Après « Isabella » tourné à Los Angeles par Nadia Lee Cohen (Tyler The Creator, Kali Uchis…), « The Sinner » réalisé en Sibérie, et « Distance » qui suivait un gang en Thaïlande, ce dernier clip d’Isaac Delusion boucle la boucle avec un retour à Paris, et peut-être le plus lointain voyage…
Originaire d’Oxnard, en Californie (ville natale de Madlib, Anderson Paak), Cola Boyy est un jeune crooner disco avec une voix atypique. Sa musique est un savant mélange entre la disco du Studio 54, la fraîcheur d’un Mac DeMarco et la poésie de son idole absolue, Paul McCartney.
A travers ce clip réalisé par Pablo Padovani et Mirielle Productions, Matthew Urango aka Cola Boyy a voulu passer un message fort, et mettre en valeur les personnes avec un handicap : « This you notice it? The disabled and the different at « Black Boogie Neon » can enjoy themselves without stigma or judgement. We can show us as what we decide to be, enjoy ourselves with style, laugh. We are not made by glass. You will learn a lot about yourself when you take the chance to listen with your ears, and not just stare at us with you eyes«
Après plus de 10 ans d’attente, Worakls nous livre son premier album solo, « Orchestra ». Le co-fondateur du label Hungry Music laisse s’exprimer pleinement ses influences de musiques de film en les incorporant dans sa musique électronique.
Cet album s’accompagne d’une tournée des salles les plus prestigieuses d’Europe où Worakls sera accompagné par l’Orchestre de la Philharmonie Provence Méditerranée, composé de 20 musiciens. La force de ce show réside dans le fait que la musique originale composant l’album ait été spécialement créée pour être jouée avec un orchestre. Plus qu’un premier album, plus qu’un show, c’est l’aboutissement d’un artiste inimitable, dont les inspirations touchent toutes les générations de mélomanes.
Premières dates annoncées :
15.02 : PARIS – L’OLYMPIA
22.02 : CAEN – LE CARGO
23.02: BREST – LA CARENE
28.02 : MARSEILLE – LE SILO
01.03 : NIMES – PALOMA
02.03 : LYON – LE TRANSBORDEUR
08.03 : BORDEAUX – LE ROCHER DE PALMER
09.03 : TOULOUSE – LE BIKINI
25.04 : STRASBOURG – LA LAITERIE
26.04 : BRUXELLES – LES NUITS BOTANIQUE
Toutes les dates @facebook.com/pg/worakls/events
N’existe pas sans son contraire qui lui semble facile à trouver Le bonheur n’existe que pour plaire, je le veux Enfin, je commence à douter d’en avoir vraiment rêvé Est-ce une envie ? Parfois, j’me sens obligée
Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué d’être heureux Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué
Tout, il faudrait tout oublier Pour y croire, il faudrait tout oublier On joue, mais là, j’ai trop joué Ce bonheur, si je le veux, je l’aurai
N’existe pas sans son contraire, une jeunesse pleine de sentiments L’ennui est inconditionnel, je peux ressentir le malaise des gens qui dansent Essaie d’oublier que tu es seul, vieux souvenir comme l’ADSL Et si tout l’monde t’a délaissé, ça s’est passé après les soldes
Tout, il faudrait tout oublier Pour y croire, il faudrait tout oublier On joue, mais là, j’ai trop joué Ce bonheur, si je le veux, je l’aurai
Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué d’être heureux Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué d’être heureux C’est simple : sois juste heureux, si tu l’voulais, tu le s’rais
Ferme les yeux, oublie que tu es toujours seul Oublie qu’elle t’a blessé, oublie qu’il t’a trompé
Oublie que t’as perdu tout ce que t’avais C’est simple : sois juste heureux, si tu l’voulais, tu le s’rais
Tout, il faudrait tout oublier Pour y croire, il faudrait tout oublier On joue, mais là, j’ai trop joué Ce bonheur, si je le veux, je l’aurai Tout, il faudrait tout oublier Pour y croire, il faudrait tout oublier On joue, mais là, j’ai trop joué Ce bonheur, si je le veux, je l’aurai
Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué d’être heureux Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué Le spleen n’est plus à la mode, c’est pas compliqué d’être C’est simple : sois juste heureux, si tu l’voulais, tu le s’rais C’est simple : sois juste heureux, si tu l’voulais, tu le s’rais C’est simple : sois juste heureux, si tu l’voulais, tu le s’rais
À L’OLYMPIA LE 13 MARS 2019 & EN TOURNÉE DANS TOUTE LA FRANCE
« C’est un morceau qui nous a beaucoup parlé, tant sur le texte que la mélodie. On a voulu proposer une version un peu plus cold, psychédélique, qui pour nous, accompagne au mieux la rêverie que le morceau suggère. » DURANTIN
Je rêve de toi toutes les nuits C’est un peu notre endroit Pour se retrouver juste toi et moi Serrée dans tes bras À nouveau je revis Comme j’aimerais rester endormie Mais le jour est là et tu es comme la nuit Tu disparais, tu t’enfuis Je laisse la mer me prendre dans ses vagues Je laisse faire, à deux doigts de la noyade Les embruns toujours me remémorent Ton parfum, ici on se joue du sort Je rêve de toi toutes les nuits Tu sais mes réveils ont le goût du sel car tu es parti Serrée dans tes bras Je te sens fier de moi Comme j’aimerais rester endormie Mais le jour est là et tu es comme la nuit Tu disparais, tu t’enfuis Je laisse la mer me prendre dans ses vagues Je laisse faire, à deux doigts de la noyade Les embruns, toujours me remémorent Ton parfum, ici on se joue du sort Je laisse la mer me prendre dans ses vagues Je laisse faire, à deux doigts de la noyade Les embruns, toujours me remémorent Ton parfum, ici on se joue du sort Je laisse la mer me prendre dans ses vagues Je laisse faire, à deux doigts de la noyade Les embruns, toujours me remémorent Ton parfum, ici on se joue du sort
Le quintet londonien, composé de Dylan Jones à la trompette, de James Mollison au saxophone ténor, de Joe Armon Jones aux claviers, de TJ Koleoso à la basse et de son frère Femi Koleoso à la batterie : Ezra Collective, réussit l’alliance parfaite entre les influences du passé et une approche contemporaine ce qui leur vaut de remporter le Meilleur Album Jazz des Worldwide Awards 2018 de Gilles Peterson. Leur premier EP Juan Pablo: The Philosopher est un mélange élaboré de jazz spirituel, de rythmes africains traditionnels et de mélodies.
