Dans un hommage vibrant à son héritage, le bâtiment emblématique “Almeida e Cunha”, autrefois connu sous le nom de “Pension Monumental”, renaît sous les traits du MONUMENTAL PORTO, le premier palace de la ville. 📍 Un écrin de luxe au cœur de l’Avenida dos Aliados
LE RENOUVEAU D’UN MONUMENT HISTORIQUE
Perché sur l’Avenida dos Aliados, en face de la mairie, ce lieu chargé d’histoire devient l’adresse ultime du luxe et de l’élégance à Porto, porté par la vision audacieuse du studio OITOEMPONTO.
✨ Un projet monumental où tradition et modernité se rencontrent, sublimé par un design raffiné et une atmosphère empreinte de grandeur.
OITOEMPONTO : UNE RÉINTERPRÉTATION CONTEMPORAINE DU PASSÉ
C’est à Artur Miranda et Jacques Bec, les créateurs du studio OITOEMPONTO, qu’a été confiée la mission de réinventer l’âme du lieu. Inspirés par le style néo-classique du bâtiment et son ancrage dans l’histoire de Porto, ils ont conçu un palace qui sublime l’élégance intemporelle de la ville.
🏛 “Être moderne, c’est vivre avec son passé.” – Artur Miranda, co-fondateur d’OITOEMPONTO
Le résultat ? Un équilibre parfait entre raffinement d’antan et sophistication contemporaine :
🔹 Un travail architectural minutieux, préservant l’authenticité du bâtiment tout en lui insufflant une nouvelle vie.
🔹 Des volumes magnifiés, où chaque espace raconte une histoire, entre patrimoine et innovation.
🔹 Un jeu de textures et de couleurs, où chaque étage dévoile une atmosphère unique, des teintes douces du rez-de-chaussée aux tons flamboyants des suites perchées sous les toits.
UNE HISTOIRE ANCRÉE DANS L’ÂME DE PORTO
✨ Un hommage à l’âge d’or des grands cafés et de la vie mondaine portugaise
Le Monumental Porto réinterprète l’esprit des grands hôtels du XXe siècle, où le luxe se mêlait à l’effervescence sociale. Dans les années 20, l’Avenida dos Aliados était le cœur battant de Porto, rythmée par ses cafés légendaires et leurs orchestres en résidence.
🔹 Des lieux de rencontres et de culture, où étudiants, intellectuels et artistes échangeaient, dans une effervescence unique.
🔹 Un bâtiment aux mille vies, ayant successivement abrité une pension de prestige, des salles de réception, un concessionnaire automobile, avant d’être restauré pour lui rendre son éclat d’antan.
🔹 Une découverte miraculeuse : lors de la rénovation, une ancienne salle de billard intacte a été mise au jour, révélant des décors originaux en marbre, moulures et bois nobles.
🎶 L’esprit des grandes nuits de Porto renaît dans ce palace d’exception.
UN DESIGN À COUPER LE SOUFFLE
🛋 Un palace pensé dans les moindres détails
Chaque espace du Monumental Porto a été réinventé pour offrir une expérience immersive et élégante.
🔸 63 chambres et 13 suites, où chaque détail a été soigneusement pensé pour le confort ultime.
🔸 Un concept chromatique unique : des tons clairs au rez-de-chaussée aux nuances plus profondes et chaleureuses en altitude.
🔸 Un mobilier sur-mesure, dessiné exclusivement pour l’hôtel, mêlant influences néo-classiques et touches contemporaines.
🔸 Une réinterprétation des codes du luxe, où chaque numéro de chambre en émail évoque le charme des rues de Porto.
🏨 Chaque chambre est une œuvre d’art, un écrin conçu pour les voyageurs en quête d’exclusivité et de raffinement.
ART DE VIVRE ENTRE TRADITION ET MODERNITÉ
✨ Gastronomie et art de recevoir
Le Monumental Porto fait revivre l’âme festive et culturelle de la ville avec :
🍽 Un restaurant gastronomique central, à l’atmosphère feutrée et raffinée.
🥂 Une brasserie en façade, reprenant l’esprit des grands cafés musicaux d’antan.
🎷 Un espace dédié aux concerts live, fidèle à la tradition des orchestres qui animaient la ville.
💆♀️ Un spa somptueux, où détente et bien-être se conjuguent dans un cadre inspiré des années 70.
🌊 Détail fascinant : la piscine du spa est ornée de céramiques et d’un mur d’eau hypnotique, semblant défier les lois de la gravité.
MONUMENTAL PORTO : UN NOUVEAU CHAPITRE POUR L’HÔTELLERIE PORTUGAISE
Avec le Monumental Porto, OITOEMPONTO signe un chef-d’œuvre de l’hospitalité, rendant hommage à l’histoire tout en définissant une nouvelle norme du luxe.
💎 Un projet qui s’impose comme la référence du grand art de vivre à Porto.
📍 Adresse : Monumental Porto, Avenida dos Aliados 151, Porto, Portugal
Le luxe ne se contente plus de proposer des produits d’exception : il se transforme en une expérience ultra-exclusive, où l’accès et la rareté définissent la valeur. En 2025, les marques les plus prestigieuses redoublent d’ingéniosité pour offrir à une élite triée sur le volet des moments uniques, hors du temps et inaccessibles au grand public.
Des concerts ultra-privés aux voyages sur-mesure, en passant par des expériences immersives inédites, Jet Society décrypte les tendances VIP qui feront l’année.
Les événements ultra-exclusifs : entre secret et privilège
En 2025, les événements de luxe se font plus confidentiels, accessibles uniquement sur invitation ou via des communautés fermées.
Les concerts et soirées secrètes des maisons de luxe
Cartier x Pharrell Williams : un showcase privé en plein désert, réservé aux clients les plus fidèles de la maison.
Balenciaga Underground Sessions : des soirées secrètes et ultra-limitée dans des lieux insolites, où seul un QR code reçu sur invitation permet l’accès.
Patek Philippe Private Nights : une série de dîners exclusifs avec personnalisation de montres en direct par les artisans de la manufacture.
Les expériences immersives VIP
Dior Heritage Experience : une plongée dans les archives de la maison, avec visite privée des ateliers et essayages uniques de pièces historiques.
Bugatti x Monaco GP : un programme permettant de piloter une Bugatti sur route fermée la veille du Grand Prix de Monaco, avec accès aux paddocks VIP.
Pourquoi c’est l’avenir du luxe ?
Le simple fait de posséder un produit ne suffit plus, ce qui compte en 2025, c’est vivre une expérience que personne d’autre ne pourra reproduire.
Les voyages ultra-personnalisés : l’évasion ultime
Loin du tourisme classique, le voyage de luxe en 2025 s’articule autour de l’hyper-personnalisation et du secret.
Les nouvelles expériences les plus exclusives
Aman Private Jet Expeditions : itinéraires privés combinant séjours dans les resorts Aman et accès à des lieux interdits au public.
Silversea Couture Cruises : croisières ultra-luxe offrant des expéditions dans des territoires vierges, avec un service sur-mesure et un guide dédié.
Chanel Private Retreats : villas secrètes dans des destinations inconnues, réservées aux VIP de la maison, où tout est conçu autour du bien-être et du raffinement absolu.
Pourquoi ça explose en 2025 ?
Les ultra-riches ne veulent plus se retrouver dans des destinations surpeuplées. Ils recherchent l’unique, le discret, l’inaccessible.
L’ascension du luxe expérientiel dans l’immobilier et l’hôtellerie
Le luxe immobilier et hôtelier se réinvente en proposant des services toujours plus exclusifs, loin du simple 5 étoiles.
Les concepts qui redéfinissent l’ultra-luxe :
The Lana Dubai by Dorchester Collection : des résidences privées avec majordome IA et personnalisation totale du service.
One&Only Private Homes : des villas ultra-connectées où chaque séjour est sculpté sur mesure, des expériences culinaires privées aux soins en chambre par des experts mondiaux.
Six Senses Secret Retreats : un concept de hôtels invisibles, où la destination reste inconnue jusqu’à l’arrivée, pour une aventure sensorielle inédite.
Pourquoi ça cartonne ?
En 2025, les élites cherchent plus que de l’hébergement, elles veulent une extension de leur style de vie ultra-luxueux.
Le luxe digital et les NFT VIP : la nouvelle frontière de l’exclusivité
Le digital s’impose comme une nouvelle dimension du prestige avec des NFT, des expériences métavers et des biens numériques ultra-rares.
Les concepts les plus exclusifs :
Hublot x Meduza NFT Membership : un accès à des événements VIP et des éditions limitées uniquement via NFT sécurisés.
Louis Vuitton Vaultverse : un univers digital où seules les personnes invitées peuvent posséder des pièces de collection virtuelles et physiques.
Rolls-Royce Meta Club : un espace réservé aux propriétaires de Rolls-Royce Phantom, proposant des expériences ultra-privées et des rencontres avec les designers.
Pourquoi c’est révolutionnaire ?
Les NFT et l’univers digital permettent d’accéder à des privilèges sans équivalent dans le monde réel.
Les services ultra-élitistes : quand tout devient possible
Le luxe ultime ne s’achète pas, il se mérite. En 2025, des services confidentiels proposent du sur-mesure au-delà du possible.
Les services qui font rêver :
LVMH Bespoke : une conciergerie privée qui permet de commander des pièces uniques, conçues spécialement pour un client.
Private Space Travel by SpaceX x Four Seasons : des voyages spatiaux combinés à un séjour 5 étoiles sur une station orbitale.
Ferrari Atelier Ultra-Personnalisé : où les clients peuvent concevoir une Ferrari de A à Z, de la peinture aux matériaux intérieurs, avec leur propre signature sur le moteur.
Pourquoi c’est le futur du luxe ?
Le vrai prestige en 2025, c’est d’avoir accès à ce qui est réservé à une élite invisible.
Le futur du luxe : exclusivité, rareté et expériences inégalées
Le marché du luxe en 2025 est marqué par trois tendances fortes :
L’inaccessibilité : seuls les vrais insiders peuvent prétendre à ces expériences.
La personnalisation ultime : tout est façonné pour correspondre aux désirs du client.
L’hybridation entre réel et digital : avec les NFT et l’ultra-luxe dans le métavers.
Quelle expérience ultra-VIP vous fait rêver ? Dites-nous en commentaire sur les réseaux et suivez Jet Society pour rester à la pointe du luxe ultime !
La mythique Maison Mauviel1830, réputée pour ses ustensiles de cuisine d’exception, fait un pas audacieux en ouvrant son premier restaurant, Le Logis Sainte Catherine, au pied de l’abbaye du Mont-Saint-Michel. Conçu en collaboration avec le célèbre chef Jean Imbert, ce nouvel établissement, ouvert depuis le 16 janvier 2025, promet une expérience gastronomique unique et authentique.
Un lieu d’exception pour une expérience culinaire unique
Installé à quelques pas de l’abbaye emblématique, Le Logis Sainte Catherine rend hommage à l’héritage et au savoir-faire normand tout en proposant une cuisine moderne, accessible et raffinée. Jean Imbert, proche de Mauviel1830 depuis ses débuts, signe une carte mettant en avant les produits locaux et les saveurs de la région.
Valérie Le Guern Gilbert, présidente de Mauviel1830, déclare : « Nous ne sommes plus seulement des fabricants d’ustensiles de cuisine. Avec ce restaurant, nous devenons les metteurs en scène d’une expérience culinaire qui incarne notre philosophie : bien fabriquer, bien cuire, bien manger.»
Une carte résolument locale et créative
Le Logis Sainte Catherine propose des plats faits maison, inspirés des traditions culinaires locales tout en intégrant des touches contemporaines. Parmi les incontournables :
Homard Thermidor
Cochon Abrinka, élevé en Normandie
Rillettes traditionnelles, inspirées des recettes familiales du chef
Cette cuisine réconfortante et généreuse est sublimée par des produits sourcés avec soin et préparés dans les ustensiles en cuivre iconiques de Mauviel1830.
Une architecture au carrefour du religieux et du maritime
Le Logis Sainte Catherine a été réimaginé par le cabinet Bachmann Associés, qui a su mêler l’élégance d’un réfectoire monastique avec l’énergie d’une maison de bord de mer. Le cuivre, symbole de Mauviel1830, est omniprésent dans les œuvres d’art et les meubles sur-mesure, apportant chaleur et sophistication à cet espace d’exception.
Un projet porté par des valeurs fortes
Ce restaurant est né d’une collaboration entre Mauviel1830 et le Centre des Monuments Nationaux (CMN), avec pour objectif de redonner vie à ce lieu historique tout en renforçant l’attractivité du Mont-Saint-Michel. Marie Lavandier, présidente du CMN, souligne : « En confiant ce projet à une entreprise locale comme Mauviel1830, nous associons patrimoine, savoir-faire et gastronomie pour enrichir l’expérience des visiteurs.»
Informations pratiques
Adresse : 6 ruelle Sainte Catherine, 50170 Le Mont-Saint-Michel
Réservation : www.lelogissaintecatherine.com
Dates spéciales : Rencontres avec Jean Imbert le 1er février 2025 (sur inscription)
Un savoir-faire d’exception : Mauviel1830
Depuis près de deux siècles, Mauviel1830 incarne l’excellence artisanale française en fabriquant des ustensiles de cuisine d’une qualité inégalée. Pilotée par Valérie Le Guern Gilbert, 7e génération à la tête de l’entreprise familiale, la Maison perpétue des traditions tout en innovant pour les chefs et amateurs du monde entier.
