Passée la vague mode et grand public, pour survivre, la Blogosphère se structure, deux courants leaders se confrontent. Tout d’abord, les influenceurs : Adepte, apôtres et gourous du Web 2.0, ils manient aussi bien le contenant que le contenu. Véritables spécialistes du multimédia marketing, ils magnifient les campagnes virales, les buzz et les pubs de la colonne de droite, de gauche et du centre. Page rank, position technorati, liens, rien n’est laissé au hasard et toute info distillée sur leurs espaces virtuels se doit d’être qualitative, sûre et parfois même sponsorisée pour générer de la visite et gagner du chaland. Bande organisée, les blogueurs with influence tissent des liens qui vont bien souvent au-delà de la toile. Un modèle en somme. Les élitistes : Avant tout artistes dans l’âme, les élitistes se plaisent à offrir à leur public exigeant et plutôt haut de gamme une infographie avant-gardiste et/ou des news originales, décalées voire inaccessibles pour le commun. Sur la toile, l’influence des élitistes reste modérée, d’ailleurs leurs blogs ne génèrent pas forcément un nombre extravagant de visites. Hédonistes, militants ou simples apporteurs de plus – value intellectuelle, les élitistes ne se sont pas castés et savent conserver leur indépendance. Une philosophie en somme.
Depuis quarante ans, Gerald Nanty ne dort pas. Depuis 1965, cet animateur féroce et spirituel a régné sur des night-clubs aussi légendaires que le Nuage, le Prélude, le Colony, l’Echelle de Jacob, ou le Trap. Aujourd’hui, son bar-restaurant le Mathi’s est une institution parisienne, un salon nocturne, un cabaret mondain et le dernier sanctuaire d’une nuit civilisée. A travers le parcours d’un snobnambule hors du commun, Elisabeth Quin ressuscite une Atlantide avec son peuple de la nuit et ses figures littéraires, interlopes, picaresques ou tragiques. Elisabeth Quin est journaliste. Elle a publié, chez Grasset, La peau dure et Tu n’es pas la fille de ta mère. http://www.amazon.fr
Pour être heureux vivons cachés, pour enfin respecter l’adage et passer des vacances de rêve, fuyons les pipoles et autres stars qui parasitent nos lieux favoris de villégiature. Las Palmas, Marrakech, Santander, Les Maldives : Out… Viva Guatemala ! A nous les longues promenades le long du lac Atitlán, les visites des temples Maya et des forets vierges et inexplorées…
Au milieu des années 90, l’écrivain Guillaume Dustan divisait le monde en deux catégories : ceux qui, tous les lundis, se précipitaient sur Libération pour y lire les dernières tribulations nocturnes d’Eric Dahan, et les autres. Chroniques d’un genre nouveau, mixant avec brio trash et glamour, superstars et anonymes, mondanités et sous-culture, ses Nuits Blanches fascinaient ou agaçaient, mais ne laissaient personne indifférent. Décantation revisitée des Nuits Blanches, Night Reporter entrecroise récits de défilés de mode et de raves techno, de soirées SM ou de concerts rock, et multiplie les rencontres improbables au bout du monde ou au coin de la rue avec des personnes, inconnues ou célèbres, qui portent un regard singulier sur notre époque, ses totems et ses tabous. Expérience de littérature ironique, fragmentaire et impure, ouvertes à toutes les associations d’idées, projections ou transferts mais également enquête sur la déréalisation du monde, dont les indices sont à la fois visuels et textuels (…) http://www.somogy.net
Picture the scene. The other fuckin’ week there… doin’ the fuckin’ Volley with Tommy playing pool. I’m playin’ like Paul-fuckin’-Newman by the way… givin’ the boy here the tannin’ of a lifetime. So it comes to the last shot, the deciding ball of the whole tournament. I’m in the black, and he’s sittin’ in the corner looking all fucking biscuit-arsed. When this hard cunt comes in. Obviously fucking fancied himself like. Starts staring at me. Looking at me, right fucking at me, as if to say, « Come ahead, square go. » You know me. I’m not the type of cunt that goes looking for fucking bother… but at the end of the day, I’m the cunt with the pool cue… and he can get the fat end in his puss any time he fucking wanted, like. So I squares up, casual like. What does the hard cunt do? Or the so-called hard cunt? Shites it. Puts down his drink, turns and gets the fuck out of there. And after that, well, the game was mine. Source: http://www.script-o-rama.com
1/09/2007 0:00 Bataclan Paris France. Underground de qualité, musicalement, visuellement et atmospheriquement. Tenues extravagantes appréciées voire récompensées. Ils sont là! Ensemble! 3h de DJ set pour le plaisir avant leur retour sur scene en octobre. MISS KITTIN & THE HACKER ON THE MIX. (Goodlife/FR) Jerome Pacman sera aussi présent. C’est à Phunk Cirkus le samedi 1er septembre. Réservation conseillée. 15$/10$ € PHUNK CIRKUS : PHILOSOPHIE Phunk et Webecome sont heureux de lancer les soirees Phunk Cirkus. L’idée : réunir les pointus de la musique qui souvent dansent sur des disques merveilleux mais dans des environnements sinistrés (pas de style, pas ou peu de lights et de decor, bref peu d’ambiance pour les non-initiés) et les fetards qui s’habillent en couleurs, sont toujours partants pour des tenues extravagantes et un decorum mais sont peu au fait de l’actu musicale. Réunir la tete et les jambes en somme. Comme le disait Perry Farrell in Rock&Folk « Le monde est 50% spirituel, 50% matériel. Si un prêtre me donne des conseils mais qu’il a l’air tout chelou je ne vais pas l’écouter. » Donc il y aura des animations, des décors, des visuels (variables selon les soirées et s’affinant au fil de l’année) et bien sur une musique electronisante de qualité et parfois surprenante. Des exclus, des inconnus, des nouveautés, de l’improbable. Un refuge pour celles et ceux qui se désespèrent de l’uniformité du samedi soir. La soirée pour les ‘connaisseurs‘, clubbers, danseurs, beautés fatales. Bataclan 50 bd Voltaire 75011 Paris Mo Oberkampf 10€ en prevente : www.digitick.comwww.fnac.com 15 € sur place http://www.phunkster.com
Nœuds, robes à fleurs, ou revival années 40 ? Si on en croit la sélection shopping réalisée par Vogue cette semaine, [Vogue’s 10 Most Wanted Items of the Week : http://www.style.com] on peut dire que les 3 réponses sont bonnes, et se prendre à rêver pour la rentrée, d’une mode urbaine chic et classe, érotisante et sensuelle. Ce n’est pas que je n’apprécie pas les micro jupes sans culottes et les tops qui ne cachent rien mais, sans tomber dans un rigorisme obsolète, je pense qu’un peu de ‘distance’ aurait pour effet de remettre au goût du jour les traditionnels jeux de Séduction et de Passion et de relancer la machine à Imaginer… Ceci dit, avec une mini micro jupe et un top transparent… on gagne en franchise, on sait à quoi s’attendre… Bon l’idéal, c’est jupe longue jusqu’au genou et chemisier transparent ou l’inverse. OK pour la rentrée ?
