KAWS @ GALERIE PERROTIN PARIS
03/11/2012 – 22/12/2012 PARIS – 76 RUE DE TURENNE
03/11/2012 – 22/12/2012 PARIS – 76 RUE DE TURENNE
03/11/2012 – 22/12/2012 GALERIE PERROTIN PARIS
STADIUM GREEN/MDM VLT-SL-BLK
Photographe : Manu Fauque / Pour rappel: OLOW™ est un ovni artistique français dont les fondements sont: détournement, « fait maison » et indépendance. Créé en 2006 à Montreuil par des antihéros avertis et ouvriers bien penseurs, la marque se distingue par des collections surréalistes, subversives et à contre courant. Partant du principe que le local a bien meilleur goût, OLOW collabore uniquement avec des artistes européens et fabrique tous ses vêtements au Portugal. Travaillée à coups d’burin, la marque se déleste de toutes les barrières idéologiques ou commerciales pour arriver à un produit brut, qualitatif et authentique. olow.fr
Nobu and Caesars Palace are coming together to debut the newest in hip luxury – the world’s first Nobu Hotel. Nobu Hotel Caesars Palace is like nothing else with its unique sense of style, luxury and craft. Now, all of those characteristics are under one roof at the most spectacular casino and resort in the world; Caesars Palace. Nobu Hotel Caesars Palace will open in late 2012. Nestled in the heart of the Las Vegas Strip, the design of Nobu Hotel will become the new destination for luxury. caesarspalace.com/nobuinnercircle
Adeptes de l’incandescente tige à la recherche des meilleures solutions pour vous démarquer de l’effroyable concurrence stylistique, porteurs de montre gousset ou de monocle, sachez que le porte cigarette était est et sera un éternel must-have comme un éventail pour un créateur ou un perroquet sur l’épaule pour un flibustier. Ne me remerciez pas et savourez comme il se doit les regards admiratifs des modeuses et autres Life style setters ébahis par cette onde de choc tendancière à la une de toutes vos revues favorites avant la fin de l’année. To be or not to be un précurseur societal. Dont acte
L’entreprise S.T. Dupont voit le jour en 1872, dans l’atelier parisien de Simon Tissot-Dupont, d’où proviennent les initiales « S.T. ». Celui-ci est issu de la migration savoyarde de la seconde partie du xixe siècle2. Simon Tissot-Dupont est né en 1847 au village de Saint-Ferréol, à proximité de Faverges où il décède en 1922.
À l’origine, Simon Tissot-Dupont crée une entreprise de carrosserie qui disparaît après un incendie. Il rachète ensuite un atelier de fabrication de porte-documents de qualité qu’il fait fleurir. En 1919, âgé de 72 ans, il lègue son affaire à ses deux fils, Lucien et André2. Rapidement la société s’agrandit et emploie 250 personnes. En 1923-24, les frères décident d’installer une usine de production à Faverges, qui possède déjà un tissu industriel avec les soieries de la compagnie Duport et la société helvétique Stäubli.
Face à la crise de 1929, et à la suite d’un voyage à New York, Lucien décide d’orienter l’entreprise vers la production de produits de luxe, notamment des mallettes de voyage, à destination du « Gotha » international. La qualité des produits gagne, notamment avec l’utilisation de la laque de Chine ou l’or. La fabrication des premiers briquets démarre en 1939. Il s’agit d’un briquet en or, intégré à la mallette de Yadavindra-Singh, maharadjah de Patiala.
Pendant la guerre, les acheteurs de mallettes étant moins nombreux, André suggère l’idée de fabriquer des briquets à essence. Le brevet est déposé en 1941, à Annecy. À la fin de la guerre et compte tenu de la restriction de la durée des voyages, la société S.T. Dupont oriente sa production vers les briquets. Parmi les utilisateurs célèbres de briquets Dupont, on note Andy Warhol, Coco Chanel, Marilyn Monroe, Louis Renault, le duc et la duchesse de Windsor, Jackie Kennedy ou encore Humphrey Bogart et Audrey Hepburn (les deux derniers ont même chacun donné le nom à une ligne de briquets).
Le prestige de la marque s’accroît à l’occasion du mariage de la princesse Élisabeth d’Angleterre, en 1948, lorsque le président de la République française Vincent Auriol lui offre une mallette de voyage signée S.T. Dupont, la dernière produite.
LOLITA LEMPICKA by YOANN LEMOINE with ELLE FANNING from BETC MUSIC on Vimeo.
Réalisée par le génie YOANN LEMOINE (aka WOODKID), avec ELLE FANNING (Somewhere, Super 8) et produit par le talentueux FABRICE BROVELLI (BETC Music)
Dernière génération de Stations d’Accueil de la célèbre marque. Chacun des 4 modèles répond à des besoins ou attentes bien spécifiques, mais tous permettront d’Amplifier les musiques (avec ou sans fil) Recharger les périphériques connectés (via dock ou USB) Contrôler à distance la lecture des contenus musicaux (via une application) En outre 3 types de logos seront apposés afin de savoir en un coup d’œil quelle compatibilité est proposée parmi Androïd, iPhone, iPad, et iPod. lg.com
Derrière la Puma States se cache un fort historique qui débuta bien loin du Royaume-Uni. Tout commença dans les années 80 à New York, à l’époque la Puma Suede était LA chaussure du milieu Hip Hop. Début 90 le style new-yorkais s’exporte et traverse l’Atlantique pour atterrir au Royaume-Uni où la Puma Suede est judicieusement rebaptisée «The States » en hommage à sa terre d’origine. Très rapidement adoptée par les joggeurs et les fans de football, elles usèrent aussi bon nombre de nightclubs londoniens.
Les Puma States x Denim gardent le style de ses prédécesseurs mais abandonnent le suede pour revêtir un habillage premium en Jeans.
La Puma States est déclinée en 3 coloris : Navy blue, Black et Pale Khaki.
