RANDOM FACTORY est une petite usine à produire des images qui investit WE ART from PARIS jusqu’au 30 octobre.
La structure est uniquement portée par un processus : L’ALÉATOIRE.
Les systèmes et les algorithmes, mis en place par l’équipe de 1984-inc, génèrent une série d’images uniques qui nous interrogent sur la notion d’« aléatoire » et sur son potentiel artistique aujourd’hui. RANDOM FACTORY nous parle de nous-mêmes tout en mettant en scène le hasard.
« Random » concerne toute chose faite au hasard, de manière aléatoire et imprévisible.
Une situation peut être random, nous pouvons rencontrer une personne random, nous trouver dans un endroit random mais surtout nous pouvons observer une oeuvre de manière random.
Lorsque le hasard entre en contact avec l’acte créatif, s’y infiltrant, il est perçu parfois comme une circonstance inattendue, ou bien il peut se révéler comme un véritable acteur bouleversant l’oeuvre.
24 OCTOBRE | RANDOM TECHNICS
Produire des images en explorant différentes techniques mixtes (linogravure, empreintes, matières physiques détournées….).
29 OCTOBRE | CLOTURE DE L’EXPOSITION
Vernissage de fin, qui présente l’évolution de l’exposition.
Pour en savoir plus : https://weartfromparis.com
Instagram : https://www.instagram.com/weartfromparis
WE ART from PARIS – 15ème
40 rue Castagnary, 75015 Paris
Métro 13 Plaisance – Métro 12 Convention
La galerie Polka est heureuse d’annoncer sa collaboration avec l’artiste japonaise Miho Kajioka dans le cadre de sa première exposition “Do You Open Your Eyes in the Sea ?”, présentée du 6 novembre 2020 au 9 janvier 2021.
L’artiste a souhaité proposer aux visiteurs une expérience sensorielle qui sollicite à la fois la vue, l’ouïe et l’odorat. L’exposition est conçue comme une lecture poétique et libre du travail de Miho Kajioka, mariant des tirages issus de ses anciennes séries (As it Is, And, Where Did the Peacocks Go?, So it Goes, Tanzaku), mais aussi de trois ensembles inédits réalisés en 2020 : The Blue Bird, The Red Fish et Goat Shit Floating on Water. La cinquantaine de tirages argentiques virés au thé qui compose l’exposition a été tirée à la main par l’artiste entre Paris et Kyoto : “La partie la plus importante de mon travail se passe dans la chambre noire. Pour beaucoup de photographes, la prise de vue est capitale, leur cuisine se fait à ce moment-là. Moi, lors de la prise de vue, je fais mon marché, je récolte des ingrédients. Et, de retour dans la chambre noire, je cuisine.”
Le son aura également une place particulière puisque des poèmes et des textes lus par des enfants seront diffusés dans la galerie en trois langues (anglais, français et japonais).
Enfin, l’artiste a collaboré avec un créateur de parfum pour l’ambiance olfactive. Il a créé pour elle une fragrance printanière inspirée par la notion de temps.
“Je n’aime pas les frontières entre les médiums : mes œuvres doivent être une expérience totale.”
http://www.polkagalerie.com
Cour de Venise
12, rue Saint-Gilles
75003 Paris, France
T +33 1 76 21 41 30
contact@polkagalerie.com
Du mardi au samedi de 11h à 19h. ou sur rendez-vous.
Entrée libre
Métro Chemin Vert (L8) / Saint-Paul (L1)
Bus 29, 96, 65, 20
Parking Saint-Paul
COLORAMA Street Art Festival du 03.10.20 > 03.01.21
28 ARTISTES NATIONAUX 1 HÔTEL · 4 ÉTAGES
Le Street Art s’expose sous le soleil de Biarritz au COLORAMA Street Art Festival. Après une quatrième édition largement réussie en 2019 avec plus de 15 000 visiteurs, l’association Biarritz Street Art et l’agence Mykka Agency réitèrent l’expérience COLORAMA, en partenariat avec la ville de Biarritz et la Région Nouvelle Aquitaine.
Près de 700m2 sont investis dans le désormais inutilisé Hôtel Bellevue pour immortaliser l’Art Urbain dans toute sa diversité : au total, 28 artistes nationaux rendent hommage à l’environnement de la ville et offrent un panorama visuel et culturel d’une richesse exceptionnelle.
Cette année, la couleur Pantone de l’année Classic Blue domine cet univers en lien avec l’espace urbain public : une charte colorimétrique soignée et une direction artistique pensée et définie pour une exposition des plus fascinantes dans un lieu incroyable voué à la destruction.
LES ARTISTES
MICHAEL EVENO — GREMS, CURATEUR DE L’ÉVÈNEMENT, A REGROUPÉ 28 STREET ARTISTS :
BRUSK · MOMIES · BAULT · POPAY · MOSA · JAIN · IRSUT OBISK· CLARA GUELFI · LANDRY A · DIFUZ · CLÉA LALA · LORCOLORS · BABS CHARLIE PHILIPPON · MADAME HUBERT · CHARLOTTE ESQUERRÉ · JACE · ZETO CLEMENT LAURENTIN · FLORE DELAGE · LORAINE MOTTI · CHARLINE GROËN BOKU · GILBERT · MARIE PRESSMAR · PANDORA DECOSTER · PHIL QUATRE
INFOS PRATIQUES
DU 03 OCTOBRE 2020 AU 03 JANVIER 2021
OUVERT TOUS LES WEEK-END ET VACANCES SCOLAIRES
DE 10H À 12H30 — DE 14H30 À 19H30
HÔTEL COLORAMA — 5 AVENUE EDOUARD VII, 64200 BIARRITZ – FR
TARIFS : ENFANTS : 3€ / ADULTES 5 €
Le Musée Guggenheim Bilbao présente Kandinsky, une exposition exhaustive de peintures et d’œuvres sur papier de l’artiste Vasily Kandinsky (Moscou 1866 – Neuilly-sur-Seine 1944) issue principalement des collections de la Fondation Solomon R.Guggenheim. Avec le soutien de la Fondation BBVA, l’exposition retrace l’évolution esthétique d’un pionnier de l’abstraction et d’un théoricien de l’esthétique de premier plan. Dans sa volonté de libérer la peinture de ses liens avec le monde “naturel”, Kandinsky devait découvrir un nouveau type de sujet exclusivement fondé sur la “nécessité intérieure” de l’artiste, une préoccupation majeure qui l’accompagna tout le long de sa vie.
Improvisation 28 (seconde version) [Improvisation 28 (zweite Faßung)], 1912
Huile sur toile
112,6 × 162,5 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Collection fondatrice Solomon R. Guggenheim, par donation 37.239
© Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao, 2020
Dates : 20 novembre 2020 – 23 mai 2021
Commissaire : Megan Fontanella, conservatrice au département « Modern Art & Provenance » du Solomon R. Guggenheim Museum
Musée Guggenheim Bilbao
www.guggenheim-bilbao.eus
La Galerie Ilian Rebei organise une exposition sur le peintre Jules Cavaillès (1901-1977) du 17 octobre au 14 novembre.
Ouverte depuis 2018, le Galerie Ilian Rebei vient de s’installer dans des nouveaux locaux au cœur du Village Suisse. Elle y présente une sélection d’œuvres d’artistes néo- impressionnistes et d’avant-garde. Pour l’exposition inaugurale des lieux, le choix de l’artiste s’est porté sur Jules Cavaillès. Ce peintre s’inspire du fauvisme, mouvement d’avant-garde, et des néo-impressionnistes. Il conjugue parfaitement l’intensité chromatique de Matisse à la tendresse de Renoir. Ses natures mortes semblent étinceler de vie grâce aux aplats de couleurs vives.
10 Avenue de Champaubert, 75015, Paris Village Suisse, Cour anglaise (sous-sol)
https://www.ilianrebei.com
Ormond GIGLI (1925 -2019) – Girls in the Windows, NY, 1960
Photographie originale
Édition AP 3/5
Tirage argentique vintage, réalisé par l’artiste
Signé, numéroté et titré par l’artiste
16 x 16 inch / 41 x 41 cm
61 x 61 cm avec cadre
En découvrir plus: https://www.gadcollection.com
10 octobre – 22 novembre 2020
4 rue du pont Louis-Philippe, 75004 PARIS
Jours d’ouverture – Opening days
Mardi au Vendredi : 14h00 – 19h00
Samedi et Dimanche : 14h30 – 19h00
Tuesday through Friday : 2.00 pm – 7 pm
Saturday and Sunday : 2.30 – 7 pm
Metro : Hôtel de Ville, Saint-Paul, Pont Marie.
Bus : 67 / 69 / 70 / 72 / 74 / 75 / 76 / 96
Parking : Pont Marie ou Hôtel de Ville
Tel : +33 1 43 70 72 59 / +33 6 86 08 32 20
Contact : info@gadcollection.com
L’exposition consacrée au photographe Marc Riboud (1923-2016) marque l’entrée de l’intégralité de son œuvre dans les collections nationales, conformément à son souhait.