Avec l’ouverture du Logis Sainte Catherine, Mauviel1830 réalise un rêve : offrir une expérience culinaire immersive et inoubliable qui reflète son héritage unique.
Mama Shelter s’installe à Dubaï, marquant son premier pas au Moyen-Orient et apportant une nouvelle vision de l’hôtellerie. Niché dans la Business Bay, cet hôtel réinvente l’expérience du vivre, manger et s’amuser avec une approche chaleureuse et décontractée. Mama Shelter Dubaï devient ainsi une destination lifestyle incontournable, combinant créativité, hospitalité et divertissement.
Un hôtel au cœur de l’innovation
Localisation : En plein cœur de la Business Bay, avec une vue imprenable sur la skyline de Dubaï. Confort ultime : 197 chambres uniques avec literie cinq étoiles, draps en coton satiné, produits de bain biologiques Mama Skin, et Wi-Fi gratuit. Design audacieux : Conçu par l’équipe design de Mama Shelter, l’hôtel est un véritable festin visuel, alliant couleurs vibrantes, motifs artistiques et détails inspirés de l’histoire de Dubaï. À l’entrée, un spectaculaire plafond de néons géants donne le ton : l’audace et l’originalité sont au rendez-vous.
Une expérience gastronomique
Restaurant Mama : Une carte de brasserie réconfortante et généreuse.
Mama Trattoria : Des saveurs italiennes authentiques et conviviales.
Mama’s Bar : Cocktails signatures dans une ambiance chic et décontractée.
Mama Skypool Terrace : Une expérience culinaire sous un ciel ouvert, combinant détente et plaisir gourmand.
Le célèbre brunch Mama promet des moments chaleureux et festifs, accompagnés de babyfoots, DJ sets, et musique live.
Divertissement et créativité au rendez-vous
CinéMama : Un cinéma en plein air de 50 places pour des soirées étoilées inoubliables.
Espace de coworking : 5 ateliers conçus pour stimuler créativité et collaboration.
Mama Shop : Une boutique proposant une sélection unique d’articles lifestyle, des parfums d’ambiance aux sweats à capuche.
Un lieu de rencontres et de partage
Mama Shelter Dubaï n’est pas qu’un hôtel, c’est un lieu où locaux et voyageurs se retrouvent pour partager des moments uniques. Entre détente au bord des quatre piscines extérieures, soirées animées, et plaisirs culinaires, Mama Shelter crée une expérience qui s’adapte à toutes les envies. Une ambiance éclectique et accueillante : Inspiré de la communauté locale, l’hôtel propose un mélange de convivialité et de sophistication. Ouvert à tous, des résidents de Dubaï aux voyageurs internationaux en quête de lieux atypiques.
Adresse : Business Bay, Dubaï, Émirats arabes unis. Services disponibles :
Hébergement : 197 chambres.
Piscines : 4 piscines extérieures.
Espaces de travail : 5 ateliers et une break room.
Restaurants : Mama Trattoria, Mama’s Bar, Skypool Terrace.
Divertissement : CinéMama en plein air.
Thierry Le Luron humoriste du siècle dernier, a immortalisé l’actrice Alice Sapritch à travers un gimmick passé désormais à postérité : « Chéri, Chéri ». Outre l’humour, ces icônes des 80’s partageaient un amour inconditionnel pour les hauts lieux de la fête et de la nuit « à la parisienne ». Chérie Chéri conserve de cette période le meilleur, à savoir le sens aiguisé de la fête et la volonté d’apporter à une communauté triée sur le volet, l’envie de se rencontrer, de se découvrir, d’échanger… mais comme le dit justement Marie Garreau, fondatrice de la plateforme : « Ça ne se raconte pas, ça se vit ! ».
Chérie Chéri se positionne donc comme le parfait contre-pied des applications de rencontres virtuelles. L’ADN de Chérie Chéri ? Mettre tout en œuvre pour faciliter les rencontres et garantir à chacun de trouver l’amitié si ce n’est l’Amour et / ou agrandir son réseau professionnel… Un pari ambitieux qui s’articule autour de valeurs, comme l’écologie et de coachs : Psychothérapie, Tarologie, vie amoureuse. Difficile de faire plus complet ! A noter que l’on glisse harmonieusement de l’application vers une soirée organisée dans un lieu « coup de coeur » toujours magique. Lutetia à Paris, Gina à Bordeaux ou encore le Murano au Bouscat (prochaine soirée à ne pas manquer le 15 Décembre 2022) et bientôt des conférences consacrées au bien-être, à l’amour, aux relations sous toutes leurs formes…
Pour ma part, je suis tombé sous le charme de Chérie Chéri, on ressent instantanément la bienveillance, la compétence, l’envie de partager des moments de convivialités riches de rencontres fructueuses qu’elles soient amicales, professionnelles ou amoureuses. Chérie Chéri est une expérience à Vivre, à ressentir, à chérir, qui permet de sortir de l’anonymat des sites de rencontres classiques, qui rappelle l’ambiance des clubs privés comme le Racing, Polo, Chez Castel, mais avec l’ouverture et l’esprit d’aujourd’hui.
Pour vous faire une idée, le mieux est de vous rendre sur Facebook (https://www.facebook.com/cheriecheri.corp), Chérie Chéri à Bordeaux https://www.facebook.com/groups/438172860103913, sur Instagram https://www.instagram.com/cheriecheri.corp/ le site https://www.cheriecheri.com et de télécharger l’app sur les stores.
Le nouveau numéro de Caviar est consacré à la musique sous toutes ses formes. Rythmes des chants de stade, puissance des enceintes dans les vestiaires et voyages dans les terres musicales les plus mythiques du football (Liverpool, Brésil…). Rencontres avec Leïla Slimani, Yves Camdeborde, Pascal Nouma, Manuel Pellegrini… Au sommaire du dossier : un focus sur le rap avec les interviews d’Akhenaton et Mehdi Maïzi ; une discussion passionnante avec Gaël Faye ; Jackson Martinez, le footballeur-chanteur ; les anecdotes de Philippe Manoeuvre ; l’importance de la musique dans la préparation mentale des joueurs ; le football vu par le pianiste Emmanuel Strosser…Sortie le jeudi 1er décembre 2022
Pour cette nouvelle saison, The North Face présente sa toute première collection circulaire, sans compromis sur le confort et la durabilité. Chaque composant a été analysé et choisi pour garantir que ces modèles puissent être facilement recyclés à la fin de leur parcours, prolongeant la réflexion au-delà du produit. Dans le cadre de la campagne It’s More Than A Jacket, les collections incarnent l’idée que la planète doit être protégée et qu’une histoire est tissée dans chaque fil : la découverte de nouveaux spots d’exploration, des nouvelles rencontres, ses moments inoubliables.
C’est la prochaine étape pour s’assurer que ces produits fonctionnels n’aient pas d’impact sur les terrains de jeux. Une fois que le produit a atteint la fin de sa durée de vie, The North Face offre une solution simple aux clients pour recycler leurs vêtements et chaussures usagés. Le programme Clothes The Loop permet aux consommateurs de recycler les vêtements, chaussures et équipements non désirés The North Face, quel que soit leur état, en les déposant simplement en magasin. Le design circulaire est imaginé pour l’avenir. C’est un nouveau design pour un monde meilleur. It’s more than a jacket. https://www.thenorthface.fr/
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Consciente des enjeux contemporains rencontrés par l’industrie de la mode, Redskins, marque française emblématique de cuir depuis plus de trente cinq ans a décidé de repenser ses créations, et dans cette optique est née la collection Tomorrow.
Composée d’une gamme de cuirs éco-responsable avec trois blousons (« City », « Pilote » et « Moto »), les produits sont proches du 100% recyclé. À l’intérieur un « storytelling » rappelant l’objectif de la collection est inscrit sur la doublure (elle-même non teintée afin d’être plus respectueuse de l’environnement). Les vêtements sont pensés jusqu’aux étiquettes signatures et rubans de zip, recyclés également. Disponibles du M au 2XL et dans trois coloris (cognac, marron et noir), les blousons sont des modèles sobres, intemporels et confortables.
A l’instar du Petit Prince et de Jonathan Livingston le goéland, Le Chevalier à l’armure rouillée possède la limpidité et la profondeur qui parlent au coeur et à l’âme, fort d’une portée universelle.
Il y a fort longtemps, un vaillant chevalier combattait les méchants, tuait des dragons et sauvait les demoiselles en détresse. Il se croyait bon, gentil et plein d’amour. Il était très fier de sa magnifique armure qui brillait de mille feux, et ne la quittait jamais, même pour dormir. Seulement, un beau jour, en voulant l’enlever, il se retrouva coincé… Ainsi commença pour lui une quête initiatique, à la recherche de sa véritable identité, au gré de rencontres insolites et d’épreuves riches d’enseignement. En parvenant au Sommet de la Vérité, il deviendra alors ce qu’il n’avait jamais cessé d’être, un homme au coeur pur, libre de toute illusion et de peur.
The Peninsula Paris et Galerie Templon, galerie d’art parisienne établie depuis 1966, s’associent pour une programmation d’expositions au sein du palace parisien. Cette collaboration prend forme dès aujourd’hui et jusqu’au 10 janvier 2022 avec une exposition d’œuvres d’art de Iván Navarro. Cinq de ses œuvres d’art sont disposées dans les espaces publics de l’hôtel pour permettre à tous de découvrir l’univers de ce créateur. Cinq autres sont placées dans deux des plus belles suites de l’établissement afin d’offrir une expérience artistique exclusive aux clients de ces suites. Sept des dix œuvres exposées sont uniques, dont Home, œuvre commandée à l’artiste par The Peninsula Hotels en 2019 dans le cadre de l’exposition « Art in Resonance ». Les trois autres œuvres ont été réalisées par l’artiste en trois exemplaires seulement.
Au cours de ces trois mois d’exposition, deux tables rondes seront organisées au sein de l’établissement de l’avenue Kléber et seront animées par des experts de l’art. Ouvertes à tous (sur réservation), ces rencontres ont pour but de promouvoir et de faciliter le dialogue entre différentes générations d’artistes et de publics. Amateurs d’art, novices ou experts, mais aussi étudiants en école d’art seront les bienvenus.
Au cours de l’année 2022, The Peninsula Paris poursuivra son programme dédié à l’art en exposant au sein de ses espaces le travail d’autres artistes.
« Over the Rimbaud »
La création naît souvent d’une suite de hasards …
Je venais de rentrer des États-Unis et je cherchais comment traduire ce qui se passait en moi. Ce furent une série de rencontres, et des discussions infinies autour du mythe qui m’a inspiré la série : « les Rimbaud d’Aujourd’hui ».
Et c’est ainsi que, de fil en aiguille, comme un rêve, une aventure, je me suis retrouvé à essayer de pénétrer ce mystère à force de peindre le visage d’Arthur Rimbaud.
« Vivre au présent »
L’adolescent fugueur ne tenait pas en place et mourrait d’envie d’aller voir l’Ailleurs, jusqu’à l’infini, celui que beaucoup envisagent mais qu’il a écrit.
Certes il a peu écrit, pourtant le génie qui l’habitait nous a laissé des textes/poèmes d’une modernité éblouissante. Curieux, insaisissable, Arthur Rimbaud incarne le reflet d’une adolescence gourmande de la vie. Ce grand marcheur aux semelles de vent voulait tout, dans un monde nouveau sans frontière, un monde dont il refusait les limites.
« Rimbaud Warrior »
Anarco-rock libéral. Électron libre. Rebelle en marge d’une société du XIXème siècle traditionnelle, Arthur Rimbaud a contredit tous les principes établis. Être libre. C’était en lui. Du bout de ses jeunes doigts, il laissé la poésie s’exprimer en son nom.
L’adolescence est un état d’être en puissance.
Il avait en lui un faisceau de tendances, un maelström d’envies qui touchaient à l’essence de l’Humanité. Arthur Rimbaud n’a pas cherché à se raisonner. Il s’est jeté corps et âme dans l’expression de ses envies, ses rejets, ses colères autant que ses humeurs vagabondes.
« Rimbaud est beau »
Un jour j’ai compris que ce visage n’avait pas d’âge.
Plus j’en apprenais les détails, plus il m’est apparu complexe. Habité par une infinité de caractères. Ce visage avait été celui d’un jeune homme de dix-sept ans en 1871, mais je le voyais vivant, tantôt fermé, tantôt souriant, volage, dur, provocateur, voyou, malin, buté- têtu, las ou rigoureux, narquois, amusé, rêveur séduisant ou simplement beau.
Après avoir longtemps peint « la ville », je me retrouvais face à face avec ce jeune homme qui débordait d’enthousiasme pour l’existence, mais qui refusait de se soumettre à ses propres lois. Un jeune homme moderne, qui incarnait la fulgurance d’une inspiration indomptable, généreuse, sensuelle, a-rythmée, surréaliste…
Ce même portrait de lui, se transformait en fonction de mon humeur, et chaque tableau reflète un caractère, ce visage d’Arthur Rimbaud connu de tous,
Connu dans l’Absolu,
Parce qu’il est en nous, il fait partie de nous. Au pluriel.
Gaspar Claus est un violoncelliste français au parcours académique, qui a développé une maîtrise de son instrument en travaillant avec des musiciens de différentes scènes dont Sufjan Stevens, Bryce Dessner/the National… Avec InFiné, Gaspar s’est d’abord produit avec son père, Pedro Soler, lors des ateliers InFiné de Poitiers en 2008. Le label a ensuite publié deux albums du duo ‘Barlande’ en 2011 et ‘Al Viento’ en 2016. Il est également crédité sur les albums de Rone (Tohu Bohu, Creatures, Mirapolis…) et plus récemment Arandel (InBach 1&2). Il dirige également le label Festival Permanent, qui reflète ses rencontres, ses collaborations scéniques et sa recherche de compositions défiant les genres.