La liste des revendeurs :
– Colette ( Paris )
– Blackrainbow ( Paris )
– Sneakers.fr
– Helium ( Metz)
– Le lieu ( toulouse )
– Corezone ( Marseille )
Évidemment au premier abord, ça fait très argu publicitaire. Ne le cachons pas, Gillette est derrière cette signature et inutile de faire semblant… j’ai adoré le Gillette Fusion ProGlide Styler ! cette combinaison de plusieurs sabots avec une tondeuse principale qui exécute parfaitement la tache qui lui est confiée. Adrien Brody, Andre 3000 et Gael Garcia Bernal se prêtent au jeu des ambassadeurs du styles avec 3 personnalités affirmées. Gillette en recherche d’authenticité ? Pour ma part étant barbu je pense que l’option « mecs dans la fleur de l’âge » est un bon axe de communication. Sincèrement, une gamme de produits que je recommande, facile d’utilisation, utile et stylé. J’avoue, bien, bien bluffé. Si vous souhaitez faire des retours d’expériences les commentaires sont ouverts. Retenez bien ce nom : Gillette Fusion ProGlide Styler
Feu Michael Hutchence (chanteur du groupe INXS) avait usé d’une ceinture pour mettre fin à ses jours, n’étant pas chanteur et surtout n’ayant pas de ceintures de cette marque de luxe dont la solidité n’est plus à prouver, je crois que la cravate pourrait s’avérer une solution alternative intéressante…
Cet ouvrage reflète une vision très personnelle de l’Orient. C’est en fait une construction toute poétique où la symbolique, l’ésotérisme sont, comme d’habitude chez Nerval, omniprésents. Les différentes parties qui forment le Voyage commencèrent à être publiées à partir de 1840 et furent rassemblées en vue de la parution de l’ensemble plus d’une dizaine d’années plus tard. Ce parcours littéraire, s’il commence par la Suisse et l’Allemagne, ne s’y attarde pas. Dans son introduction (« Vers l’Orient »), Nerval décrit Vienne et les aventures qu’il y vit, puis la Grèce. Mais ce seront l’Égypte (« Les Femmes du Caire »), le Liban (« Druses et Maronites ») et Constantinople (« Les Nuits du Ramazan ») qui constitueront successivement les objets principaux de son récit. Le « Voyage » est certes basé sur des expériences physiques personnelles de « Gérard », c’est-à-dire sur son déplacement jusqu’à Vienne en 1839-1840 et sur sa visite de l’Egypte, du Liban, de Rhodes, de la Syrie et de la Turquie en 1843. Il est aussi l’occasion de profiter d’une mode (on pense à Byron, à Chateaubriand, à Lamartine) et de montrer son talent de prosateur. Il reflète surtout une opportunité que Nerval crut saisir : celle de retrouver les origines communes de différentes civilisations en exprimant la singularité de son destin, de sa trajectoire tant mystique que poétique. Paru en 1851
“ Il faut retrouver la beauté de la simplicité. ” Gandhi
A l’origine du roman La reine de Saba, et au-delà de cette figure emblématique, il y a une volonté : celle de rendre compte de l’importance et de l’influence qu’a exercé ce personnage historique au fil des siècles en transcendant son amour pour le roi Salomon.
Le mythe de la Reine de Saba est immense et son influence est encore perceptible aujourd’hui. Marek Halter tenait donc également à aborder des thèmes tels que l’histoire, la littérature, l’archéologie, la religion, le mythe ou l’art. L’idée d’une collaboration à trois s’est peu à peu imposée autour de deux invités aux horizons divers mais avec une passion commune… lareinedesaba-lelivre.com ; Le blog La reine de Saba se veut un espace d’échange et de partage ouvert à tous : amateurs des ouvrages de Marek Halter, amoureux des fresques historiques, férus d’archéologie, passionnés de la Reine de Saba ou simples curieux, bienvenue.
Qui n’a jamais entendu parler de la Reine de Saba ? Voilà une figure qui a fait rêver des générations de peintres, de poètes, d’écrivains. Au mois de décembre 1933, André Malraux part à sa recherche. Aujourd’hui, soixante quinze ans après, dans un roman fastueux, Marek Halter lui donne un visage.
S’appuyant sur les dernières recherches archéologiques, il dessine les frontières du royaume de Saba, raconte la vie mouvementée de cette jeune reine, éclaire les guerres qu’elle a menées au Yémen de l’autre côté de la Mer Rouge et son alliance avec le royaume d’Israël du sage Salomon. Elle était noire. Elle était belle. L’Ancien et le Nouveau Testament ainsi que le Coran l’attestent. Grâce à elle, l’homme africain se marie à la mythologie de l’homme blanc. Contrairement aux reines grecques qui mettaient au défi leurs soupirants sur les champs de batailles, la reine de Saba met au défi le roi Salomon sur le champ de l’intelligence. La légende veut que de leurs brèves amours naisse un fils, Ménélik, «fils du roi» en langue guèze. Il fut le premier grand roi africain suivi de Ménélik II, Ménélik III et ainsi de suite.
Des centaines de milliers d’Africains en Éthiopie, au Mali, au Nigeria, au Ghana, au Rwanda, au Zimbabwe, en Ouganda, au Cap Vert et même au Kenya, d’où est originaire le père de Barack Obama (Barack, «béni» en hébreu), s’identifient à ce judaïsme-là mêlé à la tradition africaine. Au mois de mai 2009 leurs délégués se réuniront à San Francisco sous l’égide du Rabbin Capers Funnye, leader de la communauté des «Black Jews of America». ,La reine de Saba à qui Marek Halter redonne tout son éclat et son intérêt historique, est de plus en plus présente dans notre actualité. Sur le terrain, grâce aux dernières fouilles archéologiques à Axum en Éthiopie, dans la nouvelle expression poético-érotique qui prend ses sources dans le Cantique des Cantiques et sur le plan politique dans la plupart des pays d’Afrique où des groupes se réclamant de la lignée de la reine de Saba et du roi Salomon commencent à s’organiser dans des associations et synagogues.
Mesdemoiselles et mesdames, « if you want sex, you’ve got to move ! », autrement dit: Menez la danse. 75% des hommes aiment se faire chauffer et 80% d’entre eux sont prêts à passer directement à l’action si on les pousse un petit peu… Ces statistiques tirées d’une étude française menée auprès de 120 hommes de 18 à 35 ans démontre l’évolution des rapports hommes – femmes. Aujourd’hui l’homme souhaite être séduit, traité comme un objet. Donc avis aux prédatrices du Sexe si vous voulez un peu de fantaisie charnelle… n’attendez pas les hommes. Agissez !
