’y installe pour une pause cocooning, un après-ski aux saveurs de crêpes et chocolat chaud, un apéritif ou digestif où tout simplement pour boire un thé et bouquiner au coin du feu… La Rôtisserie est un restaurant d’altitude ouvert à tous sur le front de neige de Courchevel 1650. Du petit déjeuner au dîner, la cuisine bistronomique du chef JérômeGodon propulse les produits frais tout schuss dans les assiettes. Au menu : fruits et fromages de Savoie au lait cru, viandes du monde cuites au feu de bois, poissons nacrés et saveurs asiatiques, buffet de desserts. La carte des vins mise sur les meilleurs flocons d’ici et d’ailleurs. Le Zinc est le bar fooding qui va faire monter la température à Courchevel. Dans une ambiance un brin intimiste, on partage une planche, on fait honneur aux 145 références de vins et grands crus, vieux rhums et champagne, on refait le monde entre amis. Les rencontres se vivent, des amitiés se nouent et le plaisir d’être ensemble s’étire à l’infini. Bar festif à la programmation variée, le Zinc c’est 3 concerts ou soirées musicales par semaine pour prolonger le plaisir de la nuit à l’infini.
Le Fahrenheit Seven offre 65 chambres et duplex de 20 à 45m² et des pleines vues sur les cieux enneigés. Design vintage, atmosphère black & white, pour des chambres aux accents seventies et à l’ambiance délicieusement rétro. Etagères coulissantes, tables de chevet acier, parures de lit aux motifs géométriques, le confort cosy se prolonge dans les salles de bains au carrelage en marbre, meubles et robinetterie noirs. Dormir au plus près des étoiles, une montagne de bonheur…
Starr a seize ans, elle est noire et vit dans un quartier difficile, rythmé par les guerres entre gangs, la drogue et les descentes de police. Tous les jours, elle rejoint son lycée blanc situé dans une banlieue chic ; tous les jours, elle fait le grand écart entre ses deux vies, ses deux mondes.Mais tout vole en éclats le soir où son ami d’enfance Khalil est tué. Sous ses yeux, de trois balles dans le dos. Par un policier trop nerveux. Starr est la seule témoin. Et tandis que son quartier s’embrase, tandis que la police cherche à enterrer l’affaire, tandis que les gangs font pression sur elle pour qu’elle se taise, Starr va apprendre à surmonter son deuil et sa colère ; et à redresser la tête.
Comme un écho résonne les textes et les images de This is America de Childish Gambino – This Is America
Comme un écho résonne également cette citation de Malcom X : “Il est temps d’outrepasser nos différences et réaliser qu’il est dans notre intérêt de voir que nous avons les mêmes problèmes.”
Comme un symbole, cette phrase d’apparence anodine ainsi extraite de son contexte, pensée, réfléchie et écrite par la géniale Angie Thomas et remarquablement traduite par Nathalie Bru : « Les règles viennent de voler en éclat »
The Hate U Give ne se limite pas au simple récit d’un fait divers malheureusement maintes fois trop entendu, Angie Thomas décrit une réalité trop souvent galvaudée, réduite à de simples clichés. L’écriture est souple, sincère, authentique. « Je lui prends la joue et laisse mes lèvres refaire connaissance avec les siennes, douces et parfaites. Elles ont le goût de cocktail de fruit ». Une intimité parfois violente, parfois émouvante, Le racisme, les armes, la religion, la famille, les gangs, le travail, les rêves et les cauchemars, l’espérance… Evidemment je recommande ce livre bientôt adapté en film, Starr la bien nommée mérite bien d’être sous le feu des projecteurs.
L’auteur : Angie Thomas est née et vit à Jackson, Mississipi. Rappeuse quand elle était adolescente, elle est désormais diplômée en Écriture créative. The Hate U Give est son premier roman. Plus de 300 000 ex vendus aux États-Unis en 8 mois, N°1 sur la liste du New York Times – YA pendant 32 semaines, et des droits déjà vendus dans 18 pays. Nathan Collection : Roman Grand format
Un observatoire astronomique capte une émission étrange venue de l’espace sur la fréquence de 1,42 GHz. Un signe de vie. Le gouvernement américain et l’ONU en sont immédiatement informés. Un objet se dirige vers la terre. La NASA prépare d’urgence une mission spéciale internationale pour aller à la rencontre du vaisseau inconnu. Tomás Noronha, le célèbre cryptanalyste, est recruté pour faire partie de l’équipe d’astronautes. Ainsi commence une histoire à couper le souffle qui nous entraîne au cœur du plus grand mystère de l’univers.
SIGNE DE VIE
Avec Signe de vie, J.R. dos Santos revient à son domaine de prédilection : la science. Après La Formule de Dieu, il démontre à nouveau son extraordinaire capacité à disséquer un sujet difficile et exigeant pour le rendre accessible à tous.
Pierre Simon, médecin, gynécologue, premier français expert en sexologie, a lutté tout au long de sa vie pour changer les consciences et la société. Son nom revient avec insistance quand est évoqué aujourd’hui le droit des femmes à disposer de leur corps. Initiateur en France de l’accouchement sans douleur et de l’éducation sexuelle, cofondateur du Planning familial, artisan infatigable de la légalisation de la contraception et de la dépénalisation de l’avortement, Pierre Simon pensait que la vie humaine était avant tout une succession de choix, de la décision de donner la vie au droit de mourir dans la dignité.
De Metz, où il est né en 1925, à Londres, en 1963, d’où il revient les valises chargées de diaphragmes contraceptifs, de la Résistance, où il s’engage à 17 ans, au Sain-Germain-des-Prés des écrivains et des peintres, et à la Grande Loge de France dont il deviendra Grand Maître, mais encore et surtout de l’URSS de 1953, où il découvre l’accouchement sans douleur, aux cliniques de Pigalle et aux premiers services publics proposant l’avortement, le roman d’une vie menée tambour battant pour libérer les corps, les esprits et la société. Emmanuel Pierrat est écrivain ainsi qu’avocat spécialiste de la propriété intellectuelle et de la censure, conservateur du musée du Barreau de Paris, auteur d’essais et de romans. donquichotte-editions
Avec ce concentré de contre-culture issu de ses chroniques sur Radio Nova, Jean Rouzaud nous embarque pour un tour du monde de l’underground d’hier et d’aujourd’hui. Plus de deux cents entrées classées par ordre alphabétique, à la façon d’une mini-encyclopédie. Corne d’abondance culturelle remplie de raretés oubliées, cette bible impertinente nous rappelle que si la culture est partout, elle n’est pas pour autant acquise, et qu’il ne peut surtout pas oublier de la reconsidérer telle qu’elle est, sans crainte des idoles, ni concession aux icônes ! Jean Rouzaud: Dessinateur, auteur & réalisateur. jeanrouzaud.com
512 pages. Plus de 200 entrées. Index de 1300 noms.