« Aux Confins » synthétise toutes les forces idiosyncrasiques de Tancade. Il arrive au moment précis dans l’album où l’auditeur se laisse emporter par des nappes de cordes aériennes qui semblent se répéter à l’infini pour mieux dessiner une tapisserie de signes ésotériques lumineux.
Voguer sur les rives du désir, du plaisir, des sens, dans un havre de liberté, la Chaloupe est au delà d’un Club, une philosophie de Vie. Les habitués le savent bien et s’y retrouvent avec plaisir, comme de vieux amis, ouvrant parfois leurs coeurs, parfois leurs corps, mais toujours dans le respect et la sincérité, sous l’oeil bienveillant et vigilant de Jean-Claude et Malika, parfaits hôtes aguerris. Du Jeudi au Samedi, se découvrent sur l’intime piste de danse, lieu de tous les possibles, avant de s’échapper dans les alcôves prévus à cet effet, des êtres ouverts et généreux qui s’amusent à transgresser les quelques règles pudibondes et obsolètes encore en vigueur dans notre société. Et pourtant cela fait déjà 30 ans que l’histoire se poursuit avec son lot d’anecdotes, parfois croustillantes, de rencontres, d’inédits, car chaque soirée est une nouveauté. Difficile de prévoir, d’imaginer comment l’alchimie peut naitre entre celles et ceux qui, animés par une volonté d’autre chose, franchissent la porte de cette demeure. Il suffit parfois d’une musique, d’un pas en avant vers l’autre pour créer l’étincelle. Certains viennent simplement entre amis pour boire un verre, parce qu’ils savent qu’ici, ils ne seront pas importunés, jugés ou mis de côté, même ceux qui ne possèdent pas les codes se mettent rapidement au diapason. Il y a parfois des exceptions, mais l’esprit de fête domine toujours. D’autres osent s’y présenter seul, sans attente ou avec attente, cela peut faire des déçus, le mieux étant d’apprécier la Chaloupe telle qu’elle est : Un espace de Fun, d’ouverture, de chaleur et de tolérance, principalement pour les couples mais accessible à toutes celles et ceux (selon soirée) qui respectent et célèbrent la liberté de chacun, qui souhaitent s’amuser avec élégance et fantaisie, sortir des sentiers battus du conformisme et se laisser transporter par une délicieuse et enivrante énergie charnelle… N’hésitez pas à vous rendre sur le site ou sur Facebook pour en découvrir plus sur les soirées : lachaloupeclub.com/fr/soirees
La Chaloupe
30 Rue Giacomo Mattéoti, 33100 Bordeaux
Réservation : 05 56 40 28 91
Il est un antre obscur où vont s’isoler les amours pour nous séduire avec plus d’énergie. Marquis de Sade
Les Apprentis Vignerons à Bordeaux : Adrien Gallo & Bastien Pestourie, Alexia Duchêne & Marie-Pierre Lacoste-Duchêne, Amélie Pichard & Benoit Souliès, Eugénie Degas & Guillaume Gibault signent chacun un vin de Bordeaux emblématique de leur aventure respective et de leurs sensibilités artistiques et culturelles. Blanc liquoreux, rouge, blanc sec, AOC Barsac, Côtes de Bordeaux, Fronsac, Bordeaux… une jolie diversité des vins de Bordeaux et de ses terroirs représentés sur ce millésime 2020.
Les Apprentis Vignerons à Bordeaux, c’est avant tout une histoire humaine qui met à l’honneur un patrimoine viticole français préservé et à l’âme contemporaine, celle de personnalités qui deviennent des ambassadeurs ayant à cœur de découvrir les vins de la région bordelaise, leurs spécificités, leur diversité, mais aussi celles et ceux qui les produisent. Pendant plus d’une année, ils se sont rencontrés, ont découvert, partagé, appris, compris, assemblé ou encore dégusté. De Paris à Bordeaux, de l’effervescence de la ville au calme des vignes, Les Apprentis Vignerons à Bordeaux, c’est avant tout une aventure humaine.
Rendez-vous dès le 13 octobre 2021 pour découvrir les 4 cuvées disponibles au verre : BRASSERIE ROSIE 53 rue du Faubourg Saint-Antoine 75011 Paris Du 13 au 31 octobre 2021
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération
À quelques pas de la Place Vendôme, entre la rue de la Paix et le boulevard des Capucines, Hegid s’installe au cœur des savoir-faire d’excellence qui enrichissent son identité. L’ensemble des collections d’Hegid seront disponibles dans cette Galerie, œuvre de l’ébéniste d’art Hervet Manufacturier et du collectif Ault Studio, qui se distingue par son impressionnant mur lumineux.
Cette adresse rappellera des souvenirs à ceux qui, aux premiers jours de la marque, y avaient rencontrés les créateurs de la Maison. Hegid avait présenté dans ce même espace ses premières montres évolutives. De cette expérience éphémère, Hegid a choisi de s’inscrire dans le temps et de développer avec ses partenaires un concept unique, dédié à l’excellence, en associant son horlogerie à d’autres créateurs de désirs.
La Galerie, située 8 rue Volney 75002 Paris, sera ouverte au public entre 14h30 et 19h00, du lundi au samedi, à partir du 19 mai 2021. hegid.com
L’artiste d’origine malawite et irlandaise, née à Blackburn, captive les cœurs du monde entier avec son coffre de voix fascinant.
Bad Bitch est née de «l’une des rencontres les plus horribles avec un Q&R», se souvient Charlotte. Quittant la réunion avec l’impression d’avoir reçu un coup du lapin, Charlotte est allée dans un bar au bord de la Spree à Berlin et a noyé ses chagrins dans l’alcool. Après avoir pleuré et avoir ri, elle est retournée au Royaume-Uni quelques jours plus tard et a essayé d’expliquer à son producteur où son esprit se trouvait ce jour-là. Lorsqu’elle était sobre, elle se sentait en danger, lorsqu’elle était ivre, elle était trop confiante – aucun terrain d’entente. Les couplets de Bad Bitch sont Charlotte quand elle est sobre, alors que le refrain est Charlotte lorsqu’elle a bu.
À propos l’album, Charlotte se souvient: «En l’espace de 2 mois, tout ce qui avait été autrefois n’était plus. Mon cœur avait été brisé d’une manière que je n’aurais jamais pu imaginer. Cela m’a amené à trop faire la fête, à ne pas dormir, à manger à peine et à fumer comme un pompier. Mode autodestruction, activé. Je me sentais totalement perdue dans l’espace et personne ne pouvait me ramener sur terre. Pendant cette période sombre, j’ai été obligé de reconnaître des parties de moi- même, et parfois pas de la manière la plus positive. C’est moi qui me déprécie, c’est moi qui me défends, c’est moi qui tombe follement amoureuse, horriblement triste, en colère, c’est moi en train de prier un dieu auquel je ne crois pas à propos d’une vie que je ne pourrais pas mener, parce que je n’avais plus rien à perdre, je n’aurais pas pu faire cet album sans l’amour et le soutien que j’ai reçus de mon producteur, Couros, et du petit groupe de co-auteurs avec lesquels j’ai collaboré sur certaines de ces chansons. Ils ont choisi à la fois moi et cet album dans les profondeurs de l’obscurité et m’ont aidé à expulser mes démons dans mon travail.”
Forest montre le côté aimant de Charlotte. Elle note que lors du premier confinement «j’ai commencé à regarder After Life de Ricky Gervais et j’ai été incroyablement submergée par la peur d’aimer quelqu’un». Après avoir été incapable de voir son petit ami pendant longtemps – comme beaucoup de gens en ces temps difficiles – elle a écrit la chanson pour lui. Charlotte continue « j’ai eu l’impression de le perdre, alors j’ai écrit ce morceau pour lui rappeler ».
La collection « Soul of » propose une nouvelle approche de l’art du voyage, faite de vagabondages, de rencontres fortuites, d’expériences qui se veulent inoubliables. Chaque guide réunit les 30 meilleures expériences d’une ville, les interviews de ceux qui font l’esprit de cette ville, des illustrations saisissant l’âme de la ville. Fondée par Fany Péchiodat (My Little Paris) en collaboration avec l’éditeur Thomas Jonglez, la collection est aujourd’hui composée de 8 éditions : Barcelone, Lisbonne, Los Angeles, Venise ou Tokyo : Un salon de thé planqué dans l’arrière boutique d’un fleuriste, un chef étoilé qui ne fait rien comme tout le monde, un marché de street food tokyoïte, un resto-cachette en plein cœur de Shibuya, passer la nuit dans l’étagère d’une bibliothèque, boire le cocktail de votre vie, trouver le restaurant dont on ne vous dira pas l’adresse, fêter un «faux anniversaire» dans un isakaya, faire du «standing sushi», se faire masser dans un hamac… « Soul of Tokyo » a été écrit par Fany et Amandine Péchiodat.
« Mon travail est toujours un lieu où la violence côtoie le plaisir, où le plaisir côtoie la douleur, la sexualité côtoie la guerre, qui côtoie à son tour la solitude. La nature est célébrée, l’être humain est violenté par le monde. »
Barthélémy Toguo
Coïncidant avec les expositions que lui consacrent cette année le musée du Quai Branly – Jacques Chirac (du 6 avril au 5 décembre) et la Galerie Lelong & Co. (à partir de septembre 2021), cet ouvrage est la première monographie encore jamais dédiée à l’un des artistes africains les plus importants de notre époque : Barthélémy Toguo, né en 1967 à Mbalmayo au Cameroun.
Artiste engagé, Toguo est aussi au cœur du projet Bandjoun Station, un lieu de création artistique pluridisciplinaire, autonome et autarcique, proposant des activités pédagogiques, expositions, rencontres, ateliers et résidences d’artistes.
Ses œuvres sont aujourd’hui conservées par de grandes institutions internationales dont le MoMA, le Studio Museum de Harlem à New York, le Centre Pompidou à Paris, la Tate Modern à Londres, les
Kunstsammlungen der Stadt de Düsseldorf.
Cette publication de 280 pages et 350 illustrations, bilingue français/anglais, réalisée en étroite collaboration avec l’artiste et la Galerie Lelong & Co., s’enrichit d’un essai de Philippe Dagen, historien de l’art, chercheur, critique d’art et écrivain et chroniqueur pour le quotidien Le Monde.
Parution avril 2021. Édition reliée, bilingue français/anglais, au format 27 x 30 cm – 280 pages – 350 illustrations ISBN 978-2-37074-144-8 – 49 €
Tu fais quoi dans la vie ? Tu veux faire quoi de ta vie ? Raconte moi ta vie :
Une vie de merde ? Une belle vie ? Une vie utile ? Une vie pleine ? Une vie de rencontres ? Une vie morne ? Une vie tranquille ? Une vie de bonds et de rebonds ? Une vie de souffrances ? Une vie dans l’ombre ? Une vie dans la lumière ? Une vie de luxe ? Une vie modeste ? Une vie de réussites ? Une vie d’échecs ? Une vie pour soi ? Une vie pour les autres ? Une vie pour les Dieux ? Une vie de réflexion ? Une vie d’action ? Une vie d’amouUne vie d’amour ? Une vie de sacrifices ? Une vie trop courte ? Une vie très longue ? Une vie d’attentes ? Une vie d’opportunités ? Une vie de rires ? Une vie de larmes ? Une vie d’espérances ? Une vie de combats ? Une vie de renoncements ? Une vie dure ? Une vie simple ? Du premier souffle, jusqu’au dernier, nous sommes la somme de toutes ces vies, pour nous mêmes et pour les autres. Choisir la vie, c’est peut-être le seul vrai choix qui nous incombe.
La Maison Stella McCartney a collaboré avec pas moins de 26 artistes pour le mois de novembre dans le cadre du McCartney Manifesto,
Sous forme d’abécédaire, chaque lettre, dont certaines seront mises aux enchères pour des œuvres de charité, reprend une valeur chère à la maison et présente un look de la collection Resort 2021 en lien avec cette valeur.
Pendant ce moment de pause forcé, je me suis posé des questions plus en profondeur sur ce que je fais et pourquoi je le fais. Comment pouvons-nous revenir au monde ‘habituel’ avec plus de conscience ? Lors d’une nuit pendant laquelle je peinais à trouver le sommeil, j’ai traduit par des mots mes pensées sur ce qui est vraiment important. Le résultat, que j’ai partagé avec mon équipe, est devenu une sorte de manifesto.
Nous l’appelons aujourd’hui le McCartney Manifesto de A à Z—une carte de notre ADN et un plan de nos futures intentions; tout ce que nous savons, croyons et aimons en termes de mode. Je voulais définir qui nous sommes et qui nous espérons être. Il s’agit d’un guide pour nous responsabiliser et un défi pour être la meilleure maison de mode durable qui soit.
Le manifesto porte notre légèreté : la mode a en effet besoin d’espoir et d’humour. Cependant, notre sentiment collectif d’urgence nous dit de faire en sorte que tout cela tienne, de se lever et d’agir. Mais qu’est-ce que cela signifie ?
Etant dans la mode depuis 20 ans, j’ai beaucoup réfléchi à notre impact à une grande échelle. Comment pouvons-nous réduire ce que nous produisons ? Comment pouvons-nous faire plus avec moins ? Comment pouvons-nous vraiment arriver à zéro déchet ?