Hi everybody ! 1 2 3 4 fight Stick to the G.E.E.K. Get ready to ignite You were such a S.N.O.B. Catching all the lights Just easy as A.B.C. That’s how you make it right… Se plaindre d’un temps morose, pour faire comme les P.L.O.U.C.S. Vous n’ y pensez pas ? Si j’avais su, j’aurai choisi G.S.T.A.A.D au lieu de I.B.I.Z.A, écouté D.i.g.i.t.a.l.i.s.m au lieu de J.U.S.T.I.C.E (less mainstream) et pratiqué le S.E.X.E comme une B.E.T.E. 1 2 3 4 fight Stick to the G.E.E.K. Get ready to ignite You were such a S.N.O.B. Catching all the lights Just easy as A.B.C. That’s how you make it right…
It is a widespread prejudice of modern, scientific society that « magic » is merely a ludicrous amalgam of recipes and methods derived from primitive and erroneous notions about nature. Eros and Magic in the Renaissance challenges this view, providing an in-depth scholarly explanation of the workings of magic and showing that magic continues to exist in an altered form even today.
L’artiste anglais Damien Hirst s’associe à Levi Strauss pour la collection printemps 2008, « Warhol Factory x Levi’s ». Celle-ci sera présentée au cours d’un défilé, en septembre, durant la Fashion Week de New York. Le géant du denim a créé le label Warhol Factory x Levi’s il y a deux ans, en s’associant à la Andy Warhol Foundation. Cette ligne originale de jeans, tops, vestes hommes et femmes qui rendent hommage aussi bien à l’iconographie originale de la marque Levi’s qu’au Pop Art d’Andy Warhol, qui ne portait que des 501 noirs et s’en est même inspiré pour l’une de ses créations. Damien Hirst s’est fait connaître dans le monde entier avec sa série « Natural History » : un ensemble d’animaux entiers ou découpés (vache, mouton, requin…) exposés dans d’immenses aquariums remplis de formol. Il est devenu en juin dernier, l’artiste vivant le plus cher au monde, après la vente chez Sotheby’s, à Londres, de son œuvre « Lullaby Spring » – une armoire à pharmacie remplie de plus de 6000 pilules réalisées et peintes à la main – pour un peu moins de 10 millions de £. Peu avant, il avait fait sensation en exposant, à la galerie White Cube de Londres, le moulage en platine d’un crâne humain du 18ème siècle, décoré de 8601 diamants. L’œuvre, intitulée « For the love of God », est aussitôt entrée dans le Livre des records en tant que pièce artistique la plus chère jamais créée. Mais, commeAndy Warhol, Damien Hirst est un inconditionnel du 501 noir dans sa forme originale. Pour l’instant la distribution de la collection Wharhol Factory x Levi’s customisée par Damien Hirst n’est prévue que dans quelques magasins aux Etats-Unis. C.C (30 juillet 2007) www.whitecube.com www.eu.levi.com http://www.vogue.fr
C’est la collaboration entre Missy Elliot et Adidas Originals. Une collection qui combine les origines de Adidas, les vêtements sportifs, avec la personalité, l’aura et le style original de Missy Elliott. Les deux représentent: L’authenticité, l’originalité et l’innovation. http://www.stylefile.fr
L’exergue dit : «Pour mon mari, pour chaque mari.» Suivent 138 chapitres : «Préparer un lit confortable est un aspect fort important de la tenue d’un intérieur», «Il est absolument nécessaire de se laver les aisselles et les hanches tous les jours». Chaque titre est une phrase du Traité prouvant par diverses raisons que les femmes surpassent les hommes, un livre érotique du XVIIe siècle. La Mariée mise à nu est le récit d’une découverte et d’une libération, l’histoire d’une femme qui s’éloigne des rivages familiers de l’amour conjugal pour explorer les ressources insoupçonnées de sa sexualité. Il y a dans ce voyage quelque chose d’euphorique, transgressif, dangereux. La narratrice, qui n’est pas nommée, a une amie, Theo, et un mari, Cole. Cole et la narratrice s’aiment, leur relation fonctionne «délicieusement, mis à part le sexe. […] Pourquoi l’avez-vous épousé ? Parce qu’il a dit oui. Et vous en étiez au stade où vous ne pensiez plus qu’un homme pourrait encore vous désirer à ce point. Et il s’est montré un si bon ami, dès le début, un compagnon». La narration est à la deuxième personne, une première personne se regardant à distance, comme dans : «Le pénis de Cole ne vous paraît pas assez dur parfois, comme s’il pensait à autre chose.» Donc, tout va bien, jusqu’au jour où l’épouse surprend une conversation entre Cole et Theo, qui pourrait signifier qu’ils sont amants. «Vous voilà exilée de votre mariage. […] Au moins, il n’est plus question de