Contre-culture. Chroniques de Jean Rouzaud
EAN: 9791096681136. diff./distrib. Hachette
La titraille est toujours plus ingénieuse pour nous inciter au clic : De la question directement adressée à l’ego « vous ne devinerez jamais … », à la culpabilisation « Si vous ne … vous le regretterez toute votre vie », en passant par la moralisation « 3 choses indispensables à faire pour mieux », sans oublier le graveleux « xxx montre sa culotte » qu’aucune féministe bizarrement n’attaque, at last but not at least le délibérément polémique (avec le mot polémique, controverse ou scandale souvent dedans) …
Évidemment le titre a toujours eu pour fonction d’attirer le chaland et de générer des ventes, mais on était en droit d’espérer avec l’amplification des sources d’information, un contenu si ce n’est de haute volée, au moins divertissant, amusant, informatif, or aujourd’hui il s’agit de la majeure partie de l’article : Un titre, trois tweets glanés parmi les plus sulfureux, ou des photos intégrées depuis Instagram et l’affaire est dans le sac.
Même les médias les plus « respectables » s’adonnent à cette pratique aussi creuse qu’inepte. D’où une certaine défiance du grand public envers les médias, d’où l’utilité de se cultiver pour se forger sa propre opinion. Probablement un vœu pieux puisqu’en son temps déjà Thomas Jefferson disait “Dans la presse, seules les publicités disent la vérité.” Je vous laisse juger !
Notre théâtrale existence nous donne l’occasion d’interpréter au quotidien un certain nombre de personnages: de premier rôle de notre microcosme, nous endossons, beaucoup plus fréquemment qu’il n’y parait, celui moins reluisant de figurant. Individu dans la file d’attente, au feu rouge, dans les transports en commun, à la table quatre du restau chinois à côté du boulot, dans la rue, au téléphone, en tribune, au fond de l’avion, un casque sur les oreilles, le regard dans le vide, en arrière plan de selfie. Nous sommes partout mais dans ces instants, nous ne sommes personne, hormis lors de ces moments fugaces où les regards, les voix, les corps se croisent, se frôlent, se touchent. Interactions sociales policées, séductrices, hostiles ou funestes…
Forts de notre égotisme exacerbé, il est délicat de nous penser ainsi, dénués de sens, sans utilité ni intérêt, si excentrés par rapport aux exigences instillées par la société. C’est pourquoi certain.es sont aussi actifs sur les réseaux dits sociaux, pour résonner, exister avec plus de vigueur, n’incarnant cependant rien d’autre qu’une manifestation comportementale instantanée et éphémère : regardez moi je suis ; je suis autre chose que des pas dans vos pas ; je suis important voir essentiel.le. Même si l’intention est louable ou compréhensible, le résultat est parfois désastreux, d’où cette notion de caprice. Comme des enfants gâtés, incapables d’accepter notre relative importance. Et pourtant, comme l’a célébrée Charles Baudelaire dans son poème, A une passante, notre présence sans identité peut être devenir une sublime source d’inspiration.
La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d’une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ;
Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Un éclair… puis la nuit ! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais !
Illustration Bogeyman 3: Rick Griffin and Rory Hayes!
Depuis plusieurs saisons, Chantelle renverse ses codes en changeant radicalement d’image et de discours. Pour clôturer 2018 et poursuivre sa nouvelle signature visuelle en 2019, la marque de lingerie a choisi comme visage Tehya Elam. Repérée lors du projet Savage x Fenty de Rihanna, Tehya Elam incarne cette nouvelle vision de la beauté et de la lingerie loin de la conception formatée de la représentation féminine. Une réponse aux stéréotypes et de nouvelles propositions, plus ouvertes, plus créatives et plus stimulantes dans leurs différentes formes. En découvrir plus: chantelle.com/fr/
A les entendre tout est simple, évident, limpide. Surtout après coup, une fois que tout est fait. Peu importe l’issue, eux l’assurent, il y avait tout de même mieux à faire, mais bien sûr on ne leur a pas demandé et si on l’avait fait, alors tout aurait été différent, forcément mieux. Mais à chacun son métier, sa spécialité, sa compétence, on ne va pas s’en mêler.
Pourtant, ils n’hésitent pas à déclamer, partout et très fort, leurs avis mâtinés d’idées pré-mâchées et de philo de comptoir, susurrés à l’oreille d’un livre audio, d’une radio, d’une télé qu’on prétend ne pas posséder, par les « experts » qu’ils idolâtrent en secret ou en bonne société, se jurant bien d’êtres leurs propres maitres à penser.
Alors, petits barons ou esclaves dorés, gargarisés par un pouvoir socialement conféré, ils assènent leur pseudo-vérité et leur masque bienséant, passant à mille lieux de l’Etre et de la Vérité. Provoquant directement ou par ricochet mal-être, frustration, tristesse, ostracisation et rejet, au nom de la chimérique liberté, du développement personnel, du culte du corps, du temps pour soi acquis grâce à celles et ceux d’en dessous ou d’à côté, qui en font toujours plus pour compenser.
Ecolo de circonstances, prétendus humanistes déshumanisés, Thénardier des temps modernes, Rastignac 3.0, Cyber Papon, chacun au quotidien participant à la grand guignolesque comédie humaine, chacun de son côté, chacun dans l’entre soi, replié.e sur la notion de droit sans devoirs, lâchant, sans trouver cela amoral, un commentaire plein de haine ordinaire. Dis-moi que faire ? Faut-il être ou ne pas être ? Faut-il garder l’épée en main jusqu’au bout et partir le jour venu… avec panache ?
CYRANO, [est secoué d’un grand frisson et se lève brusquement.] Pas là ! non ! pas dans ce fauteuil ! [On veut s’élancer vers lui.] Ne me soutenez pas ! Personne ! [Il va s’adosser à l’arbre.] Rien que l’arbre ! [Silence.] Elle vient. Je me sens déjà botté de marbre, Ganté de plomb ! [Il se raidit.] Oh ! mais !… puisqu’elle est en chemin, Je l’attendrai debout, [Il tire l’épée.] et l’épée à la main !