En ce qui concerne les prochaines collections, nous nous engageons à réduire encore plus nos déchets et notre utilisation de matières premières, et à accroître notre utilisation de tissus recyclés. Nous continuerons de remettre en question notre approche et de rechercher des solutions meilleures et végétaliennes pour créer le plus de vêtements durables sans jamais sacrifier la notion de luxe intemporel ni la désirabilité.
Les jeunes d’aujourd’hui sont les leaders de demain—et ils se demandent déjà comment et où nos produits sont fabriqués. Leur optimisme, ainsi que leurs valeurs activistes, nous rappellent qu’il ne faut jamais accepter les choses comme l’industrie les dicte, et toujours voir le potentiel de chaque action. Avec un regard progressiste sur la diversité, l’inclusion et les femmes, nous soutiendrons toujours ces créateurs et militants.
De retour dans le monde ‘normal’, nous devons nous rassembler pour accélérer le changement positif. Pendant ce moment de pause global, nous avons tous vu que la nature peut guérir. La seule beauté qui se dégage des jours noirs que nous vivons, c’est que malgré le traumatisme et la perturbation, nous assistons à un réel moment d’espoir.
Chez Stella McCartney, à travers chaque lettre de ce ‘A à Z’ auquel ont donné vie 26 artistes étonnants, nous nous engageons à tenir nos promesses et à faire toujours mieux. En outre, nous le ferons avec amour pour notre profession, pour l’Autre, pour nos semblables et pour la Terre.
L’ALPHABET ET L’ART
Pendant le confinement, j’ai demandé à 26 artistes de choisir une lettre et de l’interpréter en toute liberté. Beaucoup sont des amis intimes, ou que j’ai rencontrés de façon naturelle lors de mes voyages par la mode. D’autres sont de nouvelles connaissances que j’ai toujours admirées, ou issus de la nouvelle génération de talents à qui nous souhaitons proposer une plate-forme pour démarrer leur carrière pendant cette période difficile.
J’ai été ravie lorsque chacun d’eux a gentiment accepté de créer une œuvre pour notre Manfesto A à Z, cela a été une grande joie de travailler avec eux. Ma gratitude est sans limite. La lettre de chaque artiste est essentielle à notre dictionnaire visuel des intentions qui nous animent chaque jour dans notre travail. Et ces lettres seront développées à travers nos collections dans les semaines à venir.
Bien à vous,
Stella
Londres, octobre 2020
En découvrir plus : https://www.stellamccartney.com/experience/fr/mccartney-a-to-z-manifesto-summer-2021-show/
Ebb Software lève aujourd’hui le voile sur une nouvelle vidéo de gameplay de son jeu d’horreur à la première personne, Scorn. L’ensemble de l’environnement et chacune des rencontres qui s’y déroulent sont conçus pour raconter une histoire spécifique et vous immerger complètement dans l’univers dérangé de Scorn. A l’origine indifférentes à votre présence humanoïde dans les couloirs poisseux et organiques qu’elles hantent, les créatures que vous rencontrez deviennent rapidement hostiles…
Comme beaucoup de rencontres artistiques de 2020, tout a commencé par un DM sur Instagram. Natalia Lacunza, 21 ans, témoigne à Adèle & Matthieu toute son admiration pour Vidéoclub.
La jeune chanteuse espagnole aux millions d’auditeurs sur Spotify est touchée par la musique des jeunes français dont elle ne comprend pourtant pas la langue.
Le respect est réciproque. Natalia propose sa version d’ « Enfance 80 » à Vidéoclub qui tombe sous le charme. Le groupe monte dans le 1er avion pour Madrid pour tourner le clip et interpréter le titre en live pendant un concert de Natalia Lacunza devant un public espagnol conquis.
La connivence entre les artistes est évidente. L’espagnol et le français font mouche sur la musique de Vidéoclub qui continue de traverser les frontières avant même la sortie de leur 1er album prévu début 2021.
Playground – Le design des sneakers au musée des Arts décoratifs et du Design (madd-bordeaux) Jusqu’au 10 janvier 2021. Entrée et visite commentée gratuites jusqu’au 31 août
Baskets, tennis, trainers ou sneakers, peu importent leurs noms, elles marquent notre façon de vivre et de nous habiller depuis le début du XXe siècle. Les sneakers sont devenues, en quelques décennies, un objet de consommation de masse qui transcende le genre, l’âge et les milieux socio-culturels. Avec plus de 600 paires, films, documents d’archives, photos et témoignages, Playground, première exposition de cette envergure en Europe, présente toutes les facettes de cet objet iconique, de son succès auprès des breakdancers new-yorkais aux recherches technologiques de pointe qu’il suscite.
Comité artistique : Jacques Chassaing, Thibault de Longeville, Samuel Mantelet, Teddy Sanchez, Alexander Taylor et Pierre Demoux. Mise en scène par le designer Mathieu Lehanneur
Dans le respect des consignes sanitaires, de nombreux événements offline et online corrélés à l’exposition sont également prévus :
Terrain de basket-ball (3×3) dans la cour d’honneur du musée : pratiques libres et rencontres sportives avec les JSA Bordeaux Métropole Basket et la Fédération Française de Basket-Ball.
Autour de l’exposition : concerts, DJ sets, rencontres, animations, ateliers pour enfants …
En découvrir plus: https://madd-bordeaux.fr/accueil
Mon histoire dans Anthrax est marquée par la détermination, le dévouement, parfois la chance – ou la malchance. C’est une histoire remplie de triomphes et de défis, pas seulement de drames et de combats. Je me suis éclaté et je me suis rendu compte que l’industrie de la musique est l’entreprise la plus folle et la moins prévisible au monde. Littéralement, tout peut arriver. Ayant passé plus de trente ans à sortir des albums et à faire des tournées, j’ai accumulé un tas d’expériences marrantes et fascinantes, avec mon groupe, mes amis, mes pairs et les gens que j’ai rencontrés depuis le moment où je me suis mis à jouer de la guitare acoustique, et jusqu’au jour où je suis monté sur scène au Yankee Stadium dans le cadre du Big Four Festival.
Le pianiste américain Bruce Brubaker et l’artiste de musique électronique Max Cooper se sont rencontrés pour créer une nouvelle expression de la musique de Philip Glass et raconter une histoire de diversité et de vulnérabilité.
Commandée par la Philharmonie de Paris et présentée à cette occasion en 2019, Glassforms fusionne le piano acoustique – symbole de la « haute » culture européenne et de la « musique classique » – avec les synthés et le monde sonore électronique d’aujourd’hui pour créer une expérience dynamique en direct. Leurs performances live à Paris, au Barbican de Londres et au festival Sonar de Barcelone sont désormais immortalisées sur l’album « Glassforms », qui sortira le 5 juin sur le label InFiné.
Je suis vraiment honoré de pouvoir accueillir Common sur un de mes morceaux. C’est vraiment fou pour moi de voir l’un de mes rappeurs favoris de tous les temps trouver l’inspiration sur ce morceau et décider d’y apporter quelque chose ! Nous nous sommes rencontrés lors de ma tournée américaine et il a tout de suite perçu le sens de Signs, ce que j’avais voulu exprimer. Je me souviens encore quand j’allais au collège le matin, en écoutant ses albums Be ou Electric Circus, c’est fou de pouvoir partager un morceau aujourd’hui !
La version deluxe d’Origin présente, par ailleurs, deux autres morceau inédits, Borderline et Always Coming, mais aussi une magnifique cover du morceau Best Part de Daniel Caesar & H.E.R. enregistrée en live au Vale Studio de la BBC, pour Annie Mac, une version piano solo de Speak enregistrée lors d’une release party à Shoreditch Treehouse, à Londres; des versions live, en full band, de You & Me, Mind’s Eye, Mad World, Mantra et Rolling Into One – toutes enregistrées aux Pool Studios à Londres http://jordanrakei.lnk.to/origin-deluxe
Mai nous fait voyager dans le temps, à travers les souvenirs du mois de Mai 2018 où Adèle et Matthieu se sont rencontrés. Il évoque l’insouciance, les commencements, les soirées entre amis et la liberté des fins d’années scolaires…
Mis en image avec poésie et onirisme par Hugo Pillard, le clip traduit parfaitement la nostalgie émue des moments déjà révolus.
27.11.19 DIJON / LA VAPEUR COMPLET (1ére partie Vanessa Paradis)
30.11.19 MONT DE MARSAN / CAFÉ MUSIQUE
07.12.19 ROUEN / LE 106 COMPLET (1ére partie Vanessa Paradis)
11.12.19 PARIS / CASINO DE PARIS COMPLET (1ére partie Vanessa Paradis)
10.01.20 ÉVREUX / LE TANGRAM
11.01.20 CHATEAU-THIERRY / LA BISCUITERIE
13.01.20 BRUXELLES / BOTANIQUE
14.01.20 BÉTHUNE / LE POCHE
17.01.20 PARIS / LA MAROQUINERIE COMPLET
18.01.20 PARIS / LA MAROQUINERIE COMPLET COMPLET
22.01.20 AMIENS / LA LUNE DES PIRATES
23.01.20 PARIS / LA MAROQUINERIE
24.01.20 PARIS / LA MAROQUINERIE
25.01.20 PARIS / LA MAROQUINERIE
06.02.20 DIJON / LA VAPEUR
07.02.20 BESANÇON / LA RODIA
08.02.20 BELFORT / LA POUDRIÈRE
14.02.20 LA ROCHE SUR YON / FUZZ’YON
15.02.20 COGNAC / LES ABATTOIRS
18.02.20 ANNECY / LE BRISE GLACE
20.02.20 TOURCOING / LE GRAND MIX
21.02.20 MONTPELLIER / LE ROCKSTORE
07.03.20 LA RÉUNION / LES FRANCOFOLIES
21.03.20 GENÈVE / LE LIEU CENTRAL
En 2020, l’emblématique Venice Simplon-Orient-Express célèbrera avec faste cette nouvelle décennie et marquera les esprits les plus avertis avec « The Party » : un voyage immersif inédit au cœur des années 20 entre Venise et Paris du 27 au 29 mars 2020.
C’est sous le ciel de Venise sur l’île enchantée de la Giudecca que les festivités débuteront le 27 mars 2020, loin de l’agitation de la Sérénissime, au Belmond Hotel Cipriani, théâtre des plus belles histoires depuis plus de 60 ans. À cette occasion l’hôtel dévoilera, le temps d’une nuit, un speakeasy éphémère… À l’abri des regards, les invités s’aventureront dans ce lieu secret aux allures de club clandestin, tout droit sorti des années 20… En hommage aux fêtes fabuleuses des années folles et à la légendaire histoire du train, ce voyage de 48 heures transportera ses passagers à travers une épopée fantastique, empreinte de magie et d’émotions. Un véritable ré-enchantement de l’âge d’or du glamour célébré au rythme d’une musique jazz survoltée et de rencontres hédonistes.
Par ailleurs, en 2020, le train proposera trois nouvelles « Grand Suites » baptisées « Vienne », « Prague » et « Budapest », d’après les noms de trois des villes emblématiques qu’il dessert. Fidèles au charme originel du train et de son style Art-Déco, les suites se pareront d’une délicate décoration inspirée de chaque destination.
Le voyage « The Party with Belmond Hotel Cipriani » de Venise à Paris est proposé à partir de £3,760 soit environ 4320 euros par personne. Cette offre comprend : Une nuit au Belmond Hotel Cipriani en chambre de catégorie Garden View Room, et un dîner de célébration. Le voyage à bord du Venice Simplon-Orient-Express en cabine twin, l’ensemble des expériences gastronomiques et les boissons. Informations et réservations sur belmond.com ou au 01 44 50 17 71.
Le webdocumentaire « 75e Session, la famille du Dojo » retrace l’histoire du collectif de rappeurs parisiens 75e Session, qui réunit aujourd’hui une quinzaine de rappeurs dont Nepal, Sheldon, M Le Maudit, Sanka ou encore Hash24, autour d’un lieu, le Dojo, épicentre d’une partie de la nouvelle scène rap francophone. Sortie le 17 juin.
En 2012, le collectif 75e Session – qui réunit rappeurs, photographes, vidéastes -, se trouve un lieu de rassemblement, une maison située à Saint-Denis : le Dojo. Du haut de leur 20 ans, avec peu d’argent et encore peu d’expérience, les membres du collectif en font un lieu d’habitation, d’accueil et de rencontres, mais surtout le coeur de leur production artistique avec la création de deux studios. Cette ouverture en fera l’épicentre d’une partie de la nouvelle scène rap francophone, avec les passages de Lomepal, Vald, Dimeh, Roméo Elvis ou encore Caballero et JeanJass. Dès ses débuts, le collectif plonge dans la nouvelle vague du rap parisien avec L’Entourage, Doum’s… rapidement, Nekfeu leur demande de réaliser son clip Dans ta réssoi. Un tremplin pour 75e Session qui poursuit ensuite son développement avec notamment Sopico et Georgio.
Yveline Ruaud, de l’association Les Gros Sourcils, a passé un an au Dojo pour filmer le quotidien des membres de 75e Session. Elle a recueilli des interviews qui racontent leur parcours vers la professionnalisation et leur quotidien dans ce lieu singulier, mais aussi les liens de travail et d’amitié qui les unissent. Le webdocumentaire est illustré d’archives vidéos et de photos inédites de Nepal, Doum’s, Georgio, Nekfeu… de clips et d’images actuelles filmées au Dojo, le tout porté par une musique originale composée par les beatmakers de 75e Session.