Comme je ne voulais pas acheter « Un roman français » en me disant « c’est toujours la même chose », du coup j’ai involontairement acquis un deuxième exemplaire de « l’égoïste romantique ». Il m’a fallut atteindre la moitié du journal pour me rendre compte que je l’avais déjà lu… Sans vouloir offenser l’auteur c’est le syndrome « écris comme je le pense sur l’instant ». Pensée éphémère, lecture délébile. J’attaque « Imperial Bedrooms » de Bret easton Ellis sur Ipad, c’est volontaire parce qu’il y a le dictionnaire intégré, ainsi la plupart du temps lorsque je lis un livre en anglais j’en capte l’émotion ou du moins le crois-je, alors qu’avec cet outil je vais savoir plus précisément ce qu’à voulu dire l’auteur. L’avantage d’une bibliothèque informatisée c’est quelle repère les doublons… Espérons qu’elle ne fasse cependant pas d’occurrence, auquel cas certains auteurs seraient fusionnés… Des noms et puis quoi encore, moi aussi je fais dans la critique sans calorie ni saveur… trop peur de ce monde broyeur de paroles.
On pouvait déjà trouver la marque la plus »bohème chic » chez : Annanova 8 rue vital carles 33000 Bordeaux Tel.: 05.56.52.35.00 Gisele moss centre commercial Meriadeck 33000 bordeaux Tel.: 05.56.98.54.36 l’ile bleue 22 rue porte dijeaux 33000 Bordeaux Tel.: 05.56.81.68.41 Lolita n°5 194 rue sainte catherine 33000 Bordeaux Tel.: 05.56.31.18.25 Melba 3 rue de la vieille tour 33000 Bordeaux Tel.: 05.56.81.93.95 Nde Limited 5 rue de grassy 33000 Bordeaux Tel.: 05.57.14.27.00 Pig’n Rose 130 cours de verdum 33000 Bordeaux Tel.: 05.56.44.61.39 Ticket 10 rue franklin 33000 Bordeaux Tel.: 05.56.79.01.39 Zazie Rousseau 15 cours de tournon 33000 Bordeaux Tel.: 05.56.79.05.67 Mais aujourd’hui vient s’ajouter à cette belle liste un « vrai » store : American Vintage 8 places des Grands Hommes 33000 Bordeaux nul doute que cette nouveau point de vente saura très rapidement fidéliser une clientèle ultra captive !
De Sam Newfield – 1938 – USA – Western. Propriétaire du saloon de Tiny Town, le machiavélique Bart Haines essaie de semer la zizanie entre les fermiers Preston et Lawson. Une dispute savamment entretenue lui permet de faire main basse sur le bétail des deux hommes. Arrivent une diligence chargée d’or, une séduisante jeune femme, Nancy, la nièce de Preston, et Buck, propre fils de Lawson et tireur adroit… Au départ, rien ne distinguait le canevas de The Terror of Tiny Town des habituelles trames de westerns de série B alors produits à la chaîne. Et pourtant, Jed Buell, producteur spécialiste du western musical, en a fait une oeuvre insolite et unique en décidant de ne faire interpréter bagarres, poursuites et autres règlements de comptes que par… des nains! (…) Délirant, le film qui, contre toute attente, ne tombe jamais dans le second degré, trouve son aspect surréaliste dans les relations des personnages avec les décors et les accessoires à « taille humaine ». Source: http://www.etrangefestival.com
Giorgio Armani a designé les tenues de scène de la prochaine tournée mondiale « As I Am » de la chanteuse Alicia Keys. Les trois looks tirés des collections Giorgio et Emporio Armani se déclineront dans une palette de noir, doré, platine, aubergine et blanc. La première tenue se compose d’un gilet en cuir Giorgio Armani à gaufrage croco et un jeans Emporio Armani à finition vernie baptisé Alicia. La deuxième tenue associe une tunique à paillettes Emporio Armani portée avec un jean. Enfin, la troisième silhouette se compose d’un top incrusté de strass Swarovski et d’un pantalon cigarette. Les danseurs accompagneront la chanteuse et seront également habillés par Emporio Armani, Emporio Armani Red et A/X Armani Exchange. Le couturier connaît Alicia Keys, qu’il habille régulièrement sur les tapis rouges. Sa tournée débutera le 25 février à Glasgow et passera par Paris le 27 mars et le 12 juillet. J.DLR. Source : www.vogue.fr
MAXENCE CYRIN – Eye Of The Storm from ekleroshock on Vimeo.
A film by Julien Paolini.
julienpaolini.com
Composed, written and performed by Maxence Cyrin.
Produced by Frederic Soulard.
Taken from the album « The Fantasist ».
Buy digital on iTunes : bit.ly/OWMreV
Buy deluxe edition CD : bit.ly/TlxlC8
(p) & (c) Ekler’o’shock / EOS Records.
Published by Ekler’o’shock / EOS Publishing.
facebook.com/maxencecyrin
facebook.com/ekleroshock
ekleroshock.com
3 ou 4 petits piments rouges (piments « oiseaux »), grossièrement émincés. 2 gousses d’ail émincées grossièrement. 1 cuillerée à soupe de petites crevettes séchées (facultatif). 1 papaye verte épluchée et coupée en julienne (bâtonnets de + 5cm de longueur) ou éventuellement râpée. 1/2 carotte coupée en julienne. 5 cl. de jus de tamarin (facultatif). 15 cl. de jus de citron vert. 1,5 cuillerée à soupe de nam pla (sauce de poisson). 1,5 cuillerée à soupe de sucre de palme mélangé dans 1/2 cuillère à soupe d’eau tiède. 1 tomate coupée en 6 quartiers ou 6 tomates-cerise. 15 gr. de cacahuètes non salées, grillées et concassées. Quelques feuilles de coriandre (facultatif). Dans un grand mortier, mélanger l’ail, les crevettes séchées (facultatif) et les piments pour les réduire en purée. Ajouter la papaye verte et la carotte. Mélanger délicatement avec une cuillère en bois. Ajouter le jus de tamarin (facultatif), le nam pla (sauce de poisson), le sucre de palme et le jus de citron vert. Bien mélanger. Ajouter les tomates. Transférer la salade dans un plat de service et décorer avec les cacahuètes et les feuilles de coriandre.
Call of Duty Black Ops: Resurrection – Plongez dans « Resurrection », le dernier contenu téléchargeable pour « Call of Duty : Black Ops » et le premier épisode qui plonge les joueurs dans l’espace pour une nouvelle dimension de l’horreur.