LE BRET Cyrano !
ROXANE, [défaillante] Cyrano !
[Tous reculent épouvantés.]
CYRANO Je crois qu’elle regarde… Qu’elle ose regarder mon nez, cette Camarde ! Il lève son épée. Que dites-vous ?… C’est inutile ?… Je le sais ! Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès ! Non ! non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! Qu’est-ce que c’est que tous ceux-là !- Vous êtes mille ? Ah ! je vous reconnais, tous mes vieux ennemis ! Le Mensonge ? [Il frappe de son épée le vide.] Tiens, tiens ! -Ha ! ha ! les Compromis, Les Préjugés, les Lâchetés !… [Il frappe.] Que je pactise ? Jamais, jamais ! -Ah ! te voilà, toi, la Sottise ! Je sais bien qu’à la fin vous me mettrez à bas ; N’importe : je me bats ! je me bats ! je me bats ! [Il fait des moulinets immenses et s’arrête haletant.] Oui, vous m’arrachez tout, le laurier et la rose ! Arrachez ! Il y a malgré vous quelque chose Que j’emporte, et ce soir, quand j’entrerai chez Dieu, Mon salut balaiera largement le seuil bleu, Quelque chose que sans un pli, sans une tache, J’emporte malgré vous, [Il s’élance l’épée haute.] et c’est… [L’épée s’échappe de ses mains, il chancelle, tombe dans les bras de Le Bret et de Ragueneau.]
ROXANE, [se penchant sur lui et lui baisant le front] C’est ?…
CYRANO, [rouvre les yeux, la reconnaît et dit en souriant] Mon panache.
L’histoire de Mark Hogancamp, victime d’une amnésie totale après avoir été sauvagement agressé, et qui, en guise de thérapie, se lance dans la construction de la réplique d’un village belge durant la Seconde Guerre mondiale, mettant en scène les figurines des habitants en les identifiant à ses proches, ses agresseurs ou lui-même.
De Robert Zemeckis avec Steve Carell, Leslie Mann, Eiza Gonzalez…
Fortes d’une tradition familiale et d’un savoir-faire français mondialement reconnu, la marque iconique BIC et la prestigieuse Maison Tournaire collaborent pour créer deux stylos en or 18 carats. Ces deux pièces uniques seront vendues lors d’une vente aux enchères exceptionnelle, conduite par Artcurial, chez WeWork le 20 janvier 2019 et dont les bénéfices seront reversés à l’association L’enfant@l’hôpital. Ces deux stylos exceptionnels donneront lieu à une série limitée en bronze disponible au printemps prochain.
LE STYLO BIC 4 COULEURS « TRILOGIE ALCHIMIE »
Dessiné par la Maison Tournaire, ce modèle offre un nouveau visage à l’iconique BIC® 4 Couleurs. Le corps du stylo est composé de plus de 24 grammes d’or 18 carats et baptisé «Trilogie Alchimie ». Y figurent les formes symboliques et iconiques de la Maison Tournaire : un assemblage de carrés, de triangles et de cercles formant un ensemble représentant les trois étapes de l’évolution de la vie : le passé représenté par le carré, le présent matérialisé par le triangle et l’avenir par le cercle. Cette symbolique est également chère à BIC dont la philosophie est « Se fonder sur nos valeurs, inventer le futur. »
LE STYLO BIC 4 COULEURS « ENGRENAGES »
Ce modèle présente un ensemble de rouages imbriqués les uns dans les autres, et dont la force se décuple, comme au sein d’une famille, d’un groupe, d’une entreprise où plus on est nombreux, plus les forces se multiplient. Les motifs rappellent également les mécanismes d’une montre pour symboliser le temps qui passe en invitant à profiter de la vie. Cette pièce unique a été spécialement dessinée par la Maison Tournaire pour cette vente aux enchères. Le corps du stylo a nécessité 32 grammes d’or 18 carats et est serti d’un diamant.
VENTE AUX ENCHÈRES LE DIMANCHE 20 JANVIER 2019 À 16H DANS L’ESPACE EXCEPTIONNEL WeWork • 92, AVENUE DES CHAMPS ELYSÉES • 75008 PARIS
L’agence crypto-zoologique Monarch doit faire face à une vague de monstres titanesques, comme Godzilla, Mothra, Rodan et surtout le redoutable roi Ghidorah à trois têtes. Un combat sans précédent entre ces créatures considérées jusque-là comme chimériques menace d’éclater. Alors qu’elles cherchent toutes à dominer la planète, l’avenir même de l’humanité est en jeu…
Un film de Michael Dougherty Avec : Vera Farmiga, Kyle Chandler, Millie Bobby Brown, Ken Watanabe, Sally Hawkins, Ziyi Zhang, O’Shea Jackson Jr. et Aisha Hinds. Date de sortie 5 juin 2019
Les fausses couvertures de l’éditeur Sortons Couverts permettent de ne jamais sortir un livre sans laisser quelqu’un indifférent !
Idéal pour un cadeau détonnant en cette période de fêtes, les couvre-livres : Lonely Branlette, Mieux vivre avec son micropenis, Le coup de foudre au deuxième regard, Réussir ses dickpics, Femme Fontaine, vous n’êtes pas seule, Le Fist-Fucking en 10 étapes, L’annuaire des meilleures prostituées, Comment apaiser son herpes, Gérer sa nymphomanie au quotidien, Transforme ton selfie-stick en sextoy, La spéléo dans ton cul, sont à découvrir chez Passage du désir.
L’AQUASCAPHE est la première « Toolwatch » de Baltic. Une plongeuse néo-vintage de 39mm inspirée du boitier de la collection HMS et BICOMPAX. La « toolwatch » est souvent considérée comme la montre quotidienne ultime, car elle est étanche, résistante aux rayures, aux chocs et peut être portée dans toutes les situations.