75e Session : la famille du Dojo
Réalisation Yveline Ruaud • Post-production Morane Aubert
Sortie lundi 17 juin sur nova.fr
Avant de devenir à Liverpool le « photieman » qui photographie les gens dans les rues, les pubs, les clubs, les marchés, les docks, les parcs et les stades de foot, Tom Wood collectionnait des cartes postales anciennes représentant notamment des mères avec leurs filles ou des sœurs entre elles. Mères, filles, sœurs rapproche les photographies que Tom Wood a prises dans les rues de la ville entre la fin des années 1970 et celle des années 1990 ainsi qu’une partie de sa collection personnelle d’images anonymes.
Tantôt posés et tantôt saisis dans le mouvement spontané de la rue, en noir et blanc ou auréolés de sa palette de couleurs si particulières, les portraits de Tom Wood dégagent une force et une présence d’une formidable intensité. Ils magnifient ces femmes, et rendent hommage à leurs vies de mères, de sœurs, de filles, à cette complicité intime et cette humanité palpable qui les relient.
Photographe né en 1951 en Irlande, Tom Wood vit et travaille au Pays de Galles. Entre 1978 et 2001, il sillonne les rues de Liverpool muni de son Leica, enregistrant le quotidien des habitants de sa ville. En 2003, il déménage au Pays de Galles et se consacre aux paysages. Une rétrospective lui a été consacrée au National Museum de Bradford en 2013. Il a notamment publié chez Steidl Photie Man (2005) et Men/Women (2013) ; et plus récemment Termini (Gwinzegal, 2018) et Women’s market(Stanley Barker, 2018).
Tom Wood, Mères, filles, sœurs, Éditions Textuel.
120 pages, 49€, en librairie le 3 juillet 2019.
TOM WOOD SERA PRÉSENT AUX RENCONTRES D’ARLES
Catalogue de l’exposition Mères, filles, sœurs aux Rencontres d’Arles qui fêtent cette année leur 50e anniversaire | Exposition prévue à la Galerie Sit Down à Paris en novembre 2019.
LE MANIFESTE : Loud & Proud est un festival queer, féministe et intersectionnel qui questionne la représentation et la visibilité des femmes et des minorités sexuelles dans la culture. Il entend redonner la priorité à des corps, des discours et des identités qui questionnent les normes de genre, d’âge, de race ou de classe, en programmant, sur quatre jours de découvertes, des concerts, des ateliers, des performances, des rencontres et des projections.
La programmation de Loud & Proud se construit autour d’artistes politiques et engagé•e•s, qui portent des discours novateurs et émancipateurs. Elle•il•s sont aussi bien des artistes confirmé•e•s que des talents émergents à découvrir dans un contexte inclusif et bienveillant. Elle•il•s sont autant de “role models” positifs à apprécier et dont s’inspirer. Loud & Proud est une “safe place”, un espace précieux et ouvert où l’on danse, crie, apprend, échange et aime.
En anglais, queer est une insulte qui signifie “bizarre”, “chelou”, “tordu” mais aussi “tapette” et “gouine” en opposition au mot “straight” qui, lui, désigne la norme hétérosexuelle. L’insulte a été récupérée dans les années 90 par les minorités sexuelles pour revendiquer avec fierté ces identités différentes, à la marge. Désormais, le queer est un courant de pensée militant, une grille de lecture utile pour interroger les normes sociales et sexuelles, ainsi que les rapports de domination qui en découlent.
La culture queer, qu’est-ce que c’est ? Des oeuvres, des savoirs et des discours, puissants, beaux et drôles, qui interrogent ces normes et ces rapports de domination mais racontent aussi des histoires et des combats singuliers et collectifs menés au fil des décennies. Des productions porteuses de valeurs émancipatrices et solidaires qu’il est urgent d’entendre à l’heure où les principes d’égalité et de fraternité sont largement mis à mal et à l’heure où les contre-cultures et les aventures politiques qui les composent sont aspirées et lissées par la machine marchande.
LOUD & PROUD
Festival des cultures queer
3ème édition du 4 au 7 juillet 2019 à la Gaîté Lyrique
Concerts, club, ball voguing, projections, performances, conférences et rencontres
Pour cette deuxième édition du 20 au 24 Février 2019, Les Bains Festival vous plonge dans 96H non-stop de Music, Food, Drinks // Sleep. Hospitalité, cuisine, mixologie, yoga, performances, découvertes sensorielles et olfactives et bien-sûr et surtout la musique,…
Durant 96 heures, Les Bains Festival se propage aux quatre coins et recoins des lieux : des voyages musicaux dans l’espace et le temps, de l’ASMR avec Rolfe Kent (le compositeur hollywoodien), des ateliers cuisine avec Bruno Grossi (Chef du Roxo), des cours de mixologie pour des cocktails explosifs avec l’équipe d’Eric Sablonière (Chef Mixologiste du Roxo), 10 minutes au paradis des Bains Guerbois une expérience multi sensorielle dans un lieu secret, du yoga warrior et une pro- grammation musicale en haut, en bas, au club, au Roxo, dans des salons, des chambres, sur place et à emporter.
Musique — Le festival, dédié à la musique et aux rencontres artistiques, célèbre cette deuxième édition avec des lives, des DJ sets et des soirées programmées un peu partout dans l’établissement : au restaurant Roxo, au Bar, au Club, dans des chambres, dans un Salon Secret, etc.
Food — Le restaurant sera en parti transformé avec un food stand éphémère. Des finger food sont spécialement créés pour l’événement.
Drinks — En plus de la carte de cocktails originaux, des dégustations-surprise sont prévues.
Sleep — Pour les amateurs les plus pros, pourquoi ne pas rejoindre par intermittence une chambre au lit extra large afin de goûter un sommeil bien mérité, après quelques gouttes de sueurs supplémentaires provoquées par leur hammam privé * ? La manière la plus immersive de jouir de la fête pendant 96 heures. Pour 3 nuits, la 4 ème est offerte ou bien 20% de réduction dès deux nuits consécutives. * dans les salles-de-bains des chambres exécutives, junior suites et suites
Parce que les amoureux de plantes vertes et de cactus méritent eux aussi de trouver chaussures à leurs pieds, l’atelier végétal Bergamotte et Happn, l’application de rencontres française, s’associent pour organiser la première vente de plantes pour célibataires. Le Dimanche 20 Janvier, de 11h à 18h venez donc voir la vie en vert, en solo ou à plusieurs !
De nombreuses surprises au programme : De belles rencontres, des plantes vertes et tropicales en exclusivité, une séance photo dans un décor jungle, instagrammable à souhait : de quoi mettre à jour votre photo de profil sur Happn, des plantes petits budgets à partir de 3€, un tirage au sort pour participer à un atelier rencontres floral, un bar sucré et une super ambiance ! Et des cadeaux happn & bergamotte pour vous accueillir…
www.bergamotte.com
Le Dimanche 20 Janvier, de 11h à 18h 12 rue d’Argenteuil – 75001 PARIS
Roberto décrit l’album comme la bande-son d’une personne qui s’approche de vous, doucement, pendant 40 minutes. Et le musicien essaye d’imiter, de synthétiser, ce son qui nous hante, ou de donner voix au fantôme. Roberto visualise souvent la rencontre entre êtres étranges, des rencontres bizarres qui se produisent durant le processus de création, une forme sonore de manipulation, dans laquelle celui ou ce qui change, devient floue.
This Is How You Smile sortira le 8 Mars sur RVNG Intl. Helado Negro sera en tournée en Amérique de Nord et Centrale, et en Europe en première partie de Beirut – dont un passage parisien, au Grand Rex, le 5 Avril. Une partie des recettes de l’album sera reversée à United We Dream, une association qui soutient les droits des immigrants, soutenue par Come !Mend !, une initiative reliant le travail de RVNG à des associations caritatives.
Tracklisting
01. Please Won’t Please
02. Imagining What To Do
03. Echo for Camperdown Curio
04. Fantasma Vaga
05. Pais Nublado
06. Running
07. Seen My Aura
08. Sabana de luz
09. November 7
10. Todo Lo Que Me Falta
11. Two Lucky
12. My Name Is For My Friends
HELADO NEGRO
This Is How You Smile
(RVNG Intl / Differ-Ant)
Sortie le 8 Mars
Les meilleures marques mondiales de tourisme de ski viennent d’être recompensées lors de la cérémonie des Travel Ski Awards qui s’est tenue à Kitzbühel, en Autriche. Dans la catégorie « Nouveaux Hôtels », le luxe discret ainsi que son confort “comme à la maison” ont mené le FAHRENHEIT SEVEN COURCHEVEL en haut du podium. Il remporte le prix du MEILLEUR NOUVEAU SKI HÔTEL AU MONDE tandis que le FAHRENHEIT SEVEN VAL THORENS remporte le prix du MEILLEUR SKI HÔTEL DE FRANCE, après avoir été élu MEILLEUR NOUVEAU SKI HÔTEL AU MONDE en 2017.
Skier à Courchevel, dans une ambiance de luxe décontractée, sans se ruiner, c’est la nouvelle tendance. Le Fahrenheit Seven Courchevel s’amuse à bousculer les codes de l’hôtellerie traditionnelle. Convivialité, générosité et confort sans modération, un emplacement skis aux pieds exceptionnels, une touche d’anticonformise, une déco recherchée mais non-ostentatoire avec un authentique clin d’oeil retro en hommage à l’histoire et l’ADN de la station, une cuisine directe, sans chichi, qui fait la part belle aux produits locaux et une équipe impliquée, attentive et bienveillante, voici les points forts qui ont été décisifs dans l’élection du Fahrenheit Seven Courchevel comme Meilleur Ski Hôtel du monde.
A la Cheminée, on s’y installe pour une pause cocooning, un après-ski aux saveurs de crêpes et chocolat chaud, un apéritif ou digestif où tout simplement pour boire un thé et bouquiner au coin du feu… La Rôtisserie est un restaurant d’altitude ouvert à tous sur le front de neige de Courchevel 1650. Du petit déjeuner au dîner, la cuisine bistronomique du chef JérômeGodon propulse les produits frais tout schuss dans les assiettes. Au menu : fruits et fromages de Savoie au lait cru, viandes du monde cuites au feu de bois, poissons nacrés et saveurs asiatiques, buffet de desserts. La carte des vins mise sur les meilleurs flocons d’ici et d’ailleurs. Le Zinc est le bar fooding qui va faire monter la température à Courchevel. Dans une ambiance un brin intimiste, on partage une planche, on fait honneur aux 145 références de vins et grands crus, vieux rhums et champagne, on refait le monde entre amis. Les rencontres se vivent, des amitiés se nouent et le plaisir d’être ensemble s’étire à l’infini. Bar festif à la programmation variée, le Zinc c’est 3 concerts ou soirées musicales par semaine pour prolonger le plaisir de la nuit à l’infini.
Le Fahrenheit Seven offre 65 chambres et duplex de 20 à 45m² et des pleines vues sur les cieux enneigés. Design vintage, atmosphère black & white, pour des chambres aux accents seventies et à l’ambiance délicieusement rétro. Etagères coulissantes, tables de chevet acier, parures de lit aux motifs géométriques, le confort cosy se prolonge dans les salles de bains au carrelage en marbre, meubles et robinetterie noirs. Dormir au plus près des étoiles, une montagne de bonheur…
AccorHotels annonce l’ouverture prochaine de sa première adresse Orient Express au sein du gratte-ciel emblématique de Bangkok, la tour King Power Mahanakhon. La célèbre marque se réinvente aujourd’hui avec l’ambition de constituer une collection d’hôtels prestigieux, empreints de tradition, de mythes et d’aventures.
Sébastien Bazin, Président-directeur général de AccorHotels, déclare : « L’Orient Express a toujours fait office de passerelle entre les différentes civilisations. Le voyage à bord de ces trains de légende était par le passé une expérience incomparable, aussi historique que touristique et forte en émotions visuelles. Ce lien entre Occident et Orient, entre histoire et modernité, entre curiosités et cultures, sera la marque de fabrique de ces nouveaux hôtels Orient Express. Nous sommes donc ravis de faire revivre cet esprit de luxe et d’aventure pour les voyageurs d’aujourd’hui. »
Aiyawatt Srivaddhanaprabha, Président-directeur général du Groupe King Power déclare, le lancement du premier hôtel Orient Express au monde à King Power Mahanakhon complète notre vision en la création d’un site extraordinaire qui célèbre la ville, ajoute un jalon à la Thaïlande et au secteur mondial.
Le célèbre architecte d’intérieur Tristan Auer a ainsi été chargé de réimaginer, au sein d’un gratte-ciel moderne, les intérieurs Art déco et les motifs végétaux des voitures originelles de l’Orient Express. Les chambres somptueuses et les magnifiques salles de bains seront synonymes d’élégance et de luxe. L’hôtel comprendra deux restaurants emblématiques, Mott 32 au niveau 2 et Mahanathi de David Thompson au niveau 5. David Thompson est reconnu dans le monde entier pour ses compétences et son expertise dans la cuisine thaïlandaise. Mott 32 tire son nom de la 32 Mott Street à New York, site du premier dépanneur chinois de NYC, ouvert en 1851 et maintenant un quartier animé de Chinatown.
Le complexe accueillera également une plateforme panoramique aux 74eme, 75ème et 78ème étages, tandis qu’un magasin duty free phare de la marque King Power occupera les étages 1 à 4. Le restaurant de la terrasse du toit et le bar du 76ème étage offriront également les plus beaux panoramas de Thaïlande et contribueront à faire de la tour Mahanakhon le lieu le plus prisé de Bangkok, tout comme l’Orient Express servait de cadre aux rencontres entre les personnalités les plus fascinantes du début du XXe siècle.