L’album a été enregistré à Abbey Road et mixé par le musicien électro Floating Points et Matt Mysko. On y trouve la participation de la saxophoniste Nubya Garcia et une superbe reprise de Space is the Place de Sun Ra.
EZRA COLECTIVE
Juan Pablo The Philosopher EP
(Enter The Jungle / Modulor)
Le trio New-Yorkais Fun Lovin’ Criminals revient avec son premier album depuis la sortie de Daylight en 2010 et une tournée européenne. Another Mimosa sortira pour fêter les 20 ans de leur albums culte, Mimosa, et contient des reprises des influences essentielles du groupe.
« Another Mimosa s’inscrit dans le prolongement d’une longue tradition de notre groupe qui rend régulièrement hommage aux auteurs-compositeurs desquels on se sent proche, de notre au hip-hop au jazz en passant par le rock. C’est une manière d’offrir quelque chose en plus aux fans. » Huey
On retrouve aussi sur ce nouvel album, Rowetta du groupe Happy Mondays pour la reprise de « Daylight » le classique de Bobby Womack.
4ème collaboration entre la productrice française La Fraicheur et le réalisateur et vidéaste mexicain Manuel D. Lira, ce clip souligne la double réalité des identités trans et queer, à la fois vulnérable et puissante, mais portée avec honneur et dignité. La vidéo montre aussi l’importance de la communauté, de la famille choisie et les liens qui ont résisté aux moments les plus durs.
‘Renegade’ est issu de l’album « Self Fulfilling Prophecy » (InFiné)
Le multi-instrumentaliste, compositeur, songwriter et interprète, Blood Orange, a dévoilé la vidéo de « Chewing Gum » feat. A$AP Rocky & Project Pat, extrait de son nouvel album Negro Swan, disponible chez Domino.
« Mon nouvel album est une introspection sur ma dépression et tous les types de dépression propres aux personnes noires. Une vision sincère sur l’existence noire, et les angoisses que peuvent vivre les personnes queer, et les personnes de couleur. Un retour en enfance, sur les traumatismes et les mécanismes de défense que l’on utilise pour traverser tout ça. Le message sous-jacent de cet album est L’ESPOIR et le rayonnement que l’on peut trouver en soi, dans l’espoir de pouvoir aider ceux qui luttent encore avec leurs démons intérieurs. »
Pass the Hours de MorMor s’inscrit dans la lignée de Heaven’s Only Wishful, son premier EP, sorti cet été et acclamé par la critique. Entre balade pop et influences soul, la voix de Seth Nyquist nous entraîne dans un voyage onirique et rythmé.
Ce nouveau single est aussi l’occasion d’ annoncer sa tournée européenne en 2019 avec un passage par Paris à La Boule Noire le 25 mars prochain.
Quand on a écouté « Jalousie » d’Angèle, on a directement été inspiré pour faire un film de dans contemporaine, mettant en scène des Jalouses, qui s’observent à travers des jeux de miroirs complexes. On a fabriqué ces casques qui nous renvoient notre propre reflet quand on regarde d’autres visages. Et puis on a pensé à cet écrin parfait pour accueillir la chorégraphie, le siège du PCF designé par Oscar Niemeyer et ses murs vert forêt fantastiques. Tout allait être superbe. Et puis ensuite on s’est dit « Que va faire Angèle dans le clip ? » Bien sûr, avec sa folie et son audace habituelle, elle pris le lead, dynamité notre mise en scène et notre chorégraphie pour rendre le clip complètement déjanté. Neels Castillon & Léo Walk
En parallèle de ses concerts, Julien Granel écrit les titres de son premier album, pop à souhait, énergique et langoureux. En plus d’être auteur-compositeur et producteur, il s’adonne fréquemment à la réalisation en publiant sur ses réseaux sociaux ses fameux « Freestyle Pop » entièrement filmés, montés par ses soins.
EN PREMIÈRE PARTIE D’ANGÈLE
06.12 ANGERS LE CHABADA SOLD OUT
07.12 ANGOULÊME LA NEF SOLD OUT
08.12 ALENÇON LA LUCIOLE SOLD OUT
12.12 GRENOBLE BELLE ELECTRIQUE SOLD OUT
13.12 MONTPELLIER LE ROCKSTORE SOLD OUT
14.12 CHATEAURENARD SALLE DE L’ETOILE SOLD OUT
15.12 MARSEILLE LE MOULIN SOLD OUT
Quelques mois après la sortie de leur album, Bagarre sort du « CLUB 12345 » pour dévoiler le clip du banger féministe « Diamant ».
Véritable ode pop à la masturbation féminine, « Diamant », est devenu l’un des titres-phares du répertoire du groupe en concert, le mantra de la chanteuse Emmaï Dee étant repris en choeur par le public. Écrit et réalisé par Marion Dupas, à qui l’on doit récemment le très remarqué Dickmatized de Kiddy Smile, le clip met en scène une adolescente cherchant un plaisir solitaire sans cesse empêché. Cette quête commencée sur Youtube (sous les conseils de la youtubeuse Charlie Rano) s’achève sur l’« Olympe de la masturbation » où l’adolescente peut s’abandonner enfin, entourée des cinq membres du groupe…
Niki Demiller chante le blues du future, l’apocalypse des villes où le sexe est digital et l’amour informatique…
Fan de François de Roubaix, de science fiction et de bd dystopiques 70’s, ce Géo Trouvetou des temps modernes a écouté TC Matic, The Sparks et autres Talking Heads avant de se lancer dans un set de farfouillages soniques assidus.
Au menu de L’aventure : western pour cadres supérieurs et romances Bukowskiennes.
Gilles rend hommage à une figure des nuits parisiennes, Jenny Bel’Air, personnage hors-norme, transgenre et créature de la nuit et qui, à un moment donné, devient la star absolue du Paris branché des années 80…
Tourné le 5 novembre 2018 au Breakfast Paris.