Pour rappel, BALTIC est une ode à la montre ancienne : la marque souhaite offrir une gamme néo-vintage mécanique, accessible, reprenant certains codes des montres des années 1940. L’idée est de s’approprier les caractéristiques d’époque, qui à leur sens, offre le plus de cachet : un diamètre proportionné, un boitier aux lignes « brutes », un mouvement mécanique et l’utilisation d’un verre en acrylique…
Artoyz définit le Be@rbrick comme une figurine à tête d’ourson, imaginée par Medicom en 2001 et déclinée à l’infini. Ce fut le tout premier « platform-toy » à voir le jour… Le format 400% fait quatre fois la taille d’un 100%, soit 28cm environ. On retrouve au sein de la série 36, ce magnifique PENNYWISE, qui ravira les amateurs du Clown le plus flippant de la littérature et du cinéma.
Les BE@RBRICK sont à découvrir ici : bearbrick.com et prochainement chez artoyz.com, nous.paris
Quentin Faucompré travaille à la base le dessin, mais ne s’interdit aucun autre terrain de jeux. Il alterne expositions, éditions et performances. La Stratégie du sandwich est un livre inventaire qui réunit certaines pièces-ingrédients du puzzle que représente l’étendue de son travail. Chaque proposition y est présentée en fonction de sa nature formelle. Ainsi, la photographie montre l’objet livre et les installations, les captures d’écran figurent une trace des performances, l’imprimé expose le dessin… Le livre est une généreuse psychanalyse en roue libre, un rituel sous acide, non dénué parfois d’activisme politique, une véritable invitation à se frotter à un existentialisme farceur. La Stratégie du sandwich est accompagné de textes d’Éva Prouteau et de Jackie Berroyer.
Affalé sur le canapé, une part de moi essaie désespérément d’échapper au programme télévisé qui défile devant mes yeux hagards. Mais mes doigts restent figés sur la télécommande. Mon cerveau curieux et voyeur s’accroche à l’idée de comprendre ce qui se passe à l’écran, faisant fi de mon aversion revendiquée pour ce type d’émission. L’heure n’est pas encore à la remise en question, mais il me semble que j’y trouve un certain plaisir coupable, comme lorsque la radio, que je n’écoute jamais, abstraction faite de FIP, NOVA, OUÏ FM, diffuse un « tube » et que je change pas la fréquence, ou lorsqu’au lieu de taper Le Monde ou Courrier International ou les plus sérieux et fiables Konbini ou Inrocks dans la barre de recherche, je me retrouve sur un agrégateur de News qui me renvoie sur Public, Closer ou Gala, piégé par un titre que j’abhorre au premier abord…
Inutile d’essayer de me trouver des circonstances atténuantes, cette situation ne peut pas vous arriver, vous êtes au dessus de la mêlée, vous n’êtes pas comme tout le monde, vous êtes unique, différent.e, la preuve réside dans vos photos Instagram si originales, vos partages Facebook tellement pertinents, vos séries préférées sur Netflix découvertes à n’en pas douter avant tout le monde, votre goût pour la nourriture Vegan, vos préoccupations à l’égard du monde, votre cigarette électronique… tout ça démontre bien que vous êtes quelqu’un d’authentique et non pas un.e vulgaire clone…
Plan large sur la baraque. Une maison d’archi, piscine extérieur, quelques palmiers façon Miami Beach. La voix off est catégorique, c’est la maison idéale pour nos protagonistes. Justement l’image se resserre sur un petit couple d’hypothétiques BCBG. Ils sont neutres, fades, hautains. La femme porte un foulard autour du cou, tandis que monsieur porte une veste en velours ou tweed. C’est probablement ainsi que nous nous représentons la bourgeoisie, car je n’ai pas besoin d’interpréter ou d’imaginer. Aussi vrai que du poulet au KFC. La caméra zoome sur un Baby-Foot. Voix orgasmique de Marie-Louise : « C’est exactement ce qu’on veut, quelque chose d’anti conformiste ».
C’est à ce moment précis que mes yeux se sont embués. Le coup en traitre. Elle aurait pu dire « c’est le kiff », ou de la « bombe », faire un high five ou checker avec son Jean – Alfred de mari, citer PNL ou Booba, dire que la maison était parfaite comme décor pour un Marc Dorcel, twerker, j’aurai probablement fait la moue mais l’entendre parler d’anti conformisme, elle qui incarne pour moi l’archétype de la norme, du suivisme, étant bien persuadé que c’est pour cette raison que la production de l’émission l’a sélectionné avec son mari, j’enrage et me désole. Alors j’ai cherché et Erich Fromm m’a apporté la réponse, limpide et tellement évidente, contenue dans son oeuvre « L’art d’aimer « que je ne saurai que trop recommander : La plupart des gens ne sont même pas conscients de leur besoin de conformisme. Ils vivent avec l’illusion qu’il suivent leurs propres idées et penchants, qu’ils sont individualistes, que les opinions auxquelles ils sont arrivés représentent l’aboutissement de leur propre réflexion et que, si leur idées rejoignent celles de la majorité, c’est en quelque sorte une coïncidence…. Mais en fait les gens veulent se conformer à un degré bien plus élevé qu’ils n’y sont contraints, du moins dans les démocraties occidentales… Dont acte.
Illustration : Max Ernst: Castor et Pollution – 1923
Le concept de « légende personnelle » a été largement popularisée par Paulo Coelho dans son roman l’Alchimiste, je déplore cependant que nombreux illuminés se soient octroyés le terme pour l’intégrer à leur pseudo spiritualité charlatanesque. En réalité, le grand message à peine voilé, est une invitation à explorer l’existence comme un voyage vers la plus importante des destinations, à savoir soi-même…
En guise de bagages, car il faut s’équiper correctement : s’accorder une pleine confiance sans réserve, faire preuve d’ouverture d’esprit et d’écoute, de curiosité, de remise en question, de recul, d’amour, de détermination sans pour autant négliger le calcul, le 2eme degré, la ruse, la colère, l’arrogance, l’égocentrisme, le cynisme, la peur… Parce qu’il est inepte ou illusoire de croire qu’on ne peut composer qu’avec le seul versant positif de notre Être. Nous devons accepter que nous sommes autant porteurs de lumière que d’ombres, fruit fécond et vivant de cette dualité. Nous devons apprendre à percevoir les infimes nuances entre le bien et le mal pour arpenter sereinement la voie médiane qui échappe au manichéisme grossier de l’époque…
Une fois engagé sur les chemins de l’inconnu, chacun d’entre nous devra d’abord s’efforcer de lutter contre le déterminisme. Un combat résolument nécessaire aujourd’hui, au regard des algorithmes, qui, pour notre plus grand mal être, fixent notre personnalité et nos affinités contre quelques dollars…
Sans trop extrapoler, poursuivre sa légende personnelle est un formidable levier, un encouragement à vivre, expérimenter, aimer, se libérer, s’affranchir des contingences matérielles et de l’image réductrice de soi, pour atteindre l’essentiel, en pleine conscience.
