Benjamin hérite injustement de deux heures de colle un samedi. Il réalise une fois sur place que Leila, la fille dont il est secrètement amoureux, fait partie des collés ce jour-là. Et mieux encore : elle vient s’asseoir à côté de lui car il est le seul à avoir son livre de maths ! Alors qu’il va aux toilettes se rafraîchir les idées, lorsqu’il en revient, il se retrouve projeté comme par magie au moment où Leila vient s’asseoir à côté de lui…
Benjamin est bloqué dans une boucle temporelle : s’il s’éloigne de Leila plus de trois minutes, il est renvoyé au début de la colle ! Et tout ça parce que le génie de l’application Akinator a exaucé son vœu de la veille : « Je voudrais que Leila et moi on soit ensemble »…
Coller aux basques de Leila jusqu’à la sortie, obtenir un baiser de gré ou de force, Benjamin va tout tenter pour sortir de ce piège, en se coltinant un pion tortionnaire, un gardien libidineux, une infirmière un peu spéciale et la pire bande de cancres du lycée…
Avec : Arthur Mazet, Karidja Touré, Thomas VDB, Alexandre Achdjian, Noémie Chicheportiche, Issa Doumbia, Sonia Rolland, Najaa Bensaid , Grégoire Montana, Oussama Kheddam, Noé N’Tumba & Fred Tousch Réalisé par: Alexandre Castagnetti Scénario: Christophe Turpin Producteurs: Récifilms, Neuf Productions Sortie le 19 juillet 2017
Pour sa 6ème saison, l’InterContinental Bordeaux s’impose plus que jamais comme le rooftop le plus couru de la ville. De fin avril à septembre, la Night Beach déroule quotidiennement ses nuits tendances sous la voûte étoilée. Au programme : des tapas pleins d’originalité et des cocktails signature concoctés par l’équipe de barmans primés du 5 étoiles. Particulièrement convoitées : ses soirées thématiques organisées plusieurs fois par mois, dont de spéciales « Fête de la musique » et « 14 juillet ». Chaque mardi, les dames ont leur « Ladies Night » avec bar à ongles gracieux, tandis qu’un DJ est aux consoles tous les jeudis, vendredis et samedis.
La Night Beach inaugure cette année une nouveauté : sa terrasse jusqu’à présent uniquement accessible le soir est désormais ouverte au déjeuner. Dès midi, on peut y déguster une sélection de plats de saison (salades, assiette de saumon bio, tartare de bœuf charolais et autres légumes croquants) élaborés par Alex Thiebaut, chef de la brasserie Le Bordeaux Gordon Ramsay. Des mets placés sous le double signe de la légèreté et de l’équilibre. À l’image de la carte spéciale de cocktails détox et « healthy », qui met à l’honneur thé bio et jus de fruits fraîchement pressés.
Night Beach ouverte tous les jours de midi à 14h30 puis de 19h00 à 1h00.
Déjeuner : de midi à 14h30 – salades et plats à partir de 21 euros
Soirées : de 19h00 à 01h00 – cocktails et finger food
Soirées thématiques tous les jeudis soir de juin et juillet, et un jeudi sur deux en août, ainsi que pour la Fête de la musique et le 14 juillet.
Ladies Nights tous les mardis soir et DJ set du jeudi au samedi soir.
L’édition limitée Varius Peter Marino, déclinée en deux versions, révèle l’esprit novateur de Caran d’Ache. Pour ces instruments d’écriture d’exception, la Maison genevoise explore les codes de l’art, du design et de la mode. Elégance racée, perfection du trait, créativité sans limite et confort intemporel subliment ces modèles sur-mesure. Quand le monde de la Haute Ecriture rencontre celui de la Haute Couture : Les Varius de Caran d’Ache font intrinsèquement partie de la vie de Peter Marino. Depuis toujours, il utilise les instruments d’écriture de cette collection emblématique et les place au coeur de son processus créatif.
« I use the Varius pens to sketch architecture. »
La manufacture genevoise a donné carte blanche à l’architecte star pour concevoir des Varius à son image. Comme pour les plus grandes Maisons de mode pour lesquelles il réalise des écrins architecturaux, Peter Marino signe avec cette édition limitée une création à la fois moderne, surprenante et fashion. Peter Marino revisite le Varius avec son univers rock.
« The pen, inspired by a combination of high performance motorcycle aesthetics with my own personal style. »
« Parfois, ce sont les personnes qu’on imagine capables de rien qui font des choses que personne n’aurait imaginé ».
Das Unbehagen in der Kultur traduit en français par Malaise dans la civilisation est le titre d’un livre de Sigmund Freud. Pour l’auteur : La culture est la « somme totale des réalisations et dispositifs […] qui servent à deux fins : la protection de l’homme contre la nature et la réglementation des relations des hommes entre eux. » La culture n’est pas seulement soucieuse d’utilité car la beauté fait partie des intérêts de la culture. Le développement de la culture entraîne une restriction de la liberté individuelle : la culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel ; d’où l’hostilité de certains individus à la culture…
Sur la culture, au sens de « matériel » destiné à savoir, à connaitre ou à divertir , Gerard Depardieu s’est exprimé en ces termes, qui me semblent parfaitement sensés et justifiés : « Il n’existe plus que des gens normaux, puisqu’il n’y a plus de culture ». Même chose pour la démocratie, à l’ère du numérique : « Le suffrage universel, c’est fini : nous sommes dirigés par Apple et Zuckerberg ». Quant à son départ de la France : « Contrairement à ce que disent les journalistes, ce n’est pas pour la fiscalité que je me suis barré. Non. Si c’était pour ça, je me serais barré bien avant ! (…) Ce que je ne supporte pas, (…) c’est de voir que les Français sont tristes comme la mort ».
Nos médias, qui contribuent chaque jour selon moi à l’appauvrissement culturel, au diktat d’une pensée uniquement motivée par des intérêts économiques et au nivellement par le bas de notre civilisation (sans oublier le manque d’humour avec la prédominance du 1er degré), s’enferrent dans l’absurde position de juge, jury et bourreau d’informations, le plus souvent conditionnelles, générées dans le seul but de susciter la curiosité morbide ou la réflexion la plus primaire / binaire, sans jamais offrir l’occasion de réfléchir ou d’exprimer son esprit critique. J’en veux pour preuve quelques titres du jour :
Michou sans lunettes : la photo très TRES RARE !
Disparue après une punition : le corps de la petite Sherin aurait été retrouvé
Quelle est la bonne heure pour partir lorsque vous dînez chez des amis?
Nicolas Sarkozy inquiet du nombre d’heures de sommeil d’Emmanuel Macron
Les documents sur l’assassinat de Kennedy « pourraient perturber la perception que les Américains ont de leur pays »
Quand Nemo, le chien du couple Macron, urine dans un salon de l’Elysée
Paracelse : Souvent il n’y a rien dessus, tout est dessous. Cherchez !
Entendu récemment : « C’est sérieux, la connerie ça fait partie du patrimoine »
Illustration: Laszlo Moholy-Nagy, « A 19, » 1927, oil on canvas (LACMA)
Si dans le vaste domaine de la Pensée et de l’Action, faire son devoir pour le Devoir est une nécessité absolue qui ne requiert aucune autre raison en soi, il n’en va pas de même dans le théâtre des opérations que constitue l’existence.
Faire pour faire sans attendre de récompenses est le plus sûr moyen de perdre toute appétence pour la race humaine, tant celle-ci se délecte de prendre sans rien donner en retour, il y a même une formule érigée au rang de qualité qui explique cela : « le sens des affaires ».
Les multiples trucages du quotidien (Ghostwriting, photos retouchées, scénarisation, modifications corporelles, etc.) destinés à laisser croire que la vie pour certaines élites est un long et gouleyant fleuve tranquille, que le temps n’a pas de prise et que tout s’obtient facilement, sans travailler, incite de plus en plus nos concitoyens en humanité, à se comporter en véritable tyrans, à l’exigence exagérément élevée, en toutes circonstances.
De fait, nous assistons aujourd’hui, non pas à une quête de perfection relative à soi même, mais à une traque de la défaillance. Ce qui est dit est dit et est irrémédiablement gravé pour l’éternité dans les méandres des clouds et des disques durs. Les archives sont produites en temps réel et gare à celui qui change d’avis ! En ce sens, la série Black Mirror montre avec acuité le risque encouru si nous poursuivons dans cette direction…
Indulgence, amour, discrétion, tempérance, confiance, acceptation, humilité, combien d’autres mots sont prononcés par celles et ceux qui les trahissent par leurs actes ?