sexe, ce qui est un soulagement, quand il ne jouissait pas, c’était frustrant, et quand il jouissait, c’était dégueulasse, le plus souvent sur votre ventre ou votre visage, comme un chien qui marque son territoire au pied d’un poteau.» Dans un café de Londres, elle rencontre un «homme à la belle nuque», Gabriel, ils se revoient, elle lui prend les mains, il lui promet de l’emmener à une corrida. «Quelque chose commence à se faire jour en vous. Une idée : vivre avec moins d’hésitations, plus égoïstement. Avant, la vie était une chose qui n’arrivait qu’aux autres.» La narratrice fait des listes : «Ce que vous voulez : La pénombre. Un toucher qui soit délicat, lent, provocant, qui vous mette en confiance, qui vous pousse à désirer trop fort. […] Ce que vous ne voulez pas : Un énorme grognement au moment de jouir ou une expression du genre « ooh oui, chérie ». […] Ce que vous adorez : Des poignets à la Michel-Ange. Qu’il dise tout haut votre nom avant de jouir.» (L’auteur dit que ce chapitre est aussi un manuel pour les hommes.) Gabriel et la narratrice vont au café, dans les parcs, les musées, «le désir vous affole, douloureux», arrive un moment où Gabriel avoue qu’il est vierge, ils se retrouvent subséquemment et enfin dans un lit. C’est un apprentissage à partir de zéro, pas seulement pour lui. «Finalement, vous avez votre premier orgasme, un monde nouveau s’ouvre à vous. En faisant l’amour avec Gabriel, vous avez laissé paraître une autre personne. […] Une femme qui vous abasourdit et vous effraie. Une femme exigeante, égoïste, étincelante.» Plus violent devient son désir, plus effrayant le plaisir, et plus ses sentiments pour les deux hommes deviennent obscurs, contradictoires, douloureux, le manque s’accroît en même temps que la plénitude. La fin, choquante, nous dit qu’il y a un prix à payer. Traduit de l’anglais par Alfred Boudry. Au Diable Vauvert, 358 pp., 22 €. . Natalie LEVISALLES
Le mariage improbable entre des marques, des entités, des personnages, qui se rencontrent, s’affrontent, se confrontent. Le génie du mélange des genres, le plaisir de satisfaire des publics différents mais complémentaires, l’alliance de l’esthétique et du trivial. Union contre nature, alliance inévitable, futilité et compagnie…
(Cabaret Sauvage – Paris) Avec : NEW YOUNG PONY CLUB –THE TEENAGERS – THE GLIMMERS –BRODINSKI – PRINZHORN DANCE SCHOOL- STEREO PLEASURE 1 place achetee = 1 place offerte Album ‘Attack Decay Sustain Release’, déjà disponible. « Le duo qui va remettre l’Angleterre sur la carte de l’électronique ». Trax. « Montées acides, explosions de fièvre collective, chaleur étouffante… on finit lessivé, mais heureux, comme après la plus mémorable des fêtes. » Magic. Les parcours respectifs de James et Jas ont façonné le son du binôme, que ce soit leur expérience dans Simian (auteurs du désormais classique « We Are Your Friends ») mais aussi le travail de James comme producteur pour les Test Icicles ou pour quelques uns des groupes les plus attendus de l’année 07 : les Klaxons et le nouveau Arctic Monkeys (excusez du peu). En évitant les travers – forcement binaires – dans lesquels la house du dernier millénaire s’était enfermée, SMD est devenu maître dans l’art de prendre la foule à contre-pied : montées acides imparables, featuring vocaux (sur ce titre, Ninja, la chanteuse de The Go!Team), beats assassins… des monstres dansants pour « nu-ravers » et pour « indie kids ». DATES A VENIR 13 juillet au Festival de Dour (Belgique) 15 juillet à Montpellier – Festival Tohu Bohu (Radio France) (DJ Set) 28 septembre à Marseille – Festival MARSATAC 29 septembre à Strasbourg – Festival OSOSPHERE Autres dates à suivre sur: simianmobiledisco.co.uk – myspace.com/simianmobiledisco cooperativemusic.fr – myspace.com/cooperativemusicfrance gigsprod.com – myspace.com/gigdprod
FLY DVD est de retour avec une nouvelle édition ayant pour thème What a World, What a World incluant 22 courts-métrages d’artistes renommés tels que Alex Cayley, Jamie Isaia, Ghukfvin, Catherine Cushman, Gray Scott, Tiziano Magni, Bruce Gilden, Elliot Erwitt, and Susan Meiselas. Il comprend également un hommage à l’agence Magnum pour leur 60ème aniversaire.
La mode y est présente avec Givenchy, Yohji Yamamoto, YSL, Sonya Rykiel, Junya Watanabe, Rick Owens, Shelly Steffee, Ann Demulemeester, Miu Miu, Kiki De Montparnasse, la musique avec Van She, Cut Copy, The Presets, New Young Pony Club, Tiger Sushi et Sir Alice ainsi que bien d’autres.