Figure éminente de la photographie, Marc Riboud a marqué la seconde moitié du 20e siècle par son regard profondément personnel sur le monde. Photographe plus que reporter, il laisse derrière lui plus de 50 000 photographies (négatifs, diapositives et épreuves sur papier) où l’Asie domine.
À découvrir du 4 novembre 2020 au 1er mars 2021
Musée national des arts asiatiques – Guimet
6, place d’Iéna, 75116 Paris
Illustration: Les fenêtres d’antiquaire Rue Liulichang, Pékin, Chine, 1965 © Marc Riboud / Fonds Marc Riboud au MNAAG
Playground – Le design des sneakers au musée des Arts décoratifs et du Design (madd-bordeaux) Jusqu’au 10 janvier 2021. Entrée et visite commentée gratuites jusqu’au 31 août
Baskets, tennis, trainers ou sneakers, peu importent leurs noms, elles marquent notre façon de vivre et de nous habiller depuis le début du XXe siècle. Les sneakers sont devenues, en quelques décennies, un objet de consommation de masse qui transcende le genre, l’âge et les milieux socio-culturels. Avec plus de 600 paires, films, documents d’archives, photos et témoignages, Playground, première exposition de cette envergure en Europe, présente toutes les facettes de cet objet iconique, de son succès auprès des breakdancers new-yorkais aux recherches technologiques de pointe qu’il suscite.
Comité artistique : Jacques Chassaing, Thibault de Longeville, Samuel Mantelet, Teddy Sanchez, Alexander Taylor et Pierre Demoux. Mise en scène par le designer Mathieu Lehanneur
Dans le respect des consignes sanitaires, de nombreux événements offline et online corrélés à l’exposition sont également prévus :
Terrain de basket-ball (3×3) dans la cour d’honneur du musée : pratiques libres et rencontres sportives avec les JSA Bordeaux Métropole Basket et la Fédération Française de Basket-Ball.
Autour de l’exposition : concerts, DJ sets, rencontres, animations, ateliers pour enfants …
En découvrir plus: https://madd-bordeaux.fr/accueil
ABYstyle Studio a souhaité rendre hommage à la légende Goldorak avec ce buste à l’effigie de l’UFO Robot. Elaboré et réfléchi en étroite collaboration avec les ayants-droit Japonais, ce projet a demandé des mois de travail aux équipes d’ABYstyle Studio pour être fidèle à la création de Go Nagai.
Prévu pour la fin du mois d’octobre, ce buste de 4 kg et de 30 cm de hauteur est fait de résine, matériau parmi les plus nobles pour ce type de réalisation.
Les 1 800 pièces numérotées seront toutes accompagnées d’un certificat authenticité, gage de l’expertise d’ABYstyle Studio.
Pour précommander le buste Goldorak, rendez-vous sur abystyle.com
Le projet #createyourlight est ouvert à tous les photographes, qu’importe leur niveau, leur style et même leur équipement. Les créateurs d’images sont encouragés à prendre des photos chez eux, en étant aussi créatifs que possible avec leur environnement.
Pour aider à l’inspiration, Nikon collaborera également, toutes les deux semaines et sur son compte Instagram, avec des photographes professionnels, les ambassadeurs de la marque et les membres de la Nikon School, afin de partager des conseils et astuces et de tirer le meilleur parti de la prise de vue à la maison. Durant toute la campagne, les abonnés Nikon (Facebook et Instagram) sont invités à reproduire les techniques inculquées lors de ces mini workshop, et à partager leurs créations, en utilisant le #createyourlight et en mentionnant @nikonfr. Les images les plus marquantes seront mises en avant en stories, en posts ou feront même l’objet d’un article sur le Nikon Mag. Et pourquoi pas une expo au Nikon Plaza Paris !
Florin Ion FIRIMITÃ (1965-) est un écrivain, photographe et artiste roumain. Son père est photographe amateur et sa mère se passionne pour le dessin, ils l’intéressent dès son plus jeune âge à l’art et soutiennent sa vocation. En 1990 Florin Ion FIRIMITÃ émigre aux États-Unis où il vit désormais. Sa série de nus en bibliothèques rejoue l’opposition entre nature et culture par des mises en scènes originales. Elles posent la question de l’interdit et de sa transgression.
GALERIE GADCOLLECTION
4 rue du pont Louis-Philippe, 75004 PARIS
La galerie est fermée mais reste à votre écoute.
Jours d’ouverture – Opening days
Mardi au Vendredi : 14h00 – 19h00
Samedi et Dimanche : 14h30 – 19h00
Tel : +33 1 43 70 72 59 / +33 6 86 08 32 20
Contact : info@gadcollection.com
Brianna (allongée 1), 2015, série : ‘The Bookstore Project’ : https://www.gadcollection.com/fr/florin-firimita/458-brianna-allongee-1.html
Photographie originale
Tirage numérique
Signé au dos par l’artiste
28 x 36 cm / 11 x 14,2 inch, édition de 10 exemplaires
Mora (renversée), 2015, série : ‘The Bookstore Project’ https://www.gadcollection.com/fr/florin-firimita/445-mora-renversee.html
Photographie originale
Tirage numérique
Signé au dos par l’artiste
28 x 36 cm / 11 x 14,2 inch, édition de 10 exemplaires
Acute Art s’est associé à l’artiste KAWS pour créer une toute nouvelle façon de découvrir, d’expérimenter et de collectionner l’art. EXPANDED HOLIDAY présente une série de sculptures en réalité augmentée (RA) qui ouvrent de nouvelles perspectives non seulement pour l’artiste, mais aussi pour l’art lui-même. Téléchargez l’application dès maintenant pour découvrir l’art de KAWS en RA, avec un COMPANION flottant de 45 cm (EXPANDED) qui est gratuit jusqu’au 15 avril 2020. https://app.acuteart.com
Un grand merci à la galerie Perrotin, pour cette visite virtuelle de l’exposition de Cinga Samson ‘ Amadoda Akafani, Afana Ngeentshebe Zodwa (les hommes sont différents, bien qu’ils se ressemblent).
Cinga Samson s’est récemment imposé comme une nouvelle voix importante dans la peinture contemporaine. Ses œuvres font écho à ce qu’il décrit comme les superstitions et la spiritualité qui font partie intégrante de son éducation dans la ville d’Ethembeni (Af. Sud) et ses environs. Le désir, l’aspiration et la célébration de l’identité animent une grande partie de son travail, pour lequel il s’inspire de la mode, du patrimoine et des œuvres de Paul Gauguin et Andrew Wyeth, entre autres. Le processus de Samson intègre l’utilisation de croquis et de séances de photos ; il sélectionne avec soin les éléments d’une composition qui seront remplacés par d’autres afin d’atteindre un équilibre sensuel entre le réel, l’imaginaire et l’accentué. Lauréat du prix Tollman 2017 pour les arts visuels, il a exposé à l’Armory Show de New York en 2018.
Cliquez sur l’image pour accéder à la visite virtuelle
Illustration: Cinga Samson, Inyongo 1, 2020. Oil on canvas. Framed : 226 x 266 cm | 89 x 104 3/4 inch. Courtesy Perrotin
22 février – 27 juin 2020, PERROTIN New York
130 Orchard St, New York, NY 10002, États-Unis
» Signes. Soit qu’il veuille prouver son amour, soit qu’il s’efforce de déchiffrer si l’autre l’aime, le sujet amoureux n’a à sa disposition aucun système de signes sûrs. » Fragments d’un discours amoureux, Roland Barthes / Chapitre : L’incertitude des signes.
L’exposition « Divagations amoureuses« , inspirée du livre de Roland Barthes Fragments d’un discours amoureux est une réflexion sur le paradigme de la solitude amoureuse. Profitons du temps de confinement dû à la situation sanitaire pour une re-lecture du livre et une visite virtuelle de l’exposition…
Divagations amoureuses
Une proposition de Madeleine Filippi
avec les artistes : Odonchimeg Davaadorj, Marielle Degioanni, Julien Serve, Bertrand Robert
Exposition présentée de manière virtuelle jusqu’au 25 avril 2020
Ségolène Brossette Galerie
15 rue Guénégaud
75006 Paris
#RestezChezVous et… amusez-vous avec le cahier d’activités préparé par The Jokers Films pour petits et grands (à base de Parasite, Vivarium, Neon Demon…). bit.ly/JokersKids En sus, n’hésitez pas à participer au concours « Green Room » pour, sait-on jamais ? gagner des cadeaux !