Pendant l’Occupation, presque octogénaire, menacé comme Juif, Tristan Bernard est arrêté à Cannes et interné au camp de Drancy ; à son départ pour le camp, il a pour sa femme cette phrase : « Jusqu’à présent nous vivions dans l’angoisse, désormais, nous vivrons dans l’espoir. »…
Etienne de la Boétie pour sa part s’interrogeait dans son Discours de la Servitude Volontaire « (…) Pour le moment, je désirerais seulement qu’on me fit comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois tout d’un Tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’on lui donne, qui n’a de pouvoir de leur nuire, qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal, s’ils n’aimaient mieux souffrir de lui, que de le contredire. Chose vraiment surprenante (et pourtant si commune, qu’il faut plutôt en gémir que s’en étonner)! c’est de voir des millions et de millions d’hommes, misérablement asservis, et soumis tête baissée, à un joug déplorable, non qu’ils y soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et, pour ainsi dire, ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient redouter, puisqu’il est seul, ni chérir, puisqu’il est, envers eux tous, inhumain et cruel. » Et pourtant l’infamie domine toujours le monde. Les leçons du passé sont des promesses jamais tenues. La démagogie, le populisme règnent sans fard.
Nous autres français auront du mal à le concevoir, mais nous sommes des colonisés culturels. Depuis l’après guerre nous ingurgitons, régurgitons, incubons chaque jour, parfois pour le meilleur et souvent pour le pire la culture américaine. Vestimentairement, artistiquement, linguistiquement, nous singeons leur façon d’être, leurs valeurs, leurs coutumes, leurs programmes télé, leurs fêtes, leur façon de faire des affaires… Tout cela fait partie intégrante de notre vie, à tel point que le remettre en question est quasiment un crime de lèse-majesté et pourtant c’est sans doute pour cela que nous avons tant de mal à nous accepter sociétalement. Il ne s’agit pas de rejeter en bloc cette évidence, mais au contraire d’en faire une arme, d’apprécier à sa juste valeur nos spécificités, notre histoire, notre héritage multiculturel, complexe, vivace. Admettre que nous avons nous aussi de quoi rivaliser et même les dépasser, sans sombrer dans la mélancolie ou l’idéalisme des temps passés. Nous avons un fond culturel d’une puissance sans égale, enrichi par tous les apports qui composent notre société. Le melting pot américain est une chimère tandis que pour nous c’est une réalité applicable, si nous ne passions pas tant de temps à condamner une frange de population obscurantiste, stupide et gangrénée par la haine. Trump est en soi un coup de fouet parfait pour que nous réagissions collectivement, d’Afrique, d’Europe, du Moyen Orient, du monde entier, les composantes du peuple de France peuvent réussir à créer un nouveau champ des possibles. Ensemble. S’imprégnant chacun les uns des autres. Cela demande d’oeuvrer dans un sens commun, d’unir nos forces et d’abandonner nos préjugés, de passer au dessus des aliénations du quotidien. Au lieu de regarder la famille Kardashian, pourquoi ne pas lire un livre de Senghor ou de Camus, évidemment au premier abord ça à l’air moins facile, mais il faut essayer. Cela sonne sans doute comme la pire des folies, mais qu’avons nous à perdre ? Je ne sacrifierai pas mon amour pour la pop culture américaine, j’y ajouterai une touche de nous. Laissons les américains être ce qu’ils sont, ne les jugeons pas, efforçons-nous plutôt de construire une alternative cohérente et modèle dans laquelle nous pouvons nous épanouir. Au delà de la politique, c’est à nous de nous unir au sein de nos villes et villages, de nos cités, du bas vers le haut. De reprendre la main sur notre art, sur notre savoir-faire, nos spécificités en terme d’élégance, de bienséance, d’accueil, d’impertinence, d’humanisme, d’artisanat, de gastronomie, soyons innovants, pionniers, avant-gardistes, ne nous laissons pas abreuver par des messages passéistes et réducteurs. Nous valons bien plus que ça… N’est-ce pas le meilleur moment pour faire notre révolution culturelle ? nous avons déjà éclairé le monde, essayons d’être à nouveau cette lanterne qui guide vers le bien, le beau et le bon…
Karim Madani est un orfèvre, sa biographie consacrée à Spike Lee m’avait littéralement happé. Il en est de même avec Kanye West et pourtant, je dois avoué que j’ai tourné quelques temps autour du livre… que pouvais-je apprendre de plus que les tabloïds n’avaient pas encore dévoilé ? Allait-il me redonner l’envie d’écouter sa musique ? Quelles leçons de vie pouvais-je m’approprier à travers ses propos ? Force est de constater que Madani a réussi son coup. La vie de Kanye n’est pas un long fleuve tranquille et au delà de l’homme il y a également l’époque, le style, les twists, les coups de génie et les folies. Une oeuvre fascinante à bien des égards…
Tout le monde connaît les frasques de la rock star pourrie gâtée, ses coups de gueule plus ou moins justifiés. Il vire une fan en plein concert parce qu’elle a eu l’audace de se faire remarquer : « Je suis venu ici pour ouvrir une put*** de montagne, et vous essayez de me dicter mon art. Ne m’interrompez pas ! Je suis Kanye West, put*** ! » Après l’ouragan Katrina, il déclare sans filtre : « George Bush n’en a rien à faire des Noirs », puis clashe Barack Obama : « On ne change pas le monde en restant à la Maison Blanche. »
En août 2015, l’époux fantasque et mégalo de la grande prêtresse de téléréalité Kim Kardashian confirme son intérêt pour la chose publique au terme d’un discours de 12 minutes aux MTV Awards (« certains vont se demander si j’ai fumé avant de venir, la réponse est oui ») et annonce sa candidature à l’élection présidentielle…
L’auteur retrace l’enfance atypique de ce gamin de la classe moyenne, fils d’une professeur de littérature et d’un ex-Black Panther, ses débuts dans la musique, le deal fondateur avec Jay Z, dont il relance la carrière.
Producteur le plus important de sa génération, il réalise en 2004 son premier album, The College Drop Out. Conçu juste après un terrible accident de voiture qui manque de lui coûter la vie et marque le début de sa crise mystique du « Black Jesus » – il révolutionne le rap game. Suivront Late Registration, 808’s and Heartbreak, et Yeezus. Au sommet de sa gloire, l’artiste tyrannique et torturé a rendu obsolète le look et l’imagerie gangsta, il tente d’intégrer le monde de la haute couture et ne cesse d’ailleurs de remettre en cause certaines normes, prenant position pour les droits des homosexuels dans un univers où cela n’est pas évident : « On se bat durement pour qu’un Blanc ne nous lance pas à la figure le mot “nègre”. Mais nous faisons pareil avec les gays. » À travers une série de chapitres ultra-documentés, nourris d’anecdotes, de faits historiques, d’analyses sociologiques et d’interviews inédites en France, Kanye West reconstitue les pieces of a man de celui qui a profondément influencé et remodelé la culture pop du 21e siècle.
Broché: 192 pages
Editeur : DON QUICHOTTE (12 mai 2016)
Collection : NON FICTION
Langue : Français
ISBN-10: 2359495356
ISBN-13: 978-2359495355
Dimensions du produit: 20,5 x 1,1 x 14,1 cm
Date de sortie 26 octobre 2016 De Scott Derrickson Avec Benedict Cumberbatch, Chiwetel Ejiofor, Tilda Swinton
L’histoire d’un neurochirurgien, le Dr Stephen Strange, qui, après avoir été victime d’un horrible accident de la route, découvre des dimensions parallèles et un univers fantastique.
Pour rappel : Doctor Strange est un Super-héros créé par Stan Lee et Steve Ditko en 1963. Le Docteur Strange est « le maître des arts mystiques » auquel tous les autres super-héros font systématiquement appel quand ils ont maille à partir avec des adversaires usant de magie. Ce monopole fait de lui un des personnages secondaires clés de l’univers Marvel.
Alors que les Avengers trustent le Box-Office, sachez que pour combattre les forces du mal, Strange fonda le groupe des Défenseurs qui réunit à ses côtés Hulk, Namor le prince des mers et le Surfer d’Argent. Et si eux aussi étaient réunis par la magie du 7ème art ?
N’en déplaise aux mangeurs de fenouil, il fut un temps béni où Rock Critic était un vrai métier vécu par les pionniers comme un sacerdoce (cf Lester Bangs). A l’époque où le Rock était une religion, le Rock Critic était incollable sur ‘son artiste’ et n’hésitait pas à chroniquer tout nouvel opus piste par piste, à dégager les influences, les motivations, les lyrics pour mieux imprégner le lecteur de l’ambiance du disque, véhiculer l’émotion au lieu de traiter le ‘sujet’ comme c’est le cas actuellement dans sa globalité, se bornant à accorder une note au travail de l’artiste parfois justifiée par un achat d’espace pub suffisamment conséquent… Bref, le métier n’existe plus et cette absence renforce chez le plus grand nombre l’idée que la musique c’est un truc marketé ou pire de pétasses maquillées comme des bagnoles volées, chorégraphiées et pro toolées à mort… Croyez vous qu’il existe encore une émission à la télévision qui parle vraiment de musique, à l’instar des émissions littéraires, cinématographiques ou consacrées au football ? Peut on imaginer un jour un article de plus de 1500 signes sur le disque d’un artiste plutôt que sur ses frasques ? Qui nous sauvera ?
