Jusqu’au 12 mars 2025, SO/ Paris s’associe à SUMO Curated, le pionnier berlinois de la mode vintage, pour une expérience immersive qui célèbre l’héritage de la mode parisienne. Cet événement exceptionnel propose une installation exclusive dans l’emblématique hôtel de la Seine, où les trésors du passé et les icônes du présent se rencontrent dans un dialogue captivant.
Un Voyage à Travers les Époques de la Mode
Plongez dans trois décennies d’histoire de la mode, des années 1980 à 2000, avec une collection soigneusement sélectionnée par SUMO. Chaque pièce raconte une histoire unique d’innovation et d’excellence artistique :
Années 1980 : L’audace expérimentale et l’extravagance créative.
Années 1990 : La révolution minimaliste et le glamour intemporel.
Années 2000 : L’avant-garde moderniste et l’audace réinventée.
Des Pièces Iconiques Exposées
Découvrez des pièces emblématiques et intemporelles de créateurs légendaires :
Givenchy Automne/Hiver 1996 : Le glamour des années 90 à son apogée.
Yves Saint Laurent par Tom Ford Printemps/Été 2004 : Un symbole de modernité et de sophistication.
Thierry Mugler Printemps/Été 1996 et 1998 : L’avant-garde à son paroxysme.
Yves Saint Laurent Automne/Hiver 1992 et Alaïa Automne/Hiver 1992 : L’élégance intemporelle et la puissance créative.
Un Rendez-Vous Incontournable pour les Passionnés de Mode
L’expérience culmine lors de deux événements majeurs de la mode parisienne :
Semaine de la Haute Couture (27-30 janvier 2025)
Fashion Week Féminine de Paris (3-11 mars 2025)
Lors de ces événements, l’équipe d’experts de SUMO sera présente au SO/ Paris, offrant une expérience unique de shopping vintage avec une sélection exclusive de pièces d’archives, disponibles à l’achat. Une immersion totale dans l’univers de la mode pour les collectionneurs et passionnés.
Un Dialogue Entre le Passé et le Présent
En complément de l’installation, un zine exclusif sera remis à chaque client, illustrant l’importance historique des pièces exposées et leur influence persistante sur la mode contemporaine. Une mise en perspective unique entre le patrimoine de la mode et son impact actuel, célébrant le luxe durable et l’authenticité intemporelle.
Un Partenariat Entre Luxe et Durabilité
Ce partenariat illustre l’engagement commun de SO/ Paris et SUMO envers un luxe durable et une consommation éclairée. Alors que SUMO sélectionne et préserve des pièces vintage uniques, SO/ Paris réinvente le luxe moderne en créant des expériences immersives où authenticité, élégance et innovation convergent harmonieusement.
Informations Pratiques :
Lieu : SO/ Paris, bord de Seine, Paris
Dates : Du 27 janvier au 12 mars 2025
Evénements Clés :
Semaine de la Haute Couture (27-30 janvier)
Fashion Week Féminine de Paris (3-11 mars)
Réservez votre expérience : [Lien de réservation SO/ Paris]
À propos de SO/ Paris
SO/ Paris est un emblème de l’hôtellerie de luxe parisienne, réputé pour son design avant-gardiste et ses expériences lifestyle innovantes. Membre de la collection SO/, cet hôtel collabore avec les créateurs les plus visionnaires, offrant des expériences exclusives qui redéfinissent le luxe moderne.
À propos de SUMO
SUMO, basé à Berlin, est le pionnier de la mode vintage, célèbre pour sa sélection de pièces d’archives des maisons de couture les plus prestigieuses. SUMO allie authenticité historique et durabilité, permettant aux passionnés de mode d’accéder à des pièces iconiques qui continuent d’influencer l’industrie.
Découvrez l’Héritage de la Mode avec SO/ Paris et SUMO
Plongez dans l’univers intemporel de la mode avec SO/ Paris et SUMO, où chaque pièce raconte une histoire iconique et inspire les créateurs d’aujourd’hui.
Réservez votre expérience inoubliable dès maintenant !
📊 À savoir :
Le Tailoring 2.0 : Exit l’oversize mou, place aux silhouettes sculptées, aux épaules affirmées et aux vestes cintrées.
L’influence cinéma & série : Peaky Blinders : The Final Act et Superman: Legacy remettent le costume structuré au centre du jeu.
Les Maisons en tête : Saint Laurent, Berluti et Dior revisitent le classicisme en le rendant ultra-moderne. 🔗 À creuser :
Les tendances du tailoring dans le dernier lookbook de Giorgio Armani 💡 JetSociety Insight :
Le vrai luxe en 2025, c’est une coupe parfaite, pensée pour durer et affirmer une posture. 🔥 À tester aujourd’hui :
Une veste ajustée avec une silhouette inspirée des icônes du tailoring moderne (Timothée Chalamet, Travis Gumbs, Luka Sabbat).
L’année 2025 s’annonce comme un tournant majeur dans l’univers de la mode, avec des collaborations qui repoussent les frontières entre luxe, art, innovation et culture populaire. Si certaines maisons de couture continuent d’explorer des unions artistiques, d’autres misent sur la technologie, le sport et le durable pour créer des collections qui marqueront leur époque.
Jet Society a sélectionné les collaborations mode incontournables de 2025, celles qui vont faire parler, exploser les tendances et s’imposer comme des références.
Louis Vuitton x Takashi Murakami Re-Edition Collection
Pourquoi c’est un événement ?
Près de 20 ans après la première collaboration iconique entre Takashi Murakami et Louis Vuitton, la maison française relance cette fusion explosive entre pop art et maroquinerie de luxe.
Ce qu’on peut attendre :
Une réinterprétation moderne du Monogram Multicolore, qui avait marqué les années 2000.
Des silhouettes inspirées du streetwear japonais, avec des imprimés audacieux et des accessoires arty.
Une approche plus responsable, avec des matériaux durables et des procédés innovants.
Pourquoi c’est un must-have ?
Les pièces de la première collab se vendent à prix d’or sur le marché du vintage, cette réédition promet donc d’être collector dès sa sortie.
Skims x The North Face : l’outdoor version glamour
Pourquoi c’est innovant ?
Kim Kardashian et The North Face s’associent pour une collection qui fusionne l’élégance minimaliste et la technicité des vêtements de montagne.
Les pièces phares :
Doudounes cintrées et bodys thermiques ultra-ajustés.
Leggings seconde peau en matières isolantes, parfaits pour l’hiver urbain.
Monochrome chic, du beige au noir, dans un esprit Skims signature.
Pourquoi ça va cartonner ?
Le mix entre l’hyper-féminin et l’ultra-fonctionnel répond aux nouvelles attentes de la mode : style, confort et performance.
Cecilie Bahnsen x The North Face : la rencontre du romantisme et de l’outdoor
Pourquoi c’est une alliance surprenante ?
D’un côté, Cecilie Bahnsen, reine des robes vaporeuses et romantiques. De l’autre, The North Face, spécialiste des vêtements techniques de montagne. Le résultat ? Une collection hybride entre délicatesse et robustesse.
Les pièces iconiques :
Des manteaux matelassés façon robes de bal, mais résistants aux intempéries.
Des pantalons cargo fluides, qui réinventent l’élégance en version outdoor.
Une palette pastel inédite, entre tons glacier et poudrés.
Pourquoi c’est un game changer ?
Cette collaboration brouille les frontières entre sport et haute couture, une tendance forte pour 2025.
Gucci x Adidas : le come-back du rétro-sport chic
Pourquoi c’est culte ?
Après le succès de leur première collection, Gucci et Adidas reviennent avec une édition encore plus audacieuse, inspirée du tennis vintage et des archives 80s.
