Quizz of The Day

5 Questions Futiles pour joueurs décadents. Réponses superficielles encouragées.
Dans le roman de Flaubert, Mme Bovary se prénomme ?
A Jeanne
B Viola
C Flora
D Emma
3 Vous préférez une montre :
A Rolex
B Vacheron Constantin
C Jaeger leCoultre
D Flick Flack
Qui a composé l’or du Rhin ?
A Robert Wagner
B Richard Wagner
C Wagner Love
D Jean Michel Jarre
Bernardo essaye laborieusement de dire quelque chose à Zorro, quoi ?
A Le poisson est mort
B Sa braguette est ouverte
C Sa bras guette est toute verte
D Il faut sauver le soldat Ryan
Quel mot d’argot ne désigne pas les seins ?
A Les roberts
B Les grisbis
C Les totoches
D Les amortisseurs

Sky Gamblers: Air Supremacy

Les claques visuelles arrivent sur le nouvel Ipad

Sky Gamblers: Air Supremacy se pose en nouvel étalon du jeu sur téléphone portable, tirant plein avantage du nouvel affichage de l’écran Retina et des graphiques Quad-core du nouvel iPad, tout en intégrant les toutes dernières fonctionnalités d’iOS, afin que vous puissiez vous plonger dans toutes sortes d’environnements riches en détails et d’une qualité équivalente à ceux qu’offre une console de jeu, auxquels s’ajoutent les effets de météorologie ainsi qu’un système de particules avancé. En plus de cette pléthore d’embellissements, le titre fonctionne avec les classements du Game Center et inclut plus de 30 succès à collecter. Aux commandes de ces appareils modernes, vous serez plongé au cœur du combat, là où les balles frappent votre carlingue, où la pluie brouille votre vision et où le fracas de la guerre vous engloutit. L’incroyable expérience visuelle et sonore qu’offre Sky Gamblers: Air Supremacy en fait un titre indispensable pour tous ceux qui jouent sur le nouvel iPad, l’iPhone ou l’iPod touch. itunes.com/appstore

General Idea

General Idea était un collectif de trois artistes canadiens (Felix Partz, Jorge Zontal et AA Bronson), actif de 1967 à 1994. En tant que pionniers de l’art conceptuel et utilisant les médias, leur collaboration devint un modèle pour les activités initiées par des artistes et continue d’avoir une influence majeure sur les générations suivantes d’artistes. Travaillant au départ à Toronto, de 1986 à 1993, ils partagèrent leur temps entre Toronto et New York avant de retourner à Toronto pour leurs derniers mois de vie commune. L’œuvre de General Idea habite et subvertit les formes de culture populaire et médiatique, y compris les concours de beauté, les boutiques, les émissions de télévision, les pavillons de foire et les médias de masse.

Leur travail était souvent présenté sous des formes non conventionnelles telle que des cartes postales, des impressions, des posters, du papier peint, des ballons et des pins. De 1987 à 1994, leur travail aborde la crise du Sida, sous la forme de quelques 75 projets temporaires d’art publique. Leur installation majeure, « One Year of AZT/One day of AZT » fut présenté en tant que projet au Muséum d’Art Moderne et fait maintenant partie des collections de la National Gallery of Canada. En 2006, les 3 pilules gonflables géantes, issues de leur œuvre « PLA©EBO » (1991) furent exposée durant la Nuit Blanche de Toronto.