Partenaire privilégié du Jeu de Paume depuis 2006, Jaeger-LeCoultre invite à découvrir l’exposition Le Supermarché des images, une puissante réflexion sur l’économie des images – ou iconomie – à partir du 11 février 2020 à Paris. Lieu de création dédié à l’image et à la photographie contemporaine, le Jeu de Paume manifeste une volonté de transversalité dans l’étude de la culture visuelle. Grâce notamment au soutien de la Grande Maison, un collectif de talents a pu confronter sa vision à l’hyper production d’images caractéristique de notre société et questionner les enjeux de circulation et de gestion qui en découlent. Une exposition au rythme d’une époque, à l’image de son temps…
Jeu de Paume (http://www.jeudepaume.org)
1 Place de la Concorde, 75008 Paris
Illustration : Hiroshi Sugimoto, Theaters
Sans titre (2016) is pleased to announce ‘A Shelter in the Folds of the Infinite‘ Curated by Eloi Boucher. With : Jonathan Binet, Lorraine Châteaux, Michael Debatty, Basile Ghosn, Ray Johnson, Sarah Ortmeyer w/ Kerstin Brätsch & Paloma Proudfoot.
January 17 – February 22
Opening reception: Thursday, Jan. 16, from 6 to 9pm
Sans titre (2016)
33, rue du Faubourg Saint-Martin
75010 Paris (In the courtyard)
Open Wednesday – Saturday, 12pm–7pm
http://www.sanstitre2016.com
Du 6 janvier au 24 avril 2020, Château Palmer accueille l’exposition « Arctique » du photographe Jean Gaumy. Membre de l’agence Magnum Photos, élu en 2016 à l’Académie des Beaux-Arts, le Français y présente un choix de photographies prises lors de ses récentes missions scientifiques au Pôle Nord. Paysages telluriques, décors de glace et minéraux, organiques jusqu’à l’abstraction. Un regard singulier sur une zone extrême, bien au-delà du cercle polaire, qui résonne avec les préoccupations environnementales de Château Palmer.
Exposition accessible dans le cadre des visites de la propriété / sur réservation
Durée : 2h30 – 70€
Château Palmer – 33460 Margaux
+33 5 57 88 72 72
www.chateau-palmer.com
chateau-palmer@chateau-palmer.com
Illustration : Ny-Ålesund, Svalbard, Norvège – Octobre 2013 78.9°N, 11.9°E – Mission BB POLAR ©Jean Gaumy / Magnum Photos
Du 5 au 14 mars prochain, l’artiste Rone présentera « Room With a View », une nouvelle création avec le Ballet National de Marseille sous la direction de (LA)HORDE au Théâtre du Châtelet. Après quatre albums et plusieurs tournées internationales, Rone donne une nouvelle dimension à son parcours avec la création de ce spectacle qui accompagnera son cinquième album éponyme. Invité par le Théâtre du Châtelet pour une carte blanche, il a souhaité travailler avec le collectif (LA)HORDE et les vingt danseur.se.s du Ballet national de Marseille.
Première mondiale le 5 mars et nouvel album à venir au printemps 2020
Photos : Boris Camaca – Direction créative : Alice Gavin c/o Groupe CCC
Conçue comme une installation musicale et visuelle, cette exposition explore l’univers de Pierre et Gilles au long d’un parcours réunissant une centaine de leurs peintures-photographies, mais également de nombreux objets et documents vidéo.
Pierre et Gilles ont photographié et sublimé plusieurs générations de célébrités, d’Étienne Daho à Stromae, de Sylvie Vartan à Nina Hagen, de Claude François à Marilyn Manson, de Lio à Madonna… Cette exposition dévoile les secrets de leur fabrique des idoles. Une centaine de leurs peintures-photographies sont réunies, dont certaines exposées pour la première fois. Un juke-box de chansons, deux cents objets issus de leur atelier, des pochettes de disques et des vidéo-clips complètent cet éclairage inédit sur l’histoire d’amour qui lie les deux artistes à la musique.
Du 20 novembre 2019 au 23 février 2020
Cité de la musique – Philharmonie de Paris
https://decouvrir.philharmoniedeparis.fr/fr/cite-de-la-musique
Peter Johansson détourne des symboles du patrimoine suédois, et endosse, avec une outrance qui ne craint pas le ridicule, les costumes de figures tutélaires nationales. Au sein d’un univers visuel fort à la limite du kitsch, il pose des questions éminemment actuelles. Où se situe la frontière entre être fier de son pays et être nationaliste ? À qui appartient le patrimoine culturel et qui a le droit de se l’approprier ? À quel point les emblèmes nationaux sont-ils gravés dans le marbre ? Enfin, quels symboles ou images sont à même de représenter une nation et qui en décide ? En prenant l’exemple de la Suède, Peter Johansson prescrit à chacun d’entre nous une thérapie nationale et nous incite à réfléchir aux différentes images d’un pays et à ce qui se cache derrière.
Exposition Thérapie nationale
15.11.2019 – 01.03.2020
Mercredi – dimanche / 12:00 – 18:00
En partenariat avec Nationalmuseum et avec le soutien de Swedish Art Council.
Institut suédois
11 rue Payenne
75003 Paris
+33 (0)1 44 78 80 20
www.institutsuedois.fr
Photos
Gauche : Thérapie nationale par Peter Johansson Photo ©Jan Berg
Droite : Korvfest, Peter Johansson et Lasse Åberg, 2014, Photo ©Matti Östling
Jusqu’au 8 décembre 2019, la Galerie GADCOLLECTION consacre une exposition à un des maîtres de la photographie : Douglas KIRKLAND. À travers une sélection de 15 photographies jamais montrées en France, My LOVES offre une échappée au cœur du monde des femmes qui ont croisé la vie de ce photographe exceptionnel…
4 rue du pont Louis-Philippe, 75004 PARIS
Mardi – Vendredi : 14h00 – 19h00
Samedi – Dimanche : 14h30 – 19h00
Metro : Hôtel de Ville, Saint-Paul, Pont Marie.
Bus : 67 / 69 / 70 / 72 / 74 / 75 / 76 / 96
Parking : Pont Marie ou Hôtel de Ville
Tel : +33 1 43 70 72 59 / +33 6 86 08 32 20
https://www.gadcollection.com/en/44-douglas-kirkland
info@gadcollection.com
La Maison Ruinart place l’expérience et l’innovation au cœur de ses caves historiques avec l’installation de l’œuvre permanente Flow Bottles (Flux de Bouteilles) de l’artiste brésilien Vik Muniz, artiste 2019 de la Maison. Elle est à découvrir au sein de ses Crayères classées au Patrimoine mondial de l’UNESCO. L’idée de cette œuvre est née lors de la visite de la Maison Ruinart par l’artiste, un « lieu unique » associant la tradition d’un site millénaire et la technologie la plus innovante
Cette installation dans le parcours de visite des Crayères est composée de 2800 bouteilles de Dom Ruinart entreillées à la main selon un savoir-faire ancestral et équipées individuellement d’un système perfectionné de LED, formant un mur interactif de 5 mètres de long. Les ombres des visiteurs se projettent sur ce mur de bouteilles et deviennent lumière grâce au système de LED. Dans le travail de Vik Muniz, la frontière entre le réel et l’imaginaire devient floue et déclenche ainsi le questionnement.
La réinterprétation artistique 2019 de la Maison Ruinart avec l’artiste Vik Muniz intitulée Shared Roots (Racines Communes) a été inspirée par l’adversité du climat et du sol face à laquelle la vigne se surpasse pour offrir le meilleur d’elle-même. Et c’est de cette tension que naît la création. Au total, Vik Muniz aura réalisé 7 œuvres pour la Maison Ruinart : 6 photographies (dont un diptyque, un polyptyque et un time-lapse) montrées actuellement dans les foires d’art du monde entier et l’œuvre permanente Flow Bottles, visible seulement dans la Maison Ruinart à Reims.
Visite de la Maison Ruinart
4, rue des Crayères – 51 100 Reims
Uniquement sur réservation du mardi au samedi
Ouvert de mars à novembre.
Réservation : www.ruinart.com/fr-FR/visite
L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ. À CONSOMMER AVEC MODÉRATION
Avant de devenir à Liverpool le « photieman » qui photographie les gens dans les rues, les pubs, les clubs, les marchés, les docks, les parcs et les stades de foot, Tom Wood collectionnait des cartes postales anciennes représentant notamment des mères avec leurs filles ou des sœurs entre elles. Mères, filles, sœurs rapproche les photographies que Tom Wood a prises dans les rues de la ville entre la fin des années 1970 et celle des années 1990 ainsi qu’une partie de sa collection personnelle d’images anonymes.
Tantôt posés et tantôt saisis dans le mouvement spontané de la rue, en noir et blanc ou auréolés de sa palette de couleurs si particulières, les portraits de Tom Wood dégagent une force et une présence d’une formidable intensité. Ils magnifient ces femmes, et rendent hommage à leurs vies de mères, de sœurs, de filles, à cette complicité intime et cette humanité palpable qui les relient.
Photographe né en 1951 en Irlande, Tom Wood vit et travaille au Pays de Galles. Entre 1978 et 2001, il sillonne les rues de Liverpool muni de son Leica, enregistrant le quotidien des habitants de sa ville. En 2003, il déménage au Pays de Galles et se consacre aux paysages. Une rétrospective lui a été consacrée au National Museum de Bradford en 2013. Il a notamment publié chez Steidl Photie Man (2005) et Men/Women (2013) ; et plus récemment Termini (Gwinzegal, 2018) et Women’s market(Stanley Barker, 2018).