Les éléments clés :
Tracksuits en velours côtelé, clin d’œil aux clubs de sport old school.
Sneakers monogrammées ultra-limitée, qui va devenir un Graal des sneakersheads.
Blazers oversize à bandes latérales, fusion parfaite entre formel et streetwear.
Pourquoi ça va exploser ?
Le mélange de nostalgie et de modernité séduit toutes les générations.
Balenciaga x Apple : la tech-couture en pleine ascension
Pourquoi c’est une révolution ?
Balenciaga s’associe à Apple pour lancer une ligne de vêtements connectés intégrant des fonctionnalités high-tech.
Ce que l’on sait déjà :
Des vestes et hoodies équipés d’écrans flexibles, affichant des notifications en temps réel.
Une intégration des AirPods dans des cols invisibles, pour un son ultra-discret.
Des textiles conducteurs, permettant d’interagir avec son smartphone directement via ses vêtements.
Pourquoi c’est un tournant ?
La mode et la tech ne font plus qu’un, et cette collab annonce le futur du wearable fashion.
Vers une mode toujours plus hybride et disruptive
Les collaborations 2025 montrent une fusion totale des genres et des influences :
Luxe et streetwear continuent de s’entremêler, avec des pièces aussi pointues qu’accessibles.
L’outdoor devient ultra-stylé, répondant aux nouvelles attentes de mobilité et de confort.
La technologie s’invite dans le vestiaire, rendant les vêtements interactifs et fonctionnels.
Quelles collaborations vous intriguent le plus ? Dites-nous en commentaire et suivez Jet Society pour ne rien manquer des tendances mode et lifestyle !
La mode et la technologie ont longtemps évolué en parallèle, mais ces dernières années ont vu une convergence accrue entre ces deux univers. Des collaborations entre maisons de couture et entreprises tech ouvrent la voie à une nouvelle ère du style, où innovation et design se rencontrent pour créer des pièces uniques.
Exemples marquants de collaborations
Ray-Ban et Meta : Quand les lunettes deviennent intelligentes
En septembre 2023, Ray-Ban et Meta ont dévoilé leur nouvelle génération de lunettes connectées, les Ray-Ban Meta. Cette collaboration fusionne le design emblématique de Ray-Ban avec les technologies avancées de Meta, offrant des fonctionnalités telles que la capture de photos et de vidéos en mains libres, le livestreaming sur Facebook et Instagram, ainsi que l’intégration de l’assistant vocal Meta AI. Ces lunettes, disponibles en précommande dès leur annonce, représentent une avancée significative dans le domaine des wearables, alliant style et innovation.
De plus, en janvier 2025, Meta a introduit une fonctionnalité de traduction en temps réel sur ces lunettes, permettant aux utilisateurs de converser avec des locuteurs de différentes langues, notamment l’espagnol, le français et l’italien. Bien que cette technologie soit encore en phase de perfectionnement, elle ouvre la voie à des interactions multiculturelles simplifiées.
Louis Vuitton x Yayoi Kusama & NFT
La maison française a repoussé les limites de la mode avec une collaboration artistique et technologique en intégrant la blockchain à ses créations. Certaines pièces de la collection Yayoi Kusama ont été accompagnées de NFTs, offrant aux acheteurs une expérience numérique exclusive.
Gucci x Meta & Expérience virtuelle
Gucci a collaboré avec Meta pour créer une boutique immersive dans le metaverse. Les utilisateurs peuvent y essayer virtuellement des vêtements et accessoires, brouillant la frontière entre le digital et le réel.
Nike x RTFKT Studios & Sneakers du futur
Nike a acquis RTFKT Studios, une entreprise spécialisée dans les sneakers numériques et la réalité augmentée. Leur collaboration a abouti à des baskets hybrides physiques et digitales que les possesseurs peuvent également porter dans le metaverse.
Prada x Adobe & Personnalisation de la mode
Prada s’est associé à Adobe pour permettre à ses clients de concevoir et personnaliser leurs propres tenues via un système d’IA générative. Une façon de redéfinir le luxe sur mesure.
Balenciaga x Fortnite & Mode gaming
Balenciaga a lancé une collection exclusive en collaboration avec Fortnite, où les joueurs peuvent acheter et revêter des vêtements de la marque en jeu, tout en achetant des versions physiques correspondantes.
L’avenir de la mode-tech
Les wearables intelligents et la mode connectée devraient s’intégrer encore davantage à notre quotidien. Des tissus capables d’ajuster leur température à la blockchain qui garantit l’authenticité d’une pièce, la mode de demain sera résolument technologique.
La marque française de prêt-à-porter MACKEENE, reconnue pour son élégance fonctionnelle, s’associe à l’Hôtel INDARRA, une pépite du Pays Basque, pour une collaboration unique en son genre. Situé à Arbonne, à deux pas de Biarritz, cet établissement 4 étoiles devient le théâtre d’un dialogue entre mode, design et artisanat local.
Une collaboration sur mesure
En tant que consultants artistiques pour l’Hôtel INDARRA, les créateurs de MACKEENE ont imprégné leur style dans chaque détail, des espaces communs jusqu’aux chambres privées. L’incarnation parfaite de cette union est la chambre “01-Cabane”, une véritable ode à l’artisanat local, où confort moderne et charme basque se mêlent harmonieusement.
Pour célébrer ce partenariat, MACKEENE propose une ligne de vêtements exclusive, comprenant le sweat “Lee” avec le logo “SURFER INDARRA” et des t-shirts en coton biologique ultra-fin, parfaits pour incarner l’esprit chic et décontracté de la région.
Profitez d’une offre exclusive
Pour tous les amoureux du design et de l’évasion, un code promo spécial vous est proposé : utilisez INDARRAGOSLOW et bénéficiez de 10 % de réduction sur vos réservations à l’Hôtel INDARRA en 2025.
Stanley 1913, la marque iconique connue pour ses produits lifestyle haut de gamme, dévoile son tout dernier bijou : le Quencher ProTour Flip Straw Tumbler, une gourde innovante qui redéfinit les standards de l’hydratation en déplacement. Conçu pour les passionnés de sport et les modes de vie actifs, cet accessoire anti-fuite est aussi pratique qu’élégant.
Un design pensé pour vos objectifs d’hydratation
Avec une capacité généreuse de 1,2 L, le Quencher ProTour assure une hydratation continue tout au long de la journée. Grâce à son bec rabattable et son couvercle totalement anti-fuite, il est parfait pour être glissé dans un sac de sport sans aucune crainte. Que vous soyez adepte du yoga, de la salle de sport, ou simplement en quête d’un compagnon pratique pour vos journées bien remplies, ce tumbler répond à tous vos besoins.
Style et durabilité au rendez-vous
La promesse Stanley ? Un produit durable et respectueux de l’environnement. Fabriqué en acier inoxydable recyclé, le Quencher ProTour bénéficie également d’une isolation thermique haute performance, gardant vos boissons fraîches pendant des heures. Disponible dans cinq couleurs tendance – Azure Fade, Frost Fade, Black Fade, Rose Quartz Fade, et Ash Fade – il allie esthétisme et praticité pour s’intégrer parfaitement dans votre quotidien.
Pourquoi on adore le Quencher ProTour ?
Anti-fuite et nomade : plus de stress dans les déplacements.
Éco-responsable : fabriqué en acier recyclé pour réduire son empreinte carbone.
Grande capacité : idéal pour atteindre vos objectifs d’hydratation.
Design élégant : des couleurs modernes et un look intemporel.
Polyvalence : parfait pour le sport, le bureau, ou les escapades en plein air.
Informations pratiques
Prix : 55 €.