Après avoir publié le magazine FILE pendant 2 ans et avoir amassé une grande collection de livres d’artistes, General Idea fonda le Art Metropole en 1974, un espace à but non-lucratif dédié à l’art contemporain sous tous ses formats : livres d’artistes, médias vidéos, audios et électroniques. Les rétrospectives de l’œuvre de General Idea contiuent de voyager en Europe et en Amérique du Nord. « General Idea Editions : 1967-1995 » fut exposé au Centro Andaluz de Arte Contemporaneo de Séville en Espagne du 30 janvier au 1er avril 2007 et comprenait une re-création de leurs installations « Magic Bullet » et « Magic Carpet », ainsi que leur installation majeure « Fin de Siècle ». Avant cela, « General Idea Editions : 1967-1995 » fut exposée au Andy Warhol Museum à Pittsburgh, au Munich Kunstverein, au Kunstwerke de Berlin et à la Kunsthalle de Zurich en Suisse. General Idea a été exposé aux biennales de Paris, Sydnez, Sao Paulo et Venise, ainsi qu’à la Documenta 10 de Kassel en Allemagne. Partz et Zontal sont tous les deux morts du SIDA en 1994. Bronson continue de travailler et d’exposer en tant qu’artiste indépendant et est actuellement le directeur de Printed Matter, Inc. à New York. Les archive de General Idea résident à présent à la bibliothèque de la National Gallery of Canada.

Spiga2, the first multi-brand store from Dolce&Gabbana

“We wanted to create a new, special place, unique in the world. With this project we give the emerging designers we have handpicked from all over the world visibility, offering them a real opportunity. What happens there, happens only there and in this very moment in time. Now more than ever before, what matters to us is finding the balance between ethics and aesthetics.” Domenico Dolce and Stefano Gabbana Spiga2, the first multi-brand store from Dolce&Gabbana, is unveiled. Not only a store, but a meeting place where one can constantly get involved. The different cultures dissolve to create an innovative aesthetic language, where tradition looks to the future and fashion meets technology, and where one can live the hospitable and warm ambiances of yesteryear’s village shops. A space that wants to open up to the young generations and to become a place of conversation, where it is possible to surf the net, share contents and take part almost actively in the shop’s very own activities. The young designers’ collections, personally handpicked by Domenico Dolce and Stefano Gabbana, mix with the Dolce&Gabbana accessories collections. It becomes an exclusive window for fashion’s new names, a very real opportunity to give more visibility to fashion’s future protagonists and to their creations. The selection is in constant transformation, and it just goes to show how much this space is certain to last and is going to be a feature of its time.

The Big Swap

Pour ce week-end prevu a la campagne, Julian, Jack, Michael et Hal, quatre amis de longue date, arrivent chacun accompagne de leur promise. La maison est suffisamment vaste pour accueillir les quatre couples ainsi que Sydney, une jolie celibataire. La soiree en groupe commence au coin du feu, chacun y allant d’une bonne plaisanterie. L’alcool aidant, ils decident, comme s’il s’agissait d’un jeu, d’echanger leurs partenaires. The Big Swap n’est pas un chef d’oeuvre mais il a le mérite d’exister, car les films qui abordent de façon ‘théorique’ ce sujet ne sont pas nombreux… On retiendra également Peindre ou faire l’amour ou dans un registre plus léger, 7 ans de mariage.

Annie Leibovitz

Anna-Lou (Annie) Leibovitz (née le 2 octobre 1949 à Westport, Connecticut, États-Unis) est une photographe américaine. Elle est spécialisée dans les portraits de célébrités. Son style est caractérisé par une collaboration étroite entre le sujet et le photographe. Annie Leibovitz est devenue célèbre alors qu’elle travaillait pour le magazine Rolling Stone de 1970 à 1983. En 1975 elle suit la tournée des Rolling Stones. Depuis 1983, elle est photographe au magazine Vanity Fair. En 1991 elle expose à la National Portrait Gallery de Washington. Sa puissance d’invention créative lié à un sens inné d’une mise en scène sans faille, mettant toujours en avant un détail lié à la vie propre du personnage ou à son actualité publique du moment, fait d’elle la femme photographe la plus cotée…