L’hôtel ouvrira ses portes au dernier trimestre 2019, 136 ans après le premier départ de l’Orient Express depuis Paris.
C’est donc le temps du grand bilan, mon devoir d’inventaire à moi.
Mémoires binaires. rock et roll.
J’avais tant de choses à vous raconter.
Mon enfance champenoise, l’histoire de ma famille.
Ma rencontre avec le rock et les Rolling Stones, mes aventures chez les punks.
De rédacteur en chef de Métal Hurlant puis de Rock&Folk.
Mon amitié avec Serge Gainsbourg.
Johnny, monsieur Hallyday, évidemment.
Mes rencontres avec Madonna. Prince. Michael Jackson.
Polnareff. JoeyStarr et bien d’autres.
C’est tout ça que j’ai eu envie de mettre dans ce livre.
Que je présente d’ailleurs comme un roman autobiographique.
Alors venez pas me chercher des poupoux dans la caboche.
C’est un roman, on vous dit, un roman vécu.
Et ça commence au paradis des rockers,
dans le bus des Stooges…
Plus que de simples mémoires, le roman autobiographique de Philippe Manœuvre est une plongée dans la vie de celui qui est devenu une légende du rock à lui tout seul, un Tintin du rock’n’roll immanquablement chaussé de ses Ray-Ban, le critique rock le plus célèbre de France de ces quarante dernières années. Il a fréquenté les plus grandes stars et parle aux baby- boomers comme au public de la Nouvelle Star. Ce livre foisonnant d’anecdotes, qui raconte comment cet homme et tous ces musiciens ont voulu changer le monde, est à l’image de Manœuvre : il rocke !
Pour leur troisième collaboration avec la Secret Gallery, The French Art Dealeuses nous invite à découvrir l’exposition WONDERLAND jusqu’au 12 Janvier 2019, qui puise sa narration dans la fantaisie, les souvenirs de notre imaginaire d’enfant, les super héros et personnages de fiction .
Orchestrée par Audrey Hatchikian, art curator, elle met en scène l’exposition dans une atmosphère colorée, ingénue et joyeuse . WONDERLAND, ou le pays des merveilles interprété par des artistes d’art contemporain et de design. A l’approche de Noël, cette exposition inspire un tendre sentiment de nostalgie, une bouffée de gaieté et une douce atmosphère poétique.
L’exposition WONDERLAND, présente les oeuvres émouvantes et éclatantes de Jaouad Bentama, artiste installé à New York depuis 6 ans. Il travaille la peinture mixée à des compositions d’objets que l’artiste collecte au fil des de ses rencontres. Des tableaux flamboyants et colorés, à l’apparente légèreté, qui racontent l’utopie de l’enfance et l’espoir. Issu du monde du Graffiti des années 80, Sade One évolue aux côtés des plus grands avant de suivre son propre chemin. De l’hardcore bombing au fresques murales, ils présentent aujourd’hui des oeuvres ludiques et aux mille et une facettes. WONDERLAND, c’est aussi les tableaux de lumières quasi hypnotiques d’Emmanuelle Rybojad, véritable fée de la couleur.
Secret Gallery
19 Rue de Varenne, 75007 Paris
T. 06 80 38 90 14
contact@thefrenchartdealeuses.com
facebook.com/thefrenchartdealeuses
Du mardi au samedi de 11h à 19h
les lundis et dimanches sur rendez-vous
Métro Ligne 10 ou 12 – Rue du Bac ou Sèvres
Babylone Parking Le Bon Marché
Le Rap, la musique préférée des français est un livre publié aux éditions Don Quichotte, de Laurent Bouneau. Fif Tobossi, Tonie Behar. Merci à Fif pour cette interview riche et pleine de sens.
FIF, TOUT EST DIT DANS LE TITRE DU LIVRE OU EST-CE UNE REVENDICATION ?
C’est à la fois un constat et une revendication. Le rap est le vilain petit canard du système et en même temps la musique qui cartonne le plus. Pour autant, les choses changent, les jeunes générations s’installent aux plus hautes fonctions dans les médias, la finance etc. ce sont des personnes qui ont grandi et écouté du Rap. Le street art envahit les musées et les collections privées. Les « rockers » hors d’âge sont petit à petit poussés vers la sortie. Insidieusement aujourd’hui, on trouve partout les codes du Rap, c’est un langage commun et pratiqué pratiquement par tous, à part quelques irréductibles réfractaires !
EST-CE QUE LA RAP EST RÉELLEMENT IMPLANTÉ DANS LES MŒURS OU EST-CE TOUJOURS SUBVERSIF ?
Le rap a l’état brut reste toujours l’apanage des puristes, mais si on prend historiquement des artistes comme MC Solaar, Doc Gyneco, I am, NTM, Maitre Gims, Grand corps malade, Stromae, d’une façon ou d’une autre, ils ont été ou sont en haut de l’affiche ! A tort on les déconnecte du rap alors qu’ils sont en réalité en plein dedans. Malheureusement de nombreux médias agitent encore le Rap pour faire peur, pointent du doigt sa frange « violente », génèrent des clivages inutiles. Ils recherchent uniquement le côté subversif et sensationnel, sans s’attacher à l’histoire, aux racines, à la réalité du Rap qui ne se limite pas aux frasques de quelques uns. Laurent (Laurent Bouneau co auteur et directeur général des programmes de Skyrock), à su populariser le rap et toucher tout le monde. Il a encré le rap dans le paysage musical français et notre livre est une sorte de pierre angulaire pour toutes celles et ceux qui voudraient par la suite rendre hommage, au style de musique, mais également a ses représentants, à sa culture. Il y a énormément à raconter sur le Rap français sur le fond et sur la forme. Bobba par exemple est à la fois auteur, compositeur, interprète, il a sa marque de vêtements, c’est un personnage complexe qui mérite d’être étudié au delà des mots crus de ses textes.
NOTRE CONVERSATION AVEC FIF SORT DU CADRE DE L’ITV CLASSIQUE ON ÉVOQUE À DEMI MOT UNE RÉALITÉ : LE RAP EST REJETÉ PAR L’INTELLIGENTSIA À CAUSE PEUT ÊTRE DE SES ORIGINES BANLIEUSARDES POUR NE PAS DIRE PLUS, MAIS EN MÊME TEMPS, ELLE EST LA SEULE MUSIQUE ÉMERGENTE IDENTITAIRE DANS UN PAYS OU DOMINAIT LA VARIÉTÉ.
Des années 50 « opérettes », aux chanteurs engagés et réalistes, les français ont découvert le rock des Beatles et des Stones et les artistes les ont imités dans les codes, l’attitude, les pseudos… Le rap s’est forgé ses propres racines avec un métissage certes culturellement lié aux Etats-Unis mère patrie du style mais en y intégrant ses diversités culturelles fruit du mélange ordinairement reproché à la banlieue. Les enfants des Zemmour, Naulleau, Sarko ont fatalement écouté du rap ou même sont carrément dans l’univers … et pourtant le regard des géniteurs sur cette musique demeure parfois étrangement sans concession…
QUEL EST VOTRE BUT À TRAVERS CE LIVRE ?
Le livre est une montée au créneau, quitte à essuyer les critiques (ndlr je vous laisse suivre l’actualité des clash sur d’autres sites !). Donner envie de faire des livres. Dégoupiller l’hermétisme des carcans bien pensant et petit bourgeois qui refusent l’accès aux grandes tables d’expressions et de débats à la culture Rap. A la fnac par exemple le rayon rap français est minuscule. Il y a matière à travailler et à l’étoffer. Les sujets sont nombreux : Le secteur A, la Mafia k1 frey, par exemple, c’est à la fois de la musique mais c’est aussi des success story dans les affaires, des personnages riches et étonnants comme le décrit si bien Laurent dans notre livre !
LES DIFFICULTÉS POUR PARLER DU RAP À LA TÉLÉVISION
Toujours dans la polémique, jamais positif ? Olivier Cachin seul représentant « officiel » des médias parfois chahuté. Pourquoi pas un Bernard Pivot « street » : Les émissions culturelles télévisées intéressent qui et à quelle heure ? Imaginons une émission littéraire ou culturelle réellement ouverte à la culture des 25 – 45 ans et qui passerait ne passerait pas sur canal ou les chaines du câble mais accessible à tous… prochaine étape ?
-NDLR : Le livre est le produit de la radio et d’internet, aurait-il pu en être autrement (télévision et presse écrite)… La question reste ouverte mais j’ai ma réponse !-
Le rap n’est pas une sous culture ! Mais pour l’affirmer il faut des références, des pros, des spécialistes, des émissions, on va faire un dossier sur les featuring improbables par exemple, vous serez surpris de voir comment le rap est présent partout même dans la variété… alors occupons la place qui nous revient et accordons à cette musique la place qu’elle mérite, au sommet de la pyramide ! Après, il faut aussi savoir prendre des risques, mettre la musique partout… prenons le cinéma, le rap dans la majorité des films français illustre des scènes de violence ou de banlieue… mais cela change, petit à petit, il y a quand même des victoires. Des gens comme Omar Sy, Thomas Thouroude, Mouloud etc. viennent de cet univers au sens large… on entend quelques génériques dans les émissions de foot ou le rap est très présent et amènent au style une certaine légitimité populaire. Mais le chemin est encore long !
UN DISQUE À ÉCOUTER POUR CELUI OU CELLE QUI EST TOTALEMENT RÉFRACTAIRE AU RAP : C’est vraiment très dur !!!!
– L’école du micro d’argent d’I am
– Hexagone 2001… rien n’a changé, collectif de rappeurs qui reprennent du Renaud, la preuve que l’ouverture est de plus en plus importante, la réunion entre la France et sa musique n’est pas loin, accepter cette réalité, c’est presque politique !
– Tellement qui mériterait d’aller dans leurs oreilles …
L’AVENIR ?
Il faut plus de projets consacrés au Rap, montrer qu’on est là, aux Etats-Unis des textes de krs-one et Tupac sont étudiés à l’université, n’oublions pas que le rap ne se limite pas à quelques artistes subversifs qui provoquent les mêmes courroux que le rock en son temps, scandaliser à toujours fait parti du jeu, en revanche aujourd’hui personne ne conteste aux Bowie, Stones, Beatles, leur génie et de nombreux français ont écrit des livres ou réalisé des reportages sur ces artistes … Les rappeurs français méritent autant de considération surtout au regard du talent… et des ventes, rappelez moi d’où viennent Stromae, Orelsan, Doc Gyneco ? Le phénomène prend de l’ampleur. Notre livre est un message aux futurs générations qui peut être s’en inspireront ou iront chercher des références pour des mémoires, des travaux dans les écoles d’art, de communication et pourquoi pas de commerce…
Après tout pourquoi pas : Le Rap est la musique préférée des français !
En 1996, Skyrock a basculé dans le rap et le R n B, devenant la première radio nationale spécialisée dans la culture urbaine. Voilà dix-sept ans que, avec toute l équipe de Skyrock, nous nous battons pour populariser cette culture et faire découvrir les artistes qui la font vivre. Dix-sept ans ! Quand je pense au nombre de projets, d émissions, de concerts, de rencontres… j ai le vertige ! De IAM à Doc Gynéco, de NTM à Sexion d Assaut, sans oublier Diam’s, Rohff, Booba, La Fouine, Orelsan, Soprano et tant d’autres, ils sont tous passés sur Skyrock et j ai vécu des histoires extraordinaires avec chacun d entre eux…
Au fur et à mesure de l’échange on se prend à réver, à une certaine éducation des esprits reveches, aux origines des samples et de la musique, au sens des paroles, à l’incroyable vecteur qu’est le rap pour fédérer et transporter les âmes des recoins les plus sombres aux plus éthérés.
Un livre hautement recommandé, pas uniquement aux amateurs de rap, à celles et ceux qui croient encore que c’est juste du bruit et des borborygmes, produit d’une sous culture et qui finiront si ce n’est par changer d’avis, au moins de céder la place à d’autres, capables de réunir et d’apprécier la diversité des courants stylistiques nécessaires pour que socialement chacun soit reconnu à sa juste valeur. Quelque soit son origine, sa religion, sa couleur dont nous n’avons fondamentalement pas à nous préoccuper pour harmonieusement vivre et grandir ensemble.
Dix-sept ans plus tard, la culture urbaine a emporté la partie. Ses influences, références, codes, rythmes, sons et attitudes ont infiltré toutes les couches de la société. Le rap s’invite chez les bobos, dans les cités, les médias, au cinéma, dans la rue et les défilés des grands couturiers, dans l’art contemporain et la déco. Il est dans le générique d’une émission, dans la bande-son d’un film, dans les fêtes du samedi soir et dans les stades de foot. Il est dans la gestuelle, le langage. Ce n’est pas une provocation mais un constat : le rap est aujourd’hui la musique préférée des Français !