Disponibilité : dès maintenant sur stanley1913.com.
Couleurs disponibles : Azure Fade, Frost Fade, Black Fade, Rose Quartz Fade, Ash Fade.
Acqua di Parma, emblème du luxe à l’italienne, ouvre un nouveau chapitre audacieux avec le lancement de Colonia II. Réinterprétation contemporaine et vibrante de l’emblématique Colonia de 1916, cette nouvelle création sublime plus d’un siècle d’héritage avec des notes modernes et une profondeur inédite. Disponible dès le 23 janvier 2025, Colonia II incarne l’élégance intemporelle et la sophistication vibrante.
Une fragrance audacieuse et lumineuse
Colonia II s’ouvre sur un mélange étincelant d’agrumes italiens – bergamote, pamplemousse, orange sanguine et petit grain bigarade – relevé par une touche d’ylang-ylang. Ce dernier ingrédient, raffiné avec soin, apporte une nouvelle intensité et une dimension contemporaine à cette composition iconique. Le cœur de la fragrance dévoile un bouquet aromatique de romarin et de feuilles d’oranger, tandis que les notes de fond, composées de vétiver et de patchouli, offrent une tenue prolongée et enveloppante. Résultat : une essence sophistiquée et lumineuse, parfaite pour les amateurs de parfums d’exception.
Un design Art Déco revisité
Le flacon Art Déco iconique d’Acqua di Parma s’habille d’une teinte dorée éclatante, sublimée par des finitions en verre décoré d’or et une étiquette modernisée. Cette présentation reflète l’ADN de la Maison : élégance, raffinement et luxe intemporel.
Une collection lifestyle exclusive
Pour accompagner ce lancement, Acqua di Parma dévoile une collection d’objets conçus pour sublimer l’expérience olfactive : Colonia Portami : Un coffret en cuir d’agneau jaune, pouvant accueillir trois flacons de parfum, avec des surpiqûres artisanales réalisées à la main. Colonia Posami : Un plateau à parfum en bois de cerisier, rehaussé de poignées élégantes, parfait pour exposer vos flacons. Colonia Abbracciami & Coprimi : Des accessoires pour bougies, mariant cuir et design travaillé, disponibles en versions Parma Yellow ou Terra di Siena. Colonia Glass : Un savon et une lotion pour les mains dans des flacons en verre rechargeables, à la fois élégants et responsables.
Un hommage au design italien
Pour célébrer Colonia II, Acqua di Parma a collaboré avec la designer Cristina Celestino et Fornace Brioni, un maître de la terracotta, pour créer une pièce jaune vernissée sur mesure. Ce projet reflète l’alliance entre tradition et modernité, incarnant parfaitement l’essence de cette nouvelle fragrance.
Informations pratiques
Nom : Colonia II – Acqua di Parma
Date de lancement : 23 janvier 2025
Prix : À découvrir auprès des points de vente de luxe et sur le site officiel.
La célèbre marque italienneC.P. Company franchit un nouveau cap en devenant le partenaire mode officiel du Bologna FC 1909. Ce partenariat pluriannuel, à partir de 2025, célèbre l’union entre deux institutions enracinées dans la culture et l’histoire de Bologne. Entre style, innovation et héritage, ce projet résonne comme un hommage vibrant à la ville natale de la marque.
Un partenariat qui unit tradition et modernité
C.P. Company et Bologna FC incarnent deux facettes d’une même ville, où se croisent art, musique, sport et industrie. Ce partenariat célèbre cette effervescence culturelle unique, où tradition et innovation s’entrelacent.
La collaboration inclut des tenues exclusives conçues par la marque, avec la célèbre veste Goggle, revisitée avec des lentilles rouges personnalisées, et des vêtements dans le bleu marine emblématique de C.P. Company. Ces pièces seront portées par l’équipe première masculine et le staff technique lors de leurs déplacements.
Des déclarations fortes
• « C.P. Company est un symbole de Bologne et de son énergie unique. Ce partenariat nous permet de représenter l’âme de notre communauté locale à travers le monde. » – Christoph Winterling, Directeur Marketing et Commercial de Bologna FC.
• « Voir mon équipe préférée habillée en C.P. Company est un honneur. Cela célèbre nos racines et notre lien profond avec la ville. » – Lorenzo Osti, Président de C.P. Company.
Une histoire d’amour entre C.P. Company et le football
Depuis les années 1980, C.P. Company est un acteur clé de la culture Terrace en Angleterre. Ce partenariat avec le Bologna FC prolonge cette relation entre mode et football, soulignant une identité profondément enracinée dans les stades et les sous-cultures urbaines.
Un court métrage pour célébrer Bologne
Pour marquer cette collaboration, un court métrage a été réalisé, capturant l’âme de Bologne à travers ses rues, son stade Dall’Ara, et l’iconique Antica Barberia Marchi. Parmi les protagonistes figurent Gianni Morandi, figure emblématique de la ville, et son fils Tredici Pietro, star montante de la scène musicale urbaine italienne.
C.P. Company : une marque transgénérationnelle
Depuis sa fondation en 1971 par Massimo Osti, C.P. Company mêle innovation textile et design fonctionnel, créant un style hybride inspiré par le workwear et le sportswear. Aujourd’hui, la marque continue d’incarner une vision intemporelle et transgénérationnelle.
Eastpak célèbre l’univers emblématique de Star Wars avec une nouvelle collection de sacs, bagages et accessoires en édition limitée. Depuis plus de 40 ans, la saga de George Lucas a marqué la culture populaire, et cette collaboration rend hommage aux personnages iconiques comme Luke Skywalker, Darth Vader, et Chewbacca à travers des designs originaux et des imprimés uniques.
Cette gamme exclusive propose des sacs à dos, des sacs bananes et des valises aux motifs inspirés des lieux et des symboles de la saga : l’Étoile de la Mort, les paysages galactiques et les célèbres batailles entre le côté obscur et le côté lumineux de la Force. Parmi les pièces phares, on retrouve le sac Padded Pak’r Chewbacca en fausse fourrure, les modèles Dark Side et Light Side aux détails soignés, et le sac Yoda au design compact.
Que vous soyez fan de science-fiction ou passionné de mode, cette collection allie fonctionnalité et créativité pour transformer chaque voyage en une aventure épique.
Le musée Marmottan Monet présente du 8 mars au 18 juin 2023 l’exposition « Néo-Romantiques. Un moment oublié de l’art moderne 1926-1972 ». Près d’une centaine d’œuvres, issues de collections privées et publiques seront réunies pour faire (re)découvrir l’un des premiers mouvements post-modernes fondé sur la remise en cause de l’abstraction et sur le retour à la figure. Sous le commissariat de Patrick Mauriès, l’exposition mettra à l’honneur les artistes ayant participé à ce courant, tels que le français Christian Bérard (1902-1949), les russes Pavel Tchelitchew (1898-1957), Eugène (1899-1972) et Leonid Berman (1898-1976) et le hollandais Kristians Tonny (1907-1977). D’abord réunis à Paris, dans les années 1920, ces derniers vont participer à la scène artistique américaine, anglaise et italienne créant des ponts entre Picasso, le surréalisme, les figuratifs du XXe siècle et les arts vivants pour lesquels ils créèrent des spectacles mémorables… https://www.marmottan.fr
Eugène Berman (1899-1972)
Italian Symphony, Scene IV, Saltenello 1939
Gouache et encre sur papier, 24,4 x 38,1 cm
New-York, Michael Rosenfeld Gallery
@ Courtesy of Michael Rosenfeld Gallery LLC
Longines présente des versions monochromes de deux de ses collections les plus emblématiques, la Longines DolceVita et La Grande Classique de Longines. Si ces nouveaux modèles sont à la fois audacieux et fantaisistes, tout converge vers la couleur. Chaque référence est une déclaration de style résolument affirmée en rouge carmin, vert printanier, noir classique, orange brûlé et bleu cobalt. Les garde-temps sont présentés sur des bracelets assortis à la couleur du cadran, pour un effet saisissant. Il est juste de dire que ces nouvelles pièces donnent une nouvelle tonalité au célèbre slogan de Longines « Elegance is an attitude ».