Réalisé par Yann Morrisson
Stylisme Dimitri Rivière
Assistant de production Maxime Lemoine
Photographe Nicolas Wagner
A Paris, aux portes de la nuit Prénom Jenny Jenny, c’est elle et lui Descendue d’un taxi Elle travaille sur le trottoir Les yeux dans les phares Aux portes de la nuit
Jenny Jenny c’est quelqu’un d’important Elle fait entrer les riches et les pauvres en même temps Entre deux bodyguards Elle dit à Warhol et Dustan Passez devant
Jenny, c’est aussi Maxim’s et ses amis Du Nuage au Palace Des milliers d’insomnies Quand je ne dors pars Je pense à lui Jenny, c’est elle et lui Personnage de roman Que je lisais adolescent
Jenny Jenny, c’est quelqu’un d’important Elle fait entrer les riches et les pauvres en même temps Entre deux bodyguards Elle dit à Warhol et Dustan Passez devant Jenny Jenny, c’est quelqu’un d’intelligent Elle sait ce que c’est Le mariage pour les grands Le sida, les insultes Le sens de la lutte Droit devant
« Jenny », écrit par Ariel Kenig / Gilles et composé par Nicolas Subréchicot
Claviers / Programmations / Guitare : Nicolas Subréchicot
Claviers / Programmations / Guitare / Basse : Pierre Lavandon
Vertigo, le premier et très attendu album de Minuit, est disponible depuis le 19 Octobre 2018. Amour, amitié, solitude, ville, ailleurs, addictions, onirisme, sont autant de thèmes abordés dans cet opus et qui donnent le vertige… sensation décuplée par des rythmes, funk, disco, punk et une voix envoutante.
Surnommé le Soleil Noir de l’écurie Bromance, Ateph Elidja se lance enfin en solo. Premier éclat de son projet, le clip du titre Burn October en est la fidèle représentation, déjà primé grand gagnant 2018 des Yung Director Awards Cannes et nominé au UKMVA Best Cinematography in association with Panalux aux côtés de Childish Gambino, Sevdaliza et d’autres, ce clip bouleversant nous raconte l’histoire d’un père pris par la fureur de la vie après la mort de son fils. Vengeance, pulsions de vie et de mort, forces mystiques…
Burn October annonce l’aurore d’un Soleil Noir, à peine éclipsé, prêt à tout brûler sur son passage afin de ne préserver que l’essentiel. L’aube d’une nuit, laissant présager le grand tournant de l’année 2019, Ateph Elidja.
Après deux premiers singles merveilleusement clippés, Fangs Out et Sorry For The Carpet, le duo français Agar Agar nous a présenté le 28 septembre dernier son premier album The Dog & The Future, sur Cracki Records et poursuit sa tournée avec un stop sold out le 6 Décembre à L’Olympia.
Le disque oscille entre cœur grenadine, ciel des ombres, vapeurs de la terre, épilepsie mystique et cuir noir nihiliste de la blank generation.
Peluché est un trio pionnier du Trip Jam, un genre émergent qui fusionne latino, funk, psyché, soul et hip-hop. Un des sons britanniques les plus distincts et les plus novateurs du moment.
Greg Kozo est de retour avec son nouvel EP 9 Minutes. L’ex Make The Girl Dance revient aux racines de la musique électronique qu’il affectionne avec ce nouvel EP quatre titres inspiré par les mutations robotiques et la technologie moderne.
Ce jeudi 06 décembre, pour la 11ème édition des Soirées Concord, l’Hôtel de Crillon reçoit THE LIMIÑANAS de 22h30 à 2h. Pour rappel, chaque jeudi, l’Hôtel de Crillon accueille aux platines du bar Les Ambassadeurs une sélection de DJs et artistes de référence.
Bar Les Ambassadeurs – Hôtel de Crillon, A Rosewood Hotel
Tous les jeudis de 22h30 à 2h Entrée Libre
Tél. 01 44 71 15 17
10 Place de la Concorde
75008 Paris
Le regretté soulman américain Charles Bradley, disparu le 23 septembre 2017, aurait fêté ses 70 ans le 5 novembre 2018. Pour célébrer son extraordinaire vie et rendre hommage comme il se doit à la courte mais intense carrière du surnommé « Screaming Eagle of Soul », Daptone/Dunham Records sort Black Velvet, son album posthume.
Ce quatrième album regroupe raretés et inédits enregistrés au cours de ses différents passages en studio : « Can’t Fight the Feeling », « Fly Little Girl » et « I Feel a Change », issus de ses sessions les plus récentes ; le funky « Luv Jones » en duo avec son amie LaRose Jackson ; le psychédélique « (I Hope You Find) The Good Life » ; la version alternative (électrique) de son classique « Victim of Love » ; les brillantes reprises de « Stay Away » (Nirvana), « Heart of Gold » (Neil Young), « Slip Away » (Rodriguez) ; et la chanson-titre « Black Velvet », vibrant instrumental du Menahan Street Band taillé pour Charles mais sur lequel il ne posera finalement jamais sa voix…
CHARLES BRADLEY – Black Velvet
https://daptonerecords.com
(Daptone/Dunham Records – Differ-Ant)
J’ai cherché à travers cette video à rendre compte de corps libres et rythmés par leurs propres pulsions. Sweet sway évoque le désir et la jouissance, et célèbre ce territoire de fantaisie qui permet au collectif et à l’imaginaire de s’affirmer…
Voyou retrouve (pour notre plus grand plaisir) le vidéaste et illustrateur Vincent Castant pour son nouveau single, co-chanté avec Yelle, Les bruits de la ville.
Le génie fou derrière la web série « Ouais j’vois ouais » et la vidéo « Dans la radio » de Jacques met ici en scène Voyou et Yelle plongés dans un Paris de conte de fée. Laissant libre court à son imagination débridée.
Inspiré autant des perspectives impossibles de M.C. Escher, des inquiétantes manipulations architecturo- digitales de Stefan Larsson que de L’Apprenti Sorcier de Walt Disney, on y croise des escaliers qui descendent en haut, un métro aérien qui vole… et une Tour Eiffel jouant de la trompette.