Un décor baroque et contemporain, une longue cheminée blanche, des fauteuils de velours pourpres, une chanteuse de jazz… C’est dans cette ambiance feutrée que le restaurant de l’Hôtel Murano vous invite entre 12h et 17h à son brunch dominical. Une chance de faire une vraie grasse matinée pour une fois… Au choix, deux formules vous sont proposées. Leur différence ? La deuxième, à 60 euros, inclut une bouteille de champagne brut Billecart-Salmon pour 3 personnes. Au menu, une cuisine légère et raffinée. En plus du buffet riche en délices sucrés-salés, vous vous laisserez surprendre par le pain aux tomates et basilic, la soupe de légumes glacée ou encore la salade russe de caviar avruga. Gardez une place pour goûter au diabolique mi-cuit au chocolat guanaja, cœur de framboise. Du pur plaisir ! Un brunch à la fois cosy et original, où le cadre n’a rien à envier à la qualité des mets… 13 boulevard du Temple 75003 Paris Emilie Thièse www.aufeminin.com/w/luxe
A propos de Peroni
Peroni Nastro Azzurro : La Bière Transalpine fait son Lancement en France cet été
Une bière pour une clientèle stylée Lancement de la Peroni Nastro Azzurro dans le Sud de la France
Peroni Italie : peut-on buzzer sur de l’alcool ?
Nastro Azzurro [J -2] L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
[Détournement de BLOG] (…) Elle est jeune, elle est riche, elles fait la fête, elle a un ou deux films à son actif (rarement un blockbuster), sa carrière musicale est en préparation éternelle, et quand le disque sort, disons qu’il sort en magasin mais ne va rarement au-delà de la caisse… La It Girl crée aussi une ligne de vêtements, enfin elle signe un contrat qui lui apporte beaucoup d’argent en faisant la promo d’articles qu’elle ne dessinera pas, mais qu’elle portera, parce que bien entendu, les vêtements, c’est son truc. (…) www.carolinedaily.com
Boborama est le plus grand hebdomadaire culturel français. Une institution cinquantenaire, symbole d’indépendance éditoriale et capitalistique. Le quotidien La Planète, économiquement exsangue, est quant à lui le journal de » référence » du pays. Quand le deuxième rachète le premier, les ennuis commencent. La Planète s’approprie les richesses de Boborama dans une fuite en avant perpétuelle, où seule compte la gestion au jour le jour d’un déficit croissant. Paul Santini, journaliste de Boborama, observe le pillage en règle de l’intérieur. Charge humoristique contre une certaine presse écrite, roman d’un réalisme documentaire, Boborama montre aussi les effets tragi-comiques de la pensée unique et du bobotisme culturel au sein d’une rédaction. Et confirme, in fine, que les patrons de gauche n’hésitent pas à utiliser les méthodes ultralibérales qu’ils fustigent à longueur d’éditos. Les journaux sont aujourd’hui gérés comme des usines de produits manufacturés. Le roman le plus drôle jamais écrit sur la presse. Toute ressemblance avec des faits ou des personnages réels ne saurait être que fortuite. www.amazon.fr
SAMEDI 23 JUIN 2007 PARISPARIS – PARIS Soyez lapin, le plus beau des mammiferes : Oreilles Dents Pelage Moustaches Chaud Carottes Air intelligent et mutin Musique par les gens de Phunk et Dr Eguobhum + Special guest Phunk Promotion (aka Olivier Pilz et Fabrice Desprez), agence de promotion de musiques (souvent electroniques) de qualite, vous fera danser sur la creme de nos promos et exclusivites. Ca se passe SAMEDI 23 JUIN 2007 au ParisParis, 5, avenue de l’opera a Paris. DES 23h
Avec notre nouveau WALKMAN vidéo, vous pouvez désormais visualiser des pochettes d’album, des photos et des clips vidéo sur écran large LCD de 2 pouces. Et grâce aux technologies audio avancées de Sony, la qualité du son est sublime, quoi que vous écoutiez. Mémoire : 2 Go : pour stocker jusqu’à 1 350 morceaux et 7 heures et demie de vidéo 4 Go : jusqu’à 2 700 morceaux et 15 heures et demie de vidéo 8 Go : jusqu’à 5 500 titres et 32 heures de vidéo Grand écran couleur QVGA LCD de 2 pouces haute résolution (240 x 320 pixels) affichant 262 144 couleurs Menu intuitif, navigation par pochettes d’albums, aperçus vidéo/photo Lecture directe et sans conversion des formats audio ATRAC3 plus, ATRAC, MP3, AAC2), WMA2) et ATRAC Advanced Lossless Directement compatible avec les formats vidéo très répandus MPEG-4 (H264 et AVC baseline) par simple glisser/déposer (drag & drop) Batterie rechargeable offrant jusqu’à30 heures d’autonomie STAMINA pour la lecture de musique et 8 heures pour la vidéo3) Technologies d’amélioration de la restitution sonore Clear Bass, ClearStereo & DSEE ; et écouteurs intra auriculaires haute fidélité fournis pour une qualité audio exceptionnelle Visionneuse d’images JPEG avec mode diaporama. Utilisation possible horizontalement ou verticalement. Couleurs : NW-A805 : disponible en noir, blanc, rose ou violet NW-A806 : disponible en noir ou blanc NW-A808 : disponible en noir http://www.dontwalkalone.com
French electronica duo — Gaspard Augé and Xavier de Rosnay — who’ve become the toast of European dance clubs. The pair met in Paris in 2003 as graphic design students with a shared love of dance music. Calling themselves Justice (pronounced Just-EECE), Augé and de Rosnay began recording songs at home, eventually signing to the influential French label Ed Banger and turning out a series of lush, pop-friendly singles that took hold in Europe. Nowadays they’re playing ecstatic DJ sets before tens of thousands around the world, and they’re about to release their long-awaited debut. (…) http://www.rollingstone.com