Plus qu’un concept-store c’est une vision de la mode qu’apporte Mourad Behlouli. Il s’entoure de stylistes afin de dénicher des pièces uniques, de showroom, des vintages, des pièces de défilés … Vous ne trouverez donc jamais deux pièces identiques dans la boutique, ni de tailles puisque chaque pièce n’existe que dans le model qui est présenté avec sa taille et ses spécificités. On y retrouvera des vêtements pour homme et femme ainsi que des sneakers d’exceptions ou recherchées par les sneakers addicts.
Certaines marques rares seront parfois présentées en accès privé durant quelques jours par mois et comptent parmi les suivantes (liste non exhaustive) : Represent, Enfants Riches Déprimés, Fear of God, Palm Angel, Kapital, Travis Scott, Ami, Amiri, Readymade, Supreme, Yeezy, Kanye, Saint Michael, Kith, Gallery department, Human made, CPFM, Welldone, Takeshi, Murakami, Mastermind Japan, Maison Margiela, Marcelo Burlon …
Parmi les aventures et les expériences sensorielles que proposeront L’AVANT- COUREUR toute l’année, Mourad Behlouli s’associe à des Street Artists pour créer et vendre des œuvres exclusives.
L’Avant Coureur
6 Rue Auvry
Atelier 11
93300 Aubervilliers
Modern Love, album de compilation hommage à David Bowie par BBE Music et prévu pour le 28 mai prochain, rend hommage aux contributions moins connues de Bowie à la soul, au R&B, au jazz, au funk et au gospel avec des reprises inédites de ses chansons interprétées notamment par Jeff Parker, We Are KING, Meshell Ndegeocello, Helado Negro, Khruangbin, Matthew Tavares, L’Rain, Nia Andrews. Le directeur musical et DJ Drew McFadden et le fondateur de BBE Music, Peter Adarkwah, ont organisé le projet, qui s’est inspiré des influences jazz de premier plan entendues dans Blackstar, son dernier album de 2016.
« Je sentais que le lien entre Bowie et R&B, jazz, funk, gospel et toutes choses soul, n’avait jamais vraiment été exploré auparavant – du moins pas tellement dans les reprises, qui ont tendance à se pencher davantage vers le rock et la pop », a déclaré McFadden dans un communiqué de presse. « Certes, il y a eu beaucoup de reprises de Bowie au fil des ans, mais aucune n’a vraiment exploité ce qui semble avoir été une grande partie de son style musical et de sa direction. »
Modern Love track list:
01. « Life on Mars » by Miguel Atwood-Ferguson
02. « Sound & Vision » by Healdo Negro
03. « Lady Grinning Soul » by Kit Sebastian
04. « Soul Love » by Jeff Parker and The New Breed feat. Ruby Parker
05. « Panic in Detroit » by Sessa
06. « The Man Who Sold the World » by The Hics
07. « Right » by Khruangbin
08. « Silly Boy Blue » by Nia Andrews
09. « Chant of the Ever Circling Skeletal Family » by Foxtrott
10. « Move On » by L’Rain
11. « Tonight » by Eddie Chacon & John Carroll Kirby
12. « Modern Love » by Jonah Mutono
13. « Where Are We Now » by Bullion
14. « Fantastic Voyage » by Meshell Ndegeocello
15. « Heroes » by Matthew Tavares
16. « Space Oddity » by We Are KING
Les anglais de BirdPen, Mike Bird et Dave Pen – chanteur et guitariste du groupe Archive – ont dévoilé vendredi dernier leur 6ème album appelé All Function One. Dans cet album réalisé entre janvier et février 2020, on retrouve des sujets tels que l’isolement ou encore la peur de l’extérieur. Sans avoir réellement conscience de ce qui allait arriver les prochains mois, Mike et Dave ont produit un album plus que parlant en cette année pandémique. L’opus de 12 titres a été masterisé par Frank Arkwright dans les studios d’Abbey Road.
Post Punk, Cold Wave et Culture Novö en France 1978 -1983
Douze ans après l’exposition-événement DES JEUNES GENS MÖDERNES qui rendait hommage à la scène post punk et cold wave française de la fin des 70’s et du début des 80’s, à la galerie du jour en 2008, Jean-François Sanz et Marc Collin mutualisent leurs discothèques respectives à l’occasion du 3ème opus de la série de compilations éponyme.
Martin Dupont est selon Stéphane Lerouge, fondateur du label Infrastition : « Le groupe français qui a le ratio qualité musicale / ignorance publique le plus élevé ».
Il voit le jour en 1981 à Marseille, de la collaboration entre Alain Seghir, Brigitte Balian et Catherine Loy. Rejoint plus tard par Beverley Jane Crew, il sera actif jusqu’en 1987. En deux albums et quelques singles, Martin Dupont a produit une collection de morceaux atypiques et habités au style relativement inclassable, entre références new wave explicites et excentricités sonores, comme par exemple l’usage d’une clarinette sur une orchestration essentiellement électronique.
«Nice Boy» est un titre inédit qui, avec son riff de guitare lancinant, sa rythmique martiale et ses nappes de synthé hantées, révèle une des facettes les plus sombres, presque bat cave, de cette formation culte autant qu’atypique.
Modern Men (side project du chanteur de MNNQNS) sortiront l’EP Anéantir le monde moderne le 6 décembre prochain via le Collectif SOZA.
Modern Men : Entre accumulation d’influences, demi plagiat, hommage total, obsessionnel, à l’idole, aux légendes du punk et de la pop Indochine / Marylin Manson version Synth Punk, le groupe continue son exploration sans relâche, essayant coûte que coûte de rester en avance sur son passé…
Après Look At You Now le groupe de Britpop Sleeper dévoile un nouveau single « The Sun Also Rises » présenté en avant-première sur BBC 6 Music.
A travers ce titre, la chanteuse Louise Wener parle d’espoir après la perte d’un être cher. « C’est une chanson qui célèbre la vie. Vivre chaque moment, apprécier ce que l’on a et retrouver de l’optimisme. » Le morceau est disponible en digital et sortira en édition limitée en vinyle 7″ coloré le 26 avril.
The Sun Also Rises est extrait de leur album « The Modern Age » qui sera disponible le 22 Mars sur leur label Gorsky Records. C’est le premier album du groupe depuis 21 ans, ils ont passé l’été à l’enregistrer avec leur producteur de longue date Stephen Street qui travaillait déjà avec eux dans les années 90. Période où Louise Wener, et ses acolytes connaissaient un succès international, notamment grâce au film Trainspotting dans lequel ils reprenaient le morceau Atomic de Blondie.
« TODAY AT APPLE » La Mode Autrement une master class animée par Julien Fournié Jeudi 21 février 18h30 (Apple Champs-Elysées, 114 avenue des Champs-Elysées, 75008 Paris)
Célébrons la mode en dessinant une robe avec Julien Fournié sur Procreate, avec l’Apple Pencil et l’iPad Pro. Ce designer, qui a accompagné les plus grands stylistes avant d’ouvrir sa maison labellisée Haute Couture, apportera deux de ses créations et exposera les différentes étapes de son travail, du croquis à la création de ses modèles jusqu’au défilé de mode.