B.Sensory, première application de lecture érotique connectée au Little Bird Sextoy « made in France » piloté par smartphone a remporté en novembre le Blue Award Baby dans la catégorie « Produit Grand Public » décerné par HEC. Sa créatrice Christel Le Coq a été récompensée par le prix de chef d’entreprise prometteuse à la finale nationale des Trophées des Femmes de l’Economie. Outre-Atlantique, la startup a reçu à New-York en novembre un CES Innovation Award dans la catégorie « Wearable Technologies ». Distinction qui fait de B.Sensory l’une des 30 meilleures startups au niveau mondial. Son innovation (dont les premiers modèles seront livrés en France avant la Saint Valentin) est donc très attendue au CES de Las Vegas en janvier prochain.
Le concept simple (« Lisez, vibrez ! »), propose aux femmes une nouvelle manière de lire et prendre du plaisir en solo ou en duo. « Cette fois toutes les dimensions du désir sont prises en compte, l’imagination, les émotions, les sensations, précise la créatrice. Le but n’est pas de garantir de manière mécanique un orgasme en 30 secondes mais de s’adresser au premier organe sexuel qu’est le cerveau, en proposant une expérience de lecture connectée et ludique totalement nouvelle ». Concrètement, au fil de l’histoire lue sur smartphone ou tablette, lors des passages les plus torrides, une simple secousse ou une caresse sur l’écran suffisent à déclencher les vibrations du Little Bird en fonction de l’intensité des mots.
J’entends déjà les assourdissantes complaintes : « Mais il est fou ! » « Cette fois il va trop loin… prend des risques inconsidérés… » « Traiter d’un sujet aussi sensible, en 2015 ? » « JetSociety c’est vraiment un magazine d’avant-garde qui repousse toujours plus loin les limites du système et qui lutte à sa manière contre l’endoctrinement des masses. » Merci cher lecteur pour ces belles pensées, qui me vont droit au cœur.
Il est vrai que j’aurai pu consacrer un article aux bonnes manières ou à la bienséance, voire une exégèse élégiaque de « Plus belle la vie » (un brin sulfureux, j’en conviens). Faisant fi du qu’en dira t-on j’ose. Non le heavy metal ne reviendra pas à la mode, n’en déplaise aux barbus tatoués buveurs de bières qui croupissent dans des bars paumés en attendant des jours meilleurs. Jours meilleurs il n’y en aura pas. J’ose et j’affirme, c’est ainsi.
Alors évidemment perplexe lecteur, aguiché par la question titre, tu veux que j’étaye mon raisonnement, que je prouve, que je démontre. Pour ma part je pense que point n’est besoin de tout cela, il y a des preuves ontologiques indiscutables et rationnelles. Cherchez et vous trouverez. Je ne suis qu’un guide sur le chemin de votre réflexion. A la question : Pourquoi le heavy metal ne reviendra jamais à la mode ? Je réponds fort ce que je tiens pour vrai : « Parce que. » So be it !
Patrick Bateman (American Psycho) le psycho killer le plus glamour des 80’s contre Victor Ward (Glamorama), mannequin terroriste / agent secret malgré lui de la fin du XX° Siècle. Deux anti héros majeurs de Bret Easton Ellis. Mais qui de Patrick ou de Victor serait capable de survivre, stylistiquement parlant en 2015 ?
Hana Jirickova affirme son tempérament de feu en toute légèreté dans cette nouvelle saga, Lady Million de Paco Rabanne, réalisée par Alexandre Courtès. Provocante et glamour, Lady Million obtient tout ce qu’elle désire… (suite…)
Adapté du roman de Richard Matheson « I am Legend » qui donnera « The Omega Man » avec Charlton Heston puis « I am Legend » avec Will Smith
Le docteur Robert Morgan (Vincent Price) est le dernier être humain à avoir échappé à une épidémie qui a transformé les autres hommes et femmes en vampires. Depuis trois ans, toutes ses journées se ressemblent : le jour, les vampires, qui craignent la lumière du soleil, se reposent, pendant que Morgan, armé de pieux de bois, parcourt la ville, repère les refuges des morts-vivants affaiblis comme des zombies, les empale pour ensuite aller brûler leurs corps à la décharge. La nuit, il se réfugie dans sa maison, où sont suspendus miroirs et ail, que les vampires ne supportent pas. De temps en temps, il essaye de communiquer avec un éventuel autre être humain non affecté à l’aide d’une radio, mais toujours sans succès…
La Société du spectacle est un livre de Guy Debord publié en 1967. La phrase d’ouverture est un détournement de la phrase d’ouverture du Capital de Karl Marx : « La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s’annonce comme une « immense accumulation de marchandises« . » (Première phrase de Marx) « Toute la vie des sociétés dans lesquelles règnent les conditions modernes de production s’annonce comme une immense accumulation de spectacles. » (Première phrase de la Société du Spectacle) Le livre est agencé comme un essai politique utilisant la forme de la thèse, et non comme un ouvrage de philosophie, dont il dit qu’elle doit trouver sa réalisation et non plus sa discussion, pour reprendre le mot de Karl Marx. En cela il expose son sujet de manière affirmative plutôt que discursive, il ne cherche pas à démontrer, ou même à convaincre, mais à montrer : un exemple dans la sobriété de sa thèse 9, qu’il énonce en une seule ligne : « Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. » Ce relatif laconisme comparé à d’autres ouvrages situationnistes comme ceux de Raoul Vaneigem rendit relativement difficile les commentaires ultérieurs du texte, par l’usage de Guy Debord du style hégelien. Si Guy Debord fait apparaître dans son livre une interprétation de la critique marxienne du fétichisme de la marchandise développée dans le premier chapitre du premier livre du Capital (1867), elle-même faisant suite à la théorie de l’aliénation exposée dans ses Manuscrits de 1844, son originalité se situe précisément dans la description de l’avance contemporaine du Capital sur la vie de tous les jours, dans les moyens qu’il emploie et dans ses finalités modernes de conquête, dans son emprise sur le monde à travers la marchandise.
Chanel, Gloria Swanson, Greta Garbo, Marie-Laure de Noailles, la duchesse de Windsor, Visconti, Ali Khan, Rita Hayworth, Truman Capote, Gianni Agnelli, la princesse Grace, la Callas, Onassis, Jackie Kennedy, Andy Warhol, Jacques Chazot, Elizabeth Taylor… Qui peut se targuer d’un tel générique ? Ce livre n’est pas une étude sociologique sur le snobisme, mais un livre avec des snobs comme personnages. Des snobs qui se croisent. Plus de snobs qu’aucun autre livre n’en a jamais réuni.
Des snobs, des dandys, des noctambules, des esthètes, des égéries, des stars, dès couturiers, des décoratrices, des écrivains, des hommes à femmes et des femmes à hommes (mais aussi des hommes à hommes et des femmes à femmes) réunis par des histoires d’amour, des romances, des coucheries, des coups de foudre, des coups fourrés… Presque une centaine d’acteurs, sans compter les seconds couteaux. Que du beau monde, mais quel monde! Un monde à des années lumière du nôtre.
Un monde qui appartenait encore aux hommes et aux femmes qui se couchaient tard, qui buvaient comme des trous, qui fumaient comme des pompiers et se droguaient à l’occasion. Grâce à une foule d’anecdotes et une écriture qui emprunte au romanesque, Francis Dorléans, ancien chroniqueur pour Vogue, a l’art de convertir la nostalgie d’une époque en un feuilleton acide et coloré dont on ne voudrait rater aucun épisode. De Francis Dorleans (Auteur)
Comme vous le savez sans doute, chez JetSociety nous sommes très attachés aux productions littéraires et c’est toujours avec une immense joie que nous relayons les concours permettant l’émergence de nouveaux talents :
LOFT design by… lance la 3ème édition de sa biennale de poésie à partir du 12 janvier 2015 sur le thème « Avis de recherche ».
Amateurs de sons et de sens, c’est à vous de composer.
LOFT design by… n’est pas une question de mode mais d’art de vivre. Depuis sa création, la Maison s’inspire des lettres pour créer ses collections de vêtements. Qui dit recevoir LOFT design by… dit aussi l’envie de transmettre et de partager.
En 2011, le créateur Patrick H. Frèche, entouré de ses amis poètes, crée une biennale de Poésie. Mettre à l’honneur les tisserands du verbe et leurs jolis mots, sous la forme d’un concours de poésie, tel était son objectif.
Les Editions Flammarion, partenaire du concours, publie en un recueil, les textes des finalistes et du lauréat «Poèmes en Loft ».
Cet ouvrage est distribué à titre gracieux dans les maisons de la culture, auprès des bibliothèques municipales, dans les librairies spécialisées ainsi que dans toutes les boutiques LOFT design by… .