A n’en pas douter, vos futures vacances à Metz incluront la visite de cet établissement qui se déploie sur 5000 m2 de surface d’exposition et est doté d’une grande nef de 1200 m2, d’un auditorium de 114 places, d’un studio de création de 196 places, d’un centre de ressource, d’une librairie-boutique, d’un café et d’un restaurant. En plus de l’exposition d’œuvres et pour les prolonger, le centre Pompidou-Metz proposera tout au long de l’année une riche programmation culturelle bâtie autour de spectacles vivants, de séances de cinéma et de conférences. Le tourisme des Vosges vient de mettre une nouvelle corde à son arc. Grâce à cette première décentralisation d’une grande institution nationale, Metz Lorraine accroît son attractivité !
60 cl d’eau – 400 g de farine – 2 œufs – 4 pincées de levure chimique – 2 pincées de sel – 18 grappes de fleurs d’acacia – 2 l d’huile de pépins de raisin – sucre en poudre. 1 heure avant de réaliser la pâte à beignets, placez dans le réfrigérateur l’eau, les œufs, la farine, la levure, le sel. Mélangez l’eau, les œufs, la levure, le sel, rapidement. Ajoutez la farine. Brassez à la fourchette sans rechercher une consistance homogène, laissez des grumeaux. Faites chauffer l’huile de pépins de raisin à 180 °C. Plongez les grappes dans la pâte puis faites-les frire 4 par 4. Egouttez-les sur du papier absorbant et saupoudrez de sucre.
Pour 6 personnes. Une boîte de sardines ou de pilchards – 3 paquets de feuilles de manioc frais – 4 grosses aubergines – 5 oignons moyens – 7 cuillères à soupe d’huile d’arachide ou de palme – ciboulette – 300 g de crevettes séchées – 2 tablettes de bouillon-cube – un peu de pâte d’arachide. Laver et presser les feuilles de manioc à l’eau chaude, les piler à la main avec le mortier ou à l’aide d’un robot culinaire. Faire bouillir dans une grande casserole durant 1 heure dans l’eau salée ; ajouter un peu d’eau et le poisson. Au bout de 20 minutes, si le poisson a des arêtes, le retirer de la casserole et enlever celles-ci. ,Ajouter les aubergines épluchées et coupées en dés dans la casserole avec les feuilles de manioc ; remettre le poisson sans les arêtes dans la casserole et laisser cuire encore environ 20 minutes. Ajouter alors les crevettes séchées. ,Faire chauffer de l’huile dans une poêle. Verser cette huile dans la casserole du saka saka. Remettre la casserole sur le feu ; laisser chauffer jusqu’à l’évaporation totale de l’eau. , Enlever la casserole du feu et servir chaud ou froid, accompagné de riz ou de bananes plantains bouillies.
Et (surtout) de ceux qui ne le sont pas. Comment ai-je pu penser que le Club des Longues Moustaches était une association de gays pileux ? Où est situé ce restaurant de l’Algonquin dont on me répète qu’il était le centre du monde au début du XXe siècle ? D’où sortent ce baron Corvo et ce Zo d’Axa ? Suis-je tenu de relire l’intégrale des colloques de Cerisy, de me mettre à la post-poésie et à la littérature agénérique ? Pourquoi les Crosby sont-ils jugés beaucoup plus importants que les Fitzgerald ? Dois-je lire ce mystérieux B. Traven dont on m’assure qu’il surpasse Conrad et London ? Suis-je vraiment un idiot de croire que la Paris Review est un guide touristique consacré à la Ville Lumière ? Jean de La Ville de Miremont est-il le plus grand écrivain français du XXe siècle, comme on me l’affirme dans les dîners ? Qui est cet André Blanchard, de Vesoul, qui provoque crises de spasmophilie à la seule évocation de son nom ? Quel est le prix littéraire le plus déjanté ? Pourquoi devrais-je prêter attention aux journaux du défunt Matthieu Galey ? Suis-je obligé d’aller acheter mes livres à Tours, place Grand-Marché ? Ce lexique indispensable de connaissance littéraire pointue s’adresse à tous ceux qui soupçonnent l’existence d’un autre monde derrière les grandes figures imposées. Entre seconds couteaux ignorés ou oubliés, figures de dandy vénérées, personnages pittoresques, us et coutumes d’une secte étrange, ce dictionnaire d’un genre inédit est un remarquable voyage à travers la littérature. Et confirme le mot de Schnitzler selon lequel le snob a en général raison. Fabrice Gaignault (Auteur), Alberto Vejarano (Illustrations) www.amazon.fr
Le Début de la fin Quatorze ans après la tentative d’assassinat dont elle a été victime, la célèbre détective littéraire Thursday Next est toujours aux prises avec la fiction : on lui a collé son alter ego en guise de stagiaire, un Excédent de Bêtise menace, et, surtout, la fin des Temps est à craindre. Tout ça alors que son fils, le petit Friday jadis si mignon, est devenu un adolescent mollasson qui lui cause bien du souci. Pourtant la ChronoGarde cherche à tout prix à le recruter… il est selon eux destiné à sauver la planète… pas moins de 756 fois ! Et ce n’est que le début… car un livre interactif dans lequel les lecteurs pourront tout bonnement éliminer les passages dits ennuyeux est censé pallier la baisse vertigineuse de la lecture dans le Monde Extérieur! Les lecteurs qui prennent le pouvoir ? Thursday doit bien avouer qu’on ne lui avait encore jamais fait ce coup-là. Et c’est à elle et à elle seule qu’il revient d’empêcher le Monde des Livres de voler en éclats… Traduit de l’anglais par Jean-François Merle FFORDE Jasper Traducteur : MERLE J.F. www.10-18.fr