Voici en exclu quelques tuyaux percés. Selon nos dernières informations, il semblerait que nos dictateurs de goûts, empêtrés dans le vegan égotiste et le culte du corps sportif qui ostracisent et dépriment leurs pratiquants, se soient accordés sur les termes de ripaille et déculpabilisation comme maîtres mots positifs de la prochaine rentrée, à l’instar des bonnes résolutions, qui seront : prendre de la hauteur et de la distance (Xanax ou Lexomil ?) et qui figureront en bonne place parmi les invitations au lâcher-prise et à la bienveillance, plus que jamais d’actualité.
Les oracles découvreurs, fixeurs de tendances, nous promettent donc de renouer avec la grande tradition des banquets, des rires et des chants, d’agapes mémorables au cours desquelles les instruments de musique, guitares, accordéons, percus feront leur come back à table, tandis que les mezzés, pastas, couscous, truffades et autres grands plats roboratifs maison auront les faveurs des convives hydratés aux magnums de blanc et rouge bio, sans sulfites et aux Irish Coffre et pousses cafés (avec modération). Une année qui s’annonce donc sous les meilleurs hospices de beaune ! Le tout c’est d’y croire…
Le septième roman de Michel Houellebecq sortira le 4 Janvier 2019. Pour la presse, c’est évidemment le livre le plus attendu de la rentrée. Ce qu’on en sait, pour l’instant, grâce à celles et ceux qui ont le privilège de distiller les infos en avant-première, tout en respectant peu ou prou l’embargo total imposé par l’éditeur Flammarion, jusqu’au Jeudi 27 décembre :
» Un narrateur typiquement houellebecquien se retrouve seul, hanté par son passé et ses amours mortes, à survivre grâce à l’antidépresseur Captorix (basé sur la sérotonine, l’hormone dite “du bonheur”). Une dérive existentielle sur fond de régions françaises en crise à cause de l’Europe et de la mondialisation. un beau roman crépusculaire, le plus sombre peut-être de son auteur. » Les Inrocks. Chez LCI, on spécule sur l’intrigue mais pas sur le nombre de pages de l’ouvrage : 347. L’Express nous parle d’un tirage exceptionnel de 320 000 exemplaires. L’auteur de son côté se rappelle à ses bonnes pratiques avec une déclaration inévitablement sulfureuse : « Donald Trump est un des meilleurs présidents américains que j’aie jamais vu ». Twitter mouline dans le vent sans apporter beaucoup plus d’éléments. Bref, la seule source fiable est Wikipedia quant à l’explication du titre :
La sérotonine, encore appelée 5-hydroxytryptamine (5-HT), est une monoamine de la famille des indolamines. C’est un neurotransmetteur dans le système nerveux central et dans les plexus intramuraux du tube digestif, ainsi qu’un autacoïde (hormone locale) libéré par les cellules entérochromaffines et les thrombocytes. La production de sérotonine a aussi été observée dans le placenta des souris et de l’humain.
Elle est majoritairement présente dans l’organisme en qualité d’autacoïde. Son activité débute dans le cerveau où elle joue le rôle de neurotransmetteur ne représente que 1 % du total présent dans le corps6, mais elle y joue un rôle essentiel. Elle est notamment impliquée dans la gestion des humeurs et est associée à l’état de bonheur lorsqu’elle est à un taux équilibré, réduisant la prise de risque et en poussant ainsi l’individu à maintenir une situation qui lui est favorable. Elle est donc indispensable à la survie des mammifères dont l’Homme11 et a un effet antagoniste à celui de la dopamine qui favorise au contraire la prise de risque et l’enclenchement du système de récompense.
Elle est en outre également impliquée dans la régulation du cycle circadien dans le noyau suprachiasmatique (siège de l’horloge circadienne), dans l’hémostase, dans la mobilité digestive et « dans divers désordres psychiatriques tels que stress, anxiété, phobies, dépression ». Elle est ainsi la cible de certains outils thérapeutiques, notamment les antidépresseurs, utilisés pour soigner ces maladies mais son activité est également modifiée par certains psychotropes comme par exemple l’ecstasy.
Une collaboration « Sci-Fi » pour EASTPAK, avec le fantasque designer, Jun Takahashi, âme de la marque basée à Tokyo, Undercover. Quatre spectaculaires versions monochromatiques du sac à dos Padded Pak’r XL surdimensionné, chacune avec une impression du film culte de Stanley Kubrick, 2001 : L’Odyssée de l’Espace.
Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s’imagine même être un loup-garou: plus facile, ici, d’être un monstre que d’être une femme. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d’une balle en plein cœur. Mais Karen n’y croit pas et décide d’élucider ce mystère. Elle va vite découvrir qu’entre le passé d’Anka dans l’Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s’embraser et les secrets tapis dans l’ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants.
Journal intime d’une artiste prodige, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres est un kaléidoscope brillant d’énergie et d’émotions, l’histoire magnifiquement contée d’une fascinante enfant. Dans cette œuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d’un Crumb et l’univers de Maurice Sendak.
À travers ce livre, Emil Ferris tisse de courage, de force, de résilience, l’étendard de ceux qui survivent, de ceux qui se relèvent et ne veulent plus se taire. Et si ce n’est pas œuvre autobiographique tout y est néanmoins vrai. La clé de ce projet est la différence, et Emil Ferris l’a écrit pour les minorités, l’a dessinée pour la liberté d’être ce que l’on veut, humainement et intimement, et l’a porté envers et contre tout pour le droit d’être la femme que l’on veut. Et c’est pour ça que Moi, ce que j’aime, c’est les monstres nous frappe si fort aujourd’hui, car il s’adresse à nous, à nos problèmes, à notre monde.