Dès le mois d’avril, un jury composé de professionnels : critiques littéraires, écrivains, et comédiens spécialistes de la lecture sur scène commencera la lecture des poèmes, puis se tiendra le moment des délibérations, jusqu’à l’annonce et la remise du Prix des finalistes et du lauréat en juin.
Un média libre c’est ce gosse insolent, né des amours illégitimes d’un tract et d’une radio pirate, qui n’atteindra jamais la majorité… Rien de plus fierot que ce morveux, qui jacasse et couine comme s’il était lu ou écouté, travaille sa virgule pour une nonchalante poignée d’initiés, se tient toujours prêt à déclencher autre chose que quelques sourires entendus. Dans ses nippes de gueux, il y a toujours un média libre pour couvrir en grand reporter la Commune en 1870 ou la contre-culture en 1970, vivre d’eau fraîche et d’amour, vider son fric, ses tripes, sa bile. Arrogant, subjectif, cynique, il ricane quand sourient les médias officiels, grince quand ils sont graves, rue quand ils sont lâches. Il est libre parce qu’il n’a rien à perdre et rien à vendre. Libre de toute pression, libre pour ses passions. Non formaté. Non conforme.Parfois informe. Parfois informatif.Il peut adorer. Et brûler. Libre comme un amour libre. Rien de plus teigneux que ce cancre qui provoque le passant de ses apostrophes, sans diplômes ni autorisations, sans cartes de presse ni renommée tamponnée.
Sans personne à ménager, sans comptes à rendre, sans sponsors. S’il règne c’est à la cour des miracles. A lui seul il ne touche peut être que cent ou trois cent personnes. Mais avec tous ses frères naturels il représente peut-être le plus gros média du pays.
Combien de radios, de fanzines, de sites internet ?
Toutes ces ramifications peuvent-elles constituer un réseau, tisser une toile ? Peut-on trinquer ensemble à la santé de Louise Attaque, passant dans les petites salles et radios associatives pour fêter leur deuxième album avec ceux qui ont permis qu’il voit le jour ? Peut-on rire sardoniquement de lire dans Rock and Folk que l’espoir pour les petits labels viendra « des nouvelles technologies, des fanzines, et, beaucoup plus modestement, de (leur) rubrique » ? Y a-t-il moyen de se serrer les coudes de média libre à média libre, mais aussi avec les lieux, les militants, les artistes d’une mouvance proche ? Le premier média libre s’appelle bouche à oreille. Que peut-on contre ça ? Rien de plus libre que cet avorton qui refuse la publicité dans ses émissions de radio ou sites internet, la dictature de l’actualité ou des célébrités et peut faire des pieds de nez à n’importe qui et n’importe quoi. Ou alors il se marie avec la publicité, une tendance politique ou une maison de disques et peut vieillir heureux. Mais il n’est plus libre. Il prend le nom de son époux. La liberté c’est bien à condition de savoir y rester.
Contre l’inconvénient de se faire une trop haute idée d’autrui, il n’est pas meilleur antidote que d’avoir, au même moment, une excellente opinion de soi-même. Waverley (1814)
Sir Walter Scott (15 août 1771 à Édimbourg – 21 septembre 1832 à Abbotsford) est un poète et écrivain écossais. L’un des plus célèbres auteurs écossais avec David Hume, Adam Smith, Robert Burns ou Robert Louis Stevenson, il est traditionnellement surnommé le « Magicien du Nord » (Wizard of the North).
Il est également, avec Wordsworth, Coleridge, Byron, Shelley ou Keats, l’une des plus illustres figures du romantisme britannique. Père du roman historique, il a contribué à forger une image romantique de l’Écosse et de son histoire. C’est à lui, notamment, que l’on doit le retour de l’usage du tartan et du kilt, dont le port avait été interdit par acte du Parlement en 1746.
Ivanhoé
Tournois, combats, complots et amours. Avec Ivanhoé, Walter Scott abandonne pour la première fois l’Écosse pour l’Angleterre du xiie siècle, celle de la résistance des Saxons contre les Normands, leurs maîtres depuis la conquête de 1066. Son héros s’y trouve pris dans l’entrelacs et les conflits des fidélités familiales, féodales, amoureuses. Son père veut briser ses amours au nom d’une chimérique restauration de la royauté saxonne. Son roi et son bienfaiteur, Richard Coeur-de-Lion, qu’il a accompagné à la croisade, est à son retour menacé d’être dépossédé du trône par les intrigues de son frère Jean et de ses alliés. Ivanhoé doit défendre son roi, regagner son héritage, sa place dans sa famille et la belle Rowena. Il lui faut combattre sur tous les fronts, y compris celui de l’amour.
Inazo Nitobe (1862-1933) était un éducateur, docteur en agronomie et en droit. Il a réalisé de nombreux écrits, dont le plus célèbre est Bushido, l’âme du Japon (1899). L’œuvre de Nitobe, rédigée dans un excellent anglais victorien, est un groupement d’essais courts, arrangés un peu au hasard dans lesquels il compare les vertus du bushido avec leurs équivalents européens.
Cela exige une ingéniosité considérable et n’aurait pu être réalisé que par quelqu’un qui, à l’instar de Nitobe, maîtrisait l’histoire, la religion, la littérature et la philosophie de l’Europe. Les thèmes abordés dans ces essais sont le système éthique du samouraï, le courage, la bienveillance, l’honneur et la maîtrise de soi (des vertus qui s’articulent évidemment dans bien d’autres cultures). Les thèmes spécifiques au samouraï sont toutefois abordés dans la douzième partie, « The Institutions of Suicide and Redress » et dans la treizième, « The Sword, the Soul of the Samurai. » Nitobe parlait Esperanto.
Il a participé au congrès universel d’espéranto de Prague en 1921. Il a toujours soutenu l’espéranto et l’a appelé « moteur d’une démocratie internationale ».
« Bushido signifie la volonté déterminée de mourir.
Quand tu te retrouveras au carrefour des voies
et que tu devras choisir la route, n’hésite pas :
choisis la voie de la mort.
Ne pose pour cela aucune raison particulière
et que ton esprit soit ferme et prêt.
Quelqu’un pourra dire que si tu meurs
sans avoir atteint aucun objectif,
ta mort n’aura pas de sens :
ce sera comme la mort d’un chien.
Mais quand tu te trouves au carrefour,
tu ne dois pas penser a atteindre un objectif :
ce n’est pas le moment de faire des plans.
Tous préfèrent la vie à la mort et si nous nous raisonnons
ou si nous faisons des projets nous choisirons la route de la vie.
Mais si tu manques le but et si tu restes en vie,
en réalité tu seras un couard.
Ceci est une considération importante.
Si tu meurs sans atteindre un objectif,
ta mort pourra être la mort d’un chien,
la mort de la folie,
mais il n’y aura aucune tache sur ton honneur.
Dans le Bushido , l’honneur vient en premier.
Par conséquent, que l’idée de la mort soit imprimée dans ton esprit
chaque matin et chaque soir.
Quand ta détermination de mourir en quelque moment que ce soit
aura trouvé une demeure stable dans ton âme,
tu auras atteint le sommet de l’instruction du bushido ».
Neal Cassady (Salt Lake City, 8 février 1926 – San Miguel de Allende (Mexique), 4 février 1968) est un personnage incontournable de la beat generation, bien qu’il n’ait jamais publié le moindre livre. Protagoniste et compagnon de route de Jack Kerouac dans Sur la route, connu sous le pseudonyme de Dean Moriarty, Neal est un enfant terrible. Très vite livré à lui-même du fait d’un père alcoolique, il a régulièrement connu les maisons de correction sans que cela n’entame son côté débonnaire. Neal débarqua un jour à New York en charmante compagnie avec pour ambition d’apprendre la philosophie auprès d’Allen Ginsberg. Ce dernier le présenta à Jack Kerouac formant ainsi un trio delirant dans lequel alcool, drogue et sexe feront bon ménage. Neal a une réputation de conducteur hors pair, et c’est sans encombre qu’il mènera Kerouac de Frisco (San Francisco) à New York et inversement allant de l’une à l’autre de ces deux villes sans faire la moindre pause, si ce n’est pour faire le plein. On retrouvera Neal avec Ken Kesey quelques années plus tard au volant du bus des Merry Pranksters pour un voyage hallucinatoire dans l’Amérique des années 1960 en plein découverte de l’acide, drogue aux multiples visages. Toute cette période de sa vie a été relatée dans l’ouvrage de Tom Wolfe Acid test. Quelques semaines avant sa mort, il rencontra Bukowski, à qui il demanda d’écrire le chapitre final, ce que ce dernier fit en lui consacrant un texte dans le Journal d’un vieux dégueulasse. On a retrouvé le corps de Neal Cassady le long d’une voie ferrée au Mexique, mort probablement d’un arrêt cardiaque des suites d’abus en tout genre. Cassady avait commencé une autobiographie, dont seule une ébauche put paraître de façon posthume en 1971 : The first third (publié en français en 1998 sous le titre Première Jeunesse). Un film basé sur sa vie et intitulé « Neal Cassady » est sorti en octobre 2007 aux Etats-Unis.