The Big Book of Breasts Au sein des seins TASCHEN, après avoir passé en revue les différents procédés de chirurgie esthétique, revient à l’apologie du naturel en présentant les plus belles poitrines féminines, libres de tout artifice. Certains appellent cela l’obsession américaine, mais force est de constater que le pouvoir hypnotique de la poitrine féminine sur les hommes est mondial. Dian Hanson explore ici 50 ans d’obsession pour les fortes poitrines à travers autant d’années de photographies de nu: de Busty Brown, durant la seconde guerre mondiale, jusqu’à la recordwoman mondiale Norma Stitz. Ce livre de plus de 400 pages propose les plus belles et les plus provocantes photographies jamais faites, complétées par dix entretiens inédits. A une époque où la silicone devient la norme, The Big Book of Breast est la preuve que la nature fera toujours mieux. À propos de l’éditeur: Dian Hanson est née à Seattle en 1951. Elle dirige la collection Sexy Books de TASCHEN depuis 2001. Avant cela, elle a conçu pendant 25 ans des revues de charme, dont Puritan, OUI, Outlaw Biker, Juggs et Leg Show. Parmi ses nombreux ouvrages pour TASCHEN se trouvent The Complete Kake Comics et The Big Penis Book. Elle vit à Los Angeles. www.taschen.com
La région viticole la plus étendue de Suisse, fournissant 40% de la production nationale. Considéré comme la Californie de la Suisse, ce canton bénéficie d’un climat exceptionnel pour la culture de la vigne. Précipitations faibles et insolation maximale, températures douces jusque tard en automne. Le vignoble longe la vallée du Rhône, sur des côteaux abrupts échelonnés entre 500 et 800 mètres d’altitude, voir même 1100 mètres à Visperterminen (le plus haut vignoble d’Europe). Les sols sont très variés, avec cependant généralement peu d’argile. Bien aérés, légers, ils se réchauffent rapidement et retiennent peu l’eau. A Sion, les schistes, ou brisés, dominent, associés au mica: ce sont eux qui donnent au Fendant « les Murettes » ce tempérament caractéristique et ces arômes de pierre à fusil. Si le Fendant représente encore près de la moitié de la production, donnant un vin très réputé pour sa fraîcheur, sa légèreté et son léger pétillant, d’innombrables cépages, dont certains uniques au monde, sont remis aujourd’hui à l’honneur et permettent au Valais d’engranger des médailles dans les plus grands concours internationaux. En blanc, il faut citer l’amigne, l’arvine, la marsanne blanche, le muscat, le païen, la malvoisie et le sylvaner, appelé ici Johannisberg. En rouge, le Valais produit sans doute les vins les plus réputés de Suisse: la dôle, assemblage de pinot noir (prédominant) et de gamay, reste le grand classique. Le pinot peut également être vinifié seul et donner de grands vins de garde, comme le Vendémiaire de Gilliard. L’humagne rouge et le cornalin, cépages indigènes très réputés, donnent des vins extraordinaires, corsés, pleins de caractère, qui se bonifient avec l’âge. La syrah, encore rare, se développe pourtant rapidement grâce aux excellents résultats qu’elle donne, tout comme le diolinoir qui améliore sensiblement les vins d’assemblages, tel l’Antarès de Gilliard. Les rosés valaisans sont friands, frais et fruités: on trouve la dôle blanche, assemblage de pinot et de gamay vinifié en blanc, mais également les saignées de dôle et l’oeil de perdrix issu exclusivement de pinot noir. Les vins doux et liquoreux sont élaborés essentiellement à partir du Johannisberg, de l’amigne, de l’ermitage et du pinot gris. Le Valais offre l’un des rares micro-climats au monde permettant le développement de la pourriture noble. Les vins qui en sont issus, dans le respect de la charte « Grain Noble » sont dignes de concurrencer les plus grands liquoreux de la planète. Voir également: Arvine, Pourriture Noble, Rhône Produits en rapport avec cet article: Johannisberg Clos du Brûle Fer 2004, Fendant Clos de Cochetta 2005, Johannisberg Porte de Novembre 2004 37.5cl, Dôle des Monts 2005 75cl, Fendant Les Murettes 2005 75cl, Fendant Les Murettes 2005 37.5cl http://www.1885.ch
Réalisé par Vincent Gallo Avec Vincent Gallo, Christina Ricci, Ben Gazzara Après cinq années passées à la prison de Buffalo, Billy Brown est libéré. Il part rendre visite à ses parents, qui ignorent tout de la nature véritable de sa disparition, et kidnappe sur sa route une jeune étudiante nommée Layla. Il lui demande alors de jouer le rôle de l’épouse fictive qui lui a jusqu’à présent servi d’alibi dans ses lettres.www.allocine.fr
Cinéaste atypique, cassant les genres par un cinéma résolument « trash », ses premiers films du genre sont Pink Flamingos, Female Trouble, et Desperate Living. Des films en totale rupture avec les conventions et le bon goût, comme en témoigne une scène culte de Pink Flamingos dans laquelle Divine, acteur fétiche de John Waters, mange des excréments de chien. Il est à noter que John Waters fais souvent place aux femmes fortes dans ses films. Nombreuses sont ses héroïnes aux formes généreuses. Divine dans la plupart de ses films, mais aussi Ricki Lake dans Hairspray, où elle vampe les hommes et remporte un concours de danse devant toutes les autres candidates minces. À partir de Hairspray, on notera un assagissement, du point de vue « trash », même si ses films auront toujours cette touche anti-conventionnelle qui caractérise John Waters. Que ce soit dans le choix des acteurs, aux physiques en totale opposition avec les acteurs américains conventionnels, que ce soit par l’humour qui caractérise ses œuvres, humour bien souvent noir ou décalé, voire de mauvais goût. Mais également au niveau des scénarios, qui nous emmènent dans des situations complément ahurissantes : ses films, même moins provocants qu’à ses débuts, seront toujours caractérisés par une vraie rupture avec le cinéma américain conventionnel. A la différence de ses premiers films caractérisés par son mauvais goût, il utilisera une image plus « douce », plus « propre » dans les années 80/90 mais son discours sera d’autant plus virulent et la pervesion d’autant plus efficace : utiliser les conventions d’un teenmovie (« hairspray »), d’un soap opéra (« Polyester ») pour mieux les détourner est une des meilleures réussites du style John Waters.