Laurent Bouneau, directeur général des programmes de Skyrock, est l’homme qui a popularisé le rap et les rappeurs en France. Fif Tobossi, fondateur de Booska-P, le site n° 1 sur le rap en Europe, est un amoureux et un fin connaisseur du rap français. Ils ont tous deux été des témoins de cette success story, dont ils ont eux-mêmes écrit quelques pages. Avec l’auteure Tonie Behar, ils livrent ici une histoire subjective du rap français, truffée d’artistes et d’anecdotes insolites. Aux éditions Don Quichotte
Haring a composé In Space entre Bruxelles, Paris et Istanbul. Les rencontres, l’ancrage et la découverte de ces villes se côtoient dans les dix titres de cet album, qui sont chacun à leur manière une ode à ces cultures fondatrices qui lui ont ouvert de nouvelles perspectives musicales :
Ondes positives en approche … Grâce à David Zincke, on redécouvre le sens du mot cool, l’évidente simplicité des gens talentueux qui nous transportent en un clin d’oeil dans leur univers sans artifices ni matraquage. « Oh MY » résonne comme un hymne intergénérationnel,, un hymne aux free hugs et à la fraternité. A écouter et surtout à découvrir sur scène le 10 décembre au China Club, comme ça vous pourrez dire que vous étiez dans les premiers à l’avoir vu, car en 2015 il sera trop tard, tout le monde aura déjà succombé au charme de David Zincke !
Votre dernière chanson, « Oh my », sonne pour moi comme un hymne aux « free hugs et aux bons sentiments. Beaucoup de chanteurs aujourd’hui sont plutôt tristes, mélancoliques, est-ce que c’est dur de communiquer de bons sentiments ? »
– En fait j’ai voulu que cette chanson soit légère musicalement car elle ne l’est pas tant que ça dans les textes, parfois les mauvaises choses passent mieux lorsqu’elles sont dites avec légèreté !
On sent dans votre musique des sonorités blues – folk, presque de road-movies, d’où viennent vos influences : Doncaster, le sud du Yorkshire, les Etats-Unis ?
L’album est un melting-pot d’influences : Anglaises, américaines, françaises, les rencontres, les voyages tout cela se mélange, ce sont des sources d’inspirations qui convergent et se retrouvent ensuite dans ma musique.
Vous êtes en concert très prochainement, que préférez vous la scène ou le studio ?
La scène !!! j’ai joué jusqu’à 300 concerts par an. C’est aussi pour ça que je suis venu à Nice, j’ai pu jouer chaque soir et même en journée dans la rue, la scène c’est quitte ou double pas le droit de se manquer ! C’est vraiment quelque chose que j’adore.
A ce propos, conseillerez-vous à un jeune musicien de commencer par jouer dans des petits clubs ?
C’est sûr, il faut jouer ! que ce soit dans des petits clubs, la rue, partout : ça permet d’apprendre et de comprendre le public et d’entrer en communion avec lui, c’est une véritable école.
Comment s’est passée votre collaboration avec Medi :
On se connait depuis une dizaine d’années, je lui fait entièrement confiance, il a cette capacité à bonifier mon travail, le rendre plus efficace, ce n’est que du plaisir, notre collaboration est géniale !
Vous faites une reprise de « The Boxer » de Simon & Garfunkel, c’est symbolique ?
C’est une chanson que j’adore jouer elle me permet d’interagir avec le public, il n’y a pas beaucoup de paroles, donc elle a été facile à apprendre et les gens connaissent les paroles !
Chanter sans guitare c’est possible pour vous ?
Oh… Ca fait tellement partie de moi, chanter sans guitare… je ne saurais pas quoi faire de mes mains !!!
Nice parait être une destination étonnante quand on vient d’Angleterre, on se dit qu’il y a Londres ou les Etats-Unis ou même l’Allemagne …
En fait la France est un merveilleux pays pour un musicien il y a beaucoup de liberté et d’endroits pour jouer, c’est un véritable plaisir d’être ici !
Votre vidéo de oh my est assez vintage est-ce que le folk et le blues sont des musiques vintage ?
Le blues puise ses racines en Afrique et a continué de se developper jusqu’à maintenant, quand on voit des groupes comme les black keys par exemple on se rend compte que c’est une musique qui n’a jamais cessé d’exister, elle est juste parfois remise au gout du jour !
Avec un album et une tournée, que peut-on vous souhaiter en cette période de fêtes ?
Le bonheur personnel et c’est également ce que je souhaite à tous et à toutes
John Lennon aurait eu 74 ans cette année, que lui auriez-vous dit si vous l’aviez croisé ?
Merci !
Doncaster, une petite ville du nord de l’Angleterre jusqu’ici peu connue de tous, sera désormais célèbre comme étant la ville natale d’un artiste qui a déjà tout d’un grand. David Zincke.
L’élégance blues d’une voix, la justesse poétique d’un texte, la grâce folk d’un finger picking, la puissance et l’évidence pop d’une chanson. Voilà les maîtres mots qui font de ce songwritter l’un des trésors rares et incourtournables de 2014 et bien plus encore.
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Puisant depuis petit son inspiration en observant les siens, une famille de musiciens aux origines multiples, Mr Zincke a choisi de rejoindre ses cousins partis en exil sur les côtes d’un sud azuréen lui offrant le rayonnement musical dont il avait toujours rêvé. Avec eux, il foule chaque soir les scènes des cafés concerts de Nice, devenue véritable terre d’adoption.
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L’histoire dit qu’au détour d’une virée nocturne dans les ruelles de la capitale azuréenne, le chemin de David croise celui de Medi, musicien, réalisateur revenu depuis peu s’installer pour y développer la richesse de la scène locale. Le natif de Nice tombe littéralement sous le charme et lui propose ses services de producteur. Les deux hommes ont depuis entamé une promenade à l’anglaise, les amenant à l’élaboration d’un très attendu premier opus.
Les Prochaines dates de David Zincke
10 Décembre : @ China Club, Paris
11 Décembre : @ Public House, Frèjus
13 Décembre : @ B-Spot, Nice
14 Décembre : @ Kraspek Music, Lyon
16 Décembre : @ XX-café, Fribourg, Suisse
5 Février : @ Nouveau Casino, Paris
The Wanderings of the Avener, l’album tant attendu de The Avener disponible en pré-commande sur ITunes, sort le 19 Janvier 2015. The Avener, une patte délicate et radieuse, qui sonne à l’étranger comme une touche d’élégance so French, tout en s’affirmant comme la redécouverte du chaînon manquant entre l’émotion harmonique et la pulsion de danse. Un véritable prodige de la Deep-House, à l’origine du désormais mythique Fade Out Lines, qui a accepté de répondre à nos questions.
Pour commencer je voudrais reprendre une affirmation des Inrocks : « Prendre le risque de se lancer dans une carrière solo quand on trône confortablement dans son fauteuil de producteur émérite est toujours un pari risqué … » Qu’en penses-tu ?
Ca l’est dans la mesure ou l’on a pas confiance en soi ! Mais là, je suis très content de proposer quelque chose qui m’est si personnel et de ce point de vue là je ne prends pas de risques, à vouloir faire et partager quelque chose que j’aime. Je suis donc à moitié d’accord avec cette phrase là. Je prends ce risque, mais c’est parce que j’aime ce que je fais.
Alors, c’est quoi le plus grand risque ?
Le plus grand risque c’est que ça ne plaise pas du point de vue artistique, mais heureusement il y a toujours quelqu’un pour aimer la musique !
Rythm n’ Blues, Deep House, Soul, Techno… Où se trouve l’inspiration ? Dans les sonorités du passé, du présent, dans les voyages, les rencontres. Dans d’autres domaines comme l’art, la littérature, le cinéma ?
En fait c’est un mix de tout ça. Cela vient de mon activité de D.J, des voyages qui permettent de s’aérer l’esprit, de faire un point sur ce qu’on aime ou moins. Je n’ai pas de chemin particulier, mais l’inspiration c’est surtout le vécu, les voyages, les rencontres, le partage, la musique…
On te compare fatalement à d’autres artistes, c’est dur de prendre sa place dans un paysage musical adepte des carcans et des cases ?
Question intéressante ! La comparaison est nécessaire, parce qu’on a besoin de comparer, c’est le propre de l’homme, mais c’est risqué de comparer parce que dans la musique ou dans l’art, chacun a son propre truc. Il vaut mieux dénicher la différence et c’est là qu’on se rend compte que la comparaison est en fait inutile.
Le bonheur aujourd’hui c’est quoi : Le nombre de vues sur YouTube, la radio, les critiques élogieuses de la presse ou comme Boy George qui Twitte sur son mur, le public enthousiaste lors de tes sets ?
C’est tellement agréable !!! Boy George ! je suis fan de ces années là. La reconnaissance des pairs est très importante. C’est vrai qu’être suivi ou tweeté par des artistes aussi prestigieux, tu prends un screenshot ! ça arrive qu’une fois dans ta vie. Les 7 millions de vue sur youtube c’est un petit rêve, j’en suis très reconnaissant et mon plus grand stress, c’est de pouvoir confirmer avec l’album.
Justement, comment s’est passé l’élaboration de l’album. Est-ce que la sélection des morceaux fut difficile ou au contraire, ça c’est imposé comme une évidence ?
Je n’ai subi aucune pression artistique de la part du Label. J’ai laissé totalement libre court à mon imagination. L’album est un exercice de ReWork comme Moby ou d’autres l’ont fait auparavant. C’est parti d’un amas de coups de coeur pour des morceaux que j’apprécie depuis des années mais que je ne pouvais pas forcément jouer en tant que DJ, parce qu’ils n’étaient pas assez efficaces, ou lumineux. Il manquait quelque chose… et ça a été très simple quand on m’a dit : « Tristan, il faudrait que tu fasses un album« , j’ai simplement répondu : « Laissez moi le temps de le faire, ça va prendre un peu de temps mais je vais aller piocher dans mes coups de coeur !« . Il n’y a pas d’autres mots, c’est un album de « coups de coeur ». Pour moi, tous les morceaux sont tous égaux, il n’y en a pas un que je préfère. J’en suis très fier, très content. Je le dis parce que c’est important. C’est mon petit bébé et je ne me suis posé aucunes limites géographiques musicales, artistiques. J’ai fait quelque chose qui est le prolongement de mes idées et je suis très heureux d’avoir eu le support de mon Label. Ce sont des titres connus ou moins connus, mais ce ne sont pas forcement des morceaux récents et certains vont être totalement redécouverts même par ceux qui connaissent les morceaux originaux. D’ailleurs c’est là où les critiques risquent d’être les plus aiguisées ! mais c’est un album personnel. C’est avant tout, comme pour Fade out lines, le lancement d’un projet que j’avais envie de faire. Il y a de très belles choses. Un voyage, on passe par plusieurs styles et couleurs musicales : La Folk le Blues, la Funk, la Soul, la Chill-Out, tout ça part l’entremise de la Deep House. Parce qu’on accorde tous ces mouvements avec la Deep House, qui est pour moi un mouvement extraordinaire. J’ai mis ma patte, ma touche, je colorie un peu, je rajoute ce que je vois et je donne un peu plus d’énergie, d’efficacité ou de mélancolie, de joie, c’est un album qui s’écoute, certains titres pour danser et d’autres seul, pour soi, comme un médicament, c’est un peu tout ça réuni, The Wanderings of the Avener.
Quelle est la signification de la pochette du Single Fade out lines, un labyrinthe… au milieu on dirait la lettre Bereshit en Hébreu… y a t’il un sens caché dans tout cela ?
Un message d’errance, un labyrinthe, ce sont pleins d’étapes. Il y a une entrée et il faut trouver la sortie… mais la pochette de l’album est bien différente !
Est-ce que tu es attentif aux Remix faits à partir de tes productions ou morceaux ?
Très attentif, j’écoute beaucoup, des indépendants, mais des officiels aussi, parfois je demande a être remixé, parce que je trouve les artistes hyper intéressants, très attentifs, c’est une marque de respect, ça part d’une idée, c’est la même initiative que la mienne et je suis toujours curieux du résultat !
Tu es Dj depuis l’âge de 17 – 18 ans, est ce que tu penses qu’Internet favorise la créativité ou au contraire, de devoir piocher dans les bacs à vinyles pour découvrir un artiste ou un style c’est plus gratifiant ?
Il n’y a pas de meilleurs moyens. En tant que DJ je dirais que c’est cool d’aller dans les bacs à vinyles mais on trouve des trucs sur internet qu’on trouverait pas par ce moyen là et vice-versa. Ce qui est malheureux sur internet c’est le format, le mp3 qui perd un peu en couleur, mais l’oreille qui n’est pas habituée ne va pas forcément s’en rendre compte, il n’y a que les passionnés qui ont du gros matériel qui peuvent noter une différence. Les petites perles se dénichent partout, il y a fatalement, vu le nombre, beaucoup de déchets, mais il sort aussi beaucoup de belles choses, mais c’est un peu plus long de chercher. Dans les magasins tu es limité par le nombre, alors qu’internet c’est sans fin. C’est une manne formidable pour les professionnels comme pour les amateurs. Internet a mis du temps à se développer pour le partage musical. Myspace était précurseur, mais ce n’était pas encore aussi démocratisé, maintenant je m’aperçois qu’il y a des gens de 40 – 50 ans qui écoutent de la musique sur Soundcloud, qui font leur propre playlist sur Spotify, sur Deezer et grâce à ces plateformes de partages, peuvent se faire une culture musicale très diverse, très variée. Je suis très surpris de découvrir des petites perles grâce à des gens qui ne sont pas musiciens ou du métier, je trouve ça formidable. Il y a eu un vrai développement qui s’est fait, c’est sûr que c’est une ambiance différente du shop mais c’est le temps qui veut ça, il faut vivre avec. Dans tous les cas, on peut très bien trouver son bonheur sur internet ou chez les disquaires.
Est ce que tu as un titre, un film ou un livre fétiche au point de ne jamais t’en séparer ?
J’écoute beaucoup de musique des années 70, je ne suis pas très livres mais ça viendra et je commence à aimer ça. Il y a un titre de Al Green I’ll be around – un morceau qui ne me lâche jamais, que j’ai depuis 10 ans dans mes ipods, playlists et que j’adore toujours autant.