Le jeudi 28 février, l’Association des Créateurs de Mode d’Espagne (ACME) organise la V édition de l’exposition “Made in Spain: la mode au delà des frontières” à la résidence de l’ambassadeur d’Espagne à Paris.
Paris, capitale mondiale de la mode, accueille de nouveau, à l’occasion de cet évènement, une sélection des pièces les plus représentatives des collections printemps-été 2019 et automne-hiver 2019-2020 des créateurs espagnols les plus prestigieux, que nous avons vu défiler à la Mercedes-Benz Fashion Week Madrid, à la 080 Barcelona Fashion, à la New York Fashion Week et à la London Fashion Week. Cette initiative compte sur la participation de quarante-neuf marques espagnoles.
Des créateurs comme Agatha Ruiz de la Prada, Teresa Helbig, Juana Martin, Rosa Tous, Maria La Fuente, Oteyza seront personnellement présents. Cette année l’exposition à l’honneur d’être parrainée par l’actrice Rossy de Palma.
Jeudi 28 février à partir de 18h30 Résidence de l’Ambassade d’Espagne
15 avenue Georges V – 75 008 Paris
A l’occasion de son dixième anniversaire, la Cité de la dentelle et de la mode propose une carte-blanche au créateur belge Olivier Theyskens qui, dans une exposition originale, se livre à une rêverie dont le vêtement est l’acteur principal. Proposition esthétique inédite, conçue comme une expérience émotionnelle, « In praesentia » est un projet construit par fragments et par collisions, inspiré par un dialogue créatif entre l’oeuvre singulière d’Olivier Theyskens et les collections historiques, textiles et industrielles du musée…
Le regard du créateur fouille, scrute, sonde, se déplace de l’un à l’autre : un pli particulier, une association inattendue de couleurs, un détail infime, un monogramme brodé, le bruissement d’une étoffe, le monde sombre de l’atelier recouvert de poussière de graphite, la fragilité, la délicatesse des arabesques de dentelle qu’il fait naître. Des univers s’entrechoquent, se répondent, se fondent, se complètent par enchantement, ravissement. Le musée devient alors lieu de création, matrice qui fait éclore de nouvelles associations, suscite des scénarios inédits, autant de scènes poétiques restituant une présence à des objets oubliés ou délaissés, à la gloire éphémère passée, témoins de vies minuscules, riches trésors de la mémoire collective.
Olivier Theyskens, «In praesentia» http://www.cite-dentelle.fr
Cité de la dentelle et de la mode Calais
135 Quai du Commerce, 62100 Calais 15 juin 2019 – 13 janvier 2020
Le plus puissant moteur de recherche spécialisé dans la mode et soutenu par LVMH, Lyst, publie le Year in Fashion : une rétrospective mode et luxe de l’année écoulée, basée sur son algorithme. Lyst a analysé plus de 100 millions de recherches : mots-clés, pages visitées, best-sellers et mentions sur les réseaux sociaux pour élaborer une étude complète et inédite des grandes tendances de l’année 2018 : Les tendances clés à retenir , Les célébrités et les influenceurs mode les plus recherchés, Les marques Insta qui ont fait le buzz , Les logos les plus convoités , Les pièces Insta les plus prisées, Les inattendus de la saison … à découvrir ici : https://www.lyst.fr/year-in-fashion-2018
Du 23 janvier au 6 mai 2019, la Tate Modern présente la première grande exposition consacrée à Pierre Bonnard au Royaume-Uni depuis 20 ans. Souhaitant apporter un regard inédit sur l’œuvre novatrice du célèbre peintre, Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire réunit une sélection d’une centaine de ses meilleures œuvres issues d’institutions publiques et de collections privées du monde entier. L’exposition vise à mettre particulièrement en lumière la façon dont les couleurs intenses et la modernité des compositions de Bonnard transformèrent la peinture de la première moitié du XXe siècle. Elle vient rappeler la capacité inégalée de Bonnard à capturer la fugacité du temps, des souvenirs et des émotions sur la toile.
The C C Land Exhibition – Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire a pour commissaire à la Tate Modern Matthew Gale, Head of Displays, en collaboration avec Helen O’Malley et Juliette Rizzi, commissaires assistantes. L’exposition est organisée par Tate Modern en partenariat avec la Ny Carlsberg Glyptotek de Copenhague et le Kunstforum de Vienne.
THE C C LAND EXHIBITION
PIERRE BONNARD: LA COULEUR DE LA MÉMOIRE
TATE MODERN
23 JANVIER – 6 MAI 2019
Illustration: Window open onto the Seine (Vernon) 1911-12, Musée des Beaux-Arts, Nice
Une approche radicalement neuve, ouverte et transversale de l’histoire de la mode
En choisissant d’élargir leur focale au contexte historique, sociologique et économique, Denis Bruna et Chloé Demey, avec leur équipe de jeunes chercheurs, racontent une toute nouvelle histoire des modes où les usages, les modes de vie, les matériaux, les savoir-faire jettent un éclairage passionnant au-delà de l’histoire de l’art.
Il s’agit d’une histoire sur la longue durée, de 1330 aux années 2000, considérée depuis la France mais ouverte aux apports des pays étrangers. Enfin, et ce n’est pas un détail, il n’est pas ici question uniquement du vêtement féminin mais de celui des hommes et des enfants… et même parfois des animaux !
Denis Bruna est docteur en histoire de l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne et conservateur chargé des collections Mode et Textile antérieures au XIXe siècle aux Arts Décoratifs. Il est aussi professeur et directeur de recherche en histoire de la mode, du costume et du textile à l’École du Louvre. Il est notamment l’auteur de Piercing, sur les traces d’une infamie médiévale (Textuel, 2001) et Bijoux oubliés du Moyen Âge (Seuil, 2008).
Chloé Demey est diplômée de l’École du Louvre en muséologie. Elle est responsable des éditions du Musée des Arts Décoratifs.
J’entends déjà les assourdissantes complaintes : « Mais il est fou ! » « Cette fois il va trop loin… prend des risques inconsidérés… » « Traiter d’un sujet aussi sensible, en 2015 ? » « JetSociety c’est vraiment un magazine d’avant-garde qui repousse toujours plus loin les limites du système et qui lutte à sa manière contre l’endoctrinement des masses. » Merci cher lecteur pour ces belles pensées, qui me vont droit au cœur.
Il est vrai que j’aurai pu consacrer un article aux bonnes manières ou à la bienséance, voire une exégèse élégiaque de « Plus belle la vie » (un brin sulfureux, j’en conviens). Faisant fi du qu’en dira t-on j’ose. Non le heavy metal ne reviendra pas à la mode, n’en déplaise aux barbus tatoués buveurs de bières qui croupissent dans des bars paumés en attendant des jours meilleurs. Jours meilleurs il n’y en aura pas. J’ose et j’affirme, c’est ainsi.
Alors évidemment perplexe lecteur, aguiché par la question titre, tu veux que j’étaye mon raisonnement, que je prouve, que je démontre. Pour ma part je pense que point n’est besoin de tout cela, il y a des preuves ontologiques indiscutables et rationnelles. Cherchez et vous trouverez. Je ne suis qu’un guide sur le chemin de votre réflexion. A la question : Pourquoi le heavy metal ne reviendra jamais à la mode ? Je réponds fort ce que je tiens pour vrai : « Parce que. » So be it !
Beat Spacek est le dernier projet du vocaliste et producteur anglais Steve Spacek, un homme qui n’a pas besoin d’introduction. L’album « Modern Streets » a été crée en grande partie à l’aide d’applications iPhone et iPad, voici une fois de plus ce que Steve peut faire grâce aux nouvelles technologies. Cet album est un voyage à travers l’évolution de la Grande-Bretagne moderne dans une perspective futuriste.