CURRY D’AGNEAU, RIZ MADRAS

1,2 kg d’épaule d’agneau désossée –350 g de riz – 2 gousses d’ail – 3 oignons – 2 tomates – 80 g de noix de coco râpée – 40 cl de lait de coco – 30 g de raisins secs – 30 g d’amandes effilées – 2 bouquets garnis – 1 cuillère à soupe de farine – 30 g de beurre – 4 cuillères à soupe d’huile d’olive – 2 cuillères à soupe de curry – sel, poivre. Faites revenir 2 oignons émincés dans 1 cuillère à soupe d’huile. Réservez. Colorez à la place la viande en cubes avec le reste d’huile à feu vif.  Saupoudrez de curry, de farine et remuez 1 min. Ajoutez les tomates concassées, le lait de coco, l’ail pressé et un bouquet garni. Salez et laissez mijoter 50 min à couvert. Entre-temps, préchauffez le four à th. 6-7 (200 °C). Mesurez le volume du riz et portez à ébullition deux fois son volume d’eau. Faites suer le dernier oignon ciselé avec le beurre, le riz et 60 g de noix de coco. Versez l’eau bouillante, salez, poivrez, ajoutez les raisins secs et un bouquet garni. Couvrez d’un papier sulfurisé et d’un couvercle, enfournez pour 16 à 18 min. Laissez reposer le riz 5 min avant de l’égrener avec une fourchette. Disposez l’agneau dans un plat avec sa sauce, poudrez du reste de noix de coco. Accompagnez du riz parsemé d’amandes effilées grillées.

Travers de porc caramélisés et patates douces

2 kg de travers de porc – 4 grosses patates douces ou 8 petites – 1 bouquet garni – sel, poivre du moulin. Pour la marinade : 20 cl de sauce soja – le jus de 1 citron – 6 cuillères à soupe de miel liquide – 1 cuillère à soupe de paprika – 3 cuillères à soupe d’huile. Plongez les travers de porc dans un faitout d’eau bouillante poivrée, ajoutez le bouquet garni et laissez frémir 1 h 30. Dans le même temps, faites cuire les patates douces à l’eau frémissante salée 35 à 40 min jusqu’à ce qu’elles soient tendres. Préparez la marinade : dans un bol, émulsionnez à la fourchette le jus de citron, la sauce soja, le paprika, le miel, l’huile et un peu de poivre puis réservez. Préparez le barbecue. Egouttez les patates douces, faites des papillotes en les enveloppant dans de l’aluminium et réservez. Egouttez les travers, badigeonnez-les entièrement de marinade, couvrez d’un film plastique et laissez-les mariner 30 min. Mettez les papillotes dans la cendre et faites cuire vos travers pendant 15 à 20 min sur la grille du barbecue en les retournant toutes les 5 min. Préparation : 20 min. Marinade : 30 min. Cuisson : 1 h 50. Accompagnez les patates douces de crème fraîche salée et poivrée, et de gingembre finement râpé.

"Picture me", le docu-journal du top model Sara Ziff

« Rien ne peut vous arriver si vite, si facilement, sans un retour de bâton », annonce le top model Sara Ziff à l’ouverture de son docu-journal « Picture me », qui porte un regard lucide sur les coulisses, à la fois glamour et sordides, du petit monde de la mode. Repérée dès l’âge de 14 ans dans les rues de New York, comme dans les contes de fées pour adolescentes, la jeune Américaine a été filmée par son petit ami, Ole Schell, sur une période de cinq ans quand elle faisait la une des magazines et défilait sur tous les podiums. Inconnue au premier regard, on finit par l’identifier tant on l’a vue sous toutes les coutures dans des publicités. La transformation de ce visage est d’ailleurs saisissante tout au long du film : on a beau savoir que maquillage et retouches font merveille, il reste difficile de relier ce visage nu, sans fard, à celui des photos survitaminées des magazines. Devant un énorme panneau publicitaire, pour lequel elle a posé et qu’elle découvre dans les rues de New York, Sara remarque d’ailleurs : « C’est curieux, je ne me vois pas du tout comme cette fille ».