Tom Wood, Mères, filles, sœurs, Éditions Textuel.
120 pages, 49€, en librairie le 3 juillet 2019.
TOM WOOD SERA PRÉSENT AUX RENCONTRES D’ARLES
Catalogue de l’exposition Mères, filles, sœurs aux Rencontres d’Arles qui fêtent cette année leur 50e anniversaire | Exposition prévue à la Galerie Sit Down à Paris en novembre 2019.
Photo : Burroughs Garden Girls [Les Filles de Burroughs Gardens], 1984-86 © Tom Wood. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et de la galerie Sit Down.
« On a l’âme que l’on se construit » Steph Cop
Pour sa 6ème exposition The French Art Dealeuses accueille le 2ème volet du triptyque « IX » : Antonomase, solo show de Steph Cop, à la Secret Gallery. La force des sculptures de Steph Cop communique avec chacun : ces neuf sculptures appellent à la contemplation. Aro apporte sérénité et apaisement. S’asseoir aux côtés d’un ARO et attendre qu’il raconte son histoire pour un émerveillement simple. Ce deuxième tableau, indissociable de l’intégralité du triptyque, forme une parenthèse sur l’inachèvement d’une sculpture d’un Arbre, nommé Antonomase.
« ANTONOMASE est l’instant suspendu de la découverte. Découvrir le ARO que l’artiste a vu avant nous et voir l’arbre que nous aurions découvert sans lui. ANTONOMASE est la dualité. Rendant intemporel le moment de la rencontre où l’être et le naître existent simultanément. ARO est le procédé de sa révélation ; n’être pas encore un alors qu’il est déjà. ANTONOMASE est l’histoire racontée. Dans le nid de sa circonvolution, ARO se dévoile. »
Exposition jusqu’au 12 juillet 2019
Du mardi au samedi, de 11h à 18h
contact@thefrenchartdealeuses.com
+33 6 80 38 90 14
www.thefrenchartdealeuses.com
Secret Gallery
19, rue de Varenne – 75007 Paris
Jusqu’au 31 juillet 2019, la Galerie GADCOLLECTION consacre une exposition à un des événements majeurs du XXe siècle : les premiers pas de l’Homme sur la Lune. A travers un ensemble exceptionnel, jamais réuni à ce jour, de plus de 100 photographies dont les plus iconiques (et certaines signées par les astronautes), l’exposition ‘ To the Moon and Beyond ! ’ nous offre un voyage au cœur de l’Espace. La Mission Apollo XI fête ses 50 ans. Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins ont marqué l’Histoire de l’Humanité.
NASA Vintage
Deep Space
Mitch Dobrowner
Ormond Gigli
George Tice
Stephen Wilkes
Douglas Kirkland
Massimo Vitali
Stefano Cerio
Alessandro Piredda
Manolo Chretien
Jerry Uelsmann
Maggie Taylor
David Rubinger
Matthias Olmeta
Fréderic Brenner
Alice Attie
Rachel Levy
Jean-Claude Gautrand
Peter Hutchinson
Patrick Braoudé
Frank Horvat
Stéphane Aisenberg
Romain Veillon
Florin Firimita
4 rue du pont Louis-Philippe, 75004 PARIS
Jours d’ouverture – Opening days
Mardi – Vendredi : 14h00 – 19h00
Samedi – Dimanche : 14h30 – 19h00
Metro : Hôtel de Ville, Saint-Paul, Pont Marie.
Bus : 67 / 69 / 70 / 72 / 74 / 75 / 76 / 96
Parking : Pont Marie ou Hôtel de Ville
Tel : +33 1 43 70 72 59 / +33 6 86 08 32 20
Contact : info@gadcollection.com
Galerie GADCOLLECTION : www.gadcollection.com
« Cet assemblage de deux morceaux de bois va absorber sang, sueur, pisse, vinaigre et s’imbiber du concentré de toute la souffrance physique et morale de l’humanité. » Grazia Quaroni
Cross Examination (Prix Édition – Club des Directeurs Artistiques) met en scène 33 oeuvres de la Tia Collection qui portent la forme, le symbole ou l’idéologie de la croix. Le livre propose une déambulation inédite par la reproduction des oeuvres à leur échelle réelle, offrant au lecteur un voyage intime et immersif dans ces chefs-d’oeuvre contemporains.
Un essai de Bernard Marcadé et une interview du collectionneur par Grazia Quaroni éclairent les oeuvres et invitent à la découverte d’une histoire de l’art singulière, dans laquelle la théologie et la littérature sont convoquées pour proposer un « contre examen » de cette iconographie familière et contestée.
Tia Collection, basée à Santa Fé (Nouveau-Mexique, USA), rassemble plus de 2.000 oeuvres d’art, contemporaines et d’après-guerre, dont un important corpus d’oeuvres d’artistes native americans.
Si les oeuvres sont régulièrement visibles dans des musées, leur réunion et l’ensemble formé par Cross Examination en permet une approche unique.
Cross Examination works from Tia Collection
Essay by Bernard Marcadé (Interview by Grazia Quaroni)
Français / Anglais
Couverture rigide
180 mm x 240 mm
Design by Agnès Dahan Studio
Jean Boîte Éditions, Paris, 2018
ISBN 978-2-36568-023-3
« Boulevard Paris 13 », un projet de la Galerie Itinerrance : actuellement 32 fresques visibles sur le Boulevard Vincent Auriol, devenu le support de 26 artistes urbains de 14 nationalités différentes. Un projet d’art urbain hors normes et ouvert gratuitement au grand public.
Cette expérience pérenne, gratuite et ouverte à tous est née de la volonté conjointe de Mehdi Ben Cheikh de la Galerie Itinerrance et Jérôme Coumet, Maire du 13e, de faire du 13e arrondissement de Paris le plus grand musée de Street Art à ciel ouvert. Un nouveau concept de musée qui s’enrichit année après année de nouvelles œuvres, profondément ancré dans l’espace urbain, et réunissant sur cet axe du 13e arrondissement parisien les grands noms, français et internationaux, du Street Art : Shepard Fairey, Invader, D*Face, Seth, Conor Harrington, Hush, Daleast, Add Fuel, C215, BTOY, Cryptik, Tristan Eaton, Ethos, Faile, HowNosm, Inti, Jana&JS, David De La Mano, Maye, M-City, Pantonio, Roa, Sainer, ST4, Stew, et Vhils.
Video credit : Milan Poyet / Vigie Production
À travers cette nouvelle exposition, MIKA (Né en 1983 en Alsace, MIKA est un artiste qui vit et travaille à Bordeaux. Menuisier de formation, en passant par les arts plastiques et appliqués, il est aujourd’hui artiste, graphiste et illustrateur. Il a réalisé de nombreuses œuvres urbaines lors de ses périples autour du monde et, plus récemment, à Bordeaux et ses alentours) dévoilera une vingtaine de nouvelles œuvres sur toile ou sur bois, mettant en scène ses emblématiques personnages disproportionnés au regard songeur. Son bestiaire cohabitera avec les portraits, dans lesquels il cherche à garder la dynamique qu’il trouve dans ses croquis. Les œuvres réalisées d’un geste vif et instinctif, vous ramènerons peut-être à votre instinct naturel.
Exposition Instincts de MIKA
Espace de La Boétie.
Du 28 mai au 08 septembre 2019 – Vernissage le mardi 28 mai, à 18h30
Horaires d’ouverture:
Du vendredi au dimanche : 13h-18h
Visite privée sur rendez-vous / Plein tarif : 8 euros / Tarif réduit : 6 euros
Gratuit pour les – 12 ans, demandeurs d’emploi et tous les premiers dimanches du mois
Je n’oblige personne à aimer ma peinture mais qu’on me colle pas des étiquettes. Par exemple : – peinture dénonciatrice.- agressivité sans bornes ou alors, on dit aussi ça m’étonne pas avec son passé concentrationnaire. La plupart de ce qu’on a écrit sur moi, c’est du bidon – Maryan, 1976 (extrait)
Patricia Dorfmann et Lucas Djaou sont heureux d’accueillir une exposition de MARYAN (Pinchas Burstein) artiste au destin hors du commun dont l’oeuvre est encore mal connue du grand public. La galerie poursuit ainsi sa politique engagée depuis sa création en 1990. Elle confirme son intérêt pour le travail d’artistes émergents, historiques ou inédits, à découvrir ou à redécouvrir, représentatif des derniers états de la recherche dans le domaine de l’art contemporain.
Cette exposition réunit une vingtaine d’oeuvres exceptionnelles, sur toile et sur papier réalisées par l’artiste aux États- Unis dans les années 70 lors de sa période dite « américaine».