26 JANVIER NINJA TUNE
Beat Spacek is the latest project from UK vocalist/producer Steve Spacek, a man who should really need no introduction. With boundless abilities, his work transcends genre and style – instead focusing more on swing, melody, vibe and atmosphere. From his legendary output with the band Spacek – Curvatia (2001), Vintage Hi-Tech (2003); solo work on the cult Sound In Color imprint and collaborations with the late, great J.Dilla; to his under-the-radar Black Pocket project for dBridge’s Exit Records and his most recent work with Mark Pritchard as one half of Africa HiTech, his fearless approach to creation has always been progressive and highly original.
Beat Spacek sees him once again take the reigns as a solo artist creating a record that is as much a love letter to the future as it is an ode to the past. Created largely using iPhone and iPad apps, the album once again finds Steve liberated through new technologies, excited by the prospects of “the new” whilst expressing notions of the past. It’s a journey through the evolution of modern Britain from a futurist perspective.
Framed against a particular period in the 1980s when Steve was growing up as a young man in New Cross, South East London, Modern Streets is rooted in the duality of the past and the future. Flim-Flams was the club where he first experienced the clash of sounds and styles that characterised South London’s racial, ethnic and cultural melting pot. A spot where Punks, Soul Heads, New Romantics, Dread Locks and Skinheads all converged brought together through a love of music and new sounds.
From the paranoid, post-punk, sleng teng musings of « I Wanna Know » to the nu wave pop-powered love song « Inflight Wave », Modern Streets is a direct reflection of that experience, envisioned through the mind of a 21st Century Rudeboy. Ghanaian Highlife is re-imagined in digital form on « Tonight »; « Stand Firm » tips its hat to the dancehall with a futuristic rinse; whilst the sub-bass powered anthem « Alone in Da Sun » draws on the finest elements of dubstep’s sonic vocabulary and reworks them into a loose, new age club jam, brimming with soul and charisma.
Point trop n’en faut, l’exubérance 80’s n’est pas encore en passe de revenir en haut de l’affiche, c’est pourquoi vous devez faire preuve de modération vestimentaire. La superposition des collants + jupe + tunique ou short carreau + chemise rayée a beau séduire une certaine frange de population, ce n’est pas celle là qu’il faut copier si vous êtes en quête d’identité visuelle.
A l’occasion de la Fashion Week, Furla recevait la semaine dernière dans son showroom milanais journalistes, blogueurs, célébrités et mondains afin de leur présenter en avant première la collection Printemps/Eté 2013. Anna Dello Russo ainsi que des blogueurs internationaux comme Bryan Boy, Susie Lau (Style Bubble), Denni (Chic Muse), Pelayo (Katelovesme) et Tamu McPherson (Alltheprettybirds) ont répondu présents à l’invitation de Furla.
Une présentation-événement placée sous le signe de la lumière et « illuminée » par la présence de VIP et mondains dont Anna Dello Russo. Grande affluence de journalistes, blogueurs, célébrités et mondains lors de la présentation Furla qui s’est déroulée dans une atmosphère lumineuse. Le thème de la lumière, source d’inspiration de la collection printemps-été 2013, a été renforcé par une « Light installation » suggestive de l’artiste Mario Airò, créée pour la Fondazione Furla. Pour exprimer leur gratitude et leur affinité envers la marque, de nombreuses personnalités ont assisté à la présentation comme Cavaliere Mario Boselli, Beppe Angiolini (président de la Camera Nazionale dei Buyers), Roland Frasch (Président de Saks Fifth Avenue), Anna Dello Russo, Glenda Bailey, Giovanni Gastel, Guido Taroni, Senette Francesca, Francesca Versace, Ildo Damiano et des blogueurs internationaux tels que Bryan Boy, Susie Lau (Style Bubble), Chic Muse, Tina Leung, Pelayo, Tamu McPherson.
iD a bâti sa réputation sur le fait d’être une source constante d’inspiration dans la « culture de la mode ». iD a commencé par être un fanzine dédié au street style et au punk à l’époque de Londres en 1980, et a rapidement gagné sa position à l’avant-garde de la mode et de style, en respectant le principe d’origine – ne pas imiter. iD a parcouru un long chemin depuis ses jours pré-numérique et a mis au point un magazine de mode unique en matière de culture contemporaine qui se réinvente constamment, comme dans le nouveau site web, iD continue d’encourager la créativité, qui est après près de 30 ans l’essentiel de son contenu éditorial et parvient toujours à surprendre et inspirer. i-donline.com
farfetch.com est bien plus qu’un site de vente. Sur le site se trouve une une section éditorial qui vous informe sur tous les styles, inspirations à travers des articles hebdomadaires. Des journalistes reconnues et réputés dans le milieu de la mode partagent leur prédictions modes, des acheteurs de nos boutiques partenaires dispensent styles et pièces favorites de leurs boutiques respectives. Et pendant ce temps ils font en sorte que vous soyez au courant des dernières news avec des discussions directes avec les designers. Pour juger de la qualité de ce site : farfetch.com
Haricots rouges ou noirs, viande boucanée, lard, bœuf, queue de porc, oreille de porc, viande de porc salée, épaule de porc salée, hauts de côte de porc salés, saucisse, tomates, oignons, gousses d’ail écrasées, branches de menthe, ciboulette, poivre moulu, concentré de tomate, feuilles de laurier, sel.
Faire tremper les viandes salées dans de l’eau froide toute une nuit, en changeant souvent l’eau.
Faire tremper séparément les haricots.
Faire revenir les viandes dans le lard.
Ajouter les haricots.
Ajouter ensuite les tomates, l’oignon, l’ail, la menthe, le poivre, la ciboulette, le concentré de tomate et le laurier.
À mesure que les viandes sont cuites, les retirer en laissant cuire les haricots.
Servir avec de la farine de manioc et du riz blanc.
L’édition de juin du magazine Elle, fait la part belle à un crossover original qui va bien évidemment consteller les publications de ce genre dans un très proche avenir, entre la mode et l’illustration. Par Hicham Riad & Kid Acne fashionising
Reebok vient de lancer un nouveau classique moderne de la mode, la RealFlex Classic. disponible seulement chez Foot Locker. Ces nouvelles chaussures sont équipées de la technologie Reebok « barefoot ». Le dispositif : » It takes a lot to make a classic », est réalisé en collaboration avec de nombreux artistes, musiciens et autres personnalités entièrement dévoués à élaborer une paire de chaussures prête à rentrer dans l’histoire. Le premier de cette longue liste est le chanteur, compositeur, producteur – et collaborateur de Lil Wayne – Mike Posner. Pour l’occasion, Vice a réalisé un court interview de Mike:
J’adore le Snapshot Writing. Je m’installe à la terrasse d’un café très fréquenté d’une rue commerçante, je commande une Carlsberg que je bois avec modération, je m’arme de mon stylo Mitsubishi et je commence à griffonner sur mon Moleskine ce que je vois, ce que j’entends, ce que je sens. Parfois la production est à l’égale du spectacle qui m’est offert, « ineptique » et parfois elle est enfiévrée comme lorsque j’ai vu cette So Lovely Lolita aux chevilles fines, aux petits seins fermes et à peine dissimulés, au sourire ravageur et aux cheveux naturellement beaux. A ce moment là, je me rêvai Octave le talent scout de Beigbeder, osant l’aborder tel un prince charmant moderne, pour lui donner une vie futile et délibérément outrancière, ou encore Pygmalion pour améliorer et rectifier les ultimes imperfections. Elle irradiait tellement au milieu de la faune, entre les minets transparents, les bébé – poufs, les mamans siliconées, les no life, les quidams et les badauds… J’ai figé l’image. Snap.