D’avion en aéroport, de podiums en passerelles, passant d’un coiffeur à un maquilleur, la jeune fille croit vivre d’abord un rêve éveillé. Des séquences entières sont consacrées aux premiers chèques à multiples zéros qu’elle reçoit avec incrédulité : la caméra fait des allers-retours entre le chèque, en gros plan, et son visage enfantin, tour à tour émerveillé ou choqué. Mais petit à petit, la chronique de ce quotidien, d’abord une sorte de jeu innocent consistant à filmer l’envers d’un décor féerique, dévoile sa part d’ombre. Anorexie, déracinement de mannequins de plus en plus jeunes, agressions sexuelles, drogue : les maux de cet univers sont bien connus mais Sara Ziff fait parler ses copines de défilés, qui confient, souvent des larmes dans les yeux, leurs anecdotes troublantes. Comme cette jeune fille de 16 ans qui pense retrouver l’équipe technique dans un jacuzzi en fin de journée, pour n’y trouver que le photographe quinquagénaire, nu. Ou cette autre qui observe, stupéfaite, le photographe se dévêtir en pleine séance photo alors qu’elle-même pose nue.

Sara Ziff donne aussi la parole à des collègues qui ne travaillent pas assez et se retrouvent endettées envers leur agence de mannequins, qui avance les frais pour leurs déplacements et hébergements. Au fil des plans, elle se demande, de plus en plus souvent, si elle doit continuer à exercer ce métier qui lui apporte succès et argent mais la rend de plus en plus malheureuse. Elle pleure, exténuée, incapable de se protéger des ravages d’une exposition permanente à tous les regards. Lors d’une scène poignante, où Sara est filmée à hauteur de visage dans sa baignoire, elle hoquette de rage et d’épuisement en racontant son altercation avec un photographe dans les coulisses d’un défilé. Alors qu’elle le prie de poser son boîtier pendant qu’elle se change, il la mitraille, ne tenant aucun compte de sa demande. Le sentiment de ne pas exister vraiment, le vertige d’être traitée comme un bel objet à la disposition des autres.

Hunter S. Thompson

Hunter Stockton Thompson est un reporter et écrivain américain, né en 1939 (certaines sources indiquent : 1937 du fait qu’Hunter a menti sur son âge pour pouvoir rentrer plus tôt dans une rédaction) à Louisville (Kentucky) et mort le 20 février 2005 à Aspen, Colorado. Hunter S. Thompson invente et développe le principe de journalisme gonzo, qui consiste en une enquête ultra subjective faite de récits à la première personne, de rencontres et de prises de drogues, tout cela combiné à une plume féroce et hallucinée, et à un fort engagement politique. Il est l’ami notoire de Oscar Zeta Acosta, leur relation inspirera la rédaction de Las Vegas Parano, récit déjanté d’une quête du rêve américain à travers la prise de substances hallucinogènes. Il débute une carrière de journaliste sportif en Floride. Il travaille ensuite plusieurs années en Amérique du Sud pour le National Observer, puis rentre aux États-Unis à cause d’une dysenterie. Il participe (en vain) à des élections dans le but de devenir le shérif de Pitkin County.

Il publie Hell’s Angels qui fait connaître ses méthodes et montre ce que sera le journalisme gonzo (ou en anglais gonzo journalism), même s’il finit cette expérience à l’hôpital après un différend avec les Hell’s Angels au sujet de droits d’auteurs sur le livre. L’adaptation au cinéma de Fear and Loathing in Las Vegas en 1998 (Las Vegas Parano en France), par Terry Gilliam, dans lequel Johnny Depp joue précisément le rôle de Raoul Duke, alter-ego de Thompson, le fait connaître du grand public. Il met fin à ses jours avec sa propre arme à feu à son domicile d’Aspen le 20 février 2005.

Los Feliz

Loz Feliz est surnommé The Hills par ses résidents, l’élite de L.A (Stars et JetSociétaires). D’ailleurs son code postal 90027 est considéré comme un des plus hype des USA. Vue imprenable sur la ville ou sur Griffith Park, Ennis House édifiée par Frank Lloyd Wright ou encore le Greek Theatre, bref à moins d’être un gros plouc vous vous devez d’acquérir une propriété dans ce petit patelin enchanté. En savoir plus http://www.ennishouse.org http://www.losfelizvillageonline.com