L’oeuvre de Maryan évolue selon ses déplacements. Après-guerre, il est contraint de quitter sa Pologne natale. En 1947, il se rend à Jérusalem puis Paris et enfin New York au début des années 60, où il finira ses jours prématurément. Entre l’abstraction et la figuration des débuts à son goût prononcé pour le grotesque avec ses «Personnages » clownesques aux rires désespérés, aux couleurs vives, il déploie une oeuvre provocante et contrastée. Cette sorte de Commedia dell’arte aux allures Pop semble être un exorcisme à la destinée
tragique de l’artiste, à ses blessures inguérissables. Cette exposition est à l’origine de la passion commune de Patricia Dorfmann et Lucas Djaou pour l’oeuvre de Maryan. Elle s’est construite au gré de leurs échanges artistiques et amicaux.
Vernissage : jeudi 2 mai de 17h à 20h
Exposition : 3 mai – 8 juin 2019
Directrice de la galerie Patricia Dorfmann
Commissariat d’exposition & direction artistique Lucas Djaou
Scénographie Patricia Dorfmann & Lucas Djaou
Galerie Patricia Dorfmann
61 Rue de la Verrerie, 75004 Paris
https://www.patriciadorfmann.com
Illustration : Sans titre
Année de production : 1974
Acrylique sur toile
Dimensions : 70 cm de diamètre
Signé et daté en bas à gauche – Oeuvre unique
Illustration : Personnage
Année de production : 1975
Huile sur toile
Dimensions : 91 x 91 cm
Signé et daté en bas à droite – Œuvre unique – Collection privée (F)
Avec Lucio Fontana. Sur le seuil, le Musée Guggenheim Bilbao présente une nouvelle approche de l’héritage que nous a laissé un des artistes majeurs du XXe siècle. À partir d’une sélection soignée d’une centaine d‘objets, entre sculptures, céramiques, peintures, œuvre sur papier et environnements réalisées entre 1931 et 1968, cette exposition nous permet de parcourir les périodes fondamentales du travail de l‘un des auteurs les plus influents de l’après-guerre…
Dates: du 17 mai au 29 septembre 2019
Commissaires : Iria Candela, « Estrellita B. Brodsky » Curator of Latin American Art,
The Metropolitan Museum of Art, New York, avec Manuel Cirauqui, curateur du Musée Guggenheim Bilbao.
Abandoibarra Etorb., 2, 48009 Bilbo, Bizkaia, Espagne
www.guggenheim-bilbao.eus/fr
LE MANIFESTE : Loud & Proud est un festival queer, féministe et intersectionnel qui questionne la représentation et la visibilité des femmes et des minorités sexuelles dans la culture. Il entend redonner la priorité à des corps, des discours et des identités qui questionnent les normes de genre, d’âge, de race ou de classe, en programmant, sur quatre jours de découvertes, des concerts, des ateliers, des performances, des rencontres et des projections.
La programmation de Loud & Proud se construit autour d’artistes politiques et engagé•e•s, qui portent des discours novateurs et émancipateurs. Elle•il•s sont aussi bien des artistes confirmé•e•s que des talents émergents à découvrir dans un contexte inclusif et bienveillant. Elle•il•s sont autant de “role models” positifs à apprécier et dont s’inspirer. Loud & Proud est une “safe place”, un espace précieux et ouvert où l’on danse, crie, apprend, échange et aime.
En anglais, queer est une insulte qui signifie “bizarre”, “chelou”, “tordu” mais aussi “tapette” et “gouine” en opposition au mot “straight” qui, lui, désigne la norme hétérosexuelle. L’insulte a été récupérée dans les années 90 par les minorités sexuelles pour revendiquer avec fierté ces identités différentes, à la marge. Désormais, le queer est un courant de pensée militant, une grille de lecture utile pour interroger les normes sociales et sexuelles, ainsi que les rapports de domination qui en découlent.
La culture queer, qu’est-ce que c’est ? Des oeuvres, des savoirs et des discours, puissants, beaux et drôles, qui interrogent ces normes et ces rapports de domination mais racontent aussi des histoires et des combats singuliers et collectifs menés au fil des décennies. Des productions porteuses de valeurs émancipatrices et solidaires qu’il est urgent d’entendre à l’heure où les principes d’égalité et de fraternité sont largement mis à mal et à l’heure où les contre-cultures et les aventures politiques qui les composent sont aspirées et lissées par la machine marchande.
LOUD & PROUD
Festival des cultures queer
3ème édition du 4 au 7 juillet 2019 à la Gaîté Lyrique
Concerts, club, ball voguing, projections, performances, conférences et rencontres
Toutes les infos : gaite-lyrique.net
Pour sa première exposition personnelle en France, l’artiste portugais ADD FUEL investira entièrement l’espace de la Galerie Itinerrance.
En parallèle, l’artiste réalisera du 1er au 8 avril une fresque monumentale qui marquera la poursuite du projet Boulevard Paris 13, un parcours de fresques murales issu d’une collaboration entre la mairie du 13ème arrondissement et la Galerie Itinerrance. Dans le cadre de ce projet des artistes de renommée internationale, issus du street art et réalisant des fresques murales monumentales, ont participé à la création d’un musée à ciel ouvert sur le Boulevard Vincent Auriol. L’objectif sous-jacent de ce projet est d’initier le public aux pratiques artistiques actuelles et d’apporter au 13ème arrondissement non seulement un rayonnement international mais aussi une véritable dimension artistique et culturelle, en offrant aux artistes globetrotteurs un support et un lieu d’expression.
GALERIE ITINERRANCE
www.itinerrance.fr
GANG OF WITCHES, gang artistique féministe et écologiste, présente, les 15 et 16 juin prochains, son festival, Patriarchy is burning. Troisième chapitre d’un cycle débuté en 2017, ce rendez-vous prend cette année la forme d’un festival pluridisciplinaire au YOYO, Palais de Tokyo, et fait la part belle au spectacle vivant.
Le festival s’accompagne de la sortie d’un livre et d’un album éponymes. Pendant deux jours, Gang Of Witches réunit peintres, sculpteur.rice.s, écrivain.e.s, photographes, vidéastes, musicien.ne.s, danseur.se.s et performeur.se.s, et s’apprête à envoyer le patriarcat au bûcher.
Artistes exposé.e.s : Emilie Jouvet – Scarlett Coten – Ciou – Sunny Buick – Miikka Lommi – Mina Mond – Vivien Bertin – Paola Hivelin – Arôm
Performances : Emilie Jouvet – Rébecca Chaillon – Louis(e) de Ville – Gang Of Witches – Amélie Poulain – Son Of A Pitch – Sophie Rokh – Sunny Buick – Sabrine Kasbaoui – Funmilola Fagbamila – Julie Atlas Muz
Un vinyle en édition limitée : Après un premier titre en 2018, We are Gang Of Witches, la section musique de GANG OF WITCHES, composée de Sophie Rokh (MC Chaton), Paola Hivelin (W) et Son Of A Pitch (S.O.A.P), sera en live à l’occasion du festival pour faire découvrir son premier album 8 titres. Le vinyle sera disponible à l’achat sur place et en téléchargement.
Un ouvrage précieux en édition limitée : GANG OF WITCHES déploie des réseaux autonomes et alternatifs de diffusion, notamment via la publication annuelle d’un livre. L’ouvrage, également intitulé Patriarchy is burning aborde, en plus du genre et de différents visages de l’oppression patriarcale, les thèmes de l’âgisme, de la nature en ville et de l’économie circulaire. Il sera consultable au YOYO pendant le festival, et disponible à l’achat. Une sélection des œuvres présentées dans le livre seront à découvrir lors du festival.
Festival Patriarchy is burning
15 & 16 juin 2019 | 14h-minuit
YOYO (Palais de Tokyo)
13 avenue du Président Wilson
75116 Paris
Entrée libre
La Galerie Polaris annonce l’ouverture de la nouvelle exposition de Marcos Carrasquer, Time Capsule à la Galerie Municipale Julio Gonzalez d’Arcueil, jusqu’au 20 avril 2019. Parution d’un catalogue avec texte de Clémentine Mercier.
Galerie Polaris
15, rue des Arquebusiers 75003 Paris
Tél. 00 33 (0)1 42 72 21 27 / Mob. 00 33 (0)6 12 22 77 15
www.galeriepolaris.com
Galerie municipale Julio Gonzalez
21 Avenue Paul Doumer, 94110 Arcueil
LA MAISON RUINART DÉVOILE L’EXPOSITION SHARED ROOTS SUITE À LA RÉSIDENCE ARTISTIQUE DE VIK MUNIZ (Depuis 15 mars 2019 au Palais Brongniart).
Chaque année, la Maison Ruinart donne carte blanche à un artiste de renom. Une manière de partager son patrimoine, son histoire et son savoir-faire à travers la vision d’artistes qui l’expriment d’une manière créative avec leur medium.