[Détournement de Blog] Que celle qui n’a pas une pièce « pétasse » dans sa garde-robe me jette le premier string en dentelles (ah vous voyez !) Qu’est ce qu’une pièce pétasse ? C’est une pièce qui ne ressemble pas du tout à l’ensemble de votre garde-robe et qui mélangée à une autre du même genre pourrait vous faire arrêter par la police du style pour « port illégal d’une tenue réservée à une catégorie professionnelle ». Sacré programme ! Ecrit par Caroline de Surany, jeudi 3 mai 2007 www.carolinedaily.com
» Le Démon est un chef-d’oeuvre. De loin le plus accompli des romans de Selby. Pour un monsieur qui a reçu une éducation classique, c’est l’oeuvre parfaite. Avec des scènes familiales absolument magnifiques. Et cette tension déchirante, à l’intérieur… Le mouvement dramatique doit aboutir là où il aboutit à la fin du livre. Pas une page de plus. C’est splendide, achevé… Le Démon, c’est le Don Juan de Mozart, le seul que je connaisse parfaitement. Et le cri de Don Juan, au bout, n’est pas un cri de détresse, attention ! C’est » Merde « , jusqu’au bout ! Avec ça, d’un point de vue stylistique, Selby reste très classique : mais dans ce cadre classique, ce qu’il raconte est terriblement nouveau. Ça fait du Démon un roman fabuleux, tellement fort… » www.amazon.fr
Le mot Décroyance, désigne l’acte de s’excuser d’avoir cru en une doctrine dont on a honte un jour après y avoir adhéré sans réserve.
Cet acte est l’un des traits caractéristiques de la vie intellectuelle en Occident au XXe siècle, en Europe surtout, où les adhésions aux idéologies (marxisme, nazisme, mai 68) et les défections ont été nombreuses… et retentissantes.
Rassurons-nous cependant, la plupart de ces mea culpa furent signés par ceux qui incarnaient – et incarnent toujours – le meilleur de l’intelligence occidentale. Grands historiens, philosophes, sociologues, prélats, politiciens, journalistes, universitaires de premier plan ou maîtres à penser : bien rares sont en Europe les intellectuels de plus de cinquante ans qui n’aient pas à confesser tel aveuglement ou telle compromission intellectuelle passés.
» Avec Génération X, best-seller aux USA, Douglas Coupland a écrit le manifeste de ceux qui ont eu l’idée imbécile de naître entre 1960 et 1970. Ceux qui sont nés après la bataille et qui vieilliront dans le siècle prochain. Cette fiction reality show est un roman à trois personnages qui se croisent dans les bars à cocktails de Palm Springs. Par bien des aspects, la tendresse mêlée à la révolte, le portrait d’une classe d’âge – ce roman rappelle L’Attrape-coeur ou Moins que zéro. » http://www.amazon.fr
Afin d’aider des enfants malades à réaliser leurs rêves, Microsoft est partenaire de la fondation Make A Wish. Depuis un moment déjà, l’idée de vendre des Xbox 360 dédicacées par des stars a été lancée, et vous pouvez dès à présent en acheter. En ce moment il s’agit d’une Xbox 360 + Crackdown, la particularité de la Xbox est sa coque, aux couleurs d’Halo 3, et dédicacée par toute l’équipe de création ! Le prix ? 2 220$ pour le moment, ça se passe sur eBay !
Pour « Retour à Brooklyn », ce livre halluciné, Selby voulait commencer par une phrase imbitable. Et ça donne : « Harry enferma sa mère dans le réduit ». Un début de dingue qui résume assez bien l’esprit explosé de ce punk-livre. Selby ne se fait pas d’illusion sur l’espèce humaine et encore moins sur ses personnages damnés : « La chose la plus miséricordieuse qui puisse arriver à certains d’entre eux, c’est de pouvoir mourir ». Il y a beaucoup de Dostoievski dans Selby, on peut même dire que cet homme fragile et courtois est le Dosto de Brooklyn. Ici, une vielle mamie juive qui s’imagine sélectionnée pour un jeu télé, devant laquelle elle est rivée du matin au soir, va prendre des amphétamines pour maigrir et va en devenir coin-coin, jusqu’à voir des personnages sortir de l’écran sous forme de petits lutins qui danseront la ronde autour d’elle. Direction l’asile. Et Harry, le mauvais fils? Il finit très mal. Tout finit toujours très mal chez Selby. A vous dégoûter du genre humain. Bref, un grand moraliste et sans doute l’auteur Brooklynois le plus génial et le plus barbare. Le Guide du routardwww.routard.com
Néos et old chics gomment leurs divergences et s’unissent pour revendiquer dans leur premier cercle de proximités un ou une fréquentation originale, « artiste », exubérante ou rebelle. Pourquoi s’attacher à ces personnes hors normes s’exclamera l’incrédule ? Mais c’est évident, l’ami(e) barré(e) attire les regards, suscite les commentaires, provoque l’ire des bourgeois, et les dandies se doivent d’éduquer les ressortissants du commun afin de leur montrer la diversité – l’ hypra naturel, et lorsque les beautiful people promènent leur(s) ami(e)s barré(e)s, ils ne doivent pas être gênés, bien au contraire, ils se doivent également d’adopter une tenue on ne peut plus sobre, de garder le port de tête haut, fier et méprisant afin de faire taire les mécréants croisés sur le chemin et de sublimer l’inconnu qui fait peur, car que serait le monde sans une touche de folie ?