Tu préfères la scène où le studio ?
Certains disent 50/50 moi, c’est 60/40 ! La scène, c’est là qu’on ressent les émotions, que le travail se manifeste, s’incarne. La scène, c’est le plus bel endroit au monde pour moi, là où on se sent le plus vivant, petite confidence, je prépare un live pour l’été, c’est vraiment l’endroit le plus génial ! Le studio, j’adore aussi travailler, bidouiller mes morceaux mais je suis ravi quand le vendredi arrive d’aller jouer en Allemagne, en France, les Transmusciales. Scène, studio, c’est complémentaire, mais je préfère quand même la scène.
Avec tous les voyages que tu as pu faire à travers le monde, les scènes que tu as parcouru, tu te sens bien aussi en France ?
Bien sûr ! il y a une vraie ferveur électronique qui ressort, qui revient, elle a toujours été présente, mais un peu enfouie… sans rentrer dans une polémique, je me sens vraiment bien aujourd’hui en France. Tous les DJ confirment qu’il y a une vraie demande qualitative dans les clubs, dans les bars, les festivals, de musiques nouvelles, de musiques contemporaines et de plus en plus forte. En France, c’est une vraie résurrection de la musique électronique , grâce notamment aux sites de partages, les réseaux sociaux. Je ne me sens pas mieux a un endroit qu’un autre, j’ai la chance d’avoir fait 10 ans de DJ avant, je m’adapte un peu au public, à certaines tendances musicales mais je garde mon intégrité. L’Allemagne c’est peut être aussi un des meilleurs publics, très pointu, ouvert à la découverte. Ils viennent dans les clubs pour danser, là bas c’est un principe de dancefloor, pour autant la France a de très bonnes oreilles, une vraie ferveur, des demandes de morceaux hyper underground. Le métier de DJ a complètement changé avec Internet avant le DJ allait une fois ou deux par semaine dans son magasin de disques, il recevait des promos en White Label et il y avait très peu d’infos. Le DJ était précurseur. Aujourd’hui le public est précurseur de la musique que tu vas jouer, il a autant la main-mise sur la découverte musicale que le DJ, du coup toi tu dois être constamment a la recherche de la nouveauté. Tout le monde a les mêmes outils, certains clients de clubs sont avant-gardistes, ils connaissent déjà les morceaux alors qu’avant c’était en flux moins tendu, Ces amateurs éclairés de musique te font parfois découvrir de superbes choses.
En partant de la nouveauté, il est aussi possible d’aller puiser dans les racines comme tu l’as fait : John Lee Hooker, Al Green …
La Deep House permet cette recherche, la techno ne le permet pas c’est un format pré-fabriqué avec des règles stricte. J’avais une passion pour la Deep House que je n’osais pas mettre à jour, une passion pour le blues que je n’osais pas mettre à jour, mais grâce à ces deux outils fusionnés au sein de la Deep House, j’ai réussi avec Fade Out Lines à sortir quelque chose de différent, qui sort du lot, c’est le bonheur de cette musique et j’espère que ça va durer le plus longtemps possible !
La sortie de ton album c’est un aboutissement, une suite logique ou un commencement ?
C’est un aboutissement sur ce projet, mais c’est le commencement de ma maturité musicale, j’avais vraiment envie de proposer quelque chose de vintage, avec de vrais instruments, de vrais sentiments et en même temps de mélanger avec de l’électronique. C’est donc un commencement et un aboutissement après le succès de Fade out Lines.
Trois ans après « Popular » et le remarqué « Wicked Boy », Ayélé la chanteuse -femme -mère amoureuse et rêveuse et le multi instrumentiste Laurent Griffon, maître émérite ès groove, longtemps compagnon de route d’Amadou et Mariam reviennent et surprennent avec leur nouvel album « MOTOR LOVE » à paraître le 27 octobre prochain.
On le sait, en musique les rencontres sont parfois surprenantes et souvent belles. Alors que « Popular » était un pur « produit maison » concocté dans le home studio du couple, ce sont cette fois deux réalisateurs (et non des moindres) qui ont officié derrière les consoles.
En premier lieu, MARK PLATI, le plus parisien des « producers » new-yorkais, qu’on retrouve régulièrement depuis 15 ans aux manettes de quelques albums hexagonaux essentiels (Louise Attaque, Rita Mitsouko, Bashung, …)
Et JEAN-BENOÎT DUNCKEL, moitié de l’élégant groupe français AIR, réalisateur de 3 titres phares de ce disque, dont le premier single « Treat Me Like A Queen ». Mélodie sifflée, crescendo à fleur de peau : ce titre est une une rafraîchissante surprise…
Après 2 albums et des tournées très « sonores », Jil is Lucky s’offre une pose musicale acoustique et en trio, en marge des codes d’une tournée classique. Un retour aux sources en toute simplicité, pour plus de proximité et d’interaction avec le public. L’occasion de proposer un set tout aussi inédit, changeant au grès des rencontres et du ressenti, versions inédites, nouvelles chansons, des reprises, de l’impro …
12/04/14 Hyères -19h à l’église Anglicane, Festival Faveurs de Printemps, entrée libre
11/06/14 Villeneuve d ‘Asq – La Ferme D’en Haut
14/06/14 Paris – Le Centquatre
08/07/14 Vendome – Le Cloître
05/09/14 Mouilleront Le Captif -Festival Face et Si
Véritable révélation de « LA TOUR PARIS 13 », l’artiste Dan23 s’offre sa première exposition personnelle. EXPRESS YOURSELF Du 21 mars au 19 avril 2014 Galerie Mathgoth 34, rue Hélène Brion – 75013 Paris (métro Bibliothèque François Mitterrand)
Pour cette grande première, Dan23 a décidé d’illuminer la galerie avec une trentaine de portraits exécutés à l’aquarelle, une technique très rare dans l’art urbain et qu’il affectionne particulièrement. Tous ces visages se dispatchent en 3 séries, 3 principaux axes qui ont jalonné ses 15 dernières années de travail : les rencontres importantes de sa vie, les musiciens afro-américains qui l’ont toujours accompagné et enfin, une suite d’oeuvres qui fait la part belle aux anonymes, au travers de leurs regards. Dans une scénographie sobre et astucieuse l’artiste invite le public à pénétrer dans son atelier (croquis, objets…) pour y découvrir également ses futurs axes de travail.
Frédéric II de Prusse, dit Frédéric le Grand (Friedrich der Große), (24 janvier 1712, Berlin – 17 août 1786, Potsdam), de la maison de Hohenzollern, est simultanément Frédéric IV de Brandebourg, 14e prince-électeur de Brandebourg et Frédéric II de Prusse, troisième roi en Prusse (1740-1772) puis premier roi de Prusse de 1772 à sa mort. Il est aussi surnommé affectueusement der alte Fritz (le vieux Fritz). Il fait entrer son pays dans la cour des grandes puissances européennes. Après avoir un temps fréquenté Voltaire, il devient célèbre pour être l’un des porteurs de l’idéal du prince du siècle des Lumières en tant que « despote éclairé ». Frédéric est un grand amoureux de la littérature antique et française du xviie siècle. Il écrit des pièces et des poèmes, toujours en français. Il aspire à devenir un roi-philosophe à l’instar de l’empereur Marc Aurèle. La liste de ses œuvres (donnée en annexe ci-dessous) témoigne d’un homme polygraphe qui s’adonne à la poésie et donne son opinion sur un très vaste éventail de sujets. Bien que son nom ne soit pas explicitement donné, il est certain que Emmanuel Kant lui rendit hommage dans son opuscule Qu’est-ce que les Lumières? avec ces propos : Il n’y a qu’un seul maître au monde qui dise : « Raisonnez tant que vous voudrez et sur tout ce que vous voudrez mais obéissez! ». Comme Kant, le roi défend la liberté de pensée mais exige l’obéissance afin de préserver l’ordre dans la société. Il rejoint la franc-maçonnerie en 1738 et est un admirateur des Lumières françaises. Il fait venir en son royaume Francesco Algarotti, Jean-Baptiste Boyer d’Argens, Julien Offray de La Mettrie et Pierre Louis Maupertuis mais, par dessus tout, c’est son plus illustre représentant, Voltaire qu’il admire et qu’il rencontre par deux fois. Ces deux rencontres furent hélas décevantes. À la première, Frédéric est malade et en ressort frustré de ne pas être à la hauteur de lui-même. À la seconde, Voltaire est désillusionné. Le magnifique auteur de l’Anti-Machiavel s’élevant contre les guerres d’agression s’est emparé par la force de la Silésie.
A paraître le 28 février 2013 sur letextevivant.fr. Le premier livre numérique enrichi entièrement dédié à un artiste : « ALAN VEGA, CONVERSATION AVEC UN INDIEN » d’Alexandre Breton inaugure la collection FUSION des éditions LE TEXTE VIVANT, éditeur numérique multimédia.
Il s’agit d’un rock book intimiste qui mêle texte, photos, son et vidéo. Une monographie qui s’étire sous la forme d’un abécédaire où parcours de vie et carrière artistique tissent des liens étroits Après une première rencontre en 2011, lors du concert à la Machine de la Loco, puis à la galerie du jour agnès b. pour l’exposition « Musique Plastique », Alexandre Breton retrouve Alan Vega à New York en juillet 2012. Ces quatre jours à New York croisent notamment Bob Gruen, le photographe de la scène new-yorkaise des années 70 et 80, Perkin Barnes, le fidèle inénieur du son de Vega, Alex Zhang-Huntai, des Dirty Beaches… Dans l’atelier de Manhattan, chez lui, et, dans son studio pendant l’enregistrement de son prochain album; « Alan Vega, conversation avec un indien », le livre numérique enrichi prend forme. Une interview exclusive en forme d’abécédaire aborde, tout en digressions, les expériences, inspirations, rencontres, et influences de cet artiste majeur. Puis, l’auteur et l’artiste se revoient à nouveau à Paris, au concert à la Gaîté Lyrique, et pour l’exposition solo « Holy Shit » à la Galerie Laurent Godin, continuant ainsi la conversation. EVENEMENT | La galerie du jour agnès b. accueillera, mercredi 27 mars à partir de 18 h, Alan Vega et Alexandre Breton pour une signature. Jusqu’au 6 avril 2013, les images tournées par LE TEXTE VIVANT à New York seront diffusées dans la project room lors d’une exposition des photos de Pierre René-Worms. galeriedujour.com.
Entre le survival pionnier Meetic. Le follower méditatique attractiveworld. Le trublion adopteunmec.com et tous les autres sites, blogs ou forums ayant ou pas pignon sur rue consacrés aux rencontres amoureuses sur le Net. Vous n’allez pas me faire croire que vous êtes toujours à la recherche de l’âme soeur ou même d’un coup d’un soir ? Si c’est le cas c’est quand même un petit peu désespérant… en tout cas c’est ce que voudrait nous faire croire une certaine presse ! Maintenant, libre à vous d’utiliser ces sites comme facilitateurs de rencontre. Mais sachez tout de même qu’il existe de nombreux endroits dans la vie réelle dans lesquels il est possible de rencontrer des vrais gens… Alors si vous avez juste besoin de quelques encouragements pour vous motiver : Vous n’êtes pas moche. Vous n’êtes pas con. Vous n’êtes pas pauvre. Vous avez du style. Vous avez du peps. Vous avez la niaque. Vous êtes unique… La preuve vous êtes en train de lire ce billet sur ce Blog (considéré par la fine fleur du microcosme bordelais et parisien comme le plus stylé dans la catégorie hype – underground). Ce qui fait de vous (lecteur – lectrice), par voie de conséquence quelqu’un de goût. Et quelqu’un de goût, même avec un caractère de merde ou une tête de cul a quelque chose de plus que les autres. (CQFD) Ce qu’il faudra démontrer.
Aimé Jacquet, Daniel Costantini, Erik Decamp, Frédéric Hantz et Daniel Herrero. Leurs méthodes pour souder une équipe et remporter la victoire sont celles des meilleurs managers. Altercations entre joueurs dans les vestiaires, mise à pied d’un international précédant son licenciement… L’actualité sportive démontre que la gestion d’une équipe n’est pas de tout repos… Et n’a parfois rien à envier aux problèmes de management rencontrés dans les entreprises. Mais les passerelles entre sport et entreprise vont au-delà de ces anecdotes. Les valeurs du sport sont souvent une source d’enseignements pour les patrons. Et cette proximité trouve des prolongements quand les coachs sportifs portent la bonne parole dans l’entreprise en abordant une question centrale : comment tirer le meilleur de l’équipe formée par les collaborateurs ? Bien sûr, il ne faut pas chercher dans ces principes une recette miracle capable de rendre ipso facto plus performante n’importe quelle entreprise. Il n’en reste pas moins que le message délivré par ces coachs porte bien souvent au-delà des simples mots d’un consultant, tout simplement parce qu’il est authentique. Et qu’il a la valeur de la chose vécue. La suite sur http://www.lentreprise.com
Toujours sur la route, soif de découverte, notre monde bouge et ne laisse pas de place aux attentistes… aller de l’avant, provoquer les rencontres, explorer, découvrir… c’est aussi dans cet esprit qu’OBEY conçoit ses produits ! Avec des pantalons, des chemises, foulards, casquettes et accessoires dans les tons beiges, kakis et marrons, du jean et des imprimés léopards ! Une collection à découvrir sans attendre. En boutique dès le mois de Juillet! Restez connecté à obeyclothing.com pour suivre toute l’actualité de la marque !