VOYOU : Sortie de son premier album « Les Bruits de la Ville » le 15 Février sur Entreprise.
En live le 10 Avril à La Cigale (Paris) & en tournée en France
Entreprise / Also
A Nouveau Sauvages est le premier titre d’un EP réalisé par Raphaël d’Hervez (Pégase, Pongo, Minitel Rose) qui sortira en janvier prochain. Il fait suite à l’EP Tout Ira Bien sorti en avril. RAMO sera aux Bars en Trans jeudi 6 décembre.
Clip réalisé par Louisa CAO
Réalisation / Mix / Mastering par Raphaël d’Hervez @LaMaisonDuFutur
Après Regrets et First Fantasy, Saint DX revient avec I Still Care, un troisième single introspectif qui explore les recoins émotionnels d’une relation amoureuse. Comme un hommage à la soul de Sade, au New swing jack de Teddy Riley et aux métissages sonores de Massive Attack ou de Prince, Saint DX pose d’emblée le tempo d’une chanson langoureuse et érotiquement funk.
03/12 Bordeaux (1ère partie Charlotte Gainsbourg)
07/12 Bars en Trans, Rennes
09/12 Nantes (1ère partie Charlotte Gainsbourg)
10/12 Paris (1ère partie Charlotte Gainsbourg)
17/12 Metz (1ère partie Charlotte Gainsbourg)
« J’ai traversé des années très difficiles, comme la plupart du reste du monde – remplies de contrastes contradictoires d’incertitudes, de moments de tristesse suivis de révélations déchirantes, de vérités extatiques et d’espoirs heureux », explique Jussi Brighmore du groupe. « Devenir père à cette époque, penser au présent et à l’avenir à construire, a fait ressortir tout cela, intensément magnifié et amplifié. »
The Arrow parle des petites victoires qui réconfortent notre culture et empêchent toute action en faveur du changement, le mensonge de l’autonomisation et de la paranoïa est « l’arme offerte en cadeau ». Le titre se termine par un appel à prendre les armes pour regarder en soi et trouver l’arme nécessaire pour surmonter ce problème. « The Arrow » (« La Flèche ») se nomme ainsi parce qu’il vole en ligne droite ou en arc de cercle, mais jamais ne se répète ou revient en arrière – une métaphore appropriée pour Gum Takes Tooth eux-mêmes.
Tracklist Cold Chrome Hearts The Arrow No Walls, No Air Slowly Falling Apogee Borrowed Lies Dream Circle – Cloud Cycle Fights Physiology Seizure A Still Earth House Built of Fire
Le 6 Mars à Lille, l’Aéronef (w/ Usé)
Le 7 Mars à Paris, Badaboum (w/ Usé, Society of Silence)
Le 8 Mars à Tours, Le Temps Machine
GUM TAKES TOOTH – Arrow
(Rocket Recordings / Differ-Ant)
Sortie le 25 Janvier 2019
Si « Modern Addiction », leur premier effort aux 75 millions de streams, brillait par ses thèmes sombres et mélancoliques, ce second long format joue avec les contradictions qui construisent l’existence: l’isolement qui favorise les liens humains ou encore une promesse d’espoir amenée par le désespoir.
Cet album crépusculaire aborde sans détour les peurs, les doutes et les désirs de tout un chacun transformant les pensées nocturnes les plus sombres en un séduisant mélange de grooves electroniques, de synthés aériens et de riffs de guitare murmurés.
Loin de l’apparat de la cour, de son défilé de costumes et de toilettes et des contraintes de l’étiquette, une plongée sans commentaire dans un univers fabuleux fait de nuits en tourbus, séances de dédicaces, sueur sur scène, ennui dans les loges, composition dans les loges, vocalises et rigolade dans les loges…
Réalisé par Victor Hanotel, qui s’est immergé au péril de sa vie durant 6 jours de tournée dans les jupons du groupe parisien, ceci n’est pas un documentaire, ceci n’est pas une captation live, ce sont 15 minutes de moments de vie sans prétention et passionnants pour qui s’intéresse à l’envers du décorum impérial.
L’Impératrice en live, c’est près de 100 concerts entre 2018 et 2019… Dont L’Olympia à Paris : pas une fois, mais deux fois, les 29 et 30 janvier prochains. Qui font suite à deux Casino De Paris et une Cigale complets. C’est aussi deux concerts à New York City complets en avril dernier, une tournée US qui s’annonce amazing, une tournée en Allemagne qui s’annonce wunderbar, Bruxelles, Londres, et toute la France natürlich.
Cultivant sa nonchalance loin de la fainéantise, MOU manie avec une pointe d’humour les codes du rap et de la chanson française. Cuisinier à la ville, ce grand corps au coeur tendre, n’est pas un amateur de prise de tête. Ses épopées pop naviguent dans l’ère du temps, ajoutant son grain de sel à une génération française qui se joue des styles (Myth Syzer, Muddy Monk, Lewis OfMan ou Vendredi sur Mer).