Heckle et Jeckle sont deux drôles d’oiseaux, deux joyeux corbeaux,? Heckle et Jeckle font les 400 coups un p’tit peu partout, ils parcourent le monde en chantant à tue-tête, écartez-vous d’ leur chemin, rien ne les arrête, Heckle et Jeckle sont deux garnements tous deux très séduisants, ce sont d’aimables farceurs, écoutez leurs rires moqueurs…
Trainer ses escarpins Saint-Laurent dans la Creuse ou dans la Beauce est aujourd’hui au moins aussi « à la mode » que dans n’importe quel établissement de prestige à consonnance auvergnate de la capitale. « Ils sont montés ? Nous descendons ! » clament haut et fort les dépositaires du bon goût toujours plus en quête d’authenticité. Maxence, Lou, Tanguy, Isild ne pensent qu’à acquérir une vaste demeure à la campagne pour profiter des animaux de la basse court (au début Isild a eu très peur des vaches qu’elle n’avait jamais vu en vrai sauf au salon de l’agriculture, mais maintenant ça va) et de leurs propres légumes. Et si c’était ça la véritable révolution culturelle française ?
Généralement l’homme pressé commence a réaliser qu’il est temps de faire les cadeaux, le 24 au matin ou parfois même en début d’après midi. S’en suit une course contre la montre digne d’un épisode de 24h00 Chrono. Fatalement il en résulte beaucoup de stress pour peu de résultat. Néanmoins l’homme pressé reste étonné de constater que tous les zu zu pets ou toupies métal fusion ont définitivement quitté les rayons jouets (pour ceux que ça intéresse, ou qui font comme ci), ainsi que tous les bijoux à moins de 2000 euros… chose particulièrement contrariante, surtout financièrement lorsqu’on a décidé de faire passer (par exemple) le nouvel écran télé 4K ou la dernière tablette interactive sur le compte de noël. Des objets évoqués à longueur d’année mais toujours rejetés par la Ténardière du ménage qui trouve toujours (on ne sait pas pourquoi) que c’est inutile pour ne pas dire de la connerie. De fait, l’homme pressé se jure mais un peu tard qu’on ne l’y reprendra plus. Cette année tu peux compter, frère de masculinité, sur moi pour te donner un coup de main. D’abord, cela tombe sous le sens, commence dès aujourd’hui faire tes emplettes, ainsi un monde paisible et harmonieux va dès lors s’ouvrir à toi et ce noël sera le meilleur de ta vie depuis ton enfance… Permets-moi de te demander en contrepartie de nourrir les commentaires de ce billet :D’adresses, d’idées, afin d’aider tes semblables qui eux n’ont pas encore compris et seront toujours dramatiquement enferrés dans la galère de noël jusqu’au 24 décembre 20h00. Paix et Amour sur la Terre.
Le super héros est incontournable au cinéma, le super politique truste les débats, le super people est omniprésent dans les médias, envers et contre tout le super inconnu demeure quand même le seul dont on ne parle jamais nommément mais qui pourtant écrase largement les autres « super » précités. Who is this superunknown ? C’est le gagnant du loto, la victime d’un fait d’hiver, le centre d’anecdotes, le conducteur de la voiture d’en face, le gars croisé dans les transports… Est il un figurant de la vie ou un premier rôle ? Who knows he is the superunknown, le blogueur abrité derrière son écran qui est il ? Un super héros du quotidien sans doute comme l’ensemble de ses frères en humanité. Tous des super inconnus, tous ralliés derrière cette certitude, Humain trop Humain.
Saturés par les bouffonneries médiatiques des pseudo artistes, politiques, sportifs portés au pinacle par des médias bas de gamme, la nouvelle vague du style a décidé à l’unanimité d’entamer une grève contre la connerie et de ne plus s’intéresser qu’aux gens qui ont du talent. Big Brother, Big Boobs, Big Butt ?
Relecture des classiques, fréquentation des musées, expos, cafés–philo, dégustation de grands crus et de cigares en compagnie de sociétaires de la comédie française, d’académiciens, de prix nobel, pulitzer, pontes en recherche fondamental…
Tout est bon pour ne pas en savoir plus, par exemple, sur l’histoire du Slip sur la tête de Patoche récent vainqueur de « On a échangé nos sexes », qui occupe la une d’une dizaine de journaux pipoles. Même si d’après ce qu’on raconte, il a fait ça à cause de Talia, l’héroïne des Fruits de la Passion 2, avec qui il a eu une liaison éphémère d’1/4 d’heure.
Certains grévistes se demandent néanmoins, si le fait d’avoir mis en public un slip sur la tête n’est pas un acte délibérément avant – gardiste à la James Franco, donc talentueux et admissible ce qui leur permettrait de suivre le ragotage de caniveau sans problèmes de conscience ni d’être en contravention avec leur mouvement. Mais tout ça ne sert à rien car on ne peut désormais plus échapper à la pipolisation de la société globalisée.
George Orwell n’a rien compris. Ce n’est pas Big Brother mais Big Boobs puis Big Butt le véritable dictateur. Impossible de fuir, l’abrutissement des masses est en mode rouleau compresseur, seul moyen trouvé par les marionnettistes de l’ombre (qui s’ignorent sans doute) pour éviter la rebellion des pauvres et des médiocres. Kim et son derrière éclipsent Ebola, Ebola masque les vraies catastrophes, vraies catastrophes qui supplantent le chômage, chômage qui voile l’asservissement des populations qui produisent les biens de consommations, etc. jusqu’à arriver à la source l’être qui fait tout ça parce qu’il n’a qu’une peur, celle d’accepter l’inéluctable, la mort. Dire oui à la vie, donc à la mort c’est mettre un coup de pied au cul à Kim Kardashian… Pour le bien de l’humanité, un bon coup dans le popotin ça ferait du bien !
Aujourd’hui, alors qu’il règne dans notre petit monde sclérosé de la toile, qui échappe par des jeux d’étanchéité aux turpitudes extérieures, le diktat de l’indexation, du suivi et de l’info éclair, même en microlocal, posons-nous la question : Qu’adviendra t-il de notre pensée contemporaine ? Sera-t-elle référencée ?
Qui sera chargé de la mission de garder le Temple de la connaissance et du savoir sur Internet ? Un J.J Rousseau en puissance qui nous gratifierait de ses rêveries digitales solitaires 3.0 ?
Quel critère serait reconnu comme le plus pertinent pour apprécier la qualité de la pensée ? Un PR de 8 avec une moyenne de 50 000 visiteurs uniques / heure et les comptes twitter + facebook pleins à ras bord ? La reconnaissance par des experts professionnels de la profession, qui officient sur tous médias et qui gagnent du fric sur les ventes, de la qualité d’untel au détriment d’un autre ?
Les « réseaux sociaux » sont potentiellement en mesure de fédérer ceux qui veulent changer leur monde…. En pratique ils ne servent qu’à échanger des vidéos de chats bourrés ou à draguer la voisine.
Donc à celles et ceux qui craignent de crier dans le désert mais qui sentent en eux la nécessité de s’exprimer et de créer du contenu sur Internet, qu’ils continuent…
Ephraïm Chambers, né à Kendal, Westmorland, en 1680 et mort dans la banlieue de Londres, à Islington en 1740, est un éditeur et encyclopédiste anglais. Franc-Maçon, la traduction de sa Cyclopaedia or Universal Dictionary of Arts and Sciences est la base de l’Encyclopédie de Diderot.
D’origine modeste, il accomplit ses études à Kendal puis entre comme apprenti chez un cartographe. Il publia la Cyclopaedia or Universal Dictionary of Arts and Sciences à Londres en 1728, par souscription (2 vol. in-f°). L’ouvrage récolta un franc succès et le fit admettre à la Société royale de Londres.
Pour la seconde édition de Cyclopædia, Chambers écrivit un texte intitulé Considération, aujourd’hui perdu, qui donnait un aperçu de ses travaux. Il prévoyait un remaniement de l’encyclopédie, qui ne fut jamais effectué. En revanche, cinq éditions parurent en dix-huit ans, dont une des plus estimées au XIXe siècle est selon le Dictionaire Bouillet celle de Abraham Rees, 1788-1791, Londres, 5 vol. in-fol.
Dans son Discours de 1736, Andrew Michael Ramsay, haut dignitaire de la nouvelle Grande Loge de France, annonçait la publication d’un dictionnaire universel des arts libéraux et des sciences utiles, commencé à Londres.
C’est André-François Le Breton, vénérable d’une des premières loges françaises, qui proposa la traduction de la Cyclopædia à Denis Diderot et se fera par la suite l’éditeur de l’Encyclopédie. Éphraïm Chambers fonda aussi un magazine littéraire et traduisit du français l’Usage de la perspective de Jean Dubreuil. En tant que membre de la Royal Society, il est inhumé dans l’abbaye de Westminster, à Londres.