« C’est le stylo-bille qui m’a choisie, comme un monstre le ferait dans une allée sombre. Je me souviens très bien de ce jour, et ma main crispée aussi, avec les seize heures de dessin quotidiennes durant les six années qui ont suivi. Et je voulais que ce soit un carnet. Je me foutais des standards de la bande dessinée, pas parce que je ne les aime pas, au contraire, je les adore, mais cette histoire n’aurait jamais voulu rentrer dans les cases. » Emil Ferris
« Emil Ferris est une des plus grandes artistes de bande dessinée de notre temps. » — Art Spiegelman
« Une fois ouvert, il est impossible d’oublier le spectaculaire chef-d’œuvre d’Emil Ferris. C’est un livre monstrueusement génial. » — Alison Bechdel
« Une des œuvres les plus profondes, ambitieuses et abouties parues ces dix dernières années, tous supports confondus. Rarement des mots et des images ont fonctionné ensemble de manière aussi fluide au sein d’une histoire de cette complexité. » — Forbes
Format 204×265 mm. 416 pages couleurs. Traduit de l’anglais par Jean-Charles Khalifa. Lettré à la main par Amandine Boucher et Emmanuel Justo. Photogravure Jimmy Boukhalfa.
“Si j’ai écrit ce livre, c’est pour t’aider à rester en vie. Parce qu’à mon avis, le monde a besoin de plus de gens au grand coeur, peu importe ce qu’ils sont et font. Les non–conformistes et les rebelles, les freaks, les queers, les pécheurs et les pécheresses rendent le monde meilleur.” K.B.
Un guide pratique unique en son genre pour faire face aux pressions extérieures comme à la souffrance intérieure.
(…) You can have great autonomy in the things you choose to learn and pursue on your own time. When you’re learning things that interest you, challenge you, and make life worth living, getting an education can be blissful and stimulating. (…)
Kate Bornstein a été assignée au genre masculin à sa naissance, mais elle ne s’identifie ni homme ni femme. Artiste performeuse, essayiste et romancière états–unienne, pionnière et défenseuse renommée de la communauté LGBTIQ+, elle vit à New York.
Traduit de l’anglais (États–Unis) par Jayrôme C. Robinet. Préfaces de Sara Quin et Paul B. Preciado
Tout commence au cœur de Manhattan. Offrant l’une des plus belles vues sur la skyline de la ville et sur l’Hudson River, Mandarin Oriental, New York accueille ses hôtes à 85 mètres de hauteur. Au programme : petits-déjeuners avec vue sur Central Park au restaurant Asiate, massage Oriental Qi d’1 heure et 50 minutes au Spa et soirée au bar The Aviary NYC, situé au 35ème étage de l’hôtel, pour une dégustation de cocktails et de mets en version expérimentale.
L’escapade se poursuit à Amagansett et plus précisément au The Inn at Windmill Lane, une auberge de luxe proposant des suites raffinées ainsi que des cottages privés exclusifs. À deux pas de la rue principale et à quelques minutes en vélo de la plage, les hôtes sont invités à se promener, se détendre au bord de l’océan, visiter quelques-uns des vignobles de la région, ou encore découvrir les galeries d’art et les boutiques des environs.
The Hamptons Getaway comprend pour deux personnes :
Deux nuits en chambre Hudson River View Room au Mandarin Oriental, New York, avec petits-déjeuners au restaurant Asiate ou un dîner servi en chambre.
Un soin Oriental Qi d’une heure et cinquante minutes par personne au Spa de l’hôtel
Une sélection de trois de cocktails accompagnés de délicieux mets au bar de l’hôtel The Aviary NYC
Un transfert entre l’hôtel et The Inn au Windmill Lane
The Inn à Windmill Lane
Deux nuits en Suite ou en Cottage, avec petits-déjeuners quotidiens
Un cadeau de bienvenue inspiré des Hamptons
Les réservations peuvent être effectuées en contactant le département des réservations The Inn à Windmill Lane au +1 631 267-5800 ou par email à info@innatwindmilllane.com. Séjour sur la base d’une occupation double et d’un séjour de quatre nuits, sous réserve de disponibilité.
Mandarin Oriental, New York
80 Columbus Cir, New York, NY 10023, États-Unis www.mandarinoriental.fr
Situé dans le luxueux écrin verdoyant d’une plantation de thé, bordant l’une des forêts tropicale les plus imposantes et comptant parmi les plus préservées d’Afrique, le domaine One&Only Nyungwe offre à ses clients l’opportunité de vivre une expérience immersive, dans une nature sauvage, entourés de sublimes panorama de jungle…
“ Nos invités auront la possibilité de partir à la rencontre des chimpanzés, ou de découvrir les singes Mangabey, de flâner au pied des arbres mahogany et d’apercevoir des oiseaux exotiques, des orchidées et autres papillons ” déclare Philippe Zuber, Président et Président directeur général de One&Only Resorts. “ Nous avons créé un oasis ultra luxueux qui célèbre chaque once de cet environnement sauvage à travers des petits déjeuners pris à l’aube, des cours de yoga dans des maisons nichées dans des arbres, profiter des méthodes de soins indigènes en plein air, jusqu’aux cocktails de fins de journées autour d’un feu de bois ”.
Les 23 chambres et suites du domaine One&Only Nyungwe House sont toutes pensées dans le but de se fondre harmonieusement dans la nature avoisinante. Au sein de chaque chambre et suite flotte des senteurs d’eucalyptus, tandis que de grandes terrasses privées offrent des vues à couper le souffle sur les paysages africains.
Le domaine One&Only Nyungwe House intègre la collection One&Only Nature Resort, rejoignant l’Emirates One&Only Wolgan Valley en Australie et qui sera complétée en 2019 par l’ouverture du One&Only Gorilla’s Nest dans le nord du Rwanda. En découvrir plus: www.oneandonlyresorts.com
KOMONO s’est associé à 10 artistes internationaux, pour réinterpréter certaines formes des montres les plus appréciées de la marque.
Chacun de ces artistes incorpore un ou plusieurs des modèles Signature dans leur travail artistique. De la photographie à la vidéo en passant par l’illustration, ces oeuvres forment une collection unique qui capture l’esprit de notre époque.
La collection Signature est disponible dans les modèles Harlow, Lewis, Walther, Walther Retrograde, Lexi Royale, Moneypenny, Winston Sub, Magnus II, Konrad, Konrad Retrograde et Orson Sub.
Louise Mertens dirige un studio d’art basé à Anvers, ville natale de KOMONO. Son travail est son miroir, le reflet de son univers visuel et de son admiration pour la pureté, la texture et les matériaux.
Intéressé par l’identité performative et l’exploration des communautés modernes, le duo londonien, Kim Jakobsen To et Hamish Wirgman, réalise des oeuvres révélant la «vulnérabilité» partagée avec le sujet à travers l’acte de photographier. Les images créées se placent quelque part entre le documentaire et la construction d’un environnement, ouvrant un dialogue entre immobilité et confiance.