EN LIVE AUX BARS EN TRANS LE 8 DÉCEMBRE (1988 CLUB) & RELEASE PARTY DE L’EP :
20 DÉCEMBRE AU POP UP DU LABEL (PARIS)
15 DÉCEMBRE AU PANNONICA (NANTES)
Bright Shadows est un condensé d’audace musicale, où l’improvisation côtoie une structure longuement façonnée, où une pop exigeante entraîne l’auditeur dans chaque morceau, comme autant d’aventures humaines. Enfin, « Contemplation » nous emmène au plus près de ce que vit Anne Paceo, au fil des rythmes comme des mélodies, offrant par là une conclusion idéale à l’invitation au voyage qu’est Bright Shadow
Anne Paceo
Nouvel album Bright Shadows
Disponible le 25/01/19 chez Laborie Jazz
En concert à Paris au Centquatre le 19/02
Respecté pour des projets allant du théâtre aux clubs, des concerts aux expériences audiovisuelles, Frieder Nagel a travaillé avec des artistes comme David August, ou Daniel Brandt (du trio Brandt Brauer Frick). Il monte pour la première fois, en 2016, sur la scène du prestigieux Radialsystem V de Berlin, armé de synthétiseurs, d’effets, de batteries, d’un grand piano et accompagné par l’Orchestre Symphonique Allemand (DSO). Ce grand début, salué par les critiques, ovationné par le public, et diffusé en streaming sur Boiler Room, a ouvert la voie à de plus amples collaborations avec la philharmonie de Essen ou le Festival Reeperbahn de Hambourg…
Tracklist
1. They Kept Walking / 2. Blossom / 3. Run / 4. Obey feat. Mima / 5.Evolve (live)
Tous les morceaux sont écrits, interprétés et produit par Frieder Nagel au Resonant Workshop à Berlin Chant par Stefanie Mikus-Marx aka Mima, saxophone sur le titre ‘They Kept Walking’ joué par Mark Wyand, batteries sur le titre ‘Run’ joué par Wolfgang Haffner
L’intérêt pour la cosmologie ancestrale latino-américaine a toujours traversé la musique du producteur équatorien Nicola Cruz. Son processus de création implique une recherche attentive des racines et des rituels vivants qui font partie de l’identité sud-américaine, ses origines andine et africaine en particulier, valorisant ses rythmes, ses traditions orales, ses instruments et l’énergie qu’ils transmettent. Son premier disque, Prender el Alma (2015) a exploré le développement de la conscience et de la spiritualité, ainsi que leurs liens avec la musique. Dans Siku, sa dernière production, Cruz poursuit cette exploration, élargissant ainsi sa vision vers de nouvelles histoires et d’autres cultures comme sources d’inspiration…
C’est par l’intermédiaire de Hermine Brooks, veuve du batteur de Detroit Roy Brooks, que le DJ et collectionneur new-yorkais Amir Abdullah a découvert l’existence d’un enregistrement public de Charles Mingus et son quintet à la Strata Concert Gallery de Detroit en 1973. Après une semaine de résidence au 46 Selden Street, maison de Kenny et Barbara Cox, et laboratoire du label Strata, durant le mois de février 73, Mingus conclut son séjour avec un concert électrisant devant une poignée de privilégiés ayant déboursé 6$ pour assister à l’événement.
La prestation du quintet sera immortalisée par le batteur/producteur Robert « Bud » Spangler pour WDET FM, une radio publique autrefois dédiée au jazz.
Au début des années 70, ses réflexions militantes, son génie et son caractère explosif l’ont déjà installé parmi les grandes figures de l’histoire du jazz, au même rang que ses compagnons de route Duke Ellington, Bird, Dizzy, Max Roach…
Quelques mois seulement après la sortie du chef d’œuvre Let My Children Hear Music (album dont Mingus est le plus fier), l’auteur des monuments Blues & Roots, Oh Yeah et Black Saint & The Sinner inscrit cette performance dans la série des Jazz In Detroit de la maison Strata (à laquelle ont aussi participé Keith Jarrett et Herbie Hancock).
Grâce à BBE, 180 Proof Records, Strata Records et WDET-FM, nous voilà à Détroit en 1973, pour une démonstration – de plus de quatre heures, dans un cadre intimiste – de l’énergie furieuse et de la sophistication de l’œuvre du maître Mingus.
1. Pithecanthropus Erectus, Pt. 1
2. Pithecanthropus Erectus, Pt. 2
3. The Man Who Never Sleeps
4. Peggy’s Blue Skylight
5. Introduction by Bud Spangler / Celia
6. Celia (continued)
7. C Jam Blues, Pt. 1
8. C Jam Blues, Pt. 2
9. Orange Was the Color of Her Dress, Then Blue Silk
10. Dizzy Profile
CHARLES MINGUS
Jazz in Detroit/Strata Concert Gallery/46 Selden
(BBE / 180 Proof Records / Differ-Ant)
Wichita Lineman est un classique écrit par Jimmy Web, chantée Glenn Campell et par un très grand nombre d’interprètes prestigieux au fil du temps. Cette version de Johnny Cash nous donne l’occasion de rendre hommage à la chanson et à cet artiste hors du commun.
I am a lineman for the county. And I drive the mainroad. Lookin’ in the sun for another overload.
I hear you singing in the wire. I can hear you thru the whine. And the Wichita Lineman, is still on the line.
I know I need a small vacation. But it don’t look like rain. And if it snows that stretch down south, won’t ever stand the strain.
And I need you more than want you. And I want you for all time. And the Wichita Lineman, is still on the line.
« Il existait jadis en Orient un ordre d’un sectaire redoutable, commandé par un Cheikh qui prenait le titre de vieux de la Montagne… » Les premiers mots donnent d’emblée le diapason d’un album aux confins de l’extase paradigmatique. Et le chœur d’entonner un mot d’ordre hallucinatoire : « Hachich, hachich, hachich… »
À la manœuvre et au micro, une première, Philippe Cohen Solal, fondateur du label Ya Basta qui fut dès le début des années 1990 aux avant-postes de la musique électronique . On l’a connu artiste et producteur aux manettes de nombreux projets, Gotan Project et The Moonshine Sessions notamment. Le voici donc en maître de céans d’une cérémonie aux parfums d’inédit. La bande-son du Club des Hachichins, référence à une société secrète initiée par le docteur Jacques-Joseph Moreau, qui réunit de 1844 à 1849 en son sein Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Honoré Daumier, Eugène Delacroix, Gustave Flaubert, Alexandre Dumas, Gérard de Nerval et Honoré de Balzac…
Pour info, le festival Paris Music a offert à Philippe Cohen Solal de Gotan Project une carte blanche de 4 jours à l’Hôtel de Lauzun du 16 au 19 Mars dernier
Lyrics :
As-tu quelquefois respiré
Avec ivresse et lente gourmandise
Cet encens qui remplit une église,
Un sachet de musc invétéré ?
Charme profond, magique, dont nous grise
Le présent le passé restauré !
et l’amant sur un corps adoré
Du souvenir cueille la fleur exquise.
Le parfum, le parfum, le parfum
Le parfum, le parfum, le parfum, le parfum (x 2)
De ses cheveux élastiques et lourds,
Vivant sachet, encensoir de l’alcôve,
Une senteur montait, sauvage et fauve,
Des habits, mousseline ou velours,
Tout imprégnés de sa jeunesse pure,
Se dégageait un parfum, un parfum de fourrure.