Tonight I’ll show you how dreams are prepared, love, friendships, relationships. All those ships
Réalisé par Michel Gondry. Avec Gael Garcia Bernal, Charlotte Gainsbourg, Alain Chabat. Venu travailler à Paris dans une entreprise fabriquant des calendriers, Stéphane Miroux mène une vie monotone qu’il compense par ses rêves. Devant des caméras en carton, il s’invente une émission de télévision sur le rêve. Un jour, il fait la connaissance de Stéphanie, sa voisine, dont il tombe amoureux. D’abord charmée par les excentricités de cet étonnant garçon, la jeune femme prend peur et finit par le repousser. Ne sachant comment parvenir à la séduire, Stéphane décide de chercher la solution de son problème là où l’imagination est reine…
Il existe une autre version du film, d’une durée de 70 minutes, remontée à partir de séquences abandonnées pour la version sortie au cinéma. De nombreux passages intermédiaires de l’histoire y sont exposés, et des prises alternatives remplacent les scènes communes.
Jean-Michel Bernard compose la musique du film. La chanson « Instinct Blues » des White Stripes apparait dans le film mais n’est pas présente sur l’album. La chanson « If You Rescue Me » est quant à elle une parodie de « After Hours » du Velvet Underground.
Liste des titres
Générique Stéphane
Générique Début
Stéphane Visite Appart
Coutances
Écrit par Dick Annegarn
Rêve Grosses Mains
Robinet Cellophane
Grotte Machine À Écrire
Ulcer Soul
Interprété par The Willowz
Écrit par Richie Eaton
Aristurtle
Générique Stéphane TV
Tours De Cartes
My Dear Neighbours
Baignoire Martine
Gérard Explique REM
If You Rescue Me (A Cappella)
Interprété par Linda Serbu
Musique de Lou Reed
If You Rescue Me (Chanson des Chats)
Interprété par Gael García Bernal, Sacha Bourdo, Alain Chabat et Aurelia Petit
Musique de Lou Reed
Grotte Stéphane Stéphanie
Steppin’ Out
Interprété par Kool & The Gang
Écrit par Robert E. Bell, George M. Brown, Eumir Deodato, Robert Michens, Charles J. Smith, James W. Taylor
Francis Scott Key Fitzgerald (24 septembre 1896 – 21 décembre 1940) est un écrivain américain, né à Saint Paul (Minnesota). Chef de file de la Génération perdue et émouvant représentant de L’Ère du Jazz, il est aussi celui qui lance la carrière d’Ernest Hemingway. Marié à Zelda Sayre Fitzgerald, qui publia un roman (Accordez-moi cette valse ; Save Me The Waltz), et fut une source d’inspiration constante. Ensemble, ils eurent une fille, Frances, qu’ils surnommèrent « Scottie ».
Naturellement, toute vie est un processus de délabrement progressif, mais les coups qui confèrent sa dimension spectaculaire à ce travail – les coups massifs et brusques qui proviennent, ou semblent provenir, de l’extérieur -, ceux dont on se souvient, sur lesquels on rejette la faute et qu’on confesse, dans les moments de faiblesse, aux amis, ne font pas sentir instantanément leur effet.
Les Heureux et les Damnés : Anthony et Gloria, beaux, jeunes et doués, forment un couple obsédé par l’argent, prêt à tout pour recueillir la fortune considérable de leur grand-père, un milliardaire, ancien «requin» de Wall Street, qui subitement cherche à les déshériter.Dans l’atmosphère insouciante du New York de 1914, dans la frénésie de l’ivresse, la mélancolie des fêtes luxueuses d’un monde éphémère et fragile, l’amour et le mariage de ces deux jeunes «dieux», qui ressemblent étrangement à Fitzgerald et Zelda, se dégradent lentement…
Ô du talent effort suprême !
Le peintre, en ce touchant tableau
A donné la vie au tombeau
Et du grave à la mort même.
[illisible] de perdre le jour
Avant d’avoir perdu tes charmes,
Belle Atala, revoir les larmes
Que sur ton sort verse l’amour.
L’amour contrarié, source féconde
De chefs-d’œuvre et de bienfaits,
Doit régner dans un nouveau monde
Et se nourrir par les regrets…
Des cieux la sagesse éternelle
Avec son ministre Dédale
S’exile en vain dans les déserts
Il parle… et toute erreur succombe ;
Il meurt… et du fond de sa tombe
Il instruit encore l’univers.
Objet d’études et d’envie,
Sur ce tableau peint du génie
Ainsi les siècles profiteront,
Les siècles le rajeuniront
Et le temps prépare sa gloire…
Pour la mienne, pour mon bonheur,
Que ne puis-je enfin de mon cœur
Sonner la trop douce mémoire
Et de l’ouvrage et de l’auteur !
Julie Candeille, Stances irrégulières. Vers improvisés sur le tableau d’Atala pour Girodet
Amélie-Julie Candeille, née à Paris, paroisse Saint-Sulpice, dans la nuit du 30 au 31 juillet 1767, morte à Paris le 4 février 1834, est une femme exceptionnelle aux multiples talents artistiques. Elle fut une brillante compositrice pour le piano et excellente musicienne, actrice et auteure dramatique, mais elle commença sa carrière comme cantatrice. Julie Candeille se décrit ainsi dans ses Mémoires: « De fort beaux cheveux blonds, les yeux bruns, la peau blanche, fine et transparente, l’air doux et riant ». D’après sa collègue la comédienne Louise Fusil, elle était jolie, avec « sa taille bien prise, sa démarche noble, ses traits et sa blancheur (qui) tenaient des femmes créoles ». Elle n’avait pourtant rien de créole car ses origines étaient flamandes, et sa vie durant, elle mit son physique avenant, ses talents multiples et sa séduction naturelle au service de son ambition qui n’était pas médiocre. En 1781, encore très jeune, elle fut initiée dans une loge franc-maçonne – la Candeur –, où elle rencontra un certains nombres d’auteurs de théâtre, comme Olympe de Gouges, mais aussi des personnages influents susceptibles de favoriser sa carrière artistique dans l’univers complexe de la mondanité parisienne et des intrigues de l’Ancien régime agonisant.
Un toyz art en édition limitée (450 pièces) qui saura vous transporter dans l’univers si particulier des gourous de secte ! avec son oeil qui voit tout et son style débonnaire, Toby ne vous laissera pas indifférent… kidrobot.com
Toby is your shadow. Your mirror. Your best friend in the whole wide world. He can smell your fear. He is addicted to your insecurity. He knows how to push your buttons. He is no Teacher’s Pet. He loves you. He truly loves you. Shown in 2005 at Billy Shire Fine Arts in Culver City, California garybaseman.com
Tu veux que je te borde, que je te raconte une belle histoire, que je t’embarque dans mes chimères, dans mes visions, dans mes fantasmes, mes sens emballés, mes émotions à toi livrées ? Tu veux que je te dise ce que tu veux entendre, comme tu crois vouloir l’entendre, raconte moi une belle histoire, nourris moi des mots, nourri moi de tes maux, enlève moi mes mots et mes maux, nous sommes partie liée dans cette aventure racontée, transportés dans l’univers de celui qui a la capacité à inventer, arrimés au souvenir, arrimé à l’envie de savoir ce que tu penses, le tu, le il, le eux avant le je ou le moi. Permets moi de te demander, s’il te plait raconte moi une histoire, une histoire qui soit je et toi, une histoire vraie mais pas en réalité augmentée, juste en fragilité, en âme et conscience, même si tout le monde s’en fout. Après tout, où tout cela nous mènera ?
Je vais quand même vous le traduire mais Furvets concerne les personnes qui se déguisent en animaux notamment et vont ensuite en forêt ou ailleurs s’adonner à des pratiques charnelles… si, si ça existe. Ne faites pas les choqués qui n’a jamais rêvé d’être déguisé en Pikachu … ok je sors !
The practice sees people dressing up in giant teddy bear or other outfits and meeting in woodlands and forests for sex. Participants – sometimes called ‘furverts’ – also dress as rabbits, squirrels or cartoon characters. One furry – known as ‘Paddington’ – regularly takes part in the activity in woods at St Austell, Cornwall. He said: ‘St Austell is fast becoming a hotbed for furries since a new group started up. ‘We’re a group of people who like things to do with animals.
It’s great to meet up with fellow furries and enjoy the great outdoors.’ Tina Patterson, owner of the Make Believe fancy-dress hire shop in St Austell, said: ‘I wonder where my costumes go sometimes. Some of my fur suits come back in a right state. The most popular is Sylvester the Cat.’
« Les époques de changement technologique et culturel profond engendrent invariablement d’innombrables confusions et un vif sentiment de désespoir« .
Fut un temps, j’aurais été au comble de l’extase de gloser sur cette fulgurance de Marshall McLuhan.