Nicasio Torres a étudié le génie civil avant d’étudier les Beaux-Arts à l’Université de Barcelone, où il vit et réside actuellement. Il travaille comme illustrateur de mode et travaille régulièrement en collaboration avec ShowStudio et avec la Fashion Illustration Gallery.
Debby Woo est une artiste et illustratrice taïwanaise basée en France. Son travail porte sur l’amour, les relations et les concepts d’identité et de modernité. Elle joue avec les symboles de la culture contemporaine tels que les ordinateurs et les téléphones portables et les adapte dans un environnement plus traditionnel, donnant une sensation troublante.
Les interactions performatives de Csilla Klenyanszki peuvent être considérées comme une recherche personnelle d’équilibre. Un attrait constant pour la tension physique et mentale caractérise son travail. Sa pratique actuelle se concentre sur le genre, la relation homme-objet et le temps.
Amber Vittoria est une illustratrice qui vit et travaille à New York. Ses pièces se concentrent sur la féminité et la forme féminine, mettant en lumière les parties physiques telles que les poils.
Frankie est un artiste mi-japonais et mi-américain de Tokyo. Son travail va de la peinture sur toile à la création de peintures murales à grande échelle sur l’extérieur des bâtiments, lui permettant d’exposer des oeuvres comme dans des environnements publics.
Daiana Ruiz, basée en Argentine, utilise la couleur et la forme pour représenter des personnages féminins volumineux. Parmi les références de Daiana figurent des artistes tels que Hockney, Matisse, Gaugin et le groupe Memphis.
La photographie d’Arcin Sagdic a un aspect surnaturel, résultat de l’examen incessant des frontières entre le réel et l’imaginaire. Inspiré aussi bien par les rituels quotidiens des hommes que par les écrits de Léonard de Vinci et de Richard Feynman sur l’électrodynamique, son travail explore les frontières entre art et science.
Basée à Varsovie, Barrakuz est une graphiste, mais aussi une artiste de collage. Son travail est de déconstruire et de construire des images, afin de créer une nouvelle signification.
« Notre monde vient d’en trouver un autre, cet autre monde ne fera qu’entrer en lumière quand le nôtre en sortira » face à cette assertion lumineuse et actuelle de Montaigne, éditorialistes, journalistes, bot d’articles, commentateurs, philosophes, spiritualistes, entertainers, influenceurs, personnalités publiques, grands professionnels et petits exécutants, sont tous unis dans une même volonté: donner du sens : A la vie, à l’existence, à la nature, à la collectivité, à l’altérité, au travail, à l’au-delà… (Liste non exhaustive).
Bien entendu, s’opposent les convictions de l’ancien et du nouveau monde, les progressistes et les conservateurs. Les apôtres de l’inclusion et les désesperants dévots de l’exclusion. Chacun arc bouté sur son idée du sens, au point qu’il en devient parfois totalitaire ou réducteur. Mais pourquoi est-il si difficile d’accepter que le corrollaire indispensable au don est la réception ?
Posons-nous la question avec objectivité, est-ce que notre quête du sens n’est pas, dévoyée ? plutôt que de renforcer notre humanité, nous cherchons manifestement à imposer un ordre, une idéologie, un dogme, une appréciation centrée et égotiste, en dépit du bon sens, c’est à dire sans prendre en compte les aspirations, la nature profonde, la capacité à être ou à faire. J’en veux pour preuve toutes les méthodes dont nous sommes inondés qui sont censées nous apprendre, nous coacher pour que nous mangions mieux, travaillions mieux, nous organisions mieux, elevions mieux nos enfants, vivions mieux etc. Sans jamais prendre en compte la capacité à recevoir, à accepter… Le bon sens, en définitive, est probablement celui qui émane d’un cœur libre vers un cœur libéré et reciproquement. Un chemin qui semble si accessible… et pourtant !
Et si nos médias s’allongeaient sur quelques divans de psychiatres, et se libéraient enfin de la dépression dans laquelle ils se complaisent au quotidien depuis l’émergence des Internets ? Et que, par voie de conséquence, se raréfiaient les vindictes de lecteurs – commentateurs, toujours plus excités par les idées de haine, de division et d’intolérance, dommages collatéraux causés par leur lugubre logorrhée ?
Est-il permis d’espérer, à l’avenir, un traitement de l’information neutre, objectif et qui sait, quand le sujet s’y prête bienveillant ? Cela semble malheureusement compromis, Eric Schmidt, ancien patron de Google a récemment déclaré à propos du vaste web : « Je pense que le scénario le plus probable à présent n’est pas une séparation, mais plutôt une bifurcation avec d’un côté un leader d’internet chinois et de l’autre un leader d’internet américain ».
Il devient nécessaire de faire, si ce n’est l’apologie, au moins la promotion des acteurs de la diversité culturelle, dont la portée est malheureusement reléguée en page 15 ou 16 du tout puissant moteur de recherche.
Faut-il, pour autant, en déduire qu’une faible audience est la garantie d’une liberté plus grande ? Non pas ! Il convient d’être aussi vigilant et alerte que pour des médias classiques, afin d’éviter d’être influencé ou manipulé par des illuminés persuadés d’être détenteurs de la vérité ou du bon goût. Cependant on constate parfois de véritables envolées lyriques, ou gloses profondes d’humbles experts en musique, littérature, cinéma, arts graphiques, etc. adorateurs sincères et dévoués, de genres oubliés ou plongés dans les ténèbres propres aux déchus de la mode. En ce sens, les tenants de l’immédiat et du mainstream, requins sans scrupules, n’hésitent d’ailleurs jamais à racketter ces sources de savoir acquis parfois de longue date, le jour où la nécessité se fait sentir (retour en grâce, mise en lumière par un roi du jour).
Alors n’hésitons pas à arpenter les rues biscornues et à priori mal achalandées des Internets plutôt que les vastes avenues des agrégateurs de news, vers lesquelles nous sommes guidés à l’instar de vulgaires touristes.