Nos concitoyens du grand public, à faible capacité de réflexion, ont cette fâcheuse certitude, que les grands de ce monde ne réussissent que par chance, magouille, piston, héritage, sans remuer le nombril.
Même si dans certains cas cela est vrai, il n’en demeure pas moins que le travail, en particulier celui effectué dans un domaine à forte valeur ajoutée, reste un élément incontournable pour arriver au sommet.
L’aversion au risque devient alors une donnée déterminante. Celui qui privilégie un univers sans surprises, sans difficultés et sans remise en question aura probablement une aversion au risque très importante et compromettra d’autant son ascension, en revanche l’individu doté d’une faible aversion au risque aura toutes les chances d’atteindre un but élevé.
Les dandies anglais réclament comme un des leurs, le célèbre poète Byron, dont les bizarreries un peu affectées lui donnaient quelques droits à ce titre; le héros de son poème original, Don Juan, est aussi, dans plus d’un passage, le représentant du dandysme de Londres.
Le dandy français ne s’est pas encore élevé à la hauteur de ses modèles; sa physionomie est moins tranchée, moins spéciale; c’est souvent, sous un autre nom, le petit-maître de nos aïeux, l’élégant du dernier siècle, l’incroyable d’une époque plus récente.
Le dandy ne doit point se borner à ces imitations; et s’il ne peut trouver en lui-même tout ce que promet cette désignation ambitieuse, nous lui conseillons d’aller dans la Grande-Bretagne étudier les oracles et les lois du dandysme.
Article « Dandy » – M.W. Duckett (dir.), Dictionnaire de la conversation et de la lecture, inventaire raisonné des notions générales les plus indispensables à tous, par une société de savants et de gens de lettres, Tome XIX. Paris, Belin-Mandar, 1835, p. 90
Ainsi tu crois qu’il y a seulement Dieu qui voit les âmes, Basil ? Ecarte le rideau et tu verras la mienne. Il avait, prononcé ces mots d’une voix dure et cruelle.
– Tu es fou, Dorian, ou tu joues, murmura Hallward en fronçant les sourcils.
Hier c’était le restaurant préféré de Gainsbourg, aujourd’hui c’est l’une des plus agréable terrasse de Paris, une cuisine benissima et un accueil délicieux, voila ce que vous réserve cette excellente adresse d’habitues vip, qui se délectent entres autres, des pâtes du jour toujours al dente. Un must to eat indémodable.
Shocking outre-Manche. Mais pas seulement. Les créateurs de South Park ont commis un crime de lèse-majesté dans l’épisode diffusé la semaine dernière sur Comedy Central, aux Etats-Unis (intitulé The Snuke, cet épisode, parodie de la série 24, fait également intervenir Hillary Clinton, ndlr) : dans les premières minutes, ils ont fait se suicider la reine Elizabeth II ! Oui, ils ont tué Queenie… Humour cruel pour les uns, très mauvais goût pour les autres, nombre de téléspectateurs – américains et britanniques – ont été indignés. Mais aucun commentaire officiel du côté de Buckingham Palace. Un flegme tout britannique… (Jordane Guignon) http://fr.news.yahoo.com
Que serait Starsky sans Hutch, Ricardo Tubs sans Sonny Crockett, Axl sans Slash ? Rien, un putain d’anonyme. Le Side Man n’est pas un faire valoir mais un alter ego. Une association idéale innée ou provoquée capable de porter au pinacle ceux qui en on compris l’utilité.
Avant d’entamer les cours, sachons identifier et distinguer un Prol. Le Prol est un être pernicieux car il est très fier de ses goûts qui sont au mieux évidents et aux pire gerbiques. Trop souvent le Prol s’affiche dans les médias semant la confusion au sein des esprits légers qui parfois s’égarent sans discernement devant D&Co ou s’extasient devant des pipoles qui sont eux-mêmes des Prols. Bref, le Prol adore les marques à tel point qu’on dirait une bagnole du Paris Dakar. En général il se dit lui-même fashion (« je suis super fashion »). Il adore les sonneries de portable à thème (il est incollable sur les portables en général). Il n’hésite jamais à mettre à fond de la super techno – dance sur son mp3 yamada. Il ne lit pas beaucoup (gros manque de culture G) et il a une incroyable capacité à mépriser ce qu’il ne connaît pas, avant d’adorer, une fois que le plus grand nombre a adhéré. Le prol est un sacré casse couille sociétal.
Selon le journal le Monde, Captain America est mort, le 7 mars 2007, en sortant du palais de Justice. Dans l’Amérique de George W. Bush et de Jack Bauer, il semblait ne plus trouver sa place.
En réalité c’est l’inverse, les comics et autres bandes-dessinées, souvent considérées comme de vulgaires divertissements pour enfant par une élite sclérosée et terriblement conformiste ont toujours été avant-gardistes et à la pointe de l’actualité. Le principe de Civil War est un véritable prélude à la réalité, une guerre de civilisation dans laquelle chacun doit faire ses choix en âme et conscience, de la façon la plus adulte qui soit. Captain America n’est pas mort, ce qui est mort c’est l’incarnation binaire du justicier, à l’instar de Batman chevalier noir, les super-héros ont désormais conscience que seul le point de vue éclairé compte. Rien n’est bon, rien n’est mauvais, tout est une question de valeur et d’honnêteté, d’amour et d’idéal commun à défendre pour favoriser le bien vivre ensemble. Tout ça dans une bd ? Absolument et bien plus encore, de l’art.
En cette ère de Vélib’ fashion, Karl Lagerfeld dévoile son vélo siglé Chanel.