Quand l’art rencontre la mode. A l’occasion de la « VOGUE FASHION NIGHT OUT », le jeudi 6 septembre 2012, HUGO BOSS met à l’honneur l’art contemporain, en faisant appel à l’artiste peintre, Yann Sciberras. Influencé par le mouvement de la figuration libre, son travail est incisif, décalé et résolument urbain. Ce témoin artistique, comme il aime à se définir, mixe autodérision et humour. Sa peinture constitue un mélange détonant tant sur les couleurs flashy et pop que par les mots utilisés comme accroche à l’influence urbaine. Il combine les formes et les mots version « in english ». Ses toiles racontent une histoire, une vérité au travers de slogans et de poésies. De 18 heures à 22 heures, Yann Sciberras, réalisera une performance en live en reprenant les codes de la maison HUGO BOSS. Avec cette manifestation, HUGO BOSS confirme son implication dans l’art contemporain. En association avec la Fondation Guggenheim, le géant du prêt-à-porter a créé en 1996 le Prix HUGO BOSS. Cette récompense représente aujourd’hui l’un des plus anciens partenariats entre la mode et l’art. Ce prix a valeur de référence internationale. Remis tous les deux ans, il est doté de 100.000 dollars et s’accompagne d’une exposition temporaire au Guggenheim de New York. Parmi les lauréats figurent notamment Matthew Barney (1996), Douglas Gordon (1998), Pierre Huyghe (2002) ou Tacita Dean (2006).
Le 9ème Prix HUGO BOSS sera remis le jeudi 1er novembre 2012 au Guggenheim de New York.
En attendant, Rendez-Vous le jeudi 6 septembre de 18h00 à 22h00 à la boutique HUGO BOSS – 372, rue Saint-Honoré 75008 Paris.
It’s like a little colorful fly floating in a pool of hungry trout. Do no bite or you will be somebody’s dinner. Enjoy, at your own risk. source: egotastic.com
La plupart des garçons vous le diront, se raser les parties intimes est le meilleur moyen pour transformer un sexe de taille correcte en trompe d’éléphant. Effectivement, mais pas seulement, cela peut aussi, dans certains cas, aider à vaincre les réticences de celles qui n’aiment pas la fellation… Douceur, propreté, confort, le rasage intime démontre également de la part de ceux qui le pratiquent un réel « savoir – vivre ». Attention néanmoins aux coupures et autres désagréments dus à un rasage trop intense. Vous pouvez également proposer à votre partenaire de vous raser… Terriblement sensuel et excitant.
Pour 6 personnes 500 g de fruits (fraises, mûres, nectarines) – 1 orange – 1 citron – 130 g d’amandes effilées – 300 g de semoule fine de blé – 50 g de farine – 1 sachet de levure chimique – 220 g de sucre – 4 œufs – 100 g de beurre + 10 g – 3 cuillères à soupe de rhum – sel. Préchauffer le four à 180° C. Travailler les jaunes d’œufs et 100 g de sucre jusqu’à blanchiment. Ajouter la farine mélangée à la semoule et à la levure, puis 100 g de beurre tiède. Battre les œufs en neige bien ferme avec un peu de sel et les incorporer à la préparation, avec 100 g d’amandes effilées. Parsemer un moule à savarin beurré du reste d’amandes sur le fond et les côtés. Y verser la pâte et mettre au four 35 min. Laver et équeuter les fraises, couper les nectarines en tranches fines. Réaliser le sirop : faire bouillir 5 min 120 g de sucre, 15 cl d’eau et le zeste des agrumes. Laisser tiédir et ajouter le rhum. Démouler le gâteau et l’arroser aussitôt de sirop filtré. Laisser refroidir et garnir l’intérieur de fruits frais. Préparation : 30 min. Cuisson : 35 min.
01:22 la maisonnée raisonne du sommeil des justes, tandis que je pianote sur mon IPad ces mots qui tels des bouteilles à la mer syntaxique iront frayer, dès que j’aurais publié ce billet, avec la rétine et l’intellect d’un être cher par nature puisqu’il aura choisi de me lire. L’écriture de nuit est évidemment différente de celle de jour, plus intime, plus hasardeuse, moins contrôlée.
Je ne parle qu’à toi, à demi mots et par confidence, prêt à te livrer les secrets de mon cœur et de mon âme (si j’en suis pourvu), pourquoi m’en priver ? La difficulté ne réside pas dans le dire mais dans le bien dire. Solitude des maux infligés, me battre pour être en conformité avec mon étincelle de vie. Le jeu pour le Je. Apprendre à contrôler le torrent passionnel qui voyage en moi et t’ecouter sans te juger. Te reconnaître pour ce que tu es et comme tu es sans t’interpreter. Me libérer tout seul des chaînes invisibles qui me condamnent à la stagnation et te donner la clé parce que j’ai confiance en toi, j’ai confiance en nous, toi qui me lis, moi qui t’écris. Notre rapport va bien au delà tu le sais bien et même si au fond de toi tu doutes, laisse ma sincérité t’envelopper. Voyageons sur le chemin de la liberté sans crainte de rien. Ici au cœur de la nuit et par ce clavier virtuel, rien n’est impossible, tout est en devenir, toi, moi, l’existence, créons un monde onirique, de rêves éveillés. Every accomplishment starts with the decision to try.
Je ne parle qu’à toi mais je ne te parle que de moi, c’est bien assez et comme je te l’ai dit, je ne veut pas me méprendre sur ce que tu penses, ce que tu ressens, comment ton étincelle de vie brille en toi. Il y a longtemps que je me suis sacrifié à l’autel de la bêtise, à l’autel de l’orgueil, à l’autel des préjugés et à l’autel de la jalousie. Cela ne m’a pas servi de leçon puisque je pratique toujours l’art de l’inversion. Je veux tout, tout de suite, sans rien donner, mais abreuve moi de ton amour, abreuve moi de tes charmes, envoluptes moi au paradis interdit. Au corps de la nuit, le calme vient après l’onde de choc. Tu dors ? Laisse moi me blottir contre toi, chaleur et douceur, tendrement enlacés pour l’éternité d’un instant. Au cœur de la nuit je te rejoins. Parle Cœur, je t’ecoute pour la première fois.