Le prix à payer pour ce regain de liberté ? Un temps de chargement parfois plus long, des templates éculés, le déni des prétendues best practices…
C’est l’été, dans un camping en Dordogne, des jeunes gens disparaissent. Les rumeurs les plus folles circulent, on parle d’une panthère qui rôde… Un sentiment de danger permanent au cœur duquel s’épanouit Laura, 17 ans. La rencontre avec Paul, un écrivain aussi attirant qu’inquiétant, la bouleverse. Une relation ambiguë se noue. Jusqu’à ce qu’un prétendant de Laura disparaisse à son tour et qu’une étrange policière entre dans la danse…
Réalisé par Vincent Mariette avec Lily-Rose Depp, Laurent Lafitte, Camille Cottin
Une approche radicalement neuve, ouverte et transversale de l’histoire de la mode
En choisissant d’élargir leur focale au contexte historique, sociologique et économique, Denis Bruna et Chloé Demey, avec leur équipe de jeunes chercheurs, racontent une toute nouvelle histoire des modes où les usages, les modes de vie, les matériaux, les savoir-faire jettent un éclairage passionnant au-delà de l’histoire de l’art.
Il s’agit d’une histoire sur la longue durée, de 1330 aux années 2000, considérée depuis la France mais ouverte aux apports des pays étrangers. Enfin, et ce n’est pas un détail, il n’est pas ici question uniquement du vêtement féminin mais de celui des hommes et des enfants… et même parfois des animaux !
Denis Bruna est docteur en histoire de l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne et conservateur chargé des collections Mode et Textile antérieures au XIXe siècle aux Arts Décoratifs. Il est aussi professeur et directeur de recherche en histoire de la mode, du costume et du textile à l’École du Louvre. Il est notamment l’auteur de Piercing, sur les traces d’une infamie médiévale (Textuel, 2001) et Bijoux oubliés du Moyen Âge (Seuil, 2008).
Chloé Demey est diplômée de l’École du Louvre en muséologie. Elle est responsable des éditions du Musée des Arts Décoratifs.
Feurat Alani est franco-irakien. Son histoire et celle de sa famille sont intimement liées à celle de l’Irak. Ayant grandi à Paris, Feurat passe plusieurs étés de son enfance dans un Irak qu’il voit s’effondrer sous la dictature de Saddam Hussein. Dans ce roman graphique, illustré par Léonard Cohen et préfacé par Disiz, il nous raconte son Irak, passé de la modernité au chaos, celui dont on n’entend pas parler dans les médias, celui qui, malgré la guerre, reste vivant.
Feurat Alani, dont le prénom est un hommage à l’Euphrate, fleuve aimé de son père, revient sur l’histoire de ce pays de 1989 à 2011. Mais Le parfum d’Irak est aussi un défi singulier. Celui de raconter les sentiments, les odeurs, les goûts et les souvenirs qui l’imprègnent lorsqu’il le raconte en mille fois 140 signes, sur Twitter, durant l’été 2016 décidant de ralentir le temps médiatique et de combattre les clichés. De ces tweets sont né ce livre illustré, d’une grande poésie, ainsi qu’une websérie documentaire en vingt épisodes : www.arte.tv/sites/webproductions/le-parfum-dirak/
Une coédition Éditions Nova & Arte Éditions
15 x 24 cm. 178 pages.
EAN 9791096681143
Diffusion & distribution Hachette
THE PEARL est une enceinte connectée active Haute Définition qui concentre toute l’expertise et la technologie de la mythique Sphère, dans une enceinte active compacte au format arrondi.
Design à la fois raffiné et puissant, son acoustique d’une extrême pureté offrant une parfaite restitution de la musique sans aucune altération, coloration ou distorsion.
The Pearl offre la possibilité de créer un système stéréo avec deux enceintes THE PEARL très simplement en Wifi et sans boitier additionnel, pour l’écoute des sources dématérialisées, mais aussi d’un téléviseur, d’un lecteur CD, voire d’une combinaison platine et préampli phono pour l’écoute des vinyles à travers ses entrées optiques et analogiques…
THE PEARL est disponible en noir métallique ou en blanc nacré, anneau pur chromium à partir de début novembre 2018
118 dB crête en mono 124 dB crête en configuration stéréo 14 – 27 000 Hz Medium-tweeter 13 cm coaxial BCI Woofer 25 cm 25HELD Aigu : 300 W RMS / 600 W crête Medium : 300 W RMS / 600 W crête Grave : 1 000 W RMS / 2 000 W crête Ethernet/WiFi – Bluetooth – Optique SPDIF – Analogue RCA USB pour mise en réseau des musiques sur stockage externe Mono – stéréo avec 2 enceintes groupées Multiroom Haute Résolution 326 x 327 x 323 mm
Le groupe hôtelier allemand, 25hours ouvre son premier hôtel à Paris face de la Gare du Nord le 7 janvier 2019.
Le 25hours Hotel Terminus Nord est installé au sein d’un vaste bâtiment construit en 1860, renové par le bureau d’architectes local, Axel Schoenert architectes. L’idée de 25hours étant de faire les choses avec sérieux, mais sans jamais se prendre au sérieux. Que ce soit au sein du restaurant, du bar ou encore de l’espace de co-working, outre les clients de l’hôtel ce sont tous les gens du quartier et d’ailleurs qui sont les bienvenus. Le directeur commercial est ici un vendeur de bonheur, le sales manager un créateur de rêve et l’on peut lire chef de station sur la carte de visite du directeur général de l’hôtel ! L’idée est que le client retrouve toutes les cultures du quartier dans l’hôtel. Le design africain-indien des 237 chambres (allant du S au XL, pour sortir des carcans “supérieur”, “de luxe”) coloré et chaleureux, est une invitation aux voyages et une plongée dans les différents univers de la gare du Nord. Le restaurant de l’hôtel, le NENI, est un lieu de vie cosmopolite où l’on sert une cuisine israélienne avec des touches locales ainsi que d’Europe de l’Est, d’Amérique et du Proche Orient, tout au long de la journée. Le concept NENI a été lancé à Vienne par l’israélienne Haya Molcho et ses quatre fils (Nuriel, Elior, Nadiv et Ilan). Le Sape Bar accueille au même étage que le NENI, une clientèle ouverte au contact. Comme le nom du bar l’indique, c’est ici à coup de “sape” et de délicieux cocktails qu’on réchauffe les cœurs. Jorg Meyer, barman de renommée internationale en provenance de Hambourg, est l’esprit créatif qui se cache derrière le Sape Bar.
En découvrir plus: 25hours-hotels.com/fr/hotels/paris/terminus-nord
12 Boulevard de Denain, 75010 Paris