Street Art

Le Street art ou ‘art urbain est un mouvement artistique contemporain. Parfois remplacé par post-graffiti, ce terme regroupe les artistes de rue qui utilisent l’affiche, le sticker, le pochoir, mais aussi la peinture et les installations dans l’espace urbain. Ces artistes ont en commun une activité (illégale ou non) d’interventions urbaines. La principale distinction avec le graffiti « traditionnel » (ou hip-hop, tel qu’il est né aux Etats-Unis) est que les street-artistes n’ont pas systématiquement recours à la lettre (comme c’est le cas dans le writing américain) et à l’outil aérosol. Les buts sont variés : comme celui du graffiteur montrer un nom, ou dans le cas du street art une image, d’autres ont des intentions plus politiques. La plupart veulent simplement que leur art soit vu du public, et pouvoir s’exprimer.

Mort sur le Grill

A ne pas confondre avec Mort sur le Green un très mauvais film d’horreur à reserver aux ultras initiés. Mort sur le Grill est un film absolument génial de Sam Raimi. Par une nuit d’orage, a Denver, Colorado… Vic Ajax, le heros, va se mettre dans de sales draps. Non seulement parce qu’il est amoureux, mais surtout parce que son patron a decide cette nuit de se debarrasser de son associé. Complétement introuvable donc indispensable pour tout cinéphile qui se respecte. http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1219.html

Crevettes et pétoncles au curry rouge et tamarin

500 g de crevettes moyennes (taille 26-36) crues. 225 g de pétoncles (taille moyenne). 75 ml d’huile végétale. 125 ml d’oignons taillés en gros dés. 30 ml (2 c. à soupe) de pâte de curry rouge. 30 ml (2 c. à soupe) de purée de tamarin sans noyau. 30 ml (2 c. à soupe) de sauce aux huîtres. 30 ml (2 c. à soupe) de sucre. 2 tomates rouges bien mûres taillées en gros dés. 125 ml (1/2 tasse) d’oignons verts hachés. Riz parfumé à la vapeur. Décortiquer les crevettes en conservant la queue et déveiner. Blanchir les crevettes et les pétoncles à l’eau à forte ébullition pendant 1 à 2 minutes (mettre ceux-ci en petite quantité pour garder l’eau en ébullition), puis les rafraîchir immédiatement. Chauffer le wok à haute température. Verser l’huile végétale et ajouter les oignons, les crevettes et les pétoncles et faire sauter pendant 1 à 2 minutes. Incorporer la pâte de curry rouge, la purée de tamarin, la sauce aux huîtres, le sucre et les tomates. Brasser la cuisson pendant 1 à 2 minutes, puis ajouter les oignons verts. Servir avec du riz parfumé à la vapeur. Source: servicevie.com. Cette recette est extraite du livre Les Délices de Jean Chen: academieculinaire.com

Speed Racer

Attention chef d’oeuvre navrique !!!

Réalisé par Andy Wachowski, Larry Wachowski Avec Emile Hirsch, Christina Ricci, John Goodman Speed Racer est un as du volant, un fonceur instinctif et intrépide qui enchaîne les victoires. Né pour ce sport à haut risque, il n’y a connu qu’un seul rival : son propre frère, le légendaire Rex Racer, fauché en pleine gloire et dont il est aujourd’hui l’héritier. Loyal à la firme de son père, Pops Racer, concepteur de sa puissante Mach 5, Speed a rejeté une alléchante proposition des Royalton Industries. Après s’être attiré par ce refus la haine du fanatique Royalton, Speed découvre que certaines des plus grandes courses américaines sont truquées par une poigné d’hommes d’affaires, manipulant les meilleurs pilotes pour booster leurs profits. Et puisque Speed refuse de courir sous ses couleurs, Royalton veillera à ce que la Mach 5 ne remporte plus une seule course… Pour sauver l’entreprise familiale et sa carrière, Speed n’a d’autre issue que de battre Royalton à son propre jeu. Soutenu par sa famille et sa fidèle compagne Trixie, le pilote s’associe à un ancien rival, le mystérieux Racer X, pour remporter la course mythique qui coûta la vie à son frère : le terrifiant rallye « Crucible »…