Le parfum, le parfum, le parfum
Le parfum, le parfum, le parfum, le parfum (x 2)
L’histoire de Ben Harper et Charlie Musselwhite racontée par la légendaire Mavis Staples, une nouvelle vidéo tout en animation qui entrelace magnifiquement leurs influences musicales et leurs histoires
Harper a grandi dans la banlieue de Los Angeles où sa vie gravitait autour du magasin de musique de ses grands-parents « The Folk Music Center and Museum » souvent fréquenté par Leonard Cohen et Taj Mahal, tandis que Charlie prospérait sur la scène blues de Memphis et de Chicago (Muddy Waters, Howlin ‘Wolf…). Plus tard, John Lee Hooker présenta Musselwhite et Harper l’un à l’autre et en 2013 sortait leur première collaboration, l’album au Grammy Awards « Get Up! »…
Réalisé par Piotr Kabat
Voix off Mavis Staples
Script de John Albert
Son Elliot Thompson
NO MERCY IN THIS LAND
https://nomercyinthisland.com
ANTI | [PIAS]
Après un 1er album éponyme, POWERFLO Billy Graziadei (BIOHAZARD) et Sen Dog (CYPRESS HILL), dévoile un nouvel EP Bring That Shit Back ! sur le label New Damage Records
Au programme, deux nouveaux morceaux : « Get Up, Stand Up », reprise survitaminée de l’un des morceaux les plus connus de Bob Marley, et « Bring That Shit Back », court titre punky d’à peine plus d’une minute. « Where I Stay » et « The Grind » bénéficient eux de trois remixes différents, tantôt hip-hop, jungle et indus. Projet totalement crossover, les deux protagonistes principaux de POWERFLO évoluent chacun de leur côté dans le hardcore et le hip-hop, donnant à cet EP toute légitimité dans leur discographie naissante.
Tracklisting :
1. Get Up Stand Up
2. Bring That Shit Back
3. Where I Stay (Dlow remix)
4. Where I Stay (Hallucinator remix)
5. Where I Stay (Vigilante remix)
6. The Grind (Niveau Zero remix)
7. The Grind (Big Brother 84 remix)
8. The Grind (Viral remix)
Après plus de 1000 concerts lors de 5 tournées mondiales, Ibrahim Maalouf devient le premier jazzman de l’histoire à remplir la plus grande salle de concert de France. En effet, Ibrahim fait un concert historique le 14 Décembre 2016, affichant complet plus de huit mois avant, au AccorHotels Arena de Paris, Bercy.
Quelques mois plus tard, Ibrahim crée la surprise. Qualifié de « Virtuose » par le New York Times, Ibrahim Maalouf se produit lors d’un concert phénoménal au Kennedy Center de Washington DC pour la création mondiale de son album Levantine Symphony No.1, en collaboration avec la New Levant Initiative. L’album est sorti le 14 septembre 2018, et précède les 3h30 de DVD Live du concert de Paris – Bercy – à paraître le 16 novembre 2018. http://bit.ly/2Nb2XvE
Artistic director & executive producer: Ibrahim Maalouf
Guitar: François Delporte
Drums: Stéphane Galland
Keyboards & Fender Rhodes: Eric Legnini, Frank Woeste
Electric Bass: Antoine Guillemette
¼ Tone Trumpets: Youn Kamm, Martin Saccardy, Yann Martin
Lenny Kravitz traverse les époques au rythme de son coeur. Dire que le temps n’a pas de prise sur cette authentique icône du rock est un euphémisme. Sa fougue juvénile semble éternelle. Son message d’amour entonné dès Let Love Rule en 1989 continue d’être, pour notre plus grand plaisir, son inaltérable leitmotiv. En ce sens, Raise Vibration est un florilège d’émotions, parfois subtiles, parfois brutes. Un album habité par l’Esprit de ses âmes soeur : Michael Jackson, Prince, Johnny Cash, qui s’expriment à travers son chant ou ses instruments : guitare, basse, piano, bongos, glockenspiel, synthé, piano électrique, sitar, kalimba et bien d’autres.
Low incarne parfaitement cette idée. Lenny ou son double féminin seul.e derrière les fûts frappe symboliquement de toutes ses forces sur les préjugés, l’attentisme, le mutisme de nos contemporains et pour donner un surcroit de puissance au propos, les choeurs sont l’oeuvre de Michael Jackson, fruit d’un vieil enregistrement collaboratif qui s’incorpore parfaitement dans cette mélopée.
It’s Enough est un encouragement à revendiquer notre droit à un monde meilleur, sans racisme, sans guerres, dans le respect d’une nature essentielle, primitive, véritable.
5 More Days Til Summer est une célébration de la vie, sur un air pop, joyeux et doux comme Prince savait si bien le faire…
Derrière la beauté d’une chanson se cache parfois une tragédie. Johnny Cash et sa compagne June Carter furent une présence réconfortante pour Lenny lorsqu’il apprit le décès de sa mère. Ce titre hommage fait désormais figure de classique dans son répertoire…
Raise Vibration est un bon album, sincère, touchant, qui sera tout autant apprécié des fans que des néophytes. Cependant, la magie de Lenny Kravitz opère plus encore sur scène, son véritable élément. Alors, si une occasion se présente à vous, ne la manquez pas et allez vibrer à l’unisson de l’une des dernières Rock Star
Tracklisting
01 We Can Get It All Together
02 Low
03 Who Really Are the Monsters?
04 Raise Vibration
05 Johnny Cash
06 Here to Love
07 It’s Enough
08 5 More Days ‘Til Summer
09 The Majesty of Love
10 Gold Dust
11 Ride
12 I’ll Always Be Inside Your Soul
NOVA LA NUIT… Depuis la création de la radio, la programmation nocturne de Nova est un espace de liberté totale, sans concession, et surtout hors format… Aujourd’hui, la nuit s’écoute en un coffret de près de 100 titres : 6 CD représentant chacun une heure de la nuit, de minuit jusqu’à l’aube, pour sublimer vos rêves et accompagner vos réveils. Un voyage onirique à travers les époques, pour une expérience musicale unique et cosmique.