En 2019, la Maison Ruinart a choisi de collaborer avec Vik Muniz, un artiste dont les œuvres interrogent en continu notre rapport à la réalité et à notre champ mémoriel. Vik Muniz a longuement observé et pensé avant d’emprunter le chemin de la création lors de sa résidence artistique à Reims. À travers ses œuvres, il cherche à exprimer ce qui lui semble indicible par le langage. Pour lui, l’exceptionnel naît au cœur de la complexité et le flux créatif en est la meilleure représentation.
Le 15 mars 2019, l’exposition Shared Roots a été dévoilée en avant-première au grand public dans l’enceinte du Palais Brongniart. Les œuvres sont depuis exposées sur les grilles de la Bourse, jusqu’au 16 Avril 2019.
Palais Brongniart
16 place de la Bourse 75002 Paris
Métro Bourse
/www.ruinart.com
Du 22 mars au 9 septembre 2019, le Musée Guggenheim de Bilbao présente avec Jenny Holzer : L’indescriptible la plus exhaustive sélection d’œuvres encore jamais réunie à ce jour sur le travail de cette artiste nord-américaine de premier plan, née en 1950.
Depuis plus de quarante ans, Jenny Holzer exprime avec force ses idées et ses prises de positions aussi bien dans des espaces publics (Times Square, New York) qu’au sein d’institutions internationales (Biennale de Venise, Musée Guggenheim de New York, Whitney Museum of American Art, Louvre Abu Dhabi).
La matière première de son travail est le texte, qu’il soit apposé sur des t-shirts, des plaques ou des panneaux électroniques. Elle y aborde des sujets et des thèmes dénonçant l’ignorance et la violence, souvent avec humour, compassion et courage.
La carrière de Jenny Holzer débute dans les années 70 avec une série d’affiches placardées dans les rues de New York. Ses plus récentes productions comprennent des projections lumineuses sur des paysages et des architectures.
Pensée en collaboration avec l’artiste, l’exposition réunit des installations spécialement conçues pour interagir avec l’architecture de Frank Gehry ; ses fameuses séries Truismes (Truisms) ou Essais incendiaires (Inflammatory Essays), présentées en cinq langues ; des plaques en bronze coulé ; des panneaux en métal émaillé ; des bancs et des sarcophages en pierre recouverts d’inscriptions ; des peintures à l’huile et des aquarelles sur documents officiels en relation avec les événements du 11 septembre 2001 à New York. De même, de nouveaux dispositifs robotisés spécialement conçus pour l’exposition, animent les panneaux électroniques de l’artiste dont les textes en défilement continu viennent parfois éclairer des ossements humains. Des dessins, des objets et des souvenirs provenant des archives de l’artiste viennent compléter cette présentation et l’exposition comprend également une collection d’œuvres sur papier et de sculptures réalisées par des artistes qui ont influencé le travail d’Holzer : Rosa Bonheur, Paul Klee, Louise Bourgeois, Paul Thek, Charles Burchfield, Kiki Smith, Lee Lozano et Nancy Spero, entre autres.
JENNY HOLZER – L’INDESCRIPTIBLE
MUSÉE GUGGENHEIM BILBAO (22 MARS – 9 SEPTEMBRE 2019)
Commissaire d’exposition : Petra Joos en collaboration avec l’artiste
« La chair que l’on montre aux curieux » réunit les travaux pluridisciplinaires d’artistes contemporains émergents. Au seuil du réel et de l’imaginaire, le corps surréaliste et hybride est mis à l’honneur sous toutes ses formes.
Exposition du 29 mars au 07 Avril 2019
Ouverture du mardi au dimanche de 13h00 à 20h00
Métro Châtelet
Le jeudi 28 février, l’Association des Créateurs de Mode d’Espagne (ACME) organise la V édition de l’exposition “Made in Spain: la mode au delà des frontières” à la résidence de l’ambassadeur d’Espagne à Paris.
Paris, capitale mondiale de la mode, accueille de nouveau, à l’occasion de cet évènement, une sélection des pièces les plus représentatives des collections printemps-été 2019 et automne-hiver 2019-2020 des créateurs espagnols les plus prestigieux, que nous avons vu défiler à la Mercedes-Benz Fashion Week Madrid, à la 080 Barcelona Fashion, à la New York Fashion Week et à la London Fashion Week. Cette initiative compte sur la participation de quarante-neuf marques espagnoles.
Des créateurs comme Agatha Ruiz de la Prada, Teresa Helbig, Juana Martin, Rosa Tous, Maria La Fuente, Oteyza seront personnellement présents. Cette année l’exposition à l’honneur d’être parrainée par l’actrice Rossy de Palma.
Jeudi 28 février à partir de 18h30
Résidence de l’Ambassade d’Espagne
15 avenue Georges V – 75 008 Paris
Jusqu’au 21 avril 2019, Greater Palm Springs et ses déserts se transforment en une exposition d’art contemporain géante. Gratuite et ouverte au public, cette exposition d’art contemporain est organisée par Neville Wakefield secondé par Amanda Hunt et Matthew Schum. A cette occasion, les paysages désertiques ont été transformés en 19 lieux de performances artistiques réalisés par des artistes contemporains internationaux des plus reconnus.
Desert X accueille cette année de grands noms comme : Ivan Argote, Steve Badgett, Chris Taylor, Nancy Baker Cahill, Cecilia Bengolea, Pia Camil, John Gerrard, Julian Hoeber, Jenny Holzer, Iman Issa, Mary Kelly, Armando Lerma, Eric N. Mack, Cinthia Marcelle, Cara Romero, Postcommodity, Sterling Ruby, Katthleen Ryan, Gary Simmons et Superflex.
Desert X 2019 se veut être LE rendez-vous de l’art contemporain qui allie l’art post institutionnel et l’interactivité avec ses visiteurs. Une découverte possible grâce aux nouveaux supports qui viennent compléter les outils de l’édition de 2017. Desert X 2019 ajoute en effet, et pour le plaisir de ses visiteurs, des projets de films et des œuvres évolutives à découvrir sur une cinquantaine de kilomètres dans la vallée de Coachella et au-delà vers le sud, vers Salton Sea et jusqu’aux portes de la frontière mexicaine.
Autre événement à ne pas rater du 1er au 3 mars, sur l’ensemble des sites de l’exposition et au théâtre Annenberg, Desert X et le musée d’Art de Palm Springs célébreront l’art et l’environnement. Une série de performances, expositions, visites et débats autour de la crise climatique mettront en lumière l’exposition Unsettled, le Sunnylands Center & Gardens ainsi que la Fondation Desert Sun and Gannett.
www.desertx.org – www.visitgreaterpalmsprings.com
Pour cette deuxième édition du 20 au 24 Février 2019, Les Bains Festival vous plonge dans 96H non-stop de Music, Food, Drinks // Sleep. Hospitalité, cuisine, mixologie, yoga, performances, découvertes sensorielles et olfactives et bien-sûr et surtout la musique,…
Durant 96 heures, Les Bains Festival se propage aux quatre coins et recoins des lieux : des voyages musicaux dans l’espace et le temps, de l’ASMR avec Rolfe Kent (le compositeur hollywoodien), des ateliers cuisine avec Bruno Grossi (Chef du Roxo), des cours de mixologie pour des cocktails explosifs avec l’équipe d’Eric Sablonière (Chef Mixologiste du Roxo), 10 minutes au paradis des Bains Guerbois une expérience multi sensorielle dans un lieu secret, du yoga warrior et une pro- grammation musicale en haut, en bas, au club, au Roxo, dans des salons, des chambres, sur place et à emporter.
Musique — Le festival, dédié à la musique et aux rencontres artistiques, célèbre cette deuxième édition avec des lives, des DJ sets et des soirées programmées un peu partout dans l’établissement : au restaurant Roxo, au Bar, au Club, dans des chambres, dans un Salon Secret, etc.
Food — Le restaurant sera en parti transformé avec un food stand éphémère. Des finger food sont spécialement créés pour l’événement.
Drinks — En plus de la carte de cocktails originaux, des dégustations-surprise sont prévues.
Sleep — Pour les amateurs les plus pros, pourquoi ne pas rejoindre par intermittence une chambre au lit extra large afin de goûter un sommeil bien mérité, après quelques gouttes de sueurs supplémentaires provoquées par leur hammam privé * ? La manière la plus immersive de jouir de la fête pendant 96 heures. Pour 3 nuits, la 4 ème est offerte ou bien 20% de réduction dès deux nuits consécutives. * dans les salles-de-bains des chambres exécutives, junior suites et suites
Luxembourg & Dayan is pleased to announce Interior Life, an exhibition of new works by artist Derrick Adams, curated by Francesco Bonami. Inspired by a tenet of Catholic theology that describes « a life which seeks God in everything,” Interior Life is a mediation on the intimate spaces of one’s mind and home, each an analog for the other.
Opening to the public on February 26, 2019, the exhibition includes new portraits on paper from the artist’s ongoing Deconstruction Worker series, installed on custom wallpaper depicting imaginary domestic environments. Adams’ spatial exploration of the relationship between the intimate and the infinite finds an ideal setting at Luxembourg & Dayan’s New York gallery, which resides in the second smallest townhouse in Manhattan.