Hypebeast should need no introduction; started back in 2005 as a one-stop source for sneakerheads it has grown into a respected source of information and inspiration for a truly global audience. Hypebeast’s Essentials series offers an insight into the everyday items some of the most influential people in the industry; inverting the concept we asked Hypebeast to put together their dream essentials from our product mix. oki-ni.com
« Rien ne peut vous arriver si vite, si facilement, sans un retour de bâton », annonce le top model Sara Ziff à l’ouverture de son docu-journal « Picture me », qui porte un regard lucide sur les coulisses, à la fois glamour et sordides, du petit monde de la mode. Repérée dès l’âge de 14 ans dans les rues de New York, comme dans les contes de fées pour adolescentes, la jeune Américaine a été filmée par son petit ami, Ole Schell, sur une période de cinq ans quand elle faisait la une des magazines et défilait sur tous les podiums. Inconnue au premier regard, on finit par l’identifier tant on l’a vue sous toutes les coutures dans des publicités. La transformation de ce visage est d’ailleurs saisissante tout au long du film : on a beau savoir que maquillage et retouches font merveille, il reste difficile de relier ce visage nu, sans fard, à celui des photos survitaminées des magazines. Devant un énorme panneau publicitaire, pour lequel elle a posé et qu’elle découvre dans les rues de New York, Sara remarque d’ailleurs : « C’est curieux, je ne me vois pas du tout comme cette fille ».
D’avion en aéroport, de podiums en passerelles, passant d’un coiffeur à un maquilleur, la jeune fille croit vivre d’abord un rêve éveillé. Des séquences entières sont consacrées aux premiers chèques à multiples zéros qu’elle reçoit avec incrédulité : la caméra fait des allers-retours entre le chèque, en gros plan, et son visage enfantin, tour à tour émerveillé ou choqué. Mais petit à petit, la chronique de ce quotidien, d’abord une sorte de jeu innocent consistant à filmer l’envers d’un décor féerique, dévoile sa part d’ombre. Anorexie, déracinement de mannequins de plus en plus jeunes, agressions sexuelles, drogue : les maux de cet univers sont bien connus mais Sara Ziff fait parler ses copines de défilés, qui confient, souvent des larmes dans les yeux, leurs anecdotes troublantes. Comme cette jeune fille de 16 ans qui pense retrouver l’équipe technique dans un jacuzzi en fin de journée, pour n’y trouver que le photographe quinquagénaire, nu. Ou cette autre qui observe, stupéfaite, le photographe se dévêtir en pleine séance photo alors qu’elle-même pose nue.
Sara Ziff donne aussi la parole à des collègues qui ne travaillent pas assez et se retrouvent endettées envers leur agence de mannequins, qui avance les frais pour leurs déplacements et hébergements. Au fil des plans, elle se demande, de plus en plus souvent, si elle doit continuer à exercer ce métier qui lui apporte succès et argent mais la rend de plus en plus malheureuse. Elle pleure, exténuée, incapable de se protéger des ravages d’une exposition permanente à tous les regards. Lors d’une scène poignante, où Sara est filmée à hauteur de visage dans sa baignoire, elle hoquette de rage et d’épuisement en racontant son altercation avec un photographe dans les coulisses d’un défilé. Alors qu’elle le prie de poser son boîtier pendant qu’elle se change, il la mitraille, ne tenant aucun compte de sa demande. Le sentiment de ne pas exister vraiment, le vertige d’être traitée comme un bel objet à la disposition des autres.
« For whom the bell tolls ? Time marches on. » Inexorablement et méthodiquement absorbées par le système traditionnel, les blogueuses mode n’innovent plus, n’inventent plus, restent cantonnées dans leur pré carré de shooting photos maison affublées de vêtements souvent prêtés par des marques bienheureuses de cette publicité à moindre frais. Que sont devenus ces textes doux amers qui gargarisaient leurs congénères et faisaient frémir la gent masculine ? Est-ce que leur graal avoué n’est pas finalement qu’un Front Row d’un défilé prestigieux ? Allez les filles, bougez vous le cul, lâchez-vous, osez, prenez des risques, sinon ce sera la fin des blogueuses modes !!!
Comment-ça tu ne peux pas me saké ? J’avoue volontiers que c’est nul mais on m’a toujours dit à l’école de journalisme (que je n’ai pas faite), de débuter un sujet par une petite note humoristique ce qui a pour effet positif d’entraîner la sympathie du lecteur… Poursuivons. La semaine dernière je suis allé manger au restaurant chinois, ce qui ne m’étais pas arrivé depuis un moment (et là vous vous dites: « on s’en fout, c’est quoi ce blog, il délire, n’importe quoi » et vous aurez raison) le repas fut tout à fait correct mais je ressentis néanmoins une pointe de frustration au moment de l’addition. Point de saké accompagné de ses jolis petits verres dans lesquels figurent des hommes et des femmes qui découvrent leurs corps nus au fur et à mesure de l’ingestion de ce breuvage le plus souvent infâme. Oui mesdames et messieurs, il est temps de militer pour la réhabilitation des verres à saké dans les restaurants qu’ils soient chinois ou non, parce que ces personnes à poil sont aujourd’hui au chômage, qu’il n’y a plus le psychodrame de la fin de repas lorsqu’il faut accepter à contrecœur le tord-boyau…
Lou, un nom qui signe en Lettres capitales une histoire unique. L’histoire d’une rencontre entre L’imagination et L’ambition. Lou paris excelle dans l’art de marier les matières : le mat s’oppose au brillant ; les tulles se Croisent ; la fagotine de soie se glisse partout. un raffinement au quotidien qui se retrouve jusqu’aux finitions toujours plus minutieuses. la lingerie est moule?e en une pie?ce unique ; les e?lastiques et Coutures disparaissent, dessinant la silhouette en toute discrétion. les bretelles se recouvrent de fourreaux Ou de galons de broderie. les jeux de plisse?s viennent sublimer la broderie, un mix parfait. une collection printemps – ete? 2011 aux saveurs particulie?rement sucre?es.
L’hebdomadaire people Gala sera décliné en version quotidienne et distribué gratuitement à Cannes tout au long du Festival international du cinéma, du 11 au 22 mai. Ces douze parutions exceptionnelles de 32 pages seront tirés à 10 000 exemplaires. Gala annonce également un bouclage tardif, à 2 heures du matin, pour être au plus près de l’actualité cannoise. le 13h de la com
Suite à l’excellente diatribe de mon « confrère » (puis-je le nommer ainsi) Emery : « Vive la blogosphère libérée | Causeur », j’aimerai à mon tour donner mon point de vue sur la manière dont je ressens les choses.
Prosaïquement perçus dès l’origine comme une curiosité désirable puis comme une usurpation au journalisme, à la création artistique, voire à l’informatique, les blogueurs ont dû par nécessité s’adapter.
Parfois naïvement auto déclarés experts dans des domaines qui finalement ne concernaient qu’eux, il n’en fallu pas plus pour déclencher l’ire des « pros » qui se sentaient menacer (on ne sait toujours pas de quoi !).
Néanmoins les blogueurs ont su se montrer tenaces sur la durée, afficher leur volonté de (bien) faire et conserver (pour les meilleurs) leur fameuse audience qui a toujours titillée les sacro saints annonceurs, quitte à intégrer les réseaux sociaux.