DANS CE VOLUME… Entre autres, Sun Ra, Jacques Higelin, Sly & The Family Stone, Madvillain, Fat Freddy’s Drop, Pierre Barouh, Curtis Mayfield, Brigitte Fontaine, Catastrophe, Hugh Masekela, Etienne Jaumet, Alton Ellis, Forever Pavot, James Brown, Ray Barretto, Nosaj Thing, JeanJass, Philippe Sarde, Francis Bebey, et beaucoup d’autres.
Coffret Nova la Nuit • Nova Records | Wagram
Disponible aujourd’hui en 6 CD & DIGITAL • près de 100 titres
https://shop.novaplanet.com/12-musique
Disque : 1
1. Public Enemy #1, Pt. 1
2. To Love
3. Palmiers en pots
4. Bani
5. Troupeau bleu
6. Survivor
7. ’93 Til Infinity
8. Sylvia
9. Midnight Marauders
10. Camping Jazz
11. Liberty
12. The Big Apple
13. Pink (feat. Lossapardo)
14. Always Something
15. Dreaming
Disque : 2
1. Don’t Mind Me (feat. Whoarei)
2. C’est normal
3. Chamber Dub
4. Ju Ju Man
5. Dish Washing
6. Gynephobia: Naked
7. Las Vegas Tango
8. Why Are We in Love
9. Deixa A Gira Girar
10. Nothing Sacred
11. En vadrouille à Montpellier
12. Mae Kha Som Tam
13. Saturn’s Lecturn (DM Tea)
14. My Dream
15. High Noon
Disque : 3
1. Nzala Urugu
2. Prison Song
3. La visite
4. Uknowhowwedu
5. Brigantes
6. In Rhythm
7. Slow Down
8. Lamuka
9. Mystic Brew
10. Terazzo (feat. Motion Graphics)
11. Sfarot
12. Back in the Pit
13. Les cordes
14. O Elefante
15. La chanson d’Hélène
Disque : 4
1. Candy Shoppe
2. Sad Nile (feat. Hailu Mergia)
3. L’innocence
4. Don’t 1 2 Lose U
5. Black Boy Meets World
6. The Makings of You
7. The Pathways of Our Lives
8. Je suis un sauvage
9. Risaie
10. Tongos’a
11. Liberty
12. Nine Years
13. Blue Moon
14. Alteleyeshegnem
15. Hana
Disque : 5
1. Tia
2. You Know You Know
3. Hypocrite
4. Blackman’s Word
5. Undulation
6. Fantasia Part. 1
7. Bed of the Cylinder Three Concentric Zones (Sutekh Remix)
8. Je suis mort qui, qui dit mieux
9. Rhinestone Cowboy
10. Samuel
11. Family Affair
12. Forest Nativity
13. 4D
14. Trouble so Hard
15. Meltdown
16. It Breaks
Disque : 6
1. Le premier bonheur du jour
2. Test Patterns
3. Get Me to the Station
4. Every Day Is Like a Holiday
5. Strings of Light
6. Koo Koo
7. Mes jambes
8. Sesi
9. Why Can’t We Live Together
10. Ffwwuu
11. L’amitié
12. Tudo Começa De Novo
13. Salt
14. Du fond de mon lit
15. Public Enemy #1, Pt. 2
Le festival niché sur la presqu’île du Malsaucy s’illustre une nouvelle fois comme le miroir de son époque, réunissant au cœur d’une programmation bouillonnante : prochaines révélations internationales et artistes les plus influents du moment.
Les premiers noms de la programmation sont annoncés : THE CHAINSMOKERS SLASH SUPREME NTM CHRISTINE AND THE QUEENS JAIN STRAY CATS WEEZER PARKWAY DRIVE INTERPOL JOHN BUTLER TRIO $UICIDE BOY$ ANGELE PETIT BISCUIT ROMEO ELVIS COLUMBINE IDLES JEANNE ADDED
Chris Cornell de Soundgarden et Chester Bennington de Linkin Park ont rejoint la longue et tragique liste des disparus volontaires ou involontaires qui ont marqué et continuent de marquer l’histoire de la musique. Entre disserter pendant quelques longues et pesantes phrases sur le grunge et le nu métal ou écouter de la bonne musique pour leur rendre hommage ont va privilégier la deuxième option et simplement souhaiter un great gig in the sky pour celles et ceux qui peuplent les cieux.
La Thune » est une chanson que j’ai écrite il y a quelques mois. Je remarquais à ce moment là, le rapport étrange que l’on peut avoir avec les réseaux sociaux, cette idée de se montrer, de manière superficielle, toujours dans son plus bel élément et toujours seul face à son écran… Le dernier couplet du titre raconte en fait que toute la chanson est une auto-critique un peu exagérée.. Je prend beaucoup de distances avec les réseaux, mais je dois admettre que ça fait entièrement partie de mon métier. D’où l’importance d’en écrire une chanson pour en rappeler les dangers (narcissisme, solitude, comparaison,…)
Quand le réalisateur Aube Perrie, m’a envoyé le premier moodboard du clip, je me le suis figuré tout de suite, l’histoire générale, le visuel, le stylisme, j’aimais cette idée d’en faire un clip cinématographique. Le très grand nombre de références appuie cette idée de faux »
« La Thune parle de notre relation aux réseaux sociaux et par extension au monde qui nous entoure. Avec l’humour qui la caractérise si bien, Angèle se met dans le même sac que tout le monde et s’amuse de sa génération. La Thune ce n’est pas une critique vive des réseaux et smartphones, c’est de l’autodérision par rapport à nos comportements. Angèle sait qu’elle est la première à jouer ce jeu. Pour clipper le morceau, je me suis amusé à imaginer et construire le film exactement comme une photo Instagram, comme on fabrique sur les réseaux un miroir de sa vie qui reflète une image biaisée, factice, fantasmée. Pour pousser à fond le concept, je me suis inspiré de ces vidéos de gens qui filment à tout prix devant une situation dangereuse à la recherche de vues. Imaginer qu’on puisse sortir son smartphone pendant un braquage me semble délirant mais m’apparaît probable, possible, aujourd’hui. Jouer avec la réalité d’Angèle qui interprète son vrai-faux propre rôle de fille qu’on reconnaît partout. Inviter dans le film uniquement de vraies followers au top toutes castées via les pages d’Angèle qui sont venues kiffer autant que nous. »
« Brutalisme » est le premier extrait du nouvel album de Flavien Berger, « Contre Temps », à sortir à l’automne 2018. Nouveau voyage dans le temps, nostalgie d’un amour d’été, souvenir d’un amour éternel, « Brutalisme » est une ode en suspension, en légèreté, en proximité.