Dans ses sacoches en cuir matelassé se cachent une trousse à outils ou à maquillage et une pompe gainée de cuir. La selle répond aux mêmes critères esthétiques, les pneus sont increvables, une dynamo est intégrée pour alimenter le phare avant, l’antivol est soudé au cadre, les freins sont garantis quasiment inusables et il est possible de passer huit vitesses.
Entièrement réalisée à la main, cette petite reine (elle n’a jamais aussi bien porté son nom) sera disponible dès janvier prochain pour la bagatelle de 8 900 €.
Fight Club est le premier roman de Chuck Palahniuk adapté au cinéma par David Fincher, avec Brad Pitt, Edward Norton et Helena Bonham Carter.
Même si le film est fabuleux, le livre est bien plus dérangeant, plus cynique, plus déjanté que le film. Il y a du Bret Easton Ellis d’American Psycho et quelque chose de pire dans ce récit de l’impasse, dans cette dénonciation ultime d’un monde perdu faute de révolution.
Plus qu’un livre, c’est une expérience. Et déjà un titre culte qui a reçu le prix de la Pacific Northwest Booksellers Association en 1996.
Tous les parfums de l’été sont là l’huile d’olive et le basilic qui aromatisent les langoustines fraîchement pêchées qui vont griller sur le barbecue flattant nos narines avant nos papilles.
16 grosses langoustines 1 belle botte de basilic 1 dl d’huile d’olive Sel et poivre blanc Préparation de l’huile au basilic La veille, pilez vos feuilles de basilic et versez dans l’huile d’olive légèrement tiédie. Fermez votre bocal et laissez infuser toute la nuit.
Cuisson des langoustines Fendez les langoustines en deux dans la longueur et posez-les sur une grillé Arrosez-les d’huile parfumée au basilic Salez et donnez un tour de moulin à poivre. Laisser reposer le temps d’allumer votre feu et de faire des braises. Posez la grille au dessus du feu et faites cuire et prenant garde à ne pas brûler les langoustines (2 à 3 minutes seront suffisantes). Mangez-les immédiatement.
Un Style Setter est un véritable caméléon urbain. Il se distingue notamment du Style Leader car il n’arbore jamais d’accoutrements trop voyants (parfois dignes de meneuses de revue des folies bergères futuristes), mais il prône au contraire une image de luxe de glamour et de sobriété.
En toutes circonstances le Style Setter se démarque de son « quasi sosie » en retard d’une marque ou d’une couleur parce qu’il a Le Snap.
Le Snap ne se définit pas, c’est un tout. Le port de tête digne de la statue grecque. La coupe de cheveux ou du pantalon qui aura un « je ne sais quoi » qui vous fera inconsciemment vous interroger sur votre propre style, la démarche chaloupée qui effleure à peine les pavés, mais qui révèle un modèle unique de chez Berlutti ou de chez Vaneau. Le signe ostensible de la main qui obligera un Uber Skoda ou Hyundai (4×4) à s’arrêter pile devant lui.
Ce sont ces détails infimes mais déterminants qui fondent la différence entre un Setter (pionnier) et un Leader (Chef de meute Hype). Le Setter n’a pas forcément le dernier gadget (mais il sait s’en servir), car la nécessité pour lui, ne réside pas dans la nouveauté à tout prix (Geek), mais dans le « bien maîtriser », du boxer short au socquettes, des ongles aux poils. Comprendre ces différences fondamentales peut vous aider dans votre quête stylistique. Cependant soyez prudents, car outre le Style Leader, il existe une autre catégorie plus dangereuse encore et qui peut vous laisser croire à des courants ou à des styles déjà éculés ou trop facilement accessibles : Le Para Setter.
Certaines stars se battent à travers l’association PETA pour que les animaux conservent leur fourrure. Le mouvement semble prendre une ampleur inattendue et la récupération encore une fois vient de là ou on ne l’attend pas avec les hommes poilus, d’ordinaire contraints au rasage ou à l’épilation, qui revendiquent leur droit à conserver eux aussi leur fourrure même en été. D’après la dernière déclaration de l’association ‘follicule pileux’, ils seraient de plus en plus nombreux à rejoindre l’asso et tous sont très favorables à ce que une ou plusieurs stars se déshabillent pour traduire médiatiquement leur combat… L’appel est lancé.
Nul doute que, dans une société aussi superficielle que la notre, vous soyez d’une façon ou d’une autre influencé dans votre comportement, dans votre attitude et dans votre système de pensée par le vêtement. A tel point que la confiance s’accorde plus naturellement au costume qui rassure qu’au jogging basket qui inquiète.
De fait, un voleur en costume (l’homme politique) sera toujours plus apprécié et respecté que le baggy (le racketteur), d’ou l’idée que si à l’avenir vous deviez par le plus piteux des hasards commettre un forfait… soignez votre apparence ! Cynique n’est-il pas ?
Le terme jet renvoie à l’avion à réaction du même nom, à bord duquel ces élites sont censées se déplacer, vie trépidante, obligations sociales et fortune obligent.
Ce n’est ni une culture, ni un style, mais elle est plutôt vue comme une aristocratie qui s’est inventée elle-même.
Les points de convergence représentant la Jet Set sont l’argent, la mode, l’apparence, l’extravagance, la bonne humeur à outrance… Plus qu’un milieu social, elle fait plutôt référence à une façon de vivre sa vie comme un spectacle où les notions de tabou et de mauvais goût n’existent pas.
Parmi les personnages qui ont suscité cette notion, Tom Ford avec Gucci a réinventé un style extravagant, donnant envie aux gens d’être Jet Set.