Interior Life will remain on view through April 20, 2019. The exhibition is the latest in an intermittent series of Luxembourg & Dayan spotlights on leading contemporary artists whose work inspires fresh thinking about connections between current and historical tendencies in art.
Derrick Adams: Interior Life
Curated by Francesco Bonami
Luxembourg & Dayan New York
64 East 77th Street
February 26 – April 20, 2019
Opening Reception February 26, 6-8PM
https://www.luxembourgdayan.com
64 E 77th St, New York, NY 10075, États-Unis
Du 8 au 24 mars 2019, la ville de Boulogne-Billancourt donne carte blanche au styliste, designer et photographe Maurice Renoma pour investir l’Espace Bernard Palissy et son prestigieux théâtre avec un événement multimédia, culturel et artistique.
Au programme, une exposition rétrospective du parcours unique et pluridisciplinaire de Maurice Renoma, l’ouverture exceptionnelle d’un mini Renoma Café Gallery ainsi qu’une programmation éclectique au sein de l’ancien Théâtre de l’Ouest Parisien, regroupant spectacles de danse, concerts et cabaret, art numérique…
À travers cet événement pluriel, pensé comme un hommage à l’art et aux multiples formes d’expression artistique de la Contre-Culture, Maurice Renoma invite à s’immerger dans les images iconiques qui ont marqué l’Histoire du style, de la mode, de l’art et de la société.
La scène du théâtre accueillera des artistes en lien avec l’univers de Maurice Renoma à travers une programmation éclectique :
JEUDI 7 MARS : OUVERTURE, 18H30 / PERFORMANCES
Tribute to Street Art : Performance live de Bebar, French, Jace, Mush… Sur invitation.
VENDREDI 8 MARS / CONCERT
Tribute to Jazz : Hugh Coltman. Tarif exceptionnel : 20€ (et – de 25 ans : 12€)
SAMEDI 9 MARS, 21H / CONCERT
Tribute to Serge Gainsbourg : Barbara Carlotti.
DIMANCHE 10 MARS, 11H-19H / CINEMA
Journée de projection permanente de films Nouvelle Vague. Entrée libre.
VENDREDI 15 MARS : VERNISSAGE, 18H30 / SPECTACLES
Performance live d’Alex Augier, suivie d’extraits de Puzzle, spectacle du Jeune Ballet Européen puis d’un cocktail dans l’exposition. Sur invitation.
SAMEDI 16 MARS, 21H / CABARET
Spectacle des créatures travesties de Madame Arthur.
MERCREDI 20 MARS, 15H / SPECTACLE JEUNE PUBLIC
Le Monde Enchanté de Jean De La Fontaine de Jean-Jacques Debout.
JEUDI 21 MARS, 21H / SCÈNE OUVERTE
Concert de la scène émergente boulonnaise et de l’École de Musiques Actuelles.
Groupes : Alice & The Hollow Tree, Bievers Valley, Von Limb, Why Mud. Entrée libre.
VENDREDI 22 MARS : CLÔTURE, 21H / DANSE
Spectacle Puzzle du Jeune Ballet Européen.
Exposition du 8 au 24 mars 2019, du mardi au dimanche, de 11h à 19h. Accès libre et gratuit.
Espace Bernard Palissy — 1, Place Bernard Palissy 92100 Boulogne-Billancourt
Station de métro : Boulogne Jean-Jaurès, ligne 10.
Billetterie : Office de Tourisme de Boulogne-Billancourt.
L’hôtel Jules & Jim accueille l’exposition « Inside Japan » de Roberto Badin du 25 janvier au 3 mars 2019. « Inside Japan » brise les clichés, à mi-chemin entre tradition et modernité, à découvrir du 25 janvier au 3 mars 2019.
Chaque photographie est empreinte d’une précision horlogère. Un regard net. La parfaite maîtrise des cadrages et de la lumière naturelle servent une narration rigoureuse. Malgré la foule des mégapoles japonaises, Roberto Badin capture un quotidien calme, vrai, serein, intime et silencieux. Parfois solitaire. « Inside Japan » est sa première exposition solo extraite du livre éponyme, édité par Benjamin Blanck, éditeur indépendant de livres d’art et de photographies.
INSIDE JAPAN ROBERTO BADIN
Exposition photographique du 25 janvier au 3 mars 2019
La galerie de l’hôtel Jules & Jim est ouverte tous les jours de 10h à 23h.
Hôtel Jules & Jim
11, rue des Gravilliers – 75003 Paris
contact@hoteljulesetjim.com
www.hoteljulesetjim.com
Instagram : @hoteljulesetjim
Carré Black Box invite le grand public à son exposition Black Queens du 24 au 27 janvier au REMIX, 12 rue des Fontaines du Temple 75003 Paris. Cette exposition met en avant la beauté de la femme noire et rend hommage aux reines, légendes, mythes de l’Afrique.
Marraine de l’événement, La Princesse Esther Kamatari, (Princesse du Burundi, première mannequin noire en France, et figure emblématique dans la lutte en faveur des droits des femmes et des enfants) a souhaité à travers ces oeuvres d’art, exposer l’Afrique belle, inspirante et généreuse.
Cette exposition a aussi une forte dimension caritative, en effet les tableaux ainsi que le calendrier CBBOX2019 seront disponibles à la vente. Les dons récoltés lors de ce vernissage seront reversés au Centre Niali de Gao au Mali (association A.S.F.E.D) qui offre un cadre, éduque les enfants orphelins et donne une aide significative aux familles en difficulté.
DROIT D’ENTRÉE : un jouet sans pile ou un jeu collectif éducatif résistant pour les orphelins de GAO (MALI)
Entrée gratuite mais sur inscription au préalable : https://www.eventbrite.com/e/exposition-black-queens-tickets-55014932143
Du 24 janvier au 17 février 2019, Paris accueille la première mondiale de DAU.
Trois partenaires de premier plan, les théâtres municipaux – le Théâtre du Châtelet et le Théâtre de la Ville – ainsi que le Centre Pompidou sont réunis pour offrir au public une expérience inédite : la découverte d’un monde complexe où l’on est invité à se perdre ou se trouver pour une durée allant de six heures à un temps illimité. Signalant l’arrivée de DAU à Paris, une sculpture lumineuse relie les trois sites de la tombée de la nuit jusqu’à l’aube : le Triangle Rouge, inspirée par l’avant-garde russe du début du 20ème siècle.
DAU est cinématographique, théâtral, scientifique, psychologique, architectural, visuel et performatif. DAU s’éprouve, se vit, se joue, se ressent, se construit et se déconstruit. Initialement conçu comme un film biographique sur un physicien soviétique,DAU est l’initiative du cinéaste russe Ilya Khrzhanovsky, qui réunit autour de lui une équipe pluridisciplinaire et internationale d’artistes qui sont aujourd’hui ses ambassadeurs : les artistes Marina Abramovic, Carsten Höller, Boris Mikhailov et Philippe Parreno ; les metteurs en scène de théâtre Peter Sellars, Romeo Castellucci, Anatoly Vassiliev ; la styliste Rei Kawakubo ; les musiciens Robert Del Naja de Massive Attack et Brian Eno ; les acteurs Gérard Depardieu, Willem Dafoe, Lars Eidinger, les actrices Isabelle Adjani, Fanny Ardant, Isabelle Huppert, Iris Berben, Hannah Schygulla, Barbara Sukowa…
Pour entrer dans DAU, pas de billet, mais un visa : séjour de 6 heures, de 24 heures, ou d’une durée illimitée. Dans les deux derniers cas, le parcours sera personnalisé en fonction d’un questionnaire psychométrique à remplir en ligne lors de l’inscription. Ces étapes administratives sont nécessaires afin de faciliter l’immersion dans l’univers qu’est DAU, et de rendre chaque visite entièrement unique. Pour les détenteurs des visas de 24 heures ou d’une durée illimitée, plusieurs entrées et sorties seront possibles au sein de cette fourchette horaire.
DAU sera différent à chaque fois qu’on y entrera.
Le temps de l’événement, les deux théâtres en travaux ouvrent leurs portes de manière exceptionnelle pour offrir au public un lieu intermédiaire, entre les décombres et la mise en scène d’un monde à la fois soviétique et contemporain. Outre les long-métrages de DAU dévoilés pour la première fois, les expériences proposées seront psychologiques et intellectuelles, physiologiques et spirituelles.
Les trois types de visa, qui incluent tous la projection d’au moins un film, sont réservés aux adultes de 18 ans et plus. Toutes les demandes de visa se font en ligne.
L’expérience DAU se poursuit au Centre Pompidou, qui prolonge ainsi sa réflexion sur l’art russe du début du 20e siècle. Dans les salles du musée, un appartement et laboratoire de l’Institut reconstitué accueille des scientifiques ayant vécu dans l’Institut. Immergés, comme les participants l’étaient pour les besoins du projet, dans un espace artificiel et pourtant bien ancré dans l’histoire, les physiciens vivent et travaillent sans discontinuer sous les yeux du public. Dans cette réplique plus petite de l’Institut, le temps passe plus vite : de 1938 à 1968, avec chaque jour des changements.