60 g d’amandes effilées 100 g d’amandes en poudre 6 pêches blanches 50 g de beurre 5 cl de miel liquide 25 cl de lait 70 g de sucre en poudre 3 jaunes d’œufs 20 g de maïzena Préchauffez le four sur th 6 (180° C). Plongez les pêches dans une casserole d’eau bouillante pendant 2 min, puis pelez-les, coupez-les en deux et enlevez les noyaux. Enduisez un plat à gratin avec 25 g de beurre. Piquez la moitié des amandes effilées sur le pourtour des pêches, puis rangez-les dans le plat et arrosez-les avec le miel. Parsemez avec le reste de beurre en parcelles. Enfournez puis laissez cuire 20 min en arrosant souvent de jus de cuisson. Sortez les pêches du four et laissez refroidir. Faites chauffer le lait additionné de la poudre d’amandes. Dans un bol fouettez les jaunes d’oeufs avec le sucre jusqu’à ce qu’ils blanchissent. Incorporez la Maïzena. Délayez avec un peu de lait chaud, reversez dans la casserole de lait et faites épaissir sur feu moyen sans cesser de remuer à la spatule. Transvasez dans un saladier, incorporez le jus de cuisson des pêches et laissez refroidir complètement en remuant de temps en temps.Faites griller quelques secondes à sec dans une poêle le reste des amandes effilées. Disposez les pêches sur les assiettes et garnissez-les de crème, décorez avec les amandes effilées.
2 queues de langoustes 400 g de gambas 2 mangues 2 pommes 2 tomates 2 gousse d’ail 1 oignon 0.5 poivron vert 60 g de noix de cajou 40 cl de lait de coco en conserve 20 cl de crème liquide 50 g de beurre clarifié 2 c. à soupe de curry doux sel et poivre Décortiquez à cru les gambas en laissant la nageoire caudale. Découpez les queues de langoustes en médaillons en suivant les articulations. Epluchez et émincez l’ail et l’oignon. Pelez et épépinez les tomates,détaillez-le en dés. Coupez le poivron en lamelles fines. Débitez la chair des pommes et mangues en dés. Faites fondre le beurre clarifié dans une cocotte, sur feu vif. Mettez-y l’oignon et l’ail à revenir 3 min sans les laisser colorer. Ajoutez le curry, une pincée de sel et de poivre et tournez 1 min le mélange sur feu vif avec une cuillère en bois pour que le parfum se développe. Versez petit à petit le lait de coco et portez éébullition. Mettez poivrons, toamates,pommes et mangues et laissez mijoter 5 min; ajoutez morceaux de langouste et gambas. Laissez mijoter à découvert 5 min à partir du premier frémissement. Grillez les noix de cajou à sec dans une poêle, réservez. Videz le contenu de la cocotte dans une passoire au-dessus d’une casserole. Versez la crème dans la casserole et portez à ébullition pour lier la sauce. Rectifier l’assaisonnement. Répartissez les médaillons de langouste et les gambas sur des assiettes chaudes nappées de sauce. Garnisssez de dés de fruits et de légumes, parsemez les noix de cajou et servez.
L’homme riche, oisif, et qui, même blasé, n’a pas d’autre occupation que de courir à la piste du bonheur; l’homme élevé dans le luxe et accoutumé dès sa jeunesse à l’obéissance des autres hommes, celui enfin qui n’a pas d’autre profession que l’élégance, jouira toujours, dans tous les temps, d’une physionomie distincte, tout à fait à part. Le dandysme est une institution vague, aussi bizarre que le duel; très ancienne, puisque César, Catilina, Alcibiade nous en fournissent des types éclatants; très générale, puisque Chateaubriand l’a trouvée dans le forêts et au bord des lacs du Nouveau-Monde. Le dandysme, qui est une institution en dehors des lois, a des lois rigoureuses auxquelles sont strictement soumis tous ses sujets, quelles que soient d’ailleurs la fougue et l’indépendance de leur caractère. Les romanciers anglais ont, plus que les autres, cultivé le roman de high life, et les Français qui, comme M. de Custine, ont voulu spécialement écrire des romans d’amour, ont d’abord pris soin, et très judicieusement, de doter leurs personnages de fortunes assez vastes pour payer sans hésitation toutes leurs fantaisies; ensuite ils les ont dispensés de toute profession. Ces êtres n’ont pas d’autre état que de cultiver l’idée du beau dans leur personne, de satisfaire leurs passions, de sentir et de penser. Ils possèdent ainsi, à leur gré et dans une vaste mesure, le temps et l’argent, sans lesquels la fantaisie, réduite à l’état de rêverie passagère, ne peut guère se traduire en action. Il est malheureusement bien vrai que, sans le loisir et l’argent, l’amour ne peut être qu’une orgie de roturier ou l’accomplissement d’un devoir conjugal. Au lieu du caprice brûlant ou rêveur, il devient une répugnante utilité. Si je parle de l’amour à propos du dandysme, c’est que l’amour est l’occupation naturelle des oisifs. Mais le dandy ne vise pas à l’amour comme but spécial. Si j’ai parlé d’argent, c’est parce que l’argent est indispensable aux gens qui se font un culte de leurs passions; mais le dandy n’aspire pas à l’argent comme à une chose essentielle; un crédit indéfini pourrait lui suffire; il abandonne cette grossière passion aux mortels vulgaires. Le dandysme n’est même pas, comme beaucoup de personnes peu réfléchies paraissent le croire, un goût immodéré de la toilette et de l’élégance matérielle. Ces choses ne sont pour le parfait dandy qu’un symbole de la supériorité aristocratique de son esprit. Aussi, à ses yeux, épris avant tout de distinction, la perfection de la toilette consiste-t-elle dans la simplicité absolue, qui est en effet la meilleure manière de se distinguer. Qu’est-ce donc que cette passion qui, devenue doctrine, a fait des adeptes dominateurs, cette institution non écrite qui a formé une caste si hautaine? C’est avant tout le besoin ardent de se faire une originalité, contenu dans les limites extérieures des convenances. C’est une espèce de culte de soi-même, qui peut survivre à la recherche du bonheur à trouver dans autrui, dans la femme, par exemple; qui peut survivre même à tout ce qu’on appelle les illusions. C’est le plaisir d’étonner et la satisfaction orgueilleuse de ne jamais être étonné. Un dandy peut être un homme blasé, peut être un homme souffrant; mais, dans ce dernier cas, il sourira comme le Lacédémonien sous la morsure du renard. On voit que, par de certains côtés, le dandysme confine au spiritualisme et au stoïcisme. Mais un dandy ne peut jamais être un homme vulgaire. S’il commettait un crime, il ne serait pas déchu peut-être; mais si ce crime naissait d’une source triviale, le déshonneur serait irréparable. Que le lecteur ne se scandalise pas de cette gravité dans le frivole, et qu’il se souvienne qu’il y a une grandeur dans toutes les folies, une force dans tous les excès. Etrange spiritualisme! Pour ceux qui en sont à la fois