Désespéré par la médiocrité ambiante, je vais m’en remettre à mon habituelle frustration et simplement habiller ce propos d’une photo destinée à contenter celui qui n’aura pas compris de quoi il s’agit…
Il est temps de rendre hommage au charme si peu discret de la vulgarité. Hommes et femmes réputés vulgaires ont l’incroyable faculté de dévoiler leur intimité sans gêne ni tabou. Ils exercent sur le public un pouvoir d’attraction et de répulsion incontestable, consternent autant qu’ils excitent. Ils représentent, pour les dépositaires du bon goût, un double négatif, sorte de Hulk au camping en birkenstocks et string pimki. Ils sont la pire création de la société de consommation et c’est sans doute pour cela que nous les aimons tant…
Êtes-vous vulgaire :
1 : Avez-vous un ou plusieurs vêtements de chez Desigual ? (or blague cadeau) 2 : Regardez vous la télévision plus de 4h00 par jour ? 3 : Ralentissez-vous sur l’autoroute en cas d’accident pour regarder et commenter ? 4 : Faites-vous des blagues graveleuses qui gênent l’auditoire ? 5 : Lisez-vous moins d’1 livre par an ? (or Marc Levy, Catherine Pancoll) 6 : Aimez-vous répéter à qui veut l’entendre que « c’est normal, c’est naturel, ça arrive même à la reine d’Angleterre » lorsque vous faites un bruit incongru ? 7 : Si je vous dis Léopard ? 8 : Pour vous ce sont toujours les autres qui sont des cons ? 9 : Détestez-vous le silence ? 10 : Méprisez-vous les êtres qui prennent soin d’eux ?
Plus d’un oui… on en parle Josiane ?
Le 10 Novembre prochain sortira sur Versatile la compilation Disco Sympathie, dont l’auteur est Vidal Benjamin, Dj / digger hors pair et considéré par ses pairs comme un des plus illuminés de sa catégorie. C’est dire!
Il nous fait redécouvrir ici ce son si caractéristique d’une certaine scène française du début des années 80 : foutraque, joyeux, dansant et parfois poétique. On se prend alors à voyager dans une époque durant laquelle les producteurs français ne craignaient pas de s’attaquer au Disco, au Boogie Ricain, à la Synth Wave anglaise ou allemande, pour nous en donner leur vision: French, pop et surtout fun…
En prélude, Versatile sort un maxi 33T et un 45T limités, dont tous les titres ont subi le traitement d’édits réalisé par de mysterieux producteurs français : Jean-Marc Misère (aperçu pour la derniere fois du coté de Londres..), DJ Ringardos (qui a préféré l’exil romain depuis son dernier morceau pour Versatile en 2008), ALT (déja répéré sur les Edits Du Golem ou le label Us Black Disco), et bien sur Vidal Benjamin en compagnie de Gilbert Cohen, le taulier. Sur le 45T, ce n’est rien moins que Jeff Lasson, du duo Get a Room! qui se prête a l’exercice avec brio et Misère en bonus beat sur la face B.
SORTIE PHYSIQUE LE 22 SEPTEMBRE
SORTIE DIGITALE LE 13 OCTOBRE
Ceci est un billet in progress. Postulat: Hier soir j’ai encore dérouillé sévère, parti pour un verre j’ai pris la bouteille, sa soeur et les autres, un véritable gang bang alcoolique. *Théoriquement à consommer avec modération et c’est mauvais pour la santé« . De là j’ai eu l’idée saugrenue de faire un billet de fond et de forme sur les Teenage Mutant Ninja Turtles, les fameuses Tortues Ninja comme on dit chez nous. Sur le principe j’aurai pu aborder les télétubbies ou bob l’éponge mais il n’en demeure pas moins que les TMNT ont un avantage certain c’est qu’elles portent le nom de génies de l’humanité: Leonardo (pas le mec du psg mais de Vinci) Raphaello, Michellangelo et je mange toujours le dernier Donatello.
Trois ans après « Popular » et le remarqué « Wicked Boy », Ayélé la chanteuse -femme -mère amoureuse et rêveuse et le multi instrumentiste Laurent Griffon, maître émérite ès groove, longtemps compagnon de route d’Amadou et Mariam reviennent et surprennent avec leur nouvel album « MOTOR LOVE » à paraître le 27 octobre prochain.
On le sait, en musique les rencontres sont parfois surprenantes et souvent belles. Alors que « Popular » était un pur « produit maison » concocté dans le home studio du couple, ce sont cette fois deux réalisateurs (et non des moindres) qui ont officié derrière les consoles.
En premier lieu, MARK PLATI, le plus parisien des « producers » new-yorkais, qu’on retrouve régulièrement depuis 15 ans aux manettes de quelques albums hexagonaux essentiels (Louise Attaque, Rita Mitsouko, Bashung, …)
Et JEAN-BENOÎT DUNCKEL, moitié de l’élégant groupe français AIR, réalisateur de 3 titres phares de ce disque, dont le premier single « Treat Me Like A Queen ». Mélodie sifflée, crescendo à fleur de peau : ce titre est une une rafraîchissante surprise…
Tout le monde veut devenir quelqu’un… mais devenir soi ?
Exister tel que je suis vraiment auprès de mon microcosme sociétal (travail, famille, amis), voilà un objectif réputé dur à atteindre mais réalisable et que malheureusement, beaucoup méprisent pour aller chercher une hypothétique célébrité ou pire pour s’enfermer dans les ténèbres de l’esclavage 2.0.
Oui, à notre époque ça à l’air facile d’être une ‘star’, n’importe quel connard ou connasse peut avoir son moment de notoriété, mais la légitimité, elle vient avec le temps… Privilégier les actes aux paroles stériles, travailler sans relâche, écouter et ne pas juger, aimer et donner, se battre, se relever, accepter, sont les clés du succès…
Tout dépend de ce qu’on cherche a gagner, une vie ou un miroir aux vanités.
50g de truffes noires Morceaux 500g de gros macaronis 4 litres d’eau salée 1 poignée de gros sel marin 10 brins de ciboulette hachée 1 oignon haché finement 80g de gruyère râpé 60g de beurre 30cl de crème épaisse 30cl de lait Sel Chauffer l’eau avec le lait, saler. Quand l’eau bout, immerger les macaronis. Remuer délicatement, respecter le temps de cuisson précisé sur le paquet. Sortir les macaronis, les rafraîchir dans de l’eau glacée. Puis bien les égoutter. Couper les truffes en lamelles assez épaisses. Dans une casserole, amener la crème à ébullition et laisser bouilloter environ une minute. Ajouter les truffes à la crème, laisser mijoter 3 minutes afin que la crème s’imprègne du parfun des truffes, puis mettre de côté. Dans un grand plat allant au feu (celui à paella est idéal), mettre une belle noix de beurre, y faire blondir 2 minutes à feu doux le hachis d’oignon. Saler. Faire fondre toujours à feu doux les 50g de beurre restant. Mettre délicatement les macaronis en rond dans ce plat – si le plat est petit vous pouvez le faire sur plusieurs épaisseurs. Parsemer d’un peu de gruyère râpé et de ciboulette. Rissoler 2 minutes à couvert sans coloration à feu très doux. Napper le plat brûlant avec la sauce aux truffes. Saupoudrez du reste de gruyère, passer sous le gril le temps que le fromage fonde. Servir aussitôt.
Nous aimons le grand déballage des petites confidences entre amis… partagées virtuellement par le plus grand nombre, à la faveur d’algorithmes aussi objectifs qu’un arbitre de foot corrompu !
Ces moments fort agréables d’ailleurs où l’on découvre que quelques-uns se sont lancés à corps perdu et ont dépassé ces simples remarques usuelles du type :
» Je suis au resto avec Machin « . » Regardez mes pieds sur la plage, il fait beau « . » Mamie est contente d’être avec toto le chien. »
Commentaires qui ont probablement leur raison d’être: illustrer des scènes de vie immortalisées sur le réseau des réseaux Facebook.
Vanité, vanité tout est vanité
Des réflexions parfois de haute volée, lourdes de sens et brillamment rédigées mais qui se noient malheureusement dans la masse des actualités sans cesse renouvelées et publiées à la vitesse de la lumière.
Alors à toi qui sans le savoir a / va peut être apporter ta pierre à l’édifice de l’humanité et aider par tes actes charitables à la construction personnelle d’un autre en chemin, nous disons merci et surtout ne t’arrête pas …
12 noix de St-Jacques bien fraîches 2 truffes fraîches d’environ 60 gr chacune 2 cuillères à soupe d’huile d’olive 1 cuillère à café de gros sel de Guérande Poivre noir du moulin St-Jacques bien vivantes et de séparer les noix du corail (corail qui pourra être utilisé pour d’autres préparations).