Nourris au caviar pour certains, au jambon à la coupe pour la majorité par des annonceurs retranchés la plupart du temps derrière des agences de com’ expertes, les blogueurs ont été au fur et à mesure sacrifiés. Les blogueurs pour schématiser, se retrouvent aujourd’hui à 500 avec au menu un seul sandwich sncf à se partager entre eux. Community Mgmt, pilotage en direct sur les réseaux sociaux, retour aux médias traditionnels, les « budgets » ne les concernent plus vraiment sauf en de rares occasions…
C’est là que la souffrance du blogueur s’exprime, passer de la lumière à l’obscurité est un processus inévitable qu’il ne faut pas remettre en question, en revanche ce qui devient inacceptable c’est la manière dont « certains professionnels » tentent s’en vergogne de profiter des blogueurs à moindre frais… Aucune reconnaissance, primes dérisoires, indifférenciation, mépris, mensonges éhontés…
Au quotidien le blogueur reçoit de nombreuses sollicitations, qu’il est libre d’accepter ou de refuser, le problème se pose dès qu’il rentre dans les contreparties. En règle général il obtient quelque chose mais il arrive également qu’il reçoive un silence pas gêné, une fin de non recevoir, des vagues explications sur de prétendues absences de budgets…
Bref, le blogueur a finalement déjà de la chance d’avoir de la matière pour faire gratuitement le même sujet que les honnêtes médias qui appellent ça publi-reportage et sont rémunérés pour l’occasion (chut!!! le lecteur est un con il ne faut pas lui dire) !
En définitive vivre de son Blog me parait aujourd’hui circonscrit à quelques un(e)s qui ont sût avec brio se faufiler entre les mailles du filet. Pour les autres, la persévérance n’étant pas une tare ils peuvent continuer à apporter ce je ne sais quoi que les médias traditionnels n’ont pas réussi à intégrer. Pour le reste…
* Image placée à dessein pur capter l’attention (tous les procédés sont bons c’est bien connu)
“Vous rappelez-vous cette scène délicieuse de Mean Streets tournée dans une salle de billard où Johnny Boy campé par Robert de Niro pète les plombs ? La spontanéité, la folie, l’énergie et le kitsch de l’acteur américain crevaient l’écran… Vous retrouverez toutes ces qualités dans le Modern Idol des dandys français qui ont emprunté le nom du héros du film de Scorsese. » – Hartzine « Une résurrection des Sex Pistols en mode électro » – Discordance JOHNNY BOY electronically informed rock band / Paris L’Histoire ne retient souvent que deux noms dans un groupe, généralement ceux qui composent (Jagger/Richards, Strummer/Jones, Barat/Doherty …). C’est donc sans doute pour ne laisser personne dans l’anonymat que Nicky Larsen et Salo JR ont préféré fomenter leur complot en duo. Léger comme l’albatros, évinçant les contraintes d’un line-up traditionnel, Johnny Boy abandonne l’idée de groupe au profit d’un binôme soudé et complémentaire. Quel que soit le costume qu’on veuille leur faire endosser, ils s’y sentent toujours trop à l’étroit. Eux préfèrent l’aventure sonore. Armés de boites à rythmes et de synthés, tirant d’une Télécaster des sonorités tour à tour cinglantes, grumeleuses ou noisy, ils retiennent l’insolence et l’énergie du punk rock, les associent à des mélodies pop et des tapis d’électro primaire, pour donner jour à un post-punk désenchanté et conquérant, révélant des influences telles que Suicide, Buzzcocks, P.I.L. ou The Hives.
Aussi à l’aise dans un squat berlinois que face au public d’un gros festival, offrant un live généreux, énergique parfois même jusqu’à l’épuisement, Johnny Boy compte près de 200 concerts en France, Belgique, Allemagne, Angleterre, Suisse et Russie, des scènes les plus officielles aux plus underground, partageant l’affiche avec les Shy Child (US), The Death Set (US),The Rakes (UK), Dead Kids (UK), Hushpuppies, Les Thugs, Sexy Sushi, Cheveu, Minitel Rose… Après le EP Dialectik Noise en 2008 suivi dans la foulée d’un split LP vinyle avec le groupe Anes et Bateaux, Johnny Boy renoue avec le studio en 2010 et donne naissance au EP Modern Idol, accompagné de remixes. Déjà disponible en vinyle LP via Anywave Records, Modern Idol est enfin disponible en digital via Laitdbac Records et Module. Site officiel de Johnny Boy : http://johnnyboy.band.free.fr Johnny Boy sur Facebook : http://www.facebook.com/pages/Johnny-Boy/206709024576?v=wall Johnny Boy sur Twitter : http://www.twitter.com/johnnyboyband
Trussardi re?invente le re?tro casual en s’inspirant des lunettes les plus emble?matiques et glamour des anne?es 50’s. On ose affirmer son style avec le tout nouveau mode?le optique TR12707, re?solument chic et sobre a? l’inspiration « Madison Avenue ». En ace?tate et me?tal, il se de?cline en trois couleurs.
Ce qui est dit : Pandor c’est la volonté de remettre au goût du jour l’absinthe et d’en faire un spiritueux moderne. Fini les poètes maudits! Pandor c est aussi la volonté de déguster l’absinthe sous de nouvelles formes, en shots, en long drinks et en cocktails. Fini l eau et la cuillère! Pandor c est enfin la volonté de faire de l’absinthe un alcool festif au même titre que la vodka et le whisky. Fini le goût anisé! Pandor se boit en shot avec des sirops (grenadine, menthe, caramel …) Pandor se boit également en long drink avec des boissons énergisantes, des sodas (cola, tonic, limonade), des jus de fruits (pomme, cranberry, fraise), flambé pour la 60° ou nature. SE BOIT TRES FRAIS Ce que j’en pense : N’ayant jamais goûté le produit mais ayant l’âme rimbaldienne, j’ai un a priori positif sur le produit qui vu sa densité (40 et 60°) doit être consommé avec modération. En tout cas les bouteilles ont du style.
» L’auteur nous embarque dans une vie de voyages, d’observation et d’interprétation de la condition humaine. Ce Roman est un parcours initiatique qui contredit avec une précision d’orfèvre, les lieux communs si commodes de la pensée unique. Adrien Tell écrit avec une lucidité jubilatoire, l’histoire mouvementée d’une génération de jeunes gens avides des objets modernes, mais finalement éprouvés par une nouvelle un peu commode… » www.theles.fr L’art du mot juste et de la phrase qui transporte. Cet auteur a du talent, de la jeunesse dans le ton et du coffre dans le style. Faites l’effort de découvrir Adrien Tell et vous ne serez pas déçu.
Au cœur de la Place Vendôme (Paris), le Ritz Bar se place désormais en ‘incontournable’ des nuits parisiennes avec chaque fin de semaine, une programmation DJ-set ‘électro’ : 07.01.2011. DJ Yan Ceh, 08.01.2011. DJ Audrey Katz, 14.01.2011. Les Jumeaux en Or, 15.01.2011. DJ Amandine de la Richardière, 21.01.2011. DJ Estelle S… ritzparis.com
Avec CHIC ART FAIR, une foire d’art contemporain embrasse Paris, investit la Cité de la Mode et du Design et confirme sa capacité à organiser l’espace avec des galeries aux univers riches et variés. ?Une cinquantaine de galeries, des jeunes pousses, des galeries plus établies, voire historiques, et une section de Design d’innovation seront présentes. ?La foire d’art contemporain CHIC ART FAIR aime Paris, ses galeries et invite harmonieusement et avec de fortes propositions les galeries internationales qui souhaiteront embrasser la capitale effervescente à cette période de l’année. Paris vit l’art contemporain, Paris respire cet art aujourd’hui revisité et associé au contemporain dans sa diversité. 22 – 25 Octobre 2010