L’installation est signalée dans les cieux de Paris par le Triangle Rouge, un triangle lumineux inspiré par l’avant-garde russe et reliant les trois lieux.
Visa de 6 heures
Le visa DAU de 6 heures donne accès à DAU pendant une durée maximale de six heures. Toute sortie est définitive. Pour obtenir ce visa il n’est pas nécessaire de remplir le questionnaire. Ce parcours donne un aperçu de DAU et inclut la projection en première mondiale d’au moins un des long-métrages, ainsi qu’un nombre plus restreint d’expériences.
Visa de 24 heures
Le visa DAU de 24 heures donne accès à DAU pendant une durée maximale de 24 heures. Plusieurs entrées et sorties sont autorisées. Ce parcours est personnalisé en fonction du profil que l’algorithme DAU génèrera à partir des réponses au questionnaire. La visite inclut plusieurs projections de long-métrages en première mondiale, ainsi qu’une sélection d’expériences – psychologiques et intellectuelles, physiologiques et spirituelles.
Visa accès illimité
Le visa DAU accès illimité donne accès à DAU pendant toute la durée de l’événement à Paris, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Chacun choisit la date et l’heure de sa première entrée et est ensuite autorisé à revenir quand il le souhaite. Le parcours est personnalisé en fonction du profil que l’algorithme génère à partir des réponses au questionnaire. Selon le nombre de visites, ce visa donne accès aux treize long-métrages ainsi qu’à une sélection d’expériences – psychologiques et intellectuelles, physiologiques et spirituelles.
24 janvier > 17 février – 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24
Théâtre du Châtelet & Théâtre de la Ville, place du Châtelet 75001 Paris
24 janvier > 17 février – ouvert tous les jours sauf le mardi, de 11:00 à 21:00
Centre Pompidou, place Georges Pompidou 75004 Paris La présentation d’un visa DAU à la billetterie du Centre Pompidou donne droit à un billet “Musée”, valable le jour indiqué pour une entrée dans les collections permanentes, incluant l’installation DAU.
De la Drag-Queen professionnelle au cross-dresser occasionnel, du novice à l’expert, qui que vous soyez, laissez votre genre au placard et venez outrageusement déguisés de votre « contraire » !
Les hommes en femmes, les femmes en hommes, il vous faudra oser l’exagération pour gagner votre passage ! Choisissez votre héros ou héroïnes du sexe contraire, ou reprenez tout simplement les codes du genre opposé, de la coiffure au maquillage, pour être admis à l’évènement donné au coeur de l’univers fantasque et so british de l’artiste Grayson Perry.
Le 11 Conti – Monnaie de Paris, en partenariat avec M.A.C, vous aidera à passer le cap du cross-dressing en proposant des retouches maquillage pour que la transformation soit complète et l’expérience pleinement vécue. Osez passer la porte du bar du 11 Conti, le Frappé, et votre audace sera récompensée : Happy Hour pour tous les visiteurs et toutes les visiteuses travesti.e.s.
Musée du 11 Conti – Monnaie de Paris
monnaiedeparis.fr/
11 Quai de Conti, 75006 Paris
GRAYSON PERRY Vanité, Identité, Sexualité . Dernières semaines ! Jusqu’au 3 février 2019
« Dialogues » court film sur l’exposition « Une Avant-Garde Polonaise » au Centre Pompidou (ESTERA TAJBER STUDIO)
Le Centre Pompidou met à l’honneur l’avant-garde constructiviste polonaise des années 1920. Articulée autour de deux figures majeures du constructivisme, Katarzyna Kobro et Władysław Strzemiński, l’exposition conduit au gré d’un parcours historique complet à travers leur création dans tous les domaines, artistique, typographique ou du design industriel.
Réalisée avec le musée d’art de Lodz (Pologne), fondé par Kobro et Strzemiński et auquel ils ont confié la majorité de leurs œuvres, l’exposition permet de découvrir leurs univers riches et originaux, méconnus du grand public du fait des tourments de l’histoire qui ont marqué leur vie et leur pays. centrepompidou.fr
24 octobre 2018 – 14 janvier 2019, Centre Pompidou de 11h à 21h
Musée – Niveau 4 – Galerie du Musée, Musée – Niveau 4 – Galerie d’art graphique – Centre Pompidou, Paris. Accès avec le billet Musée et expositions
©2018 production ESTERA TAJBER STUDIO
Des manuscrits d’exception, rédigés dans des situations extrêmes et qui en conservent les traces physiques, constituent la matière de cette exposition de la BnF : encres de sang et papiers d’infortune disent avec intensité le désespoir, la folie ou la passion de leurs auteurs, personnalités célèbres ou inconnues.
Feuillets et notes d’André Chénier, Napoléon Ier, Alfred Dreyfus, Guillaume Apollinaire ou Nathalie Sarraute y côtoient les mots d’anonymes, simples soldats, prisonniers, hommes et femmes ordinaires. D’autant plus précieux qu’ils ont parfois été soumis à des conditions de conservation difficiles, ces « manuscrits de l’extrême » font résonner jusqu’à nous les voix de destins hors-norme. Un propos sensible et encore jamais tenu dans une exposition.
« Mais je garde mon crayon et mon carnet que je défends au péril de ma vie. Ce petit carnet qui contient là une preuve de ma triste vie. » Anonyme, Carnet noir de l’Occupation.
Qu’il s’agisse d’une lettre écrite en1639 sur une écorce de bouleau, faute de papier, par un missionnaire au Canada, des derniers mots d’André Chénier avant d’être guillotiné, du journal de Marie Curie après le décès de son mari, de l’inscription portée par un détenu sous l’assise d’une chaise de la Gestapo ou de lettres d’Antonin Artaud, la valeur patrimoniale de ces textes réside en ce qu’ils offrent les souvenirs palpables d’histoires individuelles ou collectives extraordinaires. Dépositaires d’émotions non contenues, de sentiments pris sur le vif, ces billets, notes et lettres, rédigés souvent dans l’urgence, expriment ce que les manuels d’histoire ou les ouvrages critiques ne peuvent restituer : la façon dont des événements susceptibles de faire vaciller une existence ont été vécus de l’intérieur.
L’exposition s’organise selon quatre thèmes – prison, passion, péril, possession – quatre P qui évoquent ici les situations les plus difficiles auxquelles un être humain puisse être confronté. Au-delà des différences de circonstances dans lesquelles ces écrits ont été produits, tous témoignent d’une confiance désespérée dans les mots pour soutenir ce qui reste de vie encore possible quand tout, autour, vient l’infirmer.
L’exposition présente aussi bien des textes de personnalités ou d’écrivains célèbres, parmi lesquels Pascal, Sade, Marie -Antoinette, Auguste Blanqui, Stéphane Mallarmé, Henri Michaux, ou encore Marie Curie, Antonin Artaud, Arthur Adamov, Germaine Tillion et Jean-Dominique Bauby, que ceux d’inconnus ayant traversé des épreuves similaires. S’ils peuvent faire sens en tant qu’œuvre littéraire, les mots sont ici surtout une tentative désespérée de dire l’indicible. Ils sont l’expression de ce qui est véritablement en jeu pour un être humain, dans une guerre comme dans un hospice, dans toutes les
épreuves qui menacent son humanité même : sa propre survie.
Exposition Manuscrits de l’extrême Prison, passion, péril, possession
9 avril – 7 juillet 2019
Galerie 1
BnF – François-Mitterrand
Quai François Mauriac, Paris XIIIe
Du mardi au samedi 10h > 19h Dimanche 13h > 19h Fermeture les lundis et jours fériés
Réservations FNAC au 0892 684 694 (0,34 euros TTC/min) et sur www.fnac.com
Commissariat : Laurence Le Bras, conservateur, département des Manuscrits, BnF
Publication : Manuscrits de l’extrême. Prison, passion, péril, possession 92 pages, 100 illustrations
Éditions de la BnF
Illustration : Alfred Dreyfus. Souvenirs.XIXe-XXe s. IMon journal.années 1895-1896
Sans titre (2016) présente « Léopoldine », une exposition de groupe avec les travaux de : Evgeny Antufiev, Hélène Bertin, Robert Brambora, Clémentine Bruno & Ruyin Nabizadeh, Beth Collar, Lucile Littot, Lindsey Mendick, Wobbe Micha, Ron Nagle, Anousha Payne, Paloma Proudfoot, Real Madrid & Kasia Fudakowski, Lukas Thaler, Tom Volkaert.
Reprise le 8 janvier 2019, tous les jours du mardi au samedi de 11h à 19h.
https://www.sanstitre2016.com
24 rue de Liège
75008 Paris
Sonner à Sans titre (2016),
1er étage gauche.