les prêtres et les victimes, toutes les conditions matérielles compliquées auxquelles ils se soumettent, depuis la toilette irréprochable à toute heure du jour et de la nuit jusqu’aux tours les plus périlleux du sport, ne sont qu’une gymnastique propre à fortifier la volonté et à discipliner l’âme. En vérité, je n’avais pas tout à fait tort de considérer le dandysme comme une espèce de religion. La règle monastique la plus rigoureuse, l’ordre irrésistible du Vieux de la Montagne, qui commandait le suicide à ses disciples enivrés, n’étaient pas plus despotiques ni plus obéis que cette doctrine de l’élégance et de l’originalité, qui impose, elle aussi, à ses ambitieux et humbles sectaires, hommes souvent pleins de fougue, de passion, de courage, d’énergie contenue, la terrible formule: Perindè ac cadaver! Que ces hommes se fassent nommer raffinés, incroyables, beaux, lions ou dandies, tous sont issus d’une même origine; tous participent du même caractère d’opposition et de révolte; tous sont des représentants de ce qu’il y a de meilleur dans l’orgueil humain, de ce besoin, trop rare chez ceux d’aujourd’hui, de combattre et de détruire la trivialité. De là naît, chez les dandies, cette attitude hautaine de caste provoquante, même dans sa froideur: Le dandysme apparaît surtout aux époques transitoires où la démocratie n’est pas encore toute-puissante, où l’aristocratie n’est que partiellement chancelante et avilie. Dans le trouble de ces époques quelques hommes déclassés, dégoûtés, désoeuvrés, mais tous riches de force native, peuvent concevoir le projet de fonder une espèce nouvelle d’aristocratie, d’autant plus difficile à rompre qu’elle sera basée sur les facultés les plus précieuses, les plus indestructibles, et sur les dons célestes que le travail et l’argent ne peuvent conférer. Le dandysme est le dernier éclat d’héroïsme dans les décadences; et le type du dandy retrouvé par le voyageur dans l’Amérique du Nord n’infirme en aucune façon cette idée: car rien n’empêche de supposer que les tribus que nous nommons sauvages soient les débris de grandes civilisations disparues. Le dandysme est un soleil couchant; comme l’astre qui décline, il est superbe, sans chaleur et plein de mélancolie. Mais, hélas! la marée montante de la démocratie, qui envahit tout et qui nivelle tout, noie jour à jour ces derniers représentants de l’orgueil humain et verse des flots d’oubli sur les traces de ces prodigieux mirmidons. Les dandies se font chez nous de plus en plus rares, tandis que chez nos voisins, en Angleterre, l’état social et la constitution (la vraie constitution, celle qui s’exprime par les moeurs) laisseront longtemps encore une place aux héritiers de Sheridan, de Brummel et de Byron, si toutefois il s’en présente qui en soient dignes. Ce qui a pu paraître au lecteur une digression n’en est pas une, en vérité. Les considérations et les rêveries morales qui surgissent des dessins d’un artiste sont, dans beaucoup de cas, la meilleure traduction que le critique en puisse faire; les suggestions font partie d’une idée mère, et, en les montrant successivement, on peut la faire deviner. Ai-je besoin de dire que M. G., quand il crayonne un de ses dandies sur le papier, lui donne toujours son caractère historique, légendaire même, oserais-je dire, s’il n’était pas question du temps présent et de choses considérées généralement comme folâtres? C’est bien là cette légèreté d’allures, cette certitude de manières, cette simplicité dans l’air de domination, cette façon de porter un habit et de diriger un cheval, ces attitudes toujours calmes mais révélant la force, qui nous font penser, quand notre regard découvre un de ces êtres privilégiés en qui le joli et le redoutable se confondent si mystérieusement: « Voilà peut-être un homme riche, mais plus certainement un Hercule sans emploi. » Le caractère de beauté du dandy consiste surtout dans l’air froid qui vient de l’inébranlable résolution de ne pas être ému; on dirait un feu latent qui se fait deviner, qui pourrait mais qui ne veut pas rayonner. C’est ce qui est, dans ces images,
parfaitement exprimé.
C’est la rentrée, et évidemment les culs sont de retour ! Nos amis males peuvent enfin se satisfaire d’une chose : Le retour des demoiselles aux corps ensoleillés. C’est reparti pour la chasse : boites de nuit, bars, clubs…
Jay-Z on Decoded When you’re famous and say you’re writing a book, people assume that it’s an autobiography–I was born here, raised there, suffered this, loved that, lost it all, got it back, the end. But that’s not what this is. I’ve never been a linear thinker, which is something you can see in my rhymes. They follow the jumpy logic of poetry and emotion, not the straight line of careful prose. My book is like that, too. Decoded is first and foremost, a book of rhymes, which is ironic because I don’t actually write my rhymes–they come to me in my head and I record them. The book is packed with the stories from my life that are the foundation of my lyrics–stories about coming up in the streets of Brooklyn in the 80’s and 90’s, stories about becoming an artist and entrepreneur and discovering worlds that I never dreamed existed when I was a kid. But it always comes back to the rhymes. There’s poetry in hip-hop lyrics–not just mine, but in the work of all the great hip-hop artists, from KRS-One and Rakim to Biggie and Pac to a hundred emcees on a hundred corners all over the world that you’ve never heard of. The magic of rap is in the way it can take the most specific experience, from individual lives in unlikely places, and turn them into art that can be embraced by the whole world. Decoded is a book about one of those specific lives–mine–and will show you how the things I’ve experienced and observed have made their way into the art I’ve created. It’s also about how my work is sometimes not about my life at all, but about pushing the boundaries of what I can express through the poetry of rap–trying to use words to find fresh angles into emotions that we all share, which is the hidden mission in even the hardest hip-hop. Decoded is a book about some of my favorite songs–songs that I unpack and explain and surround with narratives about what inspired them–but behind the rhymes is the truest story of my life. amazon.com
AoA est une famille musicale recomposée sur les cendres de Filter et de STP à découvrir… Le combo est composé des ultra talentueux: Richard Patrick Vocals Filter Dean DeLeo Guitar Stone Temple Pilots Robert DeLeo Bass Stone Temple Pilots Ray Luzier Drums David Lee Roth’s band Morceaux choisis à écouter sur site : http://www.myspace.com:80/armyofanyone