« C’est l’hiver je suis au Mexique pour faire des concerts, le soleil, le sel et l’alcool m’ont brulé la peau. Je finis mon voyage à Acapulco, la ville est brutale, elle sent le cuivre et le citron vert. Le béton se dresse face à l’océan, certains plongent des falaises et les autres retiennent leur souffle.
Sur la plage entre la mer et les preneurs de soleil, des quads traversent le paysage à grande vitesse, ils laissent derrière eux des trainées meurtries dans le sable gris encore humide. Au milieu de tout ce que je vois, je songe à écrire une chanson sur un couple qui s’aime et qui se dit au revoir comme si c’était la dernière fois; l’un depuis un avion regarderait l’autre lui écrire des mots d’amour, à son échelle, sur le sable.
Une chose minuscule brille dans le sable, je la ramasse, c’est une amulette coquillage, vestige oublié du règne cosmique du grand Rey Pakal, j’ai un vertige, une voix s’adresse à moi : « stay off the juice flav », c’est Simone, qui est aussi au Mexique, nous avons joué dans le même festival. Je lui parle de ma future chanson ça lui donne des idées… » Flavien Berger
Même après un hiatus de 20 ans, leur influence se fait encore ressentir. Notorious B.I.G., NWA, A Tribe Called Quest, Dr. Dre, Snoop Dogg et de nombreux autres ont samplé leurs intemporels morceaux. C’est dans ce son, créé dans le East Harlem des 70s, quel le hip-hop puise ses premières racines.
The Last Poets, composés d’Abiodun Oyewole et Umar Bin Hassan, sont de retour avec un album sans concession, motivés par la récente accession au pouvoir de Donald Trump.
‘Understand What Black Is‘ est aussi puissant que son titre le laisse entendre : ces dix titres sont inondés de trompettes, de saxophones, de mélodies à la flûte, et de beats reggae, tandis que les poètes chantent des éléments de la diaspora afro américaine sans jamais perdre le rythme.
1 Understand What Black Is
2 North East West South
3 How Many Bullets
4 She Is
5 What I Want To See
6 Certain Images
7 The Bridge
8 We Must Be Sacred
9 Rain Of Terror
10 The Music
On attendait avec impatience le retour de la french impertinence, du choc du son et du poids de la vidéo, The Supermen Lovers assomme le game, mais pire encore, l’artiste bien inspiré, s’est permis de livrer à Technikart une itv de toute trashtée que j’aurai bien évidemment adoré faire … technikart.com/le-retour-trash-de-the-supermen-lovers il ne nous reste qu’à écouter, à regarder et à guetter la prochaine opportunité pour recueillir la semence verbale de Guillaume Atlan !
The Supermen Lovers – Clock Sucker, réalisé par Maxime Baudin.
« Paris, Paris, tu n’es pas comme au cinéma… » Pour l’un des titres phares de l’album Matahari, un clip hommage magistralement réalisé par Clémence Demesme. Ode à la ville lumière et au 7ème art, aux références multiples qui se découvrent après plusieurs visionnages (Pulp Fiction, Twin Peaks, L’enfer…). Avec en guest, une apparition surprise de Marina Foïs… Une vidéo comme un écho à cette citation de Marylin Monroe : Dreaming about being an actress, is more exciting then being one.
J’entends les murmures de la ville Que la nuit a mise à nu Le fracas des automobiles qui filent Juste un instant s’est tu
Dans la brume électrique elle dort Sans dessous dessus Et son corps encore inconnu Laisse entrevoir
Son coeur qui cogne un peu plus fort Toutes ces couleurs qui courent encore Est-il trop tôt, est-il trop tard ?
C’est comme une fille qu’on embrasse Mais qu’on ne voit jamais de face Le refrain sans accords Des sirènes du soir
C’est comme une fille qu’on embrasse Mais dont le souvenir s’efface Dites moi si je sors Du rêve, du cauchemar
Paris, parie avec moi Quitte à essayer cent fois Paradis ou pas sous les pavés je te vois
Oh pari perdu avec toi Qui voudrait d’une vie comme ça ? Paris tu n’es pas comme au cinéma
Elle ouvre les yeux sans efforts Se lève d’un seul coup Et nous recrache par milliers Sur ses Grands Boulevards
Fille noctambule fan de l’aurore Femme de la nuit multicolore Mais tes matins restent noirs
C’est comme une fille qu’on embrasse mais qu’on ne voit jamais de face le refrain sans accords des sirènes du soir
C’est comme une fille qu’on embrasse Mais dont le souvenir s’efface Dites moi si je sors Du rêve, du cauchemar
Paris, parie avec moi Quitte à essayer cent fois Paradis ou pas Sous les pavés je te vois
Oh pari perdu avec toi Qui voudrait d’une vie comme ça ? Paris tu n’es pas Comme au cinéma
Canine montre les crocs avec ce titre somptueux, accompagné d’une vidéo onirique…
The forest is dark but the moon is clear
My feet move, I fly silently I know my aim, the night’s game
All the same it can happen
My night research prevents the sweet heat from wrapping myself, supporting my feet
I raise my head, laugh at shame, then I proclaim our new flame
And I swallow my tears and my short-lived hopes
I reclaim my twin shadow, the one who doesn’t want to glow
And I wallow in self pity which I know
Despondency is so close
I follow a road, I can’t go
My heart beats so that I can hardly speak
Even if I leave, I won’t find the creek
Near to the sea, the birds sing their lovely words and our hymn
It will storm and blow all night, I hear the wind
The forest is wild and calms my feelings
It breaks my chains, and explains that anyway, it will happen
And I swallow my tears and my short-lived hopes,
I reclaim my twin shadow, the one who doesn’t want to glow
And I wallow in self-pity which I know
Despondency is so close I follow a road, I can’t go
My own sway goes astray, all the way my wish fails
No way but just the wait, when will I get there?