Fast Food Nation: Don Henderson a un vrai problème. Il est responsable marketing de la chaîne des Mickey’s Fast Food Restaurants, et de la viande contaminée a été découverte dans les stocks de steaks surgelés du fameux Big One, le hamburger vedette de la marque. Quittant ses confortables bureaux de Californie du Sud, il va découvrir les abattoirs et leurs employés immigrés, les élevages surpeuplés et les centres commerciaux de l’Amérique profonde et que ce sont les consommateurs qui se font bouffer par l’industrie du fast food et non l’inverse !
Pourquoi toujours parler de contre culture pour des films, avec des acteurs comme Avril Lavigne, Kris Kristofferson, Bruce Willis, Patricia Arquette, Ethan Hawke on nage plus dans la sous culture… Super size me a le mérite d’être un vrai film underground…
Marie-Antoinette: Au sortir de l’adolescence, une jeune fille découvre un monde hostile et codifié, un univers frivole où chacun observe et juge l’autre sans aménité. Mariée à un homme maladroit qui la délaisse, elle est rapidement lassée par les devoirs de représentation qu’on lui impose. Elle s’évade dans l’ivresse de la fête et les plaisirs des sens pour réinventer un monde à elle. Y a-t-il un prix à payer à chercher le bonheur que certains vous refusent ?
On espère toujours que ce sera bien la référence glamour et trashylicious dont nous rêvons tous, que ce ne sera pas juste un coup de pub auquel cas il restera génial. Impossible de resister au charme de la douce Sofia.
Décrypter l’envie chez l’autre est souvent une tache malaisée. En effet, souvent submergé par son propre désir, on interprète certains signes comme une invitation et certains autres comme un rejet alors qu’en réalité ils n’ont peut être aucune connotation particulière.
Comment résoudre ce problème… Et bien en étant beaucoup plus clair !
Le nouveau chic, c’est de dire ce que l’on pense, en particulier dans ce domaine…
Une envie, une pulsion, un désir et hop c’est parti ! Prenez exemple sur la nouvelle Nadine de Rotschild, Paris Hilton. Mesdemoiselles, mesdames n’attendez plus que ces messieurs se décident. That’s the fuckin’ girl power !
Depuis ‘Un gars Une fille’ et le succès retentissant des Chouchou et Loulou, les surnoms et les petits noms ont réussi s’imposer dans le quotidien et à dépasser le cadre de l’intimité pour se révéler au grand jour.
Je dois vous avouer que je ne suis pas un grand fan de ses sobriquets, surtout après avoir entendu un homme d’affaire très réputé répondre au nom de Pouyou, Jean – Claude pour une actrice et Ma Couille pour un philosophe…
Et vous c’est plutot pupuce ou cochon ?
Le seul nickname qui mérite un tant soit peu de considération est « Duke », car le Big Lebowski dépassera toujours ces considérations mesquines.
Lenny Bruce était un amuseur de cabaret au style incisif, un peu le Coluche américain avec vingt ans d’avance et la drogue et l’influence des Beatniks en plus.
Ses spectacles étaient devenus les procès humoristiques de l’Amérique, celle de la pudeur excessive, de la sottise et du racisme. Sa vie fut courte et agitée, divorce, alcool, drogues. Il meurt mystérieusement en 1966, une seringue à côté de lui, alors que le succès commençait à lui sourire. Après sa mort, il fit l’objet d’un véritable culte aux USA mais demeure presque inconnu en Europe.
Le type même du paumé révolté qui a toujours fasciné Dylan.
Lenny Bruce était un comique, mais il avait commencé sa carrière comme pasteur chrétien (« I really loved Christ« , a-t-il dit), alors qu’il était d’ascendance juive, et avait arrêté suite à un accident grave d’automobile…
Nombreux sont ceux qui pensent que les nantis et autres JetSetters patentés n’ont que des passions résolument modernes, avant – gardistes ou futuristes, c’est faux ! Découvrez ces hobbies réputés « trendy«
Pour briller dans la haute société, point de croix, tricot et crochet seront vos alliés.
Les 10 – 20 ans vous le diront, tout ce qui dépasse la vingtaine est vieux. Cela dit, le processus de dégénerescence cellulaire s’engage vers cette période… On ne peut donc pas leur donner tout à fait tort.
C’est pourquoi, ceux qui comme moi abordent la trentaine, peuvent sans rougir s’adonner à des activités arbitrairement dévolues aux seniors, d’autant plus que c’est super tip top Fashion.
Commençons par le tricot, Baby – Boom oblige chez les pipoles, toutes les stars pratiquent, de David Arquette à Julia Roberts, de Brit à Tom Cruise.
Au fait si vous voulez vraiment être tendance, faîtes des enfants !
Comme vous pouvez le constater le tricot est un hobbie mixte, de même que le point de croix, véritable drogue chez les créateurs, qui mode oblige, réunit de plus en plus d’adeptes au sein de clubs. Enfin si vous vous sentez l’âme rebelle, attaquez vous au crochet.
Vous l’aurez sans doute compris, ces divertissements qui sont des soupapes nécessaires après des heures et des heures passées sous pression et dans le stress, ont l’avantage de mettre l’homme et la femme enfin sur un vrai pied d’égalité ; ils apportent aussi la satisfaction du devoir accompli ; le plaisir de créer ; la joie d’offrir le produit de ses efforts.
Mais méfiez vous, toute mode est éphémère et il se murmure que le Scrabble serait en train de rallier des partisans outre Atlantique. Les membres du groupe MetallicA, Eminem, Avril Lavigne, Beyoncé et Justin ont ouvertement clamé leur amour pour ce jeu.
Attention également au Sudoku qui tel un Tsunami ludique emporte tout sur son passage. Affaire à suivre…