Laver sous l’eau froide les noix de coquilles St-Jacques et les sécher dans du papier absorbant. Les découper ensuite en fines rondelles. Réserver. Peler les truffes et les découper également en très fines rondelles. Les chutes peuvent être coupées en petits bâtonnets.
Disposer les rondelles de noix St-Jacques et de truffes sur deux assiettes différentes. A l’aide d’un pinceau de cuisine, badigeonner d’huile d’olive chaque face des rondelles de noix St-Jacques et de truffes. Présentation : Disposer sur chaque assiette un cercle de rondelles en les faisant se chevaucher ; et en alternant entre rondelle de noix de St-Jacques et rondelle de truffe.
Saupoudrer d’une pincée de sel de Guérande chaque rondelle de truffe et de quelques petits bâtonnets issus des chutes de truffe chaque rondelle de noix de St-Jacques. Placer les assiettes au réfrigérateur pendant 30 mn avant de servir.
People say I’m the life of the party
Because I tell a joke or two
Although I might be laughing loud and hearty
Deep inside I’m blue
So take a good look at my face
You’ll see my smile looks out of place
If you look closer, it’s easy to trace
The tracks of my tears..
I need you, need you
Since you left me if you see me with another girl
Seeming like I’m having fun
Although she may be cute
She’s just a substitute
Because you’re the permanent one..
So take a good look at my face
You’ll see my smile looks out of place
If you look closer, it’s easy to trace
The tracks of my tears..
I need you, need you
Outside I’m masquerading
Inside my hope is fading
Just a clown oh yeah
Since you put me down
My smile is my make up
I wear since my break up with you..
So take a good look at my face
You’ll see my smile looks out of place
If you look closer, it’s easy to trace
The tracks of my tears
États-Unis, début des années 80: le groupe de heavy metal Spinal Tap part en tournée, qui de triomphale se transformera bien vite en infernale, les déboires s’ajoutant les uns aux autres sous l’œil de la caméra d’un réalisateur de documentaires… Bien avant Le Projet Blair Witch ou Forgotten Silver et dans la lignée de Zelig, Rob Reiner avait réalisé en 1984 un vrai-faux documentaire sur le groupe Spinal Tap, inventé de toutes pièces pour l’occasion en compagnie de Christopher Guest. Une manière brillante de critiquer avec force et humour le milieu de la musique, des tournées et du heavy metal qui sortait alors de son heure de gloire et entamait son déclin. Enchaînant les situations les plus drôles avec entrain, peignant le portrait au vitriol d’une société du spectacle particulièrement détestable, Reiner a réalisé un véritable chef-d’œuvre d’humour époustouflant de réalisme. À tel point que le réalisateur a été dépassé par sa création, puisque le groupe devint réellement culte et fit une série de concerts après la sortie du film en salle, allant jusqu’à se reformer en 1992 pour enregistrer un nouvel album, Break like the wind ! Ce dernier accompagne les deux DVD bourrés de suppléments (dont deux sujets tournés par l’expert en rock’n’roll, Philippe Manœuvre) et le CD de la musique du film dans ce très beau coffret en forme d’ampli de guitare, qui devrait logiquement trouver sa place dans toute vidéothèque digne de ce nom… –David Rault Rob Reiner a donné naissance en 1984 au premier Rockumentaire parodique, une satire sans faille des groupes de Heavy Metal. Spinal Tap, grand frère de Wayne’s Word, est devenu le film culte de plusieurs générations de fans. David Rault
4 cailles bien dodues. 200 gr de foie gras 2 gousses d’ail 1 bel oignon 2 échalotes Sel Poivre du moulin 1 chou rouge 100 gr de beurre ½ bouteille de vin rouge 1cuillerée à café de vinaigre de vin rouge 2 feuilles de laurier 1 clou de girofle Noix de muscade râpée 1 bâton de cannelle 2 pommes acidulées à la chair ferme.
Coupez le chou en lamelles fines et faites-les blanchir 2 minutes dans de l’eau bouillante salée. Pelez et coupez les pommes en morceaux. Coupez le foie gras en 4 parts. Epluchez l’oignon et les échalotes. Egouttez le chou rouge et faites revenir 50 gr de beurre dans une cocotte. Faites bien revenir en remuant puis ajoutez la feuille de laurier, le clou de girofle, un peu de muscade râpée, le vin rouge. Portez à ébullition, baissez le feu, versez le vinaigre de vin, et le bâton de cannelle, couvrez et laissez cuire 1 h 30. Versez alors les pommes dans la cocotte, mélangez bien, couvrez et terminez la cuisson pendant 30 minutes. Faites préchauffer le four à 210°C, thermostat 7. Salez et poivrez l’intérieur des cailles et déposez dans le ventre de chacune d’elles un cube de foie gras. Fermez l’ouverture avec du fil de cuisine et une aiguille à brider. Dans un plat à four, mettez le reste de beurre coupé en petit morceaux, posez dessus les gousses d’ail dans leur peau, l’oignon et les échalotes coupées en 4 et dessus les 4 cailles farcies.
Enfournez et faites-les cuire 30 minutes en les arrosant très souvent avec le jus de cuisson pour qu’elles dorent et qu’elles ne se dessèchent pas. Dans un plat chaud, disposez un lit de chou rouge, posez les cailles dessus et servez immédiatement. En cette période de fêtes, n’hésitez surtout pas à inviter quelques truffes dans votre farce.
I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
Yeah, I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
Yeah, I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
Yeah, I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
If I had the money to go
To a record store I would, I, I would
If I had the money to go
To a record store I would, I, I would
Go to the record store
Go to the record store
Go to the record store
Put the records in my clothes
Go to the record store
Go to the record store
[Incomprehensible] record
Go past that record man
Go to a record store
Put it in my clothes
And walk past that record man
Got to have the sticky hands
Your ass is broke
Your ass is broke
Like me, like me
Go to that record store
Steal some record, man
Go to that record store
Steal some records, man
I’m telling you I’m broke
I’m telling you I’m broke
But I’m surviving and
And I can cope
Yeah, I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
Yeah, I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
Yeah, I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
Yeah, I’m a hustler, baby
That’s what my daddy’s made me
Gotta do what you gotta do
To survive
Gotta take what you gotta take
To stay alive
Gotta do what you gotta do
To survive
Gotta make what you gotta make
To stay alive
It’s 8 o’ clock
And I got nothing to do
Can’t go to the club
So I guess I’ll go to the record store
Visit my record man
With my sticky hands
Walk out that record door
Put your records in my clothes
The records in my clothes
What the fuck is you gonna do?
What the fuck is you gonna do
About it? Nothing
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Push it, push it, push it, push it
Réalisé par John Huston. Avec Michael Caine, Sean Connery, Christopher Plummer. A la fin du XIXème siècle, Rudyard Kipling, un jeune journaliste installé en Inde, fait la connaissance de Daniel Dravot et de Peachy Carnehan, deux anciens sergents de l’armée britannique à la recherche de la fortune et de la gloire. Après un long et périlleux voyage via l’Afghanistan, ces derniers pénètrent dans une contrée sauvage, le Kafristan, où des villageois sont en guerre contre une ville rivale. Tous deux s’engagent dans la bataille. Au cours des combats, Dravot reçoit une flèche en pleine poitrine, mais continue à lutter. En réalité, la flèche s’est plantée dans la catouchière. Mais aux yeux du peuple, il passe pour un être surnaturel, le dieu Sikander, fils d’Alexandre le Grand. Après ce miracle supposé, Dravot est proclamé roi du Kafristan et bénéficie de la puissance absolue. Mais le pouvoir peut corrompre même le meilleur des hommes.
Liposuccion, régime, lifting, rajouts, implants, lentilles, coloration, dépigmentation, chirurgie esthétique, correctrice, régénératrice, télé réalité, ventes privées et que sais je encore, soyez honnête, si vous êtes moche aujourd’hui, c’est que vous le faîtes exprès ! Donc plutôt que de vous murer dans une sorte d’auto apitoiement indigne, revendiquez votre droit à la mocheté, portez fièrement l’étendard de la laideur et dîtes Stop au diktat du beau et sexy. Objectivement, je ne sais pas si votre cri sera entendu mais au pire demandez à Bob Geldof d’organiser un Laid Aid, on ne sait jamais ? On n’est pas là pour se faire engueuler… On est là pour consommer.
Parce que donner la bonne fessée est un art. Réalisez vos désirs inavoués grâce à Milo Manara. Maître incontesté de l’art de la fessée, il a inspiré le coffret « L’Art de la fessée » Love to Love. Il vous propose les indispensables nécessaires à la bonne maîtrise de cet art: les dés Play & Spank pour inspirer, Spank me baby pour savourer et le Girls don’t cry pour réconforter. Néophites ou amateurs, toutes les méthodes sont bonnes, pourvu qu’elles suscitent le désir et le plaisir. Ce coffret contient: Poudre à fessée gourmande arôme noix de coco Crème sensuelle après fessée parfum fleur de tiaré 50ml Dés